Les Jambes De Belle Maman (Suite...3) Fin De Soirée.

LES JAMBES DE BELLE MAMAN (suite...3) Fin de soirée.
Au soir de ce week-end fort en émotions et évènements inattendus ; je franchissais le seuil de l’entrée, les rideaux de Marilyne sous le bras, la tête embrumée par ce qui venait de m’arriver. Du fond du salon, Adeline s’écria :
-C’est toi Patrick ? Bigre, j’étais en soucis, vous en avez mis du temps pour décrocher ces rideaux, vous auriez presque eu le temps de faire les ourlets !
-Oui, tu sais Marilyne est maniaque, elle a tenu absolument à décrocher les rideaux elle-même, pendant que je tenais l’escabeau, puis nous avons discuté de choses et d’autres, mon travail, les s….
-Dis ; tu tenais l’escabeau, j’espère que tu n’as pas regardé sous la jupe de maman, hein ?
Ma femme se tourne alors vers moi, me tend les bras avec un large sourire, s’empare des rideaux, les pose sur la table et m’attire contre elle, s’approche de ma bouche, y glisse sa langue qui tourne autour de la mienne, je la serre encore plus fort contre moi, mon sexe appuyé contre le sien, mes mains se plaquent maintenant sur ses fesses que je masse délicatement, mon sexe durci et même avec le moment que je viens de passer avec belle maman, j’ai soif d’amour, soif de baisers, soif de fantasmes. Adeline me murmure à l’oreille :
-Quand les s seront couchés, je monterai me coucher, tu attendras un instant avant de me rejoindre…Je te ferai une surprise…
-Tu vas m…
Je n’ai pas le temps de poursuivre ma phrase, déjà sa bouche est revenue contre la mienne pour me donner un puissant baiser, je ferme les yeux, me laisse emporter par un tourbillon de désir, c’est vrai que je l’aime Adeline ! A nouveau je ressens dans les bras de ma femme un sentiment de culpabilité, comme un gosse qui cache quelque chose tant et si bien que mes bras se relâchent, l’étau qui serrait le corps d’Adeline s’ouvre doucement, mon érection elle aussi disparait…
-Les amoureux, vous êtes bien beaux à voir, mais serait-il possible de manger dans cette maison ? Demain j’ai un contrôle de math ; j’aimerais me coucher tôt et mon frère aussi.


Fabien, l’aîné des jumeaux, né cinq minutes avant sont frère Damien ; le porte-parole du duo, vient à point nommé à mon secours, au moment où j’ai besoin de remettre les pieds sur terre, je suis chez moi, avec la femme que j’aime, mes s, bon sang, reprends toi, tu es un homme que diable ; tu n’as pas commis de crime, tu aimes ta femme. Et…Tu as envie de sa mère ; de plus, tu n’as pas fait l’amour à ta belle-mère, juste un petit flirt, un truc d’adolescent quoi. Voilà ma conscience a parlé je reprends le dessus, bise le front d’Adeline et approuve l’intervention de Fabien :
-Tu as raison, appelle ton frère, mettez la table, je donne un coup de mains à maman.
Adeline sort de la cuisine avec Fabien, je reste seul à défaire une salade au-dessus de l’évier, tout en épluchant les feuilles, je n’arrive pas à effacer l’image de Marilyne qui soulève ses seins aux mamelons généreux…Oui plus généreux que ceux de sa fille ; il faudra que je regarde mieux la prochaine fois, avant de les prendre en bouche ; non, je fermerai les yeux et c’est en bouche, quand ma langue les fera tourner avant de les téter que j’évaluerai leur taille et leur volume.
-Attention Patrick ! L’eau déborde ; décidément aujourd’hui tu es complètement dans les nuages.
Adeline vient d’entrer et se précipite vers le robinet qu’elle tourne rapidement. Je tourne la tête, sans dire un mot, et je vois que ma femme s’est changée, elle a quitté son jeans pour le remplacer par une jolie robe bleue et…Non je ne rêve pas, elle a mis des collants ? Des Up ?
