Batifolage Sur L'Autoroute

‘ Soit prudente sur la route, prend ton temps, inutile de mettre des sous vêtements car je te baiserais comme une bête dés que tu auras mis le pied dans ma chambre d’hôtel’

C’est le dernier texto que Julien, mon mari, m’a envoyé avant que je ne prenne la route pour aller le rejoindre a l’autre bout de la France où il est en déplacement pour son boulot

C’est donc seulement vêtue d’une robe légère et très courte que j’ai pris la route avec ma voiture car par la SNCF je mettrais plus de temps, cinq heures de route !

Sur le siège passager une petite glacière où j’ai mis un sandwich et deux bouteilles de bonne bière car j’ai horreur de boire a une cannette, pour gagner du temps je mangerais sur une aire d’autoroute

Il fait beau et déjà chaud, je roule vitres ouvertes car je ne supporte pas d’être enfermée avec la clim. ce qui fait voler ma robe, de voir mes cuisses et me savoir accessible me fait tout drôle, je dirais même que ça m’excite, si les chauffeurs de poids lourds que je double lentement, car je suis prudente, pouvaient savoir que je suis quasiment nue …il faut que j’arrête de fantasmer, par contre, si Julien était là il me demanderait de relever ma robe jusqu’à découvrir mon ventre et montrer mon anatomie a ces forçats de la route

Il est midi voici une aire pourvue de tables, il me reste encore du chemin a parcourir, après avoir fais pipi aux toilettes je cherche une table, en voici une a l’ombre, garée juste en face je débarque ma glacière et m’installe pour un quart d’heure de relaxe, des camions et des voitures passent pour aller aux parkings, me voyant seule certains klaxonnent… au fait il faudrait peut-être que je serre les cuisses ? … plus je repense au texto plus je fantasme, Julien, en m’embrassant va mettre direct ses mains entre mes cuisses pour vérifier que j’ai la chatte a l’air avant de me pousser sur le lit et me bouffer le minou chose qu’il sait très bien faire pendant que je lui pomperais son gros zob aux couilles bien pleines après huit jours d’abstinence !
En mordant dans mon sandwich je suis si bien la foufoune a l’air que malgré moi ma main va entre mes cuisses pour taquiner mon clitoris… zut, suis-je repérée ? une voiture de société s’est arrêtée un instant, un homme seul au volant matait par la vitre, puis il a redémarré, ouff !
De toute façon je vais devoir reprendre la route, avant je finis la bière encore très fraiche.

.. en tenant cette bouteille ronde de bon diamètre de phallus j’ai une pensée pour ma chatte affamée… pas le temps d’aller mettre le flacon vide a la poubelle je la remets dans la glacière
C’est du feu qui tombe sur cette autoroute, tant pis pour les poids lourds je remonte ma robe jusqu’à mes reins, assise a même les fesses sur le siège j’ai déboutonné le maximum pour aérer aussi mes seins, je suis largement dans les temps pour arriver a destination, ce soir ma chatte méticuleusement épilée va être a la fête... et si... avec la bouteille vide ? après tout je n’ai jamais testé …par contre même si la circulation est fluide tu va ralentir ma vielle Anita, plus question de doubler
Les yeux rivés sur la route la bouteille glacée dans une main j’écarte les cuisses autant que je peux et cherche l’entrée de ma vulve, je dois avancer mes fesses … le goulot entre sans peine Hooooouuuuuu c’est froid mais ça fait un bien fou autant pour la fraicheur que pour calmer mon envie, force, il faut faire pénétrer la partie la plus large de la bouteille, ne ferme surtout pas les yeux... regarde la route … tient... cette voiture ? c’est la voiture de société de l’aire d’autoroute qui roule a ma hauteur, hé bien ? qu’attend tu pour doubler ducon !

