Les Aventures Sexuelles D'Aliénor - Marie, Le Grand Amour 2/3

Le lendemain Aliénor se rendait à la B.U pour poursuivre son travail de recherche de documentation pour son mémoire. Comme à son habitude elle arrivait une dizaine de minutes après l’ouverture pour gagner sa place habituelle. La B.U était déserte. En dehors des personnes chargées de surveiller les sections, personne, sauf une en Histoire. En la voyant Aliénor n’était pas tellement surprise, c’était Marie. Commençant à la connaître elle se disait qu’elle devait être là avant même l’ouverture. Après avoir posée ses affaires Aliénor se dirige vers elle pour lui dire bonjour. Marie était habillée comme la veille et semblait plongée dans son travail. Après avoir échangées quelques mots Aliénor propose à Marie de venir s’installer à côté d’elle. Même si c’était très mauvais pour sa propre concentration. Marie accepte et déplace ses affaires, Aliénor va rester quelques minutes à l’observer à ses côtés, sans rien pouvoir écrire. Au bout de quelques minutes de spectacle sans se rendre compte Aliénor prenait son critérium et commençait à noter ses idées. A midi elles partirent manger ensemble à la cantine avant de retourner travailler. Le soir elles se sont quittés et mais les jours suivants elles allaient chez l’une ou l’autre pour discuter ou encore visiter un coin de Paris. Aliénor était de plus en plus séduite par la jeune bretonne qui comme elle l’avait devinée le premier jour était intelligente, travailleuse, douce, gentille. Mais elle avait découvert aussi qu’elle était aussi doté d’une grande culture générale, curieuse, fière, bientôt elle allait découvrir qu’elle était aussi courageuse. Ce vendredi Aliénor proposait à Marie de faire une ballade à moto le lendemain. Marie n’était jamais monté sur une moto et avait un peu peur, mais elle était contente qu’Aliénor lui propose. Le lendemain Marie retrouvait Aliénor chez elle pour la fameuse ballade à moto. Sans se rendre vraiment compte Marie était devenue plus souriante au contact d’Aliénor, elles avaient commencées à regarder quel style de fringues lui irait et elles avaient même été dans une boutique où Marie avait acheté son tout premier jean et une chemise à carreau.

Marie avait flashée sur le style montagnard, grosses chaussure, jean, chemise à carreaux, pull, t-shirt, polair, … . « C’est un style qui va très bien t’aller et qui me plaît bien. Dit Aliénor. ».
Nous sommes donc le samedi matin, Aliénor a prévue une longue ballade à moto en hors de Paris. Elle a prévue d’aller vadrouiller dans un coin qu’elle aime bien, les Yvelines. En particulier la vallée de Chevreuse, très boisée, avec des maisons superbes et des petites routes sinueuses parfaites pour faire de la moto. Elle a tout prévue dans le sac à dos que porte Marie, le pique-nique, sandwich, chips, eau, fruits, … . Quel bonheur pour Aliénor quand elle met le contact et qu’elle sent Marie monter derrière elle et l’enlacer pour s’accrocher. Sortie de Paris elle prend la direction de l’Ouest, quel plaisir quand elle arrive sur les petites routes de la vallée. Elle s’arrête à St Rémy lès Chevreuse pour montrer à Marie, le château fort de la Madeleine tout juste restauré. Il n’en reste plus grand-chose, mais le travail effectué sur le monument est assez remarquable. Après la Madeleine, Aliénor passe devant le château de Dampierre, « Il est sympa d’extérieur, mais à l’intérieur on voit que les ducs de Luynes manquent d’argent pour le retaper. Je vais t’emmener en voir un autre. ». Le château de Breteuil n’était pas loin. Les marquis de Breteuil avaient réussi à conserver leur château en bon état. Aliénor et Marie firent partie de la dernière visite du matin. Marie était impressionnée. Ses parents n’avaient pas les moyens de partir en vacances et ils ne s’intéressaient pas du tout à l’Histoire. C’était donc la première fois qu’elle visitait un château. Après la visite les deux jeunes femmes pique-niquèrent dans le parc. Aliénor avait prévue tout ce que son amie aimait. Marie était surprise qu’Aliénor ait si bien sût ce qu’elle aimait. Tout en mangeant les deux étudiantes en Histoire discutèrent de ce qu’elles avaient vues, mais aussi de la moto. Marie avait adorée, même si elle avait eût peur par moment.