- Pousse-toi, gros nigaud, que j’essuie devant l’évier.
Elle prend l’éponge, accroupie devant l’évier elle éponge l’eau dans des mouvements circulaires. Sa jupe est remontée, ses genoux tendus, elle écarte largement les cuisses…Oui, c’est un collant ! Adeline lève la tête me regarde en souriant, bascule et écarte grand les jambes ; merveilleux ! J’adore, je raffole, j’en redemande ; je tends la main et l’aide à se relever :
-Désolé, mais sans mon étourderie, je n’aurais pas eu le plaisir de contempler tes jolies jambes, que dis-je tes cuisses ; tu t’es changée pour moi ?
-Les s ! A table !
Juste un sourire pour toute réponse, nous prenons place à table, les jumeaux de chaque côté et Adeline en face de moi.
Nous commençons à manger, avec comme sujet de conversation principal, le contrôle de math de Fabien et autour, les banalités d’un repas en famille. Alors que je termine mon assiette, je sens sur mon entrejambe le pied de ma femme frotter ma braguette de haut en bas, tout doucement. Je la regarde, elle sourit en mangeant son yaourt. Les s sortent de table et regagnent le salon, nous sommes en tête à tête, ou en « pied à sexe ». Adeline continue de promener son pied sur mon entrejambe ; tout en léchant sa cuillère avec sa langue sortie entière, pointue, puis, elle l’a prend en bouche toute entière, recommence à lécher, la cuillère disparaît à nouveau dans la bouche, le pied sur mon sexe se fait de plus en plus pressant, les allers- retours de la cuillère s’accompagnent d’un long filet de salive, qu’Adeline laisse échapper sans arrêter sa fellation, c’est bien de ça dont il s’agit : une pipe à la cuillère ! que c’est bon de la voir, de sentir son pied là sur ma queue tendue, chaque mouvement de son pied est maintenant synchronisé avec la prise en bouche de la cuillère, je bande de plus en plus…Le pied accélère le mouvement, Adeline pose la cuillère, se lèche maintenant les lèvres avec un regard encore plus vicieux, je prends à deux mains le pied sous la table, le plaque encore plus fort, le presse, le masse, mon bassin se tord sur la chaise. OH…Plus vite, plus fort…Je tire plus fort sur le pied, empoigne le mollet, tire encore en me frottant, Adeline glisse sur sa chaise, la moitié de son corps disparait, caché par la table, je me branle maintenant de plus en plus fort…Oh oui, c’est tellement bon, je suis au bout de l’excitation, je ne tiens plus, dans un mouvement brutal, je saisis le mollet encore plus fort et comme si je voulais l’engloutir tout entier dans mon entrejambe, je presse ma queue contre le pied qui continue de bouger…c’est bon, bon…oh je jouis, encore et encore, je me lâche dans mon caleçon, encore oui…humm je me mord la lèvre, je regarde Adeline qui a retiré son pied, se redresse, penche la tête et m’envoie du bout de la table un baiser de ses lèvres pincées en cul de poule et comme si rien ne s’était passé :
-Les garçons, venez débarrasser la table, s’il vous plaît, après au lit !
De ma vie, je n’ai connu une journée aussi folle.
Heureusement que belle maman ne vit pas avec nous, je ne supporterais pas le choc ! Pendant que les jumeaux débarrassent la table, je cours à la salle de bain, prendre une douche.
Je laisse la place aux garçons, dans mon peignoir je me dirige au salon ; la télé est éteinte, Adeline n’est pas là. Je m’étends dans le canapé, les bras sous la tête, ferme les yeux…quel calme ! Soudain je sursaute, la sonnerie du téléphone me dire de mes rêveries. Dans un effort surhumain, je me lève et décroche :
-Oui, allo ! Patrick à l’appareil.
-Bonsoir Patrick !
-C’est vous, Marilyne, que vous arrive-t-il ?
-Qui est-ce ? s’écrie Adeline du haut de l’escalier.
-C’est ta maman.
-Allo Patrick ?