J’ai l’impression qu’il se doute de quelque chose …sans doute mon regard qui a pris une expression d’extase mais il ne peut pas voir ce que je trifouille entre mes cuisses, alors je ne cesse de forcer sur le cul de cette bouteille que je veux absolument dans le con, ça y est mon voyeur est partit ! mes muqueuses sont chassées par le gros diamètre je mouille comme une dingue, c’est booooooooonnnnnnnnnn ! une fois entrée ça glisse tout seul, si je relâche la pression elle est naturellement expulsée, je n’ai plus qu’a appuyer pour me baiser la chatte avec cette bière !
Zut, je ne roule pas vite et pourtant je vais être obligée de doubler ce trainard…encore le représentant …, a nouveau nos regards se croisent, pas mal comme mec, je reprend ma file de droite et manipule nerveusement la bouteille qui a présent est recouverte d’une pellicule de mouille opaque, par moment mes yeux se ferment , ça devient scabreux et dangereux , un panneau annonce la prochaine aire a deux kilomètres ,je vais aller m’y finir dans un recoin isolé du parking, une fois ma jouissance assouvie je pourrais reprendre sereinement la route et accélérer afin de rattr le temps perdu et de me faire tringler par la bite de mon Julien
Je repère le chemin qui mène au portail d’urgence, en principe personne ne vient s’y garer, je le sais parce que Julien m’a déjà baisée sur ce genre d’impasse, garée a cheval sur la berne je peux enfin me concentrer sur ma chatte qui se resserre sur le flacon désormais a température de mon vagin
Enfoncée dans mon siège les cuisses ouvertes au maximum, les deux mains sur la bière je m’astique le con, soudain je sursaute car j’ai la désagréable impression d’être observée par ma vitre ouverte.
..

- Encore vous le représentant ? que faites-vous là ?
- Pardon madame je ne voulais pas vous faire peur
- Hé bien c’est raté
- Je vous ais vue sur le parking, vous mangiez avec une main entre vos cuisses ça m’a intrigué
- Je me délassais de la fatigue de la route
- C’est une bonne manière
- Et depuis vous me pistez ?
- J’ai tout imaginé mais que vous ayez une bouteille dans le vagin ça dépasse l’entendement !
- Je pensais à mon mari que je vais rejoindre
- Vous êtes donc en manque ?
- Par votre faute mon excitation est retombée
- Je vous en prie continuez, a voir vos traits détendus vous étiez tout prés de la jouissance, si vous stoppez tout vous perdrez toute l’énergie que vous avez dépensé depuis l’aire précédente et vous ne serez pas bien de toute la soirée
- Je dois tout reprendre à zéro, ça va être long
- Je peux vous aider ?
- Vous voulez manipuler la bouteille ?
- Vous êtes vachement excitante avec cette cannette fourrée dans votre chatte, si vous voulez j’ai mieux à vous proposer, une vraie verge bien raide il vous suffit de poser les pieds en dehors de la voiture et de vous pencher sur le siège
- Vous voulez que je trompe mon mari ?
- Il ne le saura pas
- Je vais le rejoindre car justement j’ai très envie de sa verge
- Considérez ça comme un acompte, regardez comme je bande pour vous depuis une heure

Tout se bouscule dans ma tête, il a raison si je ne le laisse pas me baiser je vais être stressée toute la soirée, je lâche la bouteille recouverte de mes sécrétions, immédiatement expulsée de mon vagin qui reste honteusement béant, j’ouvre ma porte et descend docilement pour me retourner les avants bras sur le siège la croupe dénudée en l’air, exposée sans pudeur a ses yeux lubriques, aussitôt deux mains palpent mes lobes fessier et des doigts longs et fins entrent en moi

- Belle pouliche …bien ouverte, ne bougez plus …je pointe mon nœud … et … voilà, jusqu’aux couilles !
- Hhhhhaaaaaaaaaooooooooouuuuuuuuuiiiiiiii !!!! défoncez-moi la cramouille
- Vous serez très détendue du cul lorsque vous allez retrouver votre mari
- Je ne l’ai jamais trompé
- Il faut une première fois à tout, je vais accélérer la cadence

Finalement rien ne vaut une bonne verge soyeuse qui vous étire en tous sens les parois vaginales, je me laisse ramoner la chatte en ronronnant, je ne cherche même pas a me rebeller lorsqu’un pouce perfore mon anus, cette ‘double’ pénétration déclenche un orgasme foudroyant, mon représentant s’acharne sur ma moule, je mords le siège pour ne pas ameuter tout le parking lorsqu’il s’épanche copieusement dans ma chatte, chose que ma bouteille n’aurais pas fait !