« C’est drôle, ça ne fait qu’une semaine qu’on se connaît mais j’ai confiance en toi. Déclare Marie. Tu es gentille, douce et même attentionnée avec moi. C’est la première fois que je rencontre quelqu’un qui soit aussi présent pour moi. D’habitude c’est l’inverse. Ou plutôt ça doit être l’inverse. Je t’avais dit qu’il y’a certaines choses dont je ne voulais pas parler, maintenant je pense que je peux te le dire. Mes parents ne voulaient pas que je fasse d’études. J’étais une fille je n’avais pas à faire d’études. Ils pensaient que je devais me marier, fonder une famille et comme ma mère m’occuper de mon foyer. Comme les garçons ne m’intéressaient pas mon père a décidé de m’en trouver un. Il a trouvé Bertrand, un jeune apprenti matelot. Je refusais de le voir, mes parents me forçait jusqu’au jour où mon parrain est venu pour mon anniversaire. Mes parents ont annoncés qu’ils allaient organiser les fiançailles. Je me souviens, j’ai fondu en larmes et mon parrain qui n’était au courant en rien du traquenard de mes parents nous a demandé ce qui se passait. Il a fini par leur dire que c’était une bêtise, qu’ils feraient de moi une femme malheureuse. Il leur a dit que puisque mon rêve était d’étudier l’Histoire il paierait mes études et que j’épouserais qui bon me semble. Ce jour là, le jour de mes 16 ans ma mère à fait ma valise et j’ai été vivre avec mon parrain à Rennes.
- Je me doutais qu’il y’avait quelque chose qui c’était passé dans ta vie. Ce n’est pas commun et je comprend que tu ne veuilles pas en parler. Maintenant c’est fini, c’est derrière toi. Je ne dirais jamais rien à personne. Maintenant je suis là. Tu peux compter sur moi. Répondait Aliénor en posant sa main sur le visage de Marie. Tu me disais que c’était la première fois que tu rencontrais quelqu’un d’attentionné envers toi. Mais toi aussi tu es la première fille que je rencontre avec autant de qualités. Tu es belle, intelligente, bosseuse, douce, gentille, fière, courageuse, … . A moi maintenant de te confier quelque chose.
Tu te souviens du dau qui est dans mon appartement ?
- Oui.
- C’est le dau de la communauté homosexuelle. Au lycée je me suis un peu perdue. A la fac j’ai rencontrée une fille de master, Delphine lesbienne assumée. C’est elle qui m’a donné la grande leçon de ma vie. Assummer ce que l’on est et ne pas être ce que les autres veulent. Maintenant j’assume le fait d’être homosexuelle. Depuis Delphine j’ai enchaînée les conquêtes sans trouver la femme qui saura me rendre heureuse. Quand je t’ai vue entrer l’autre jour dans le cours d’Arnould, je t’ai tout de suite remarquée. Ton accoutrement m’intriguais, j’avais envie de voir qui se cachais derrière. C’est comme ça que je suis venue vers toi et je ne regrette pas du tout. Tu vaux le détour crois moi. Je te trouve belle et intelligente, j’aime ta façon d’être. A force je pensais que ça n’arriverais plus, j’avais même oublié ce que c’était, mais pour la première fois depuis longtemps mon cœur s’est remis à battre. Je t’aime Marie. »

Pendant l’explication d’Aliénor Marie était restée comme suspendue à ses lèvres. Ses parents lui avaient expliqués à travers la Bible ce qu’était l’homosexualité, une abomination, un acte contre-nature, contraire aux volontés de Dieu et que les homosexuels devaient être tués. Soudain celle qui était devenue sa meilleure amie, avec laquelle elle se sentait si bien lui avouait qu’elle était homosexuelle et qu’elle l’aimait. Oh Enfers, oh damnation devait s’écrier Marie. Aliénor n’était pas une trouillarde, loin de là pourtant cette fois elle avait peur, peur de la réaction de Marie la catholique. Marie était elle-même perdue entre sa foi et son amitié pour Aliénor. Aliénor sort alors son portable et ses écouteurs. Sur son portable, une vidéo ou plutôt un documentaire qu’elle avait mis pour le montrer à Marie. « Tiens regarde et écoute. Lui dit elle en lui donnant le portable avec le documentaire qu’elle venait de lancer. ». Marie prend le téléphone, met les écouteurs et regarde la vidéo.