-Oui…Marilyne, Adeline demande qui appelle.
-Devinez dans quelle tenue je vous appelle ?
Décidément, c’est une journée sans fin, elle ne finira pas, tant mieux, mais quel délice !
-Euh…et bien…je ne sais pas.
-Je ne porte que des collants, sans culottes, et rien au-dessus, mes seins sont à l’air, Patrick, vous voudriez bien les voir ? Hein petit cochon.
-Bien sûr, même plus que ça, mais comme ça au téléphone….
-D’une main je tiens le téléphone et de l’autre….De l’autre…je fais quoi Patrick ?
-Euh…C’est difficile à dire comme ça ….
-Que veut maman ? Lance Adeline toujours au-dessus de l’escalier.
-Un problème avec son chauffe-eau, tu ne peux pas l’aider.
-Bien Patrick, vous avez l’esprit vif, alors revenons à nous, que fait mon autre main ?
-Passez votre main sous le fourreau, vous sentez la chaleur ?
-Oh….Quel bon comédien vous faites ? Bien sûr que je sens la chaleur, dans mon collant, ma main qui caresse ma chatte et toute chaude…Humm….
-Et…euh…c’est humide ?
-Oui….C’est humide, humide et chaud …De plus en plus chaud…
-Vous…Vous voyez le petit bouton au-dessus du tuyau ?....Il faudrait appuyer et relâcher plusieurs fois…Faites-le…
A cet instant, j’entends Marilyne qui commence à me tutoyer, à devenir vulgaire, comme dans la voiture toute à l’heure, je sens l’excitation me gagner, je réajuste mon peignoir, tends l’oreille pour entendre l’arrivée de ma femme ou des s, qui chahutent dans leur chambre…
-Humm… je l’ai trouvé ce petit bouton…Petit salaud, tu veux que je jouisse, hein c’est ça ?.
..Mon index le titille mon petit bouton, je le presse, le relâche, je voudrais tant que mon salopard de gendre me le suce, l’aspire, le mordille….Oh….Oui….Je voudrais sentir ta langue là, à la place de mon doigt, tu aimerais hein, frotteur, vicelard, gros obsèdé, tu aimerais te la taper ta belle-mère ?...Mais tu peux encore attendre, je préfère me branler, tiens….Humm…Oh oui….mon doigt fouille maintenant ma chatte toute mouillée….tu l’as enflammée aujourd’hui petit con, écoute comme je me fais du bien….
-Ah….C’est bon, elle est à nouveau allumée ?
Seul un grand bruit vient troubler mon écoute, un bruit qui provient certainement de la chute du téléphone sur le plancher…Marilyne s’abandonne, j’entends ses gémissements qui se font plus lointains, elle est allongée sur le sol ou sur son lit….Je bande si fort, que ma queue soulève le tissus éponge de mon peignoir….J’ai envie de me branler là toute suite, je respire profondément, il ne faut pas, Adeline m’attend là-haut avec une surprise….Vite reprends toi, respire…Pour me donner une constance, je continue mes conseils de dépanneur..
-Bien, tant mieux, je regarderai à l’occasion, ce n’est normal qu’il se coupe comme ça ; maintenant si il si facile de le relancer, il n’y a pas d’urgence. Je vous embrasse, bisous, bonne nuit Marilyne.
Sur ces mots, je raccroche, pendant ma phrase de politesse prononcée assez fort pour que la mère et la fille l’entendent, Marilyne a jouis ; en m’insultant, elle hurlait et devait être sur son lit, avec comme dernière phrase :
-Je te garde ma paire de collants souillés, ils sont à toi, tu pourras te branler dedans saligaud !
-Patrick, tu montes ? Le chauffe-eau fonctionne ? Viens ! Monte ! Les jumeaux font le cirque, ils ne m’écoutent pas.
J’éteints la lumière du salon, me dirige vers l’escalier, je saisis la rampe et :
-Les garçons ! Suffit maintenant ! Je veux vous voir au lit quand j’arriverai à l’étage, compris ?