- Alors ? ça va mieux ?
- Oui …un peu
- T’en veut encore ?
- Continuez s’il vous plait
- Va-y toi, prend ma place …
- A qui parlez-vous ?
- Ne bougez pas …n’ai pas peur de lui mettre les doigts au cul elle a l’air d’apprécier

A peine le représentant s’est retiré qu’une verge plus large réinvestit puissamment mon vagin me propulsant le nez dans le siège, impossible de bouger, je suis maintenue par deux pognes calleuses à la merci de ce deuxième amant qui pousse de rugissements à chaque coups de rein
Accrochée au levier de vitesse j’accepte l’assaut infernal, j’apprécie même les doigts qui fouillent mon anus, je ne lutte pas lorsque l’orgasme précédent se réveille, je me surprends à accompagner les ardeurs de l’inconnu

- Va-y- va-y- va-y ! cogne-moi dans la moule, donne-moi ton foutre salaud !
- Tu vas être servie ma poule, ensuite mon collègue va t’enculer
- Je suis votre chienne baisez moi, enculez moi !

La queue ravage mes entrailles, je sens un jus immonde couler à l’intérieur de mes cuisses qui devient torrent lorsqu’il décharge, ma chatte saturée refoule tout le sperme mêlé a la sève de ma deuxième jouissance dans un gargouillis honteux, sa queue tressaute en expulsant les derniers jets

- Pousse-toi vite, je vais lui mettre au cul
- Je t’ai facilité la tache en lui graissant le fion avec du foutre

Désormais consentante et incapable de bouger je me prépare à recevoir le troisième mandrin entre mes reins, je me sens élargie progressivement sans ressentir de brulure, heureusement la verge doit être de taille moyenne tandis que ma chatte béante continue à se vider dans mes chaussures, l’homme pressé d’en finir ramone mon intestin sans complaisance, préoccupée par le fait de finir mon voyage je ne ressens pas beaucoup de plaisir, je vais devoir me nettoyer sommairement avec les serviettes en papier et l’eau que j’avais prévues pour mon casse croute, Julien va sans doute s’apercevoir de mon adultère, comment expliquer ma vulve et mon anus qui ne seront pas refermés ?
La jouissance de mon dernier amant m’arrache a mes pensées, son sperme et éjecté puissamment dans mon boyau, instinctivement mes sphincters enserrent sa bite, j’ai tout de même un sursaut de bien-être en minaudant qu’il vient de me faire apprécier sa sodomie

- Si tu en veux d’autre je n’ai qu’à siffler, y’a des mecs qui attendent leur tour !
- NON !! retirez vous de mon anus, je dois partir aidez moi à me relever s’il vous plait
- D’accord en tous cas merci pour ce bon moment gratuit, repasse quand tu veux

Lavée et un tas de serviettes posées sous mes fesses pour éponger les restes de mon moment d’égarement, une heure plus tard j’arrive enfin à destination, Julien regarde sa montre d’un air soucieux …

- Je me faisais du souci chérie
- Un léger contretemps rien de grave, j’étais juste un peu excitée
- Ha ? par quoi ?
- Par l’idée de te revoir, alors j’ai conduis avec une bouteille de bière vide dans la chatte, d’ailleurs elle n’est pas bien refermée
- Fais voir ? … putain t’es vachement ouverte et mouillée
- Baise-moi de suite sans préliminaires
- Salope, tu me fais bander raconte …
- Lorsque je me suis arrêtée sur une aire d’autoroute pour manger je me suis excitée en pensant a ce que tu allais me faire, alors pour me calmer l’idée m’es venue de me fourrer la bouteille glacé dans le con en conduisant
- C’est une conduite dangereuse, ça t’a fais du bien ?
- J’ai joui deux fois, mais je me suis arrêtée de nouveau pour bien jouir
- Devant des voyeurs ?
- Je ne sais pas, j’étais trop occupée à me défoncer la minette
- Fout toi à poil, je vais te démonter sur le lit
- Oui chéri après je te sucerais à fond
- Et ensuite je te sodomiserais,
- Je me suis aussi doigtée le trou du cul, d’ailleurs il est encore boursoufflé
- C’est vrai.
.. tu es bien sûre que personne ne t’a touchée ?
- Personne … aller enfile moi vite au lieu de me poser des questions absurdes

Je l’ai échappée belle, une fois que Julien m’a honorée il ne pouvait plus déceler le foutre de mes amants… le lendemain il m’a entrainée sur l’aire d’autoroute pour que je refasse la même chose avec la bouteille devant des mecs ….

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