Aussitôt, mes fils s’exécutent, je les trouve dans leur lit, je leur souhaite une bonne nuit, ferme la porte et traverse le couloir pour rejoindre Adeline. Contrairement à d’habitude, quand ma femme monte avant moi, la lumière de notre chambre est allumée, mais pas la lumière du lustre, celle d’un chevet ; tamisée ; rougeâtre…Je pousse la porte….Bon sang ! Je n’en crois pas mes yeux ! Je n’ai pas été surpris de la sorte depuis bien des années en rentrant dans ma chambre…Excité toute la journée, pendant le dîner, au téléphone à l’instant, là devant moi, Adeline allongée la tête appuyée sur une main, une nuisette que je vois pour la première fois, qui cache à peine le haut de ses cuisses, gainées du collant de toute à l’heure. Et en bottes ! Des bottes noires, dans le lit, mais pas parole, jamais Adeline se serait couchée en bottes ! Je reste coincé derrière la porte que je m’empresse de refermer, tandis que ma femme le sourire aux lèvres, contente de l’effet de surprise, passe sa main libre sur sa jambe, du haut de la botte en remontant doucement vers le haut de la cuisse, et soulève légèrement la nuisette. Ma femme est belle et bandante, je le sais, mais cette position…Dans cette tenue...
-Alors ? Cette surprise, te plaît ? Il y a longtemps que tu ne m’as pas vue comme ça, je dirais même jamais…En bottes sur le lit…Dans cette nuisette…Tu aimes ?
-Comment ne pas aimer ? Tu m’excites tellement, que j’en reste cloué au sol !
D’un mouvement de reins, Adeline fait une rotation, amène ses jambes face à moi, au bord du lit, tout en ouvrant largement les cuisses…La nuisette est maintenant remontée jusqu’au-dessus des cuisses, je peux voir la bordure contrastée du haut du collant ; c’est délicieux ! J’avance vers le lit, mais j’ai déjà un talon de botte qui me presse le genou pour me retenir.
-Halte là beau Patrick ! On ne se jette pas comme ça sur moi, pour commencer, à genoux devant moi….
-Parle moins fort, les s entendent et….
-Ils dorment, tu le sais, une fois couchés et les porte fermées.
Je m’exécute, m’agenouille, je saisis le pied tendu et caresse la botte du talon à la frontière du cuir et du mollet. Ma main remonte encore plus haut, vers la cuisse, puis redescend par l’avant de la jambe, le genou, les crochets de la bottes…
-Lèche mes bottes Patrick !
Je lève la tête, regarde ma femme dans les yeux ; ils brillent, pas de sourire, l’air pincé elle ordonne à nouveau :
-J’ai dit : Lèche mes bottes Patrick !
Aussitôt, je ne sais si pris de désir ou par crainte, je soulève la jambe gauche et commence à lécher le côté de la botte, tandis que la jambe droite reposée sur mon dos, imprime un mouvement du talon à chaque coup de langue…J’aime ; je continue, les coups de talons s’accélèrent, je lèche plus vite, je bave, le cuir est maintenant mouillé…Adeline appuyée sur ses coudes me regarde et ordonne :
-Enlève mes bottes Patrick ! Vite !
Toujours avec le même enthousiasme, les mains tremblantes, je défais les lacets et passe les crochets un à un de la première botte, dégage la languette centrale et toujours à genoux, je tire fortement pour libérer le petit pied prisonnier. A peine sorti de son carcan, le pied me remercie, me saute au visage qu’il caresse, du côté, du plat, ma tête tourne pour qu’aucun centimètre carré ne soit oublié. Je bande très fort, et me dégage de mon peignoir que je jette derrière moi ; j’ai peine à retenir ma queue qui n’a qu’une envie se jeter sur ce pied, cette jambe…
-Tu bandes salaud ! Tu aimes ça, ne m’enlève pas l’autre botte ! Lève-toi et Frotte-toi sur mon pied !
Je me lève, nu, la queue dressée, tiens à deux mains le pied chaud que je dirige sur mon membre, le presse fort, le remonte le long de ma verge, termine par de petits mouvements circulaires sur mon gland humide, je suis excité, j’ai chaud…Je relâche la pression, abandonne le pied, je recule, j’ai peur de ne pas pouvoir me retenir, c’est trop, jamais une journée n’avait été si dense !
-Viens me sucer la chatte, viens mettre ta tête entre mes jambes !
Je n’attendais que ça, pendant que je me branlais, je voyais cette entrejambe bougée, je l’entendais qui me suppliait… Viens, viens enfouir ta tête au chaud….
Ma tête est maintenant coincée entre les jambes, j’adore sentir sur mes oreilles la texture du collant, cette douce friction, mon nez fouille et respire cette antre de bonheur, comme un porc à la recherche de truffes, mais je sens, je la sens la petite chatte à ma femme, là, derrière cette barrière de nylon, seule barrière qui me sépare d’elle, je sais maintenant, j’en suis certain pas de culotte, Adeline n’a pas de culotte, j’adore ! Alors que ma bouche cherche à mouiller ce nylon pour le rendre plus malléable, ma langue tend ce voile vers l’arrière, j’atteins le bord des lèvres, je remonte vers le haut, je lèche maintenant le petit bouton. De sa jambe, Adeline frotte ma queue de plus en plus vorace, j’ondule du bassin, Adeline aussi, d’après les mouvements de plus en plus rapprochés de sa jambe sur mon gland, la pression de son entrejambe sur ma bouche…Son souffle s’accélère, elle glisse une main entre ma bouche et le collant qu’elle descend d’un geste brusque, sa chatte est maintenant face à moi au-dessus du collant, juste le dessus des cuisses est dégagé. Je dépose des baisers sur cette peau blanche et chaude, à gauche, à droite, je sens de plus en plus la bonne odeur de cette chatte qui s’offre à moi, je lisse d’une langue appliquée les lèvres ouvertes qui découvrent le joli petit bouton d’amour de ma femme, je le lèche délicatement, encore un peu, mon index vient titiller cet appendice pendant que je lèche d’une langue encore plus mouillée cette chatte ouverte, qui se donne toute entière….Je n’en peux plus, je me relève, écarte les cuisses d’Adeline qui halète de plus en plus, me supplie de continuer :
- Lèche-moi, encore, suce moi la chatte…Encore !
-J’ai envie de toi, salope, je veux de baiser là toute suite…
-Non, pas maintenant, lèche moi, viens.
Je plonge à nouveau ma tête vers le coquillage offert, humide, odorant, ses effluves arrivent à mes narines avant que ma langue reprenne son exploration, Adeline me tient la tête et accompagne mes mouvements de tête :
-Lèche ! Encore, lèche…Oui, oui …c’est bon… tu l’aimes ma chatte ?
-Oh... oui, je l’aime, je veux la sucer, la fouiller…Humm…..Je voudrais, je voudrais….
-Quoi ?....Tu voudrais. Quoi ?
-Je voudrais que tu me pisse dessus, là toute suite….Pisse moi dessus, là sur ma bouche….
-Non ! …Non…Pas ici, je t’ai déjà dit non….
-Si ! Je veux…boire ta pisse, la sentir sur moi vite, fais le….pisse !
-Viens ! Viens…prend moi, baise moi, j’ai envie….
-Les genoux sur le bord du lit, je glisse le collant sur le mollet, tire encore, force à droite, sur la botte restée en place, le collant se déchire, je termine fiévreux, à le déchirer au milieu, j’aime ce spectacle, ce collant déchiré au milieu, en lambeaux sur le côté, que c’est beau !
Adeline se lève, chancelante, en équilibre sur un pied, debout écarte les jambes :
- Allonge-toi entre mes jambes ! Viens dégueulasse, viens boire ma pisse…..Toute suite !
Je suis au bord d’éjaculer, cet ordre, donné par ma femme, mon vieux fantasme….Elle n’a jamais voulu, pourtant tant de fois réclamé, ce soir elle veut, décidément, je me souviendrai de ce Dimanche !
Je me précipite, m’allonge sous ses jambes, qu’elle belle vue ! Adeline s’accroupit juste au-dessus de mon visage, se frotte la chatte sur mon nez, m’écrase presque, j’étouffe, je respire et à nouveau sa chatte me recouvre, ma femme se branle sur moi, je l’entends qui gémit, elle prend ma bite d’une main, me branle ; de l’autre, elle s’appuie sur le sol, se relève, et …. Oh je jouis… je jouis….
-Je jouis, putain ! Que c’est bon, encore, encore !! Je viens, je viens…vieille salope tu me fais jouir, je n’en peux plus, haaa...…
-Viens ! Vas-y, jouis, tiens ? goutte ça….Tu en voulais de ma pisse hein ? Tiens...
Les cuisses au-dessus de mon nez, alors que je viens d’éjaculer dans la main de ma femme qui ne m’a pas lâché…Euréka ! La pisse chaude jaillit comme une source d’un rocher, inonde mes yeux, mon nez, ma bouche que j’ouvre grande et bois, bois encore cet élixir tant désiré…Ho…comme c’est bon ! Je sens sous ma tête le liquide qui se fraie un chemin, sur ma poitrine coule aussi un petit ru ; alors que quelques jets par à-coups viennent finir de m’abreuver….Quel délice !
-Tu aimes ça, tu en veux encore, tiens essuie moi, lèche moi !
Et de ma bouche, j’aspire des poils ainsi offerts, tout le liquide prisonnier, je termine par une succion de l’ensemble, je lèche, assèche, renifle, quelle bonne odeur !! Que c’est bon !
Adeline se relève, s’accroupit de nouveau, cette fois dans l’autre sens, me donne un baiser généreux, une langue qui envahit toute ma bouche, je reste passif, vidé, comblé. Après avoir assouvis le plus vieux de mes fantasmes, ma femme continue son baiser tout en se frottant sur ma bite molle, mouillée, fatiguée…Elle continue, s’acharne, mon gland me fait mal, son baiser est encore plus fort, elle aspire vraiment toute ma bouche…Ces coups de reins s’accélèrent, je l’enlace encore plus fort ! Elle abandonne ma bouche, lève la tête, la jette en arrière :
-Oh oui, c’est bon, oui, oui, ah ! Hou, hou, oui, oui, oui haaaaaa, salop ! Putain que ça fait du bien !
Nous restons enlacés là par terre, une minute, cinq, un quart d’heure, je ne sais pas. Nous nous relevons, une dernière fois dans les bras l’un de l’autre un long baiser, langoureux, nos pied dans l’urine froide dont l’odeur se mélange à celle du sperme, de la cyprine et de la sueur…On sent l’amour dans cette chambre !
-Patrick ! Patrick ! Le réveil n’a pas sonné…Réveille-toi ! Il est huit sept heures et demie !
- Qu…Quoi… ? Houuu... Vite, les jumeaux sont levés ? C’est silencieux.
- Si, ils sont dans la cuisine, je les entends.
-Bon sang, je m’habille et je file les déposer au lycée.
Je me lève, machinalement je regarde par terre, rien. Pas de nuisette, pas de collant déchiré, pas de bottes… ? J’ai rêvé ? Marilyne a tout rangé ? J’ai les poils et le gland collés. Adeline porte sa chemise de nuit.
-Dépêche-toi, Patrick, tu rêves encore ? Tu t’es endormi comme une masse hier soir, comme si tu rentrais d’une soirée arrosée, moi qui voulais te faire une surprise ! Allez, bisous, viens, descendons, j’en connais deux qui doivent s’inquiéter.
Je descends l’escalier, la tête pleine de questions, j’ai rêvé ! J’ai été , ce n’est pas possible autrement ! J’ai oublié de mettre le réveil…Marilyne a appelée, je suis monté voir les garçons…Et après ? J’ai vraiment rêvé ? Vite sous la douche, je vais retrouver mes esprits. (A suivre)…


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