Aliénor la regarde avec attention, mais au bout de quelques minutes malgré son anxiété elle s’endort dans l’herbe. Quand elle se réveille c’est Marie qui s’est endormie. Aliénor attend donc qu’elle se réveille. Lorsqu’elle se réveille Aliénor est assise tournée vers les quelques canards qui s’ébattent sur la pièce d’eau du château. Elle semble pensive, si loin de la fille branchée sur 10 000 volts qu’elle est d’habitude. Marie elle aussi pense. Ce qu’elle à vue l’a fait réfléchir. Elle a vue des témoignages d’hommes et de femmes homosexuels, athée, croyants, chrétiens, musulmans, jeunes, vieux, le témoignage de certains proches, parents, s, … . Tous disaient que l’homosexualité n’était pas une abomination comme les religions le prétendent, que l’on ne choisi pas d’aimer ceux que l’on aime et qu’en dehors de cette différence, les homosexuels sont des gens comme les autres. C’est vrai Aliénor ne tenait pas en place, ne se laissait pas marcher sur les pieds et avait un style particulier pour une fille, mais en dehors de ça elle travaillait comme elle, mangeait les mêmes choses, … . Pourquoi si les homos étaient comme les hétéros sa religion criait à l’abomination. Après tout il y’avait bien des végétariens, des blancs, des noirs, des jaunes, des peuples qui vivaient comme autrefois, chassant, construisant des huttes, s’habillant avec trois fois rien, … . Pourquoi un homme qui aimait un autre homme serait différent. C’était dur de le reconnaître mais sa religion se trompait en fustigeant les homosexuels. Ils sont normaux et ont le droit de vivre comme tous le monde. Mais Dieu lui qu’en pensait il ? Il prêche l’amour. Pourquoi est-ce qu’il interdirait à deux personnes du même sexe de s’aimer si leur amour est pur ? Maintenant une question beaucoup plus difficile se pressait dans son esprit. Aimait-elle Aliénor ? Etait elle aussi homosexuelle ? Cela ne faisait qu’une semaine qu’elles s’étaient rencontrées, mais déjà Marie avait une confiance presque aveugle en elle, elle se sentait bien quand elle était avec elle. Depuis deux jours quand elles se séparaient elle éprouvait un manque et ce matin en la voyant son estomac s’était serré. Elle se disait même qu’en dehors des quelques stages de voiles qu’elle avait put faire grâce à son parrain, elle n’avait jamais été aussi heureuse. Mais cela voulait il dire qu’elle aimait Aliénor ? Comment aurait elle put savoir ? Marie n’était pas sûre d’avoir déjà éprouvé ce sentiment. Et pourtant elle ressentait des choses bizarres. C’était aussi la première fois que quelqu’un lui disait « Je t’aime ». Doucement Marie s’avance vers Aliénor.
« On ressent quelque chose de particulier quand on aime quelqu’un ?
- Oui. Ca peut être plein de choses. On va avoir un nœud dans l’estomac, du mal à parler, la gorge sèche, le cœur serré, être stressé, on ressentir un manque quand on est pas avec la personne qu’on aime. On va aussi ressentir un grand bien-être à ses côtés.
- Depuis deux soirs je n’ai pas le moral, tu me manque. Quand je suis avec toi je me sens bien. Et quand je te vois arriver je sens mon cœur se serrer. C’est la première fois que je ressent tout ça. Ca veux dire que je t’aime moi aussi.
- On dirait que oui.
- Ouh … j’ai des vertiges. Aliénor ratt vite Marie qui vacille sur ses jambes et l’assoie par terre. Ce que tu m’as montré m’a fait réfléchir. Etre homosexuel n’est pas un crime à Dieu. Les homosexuels sont normaux. Tu es la première à me dire « Je t’aime ».
- Je sais que ça bouleverse pas mal de choses pour toi. Rappelle toi je ne t’impose rien, c’est toi qui décide.
- J’ai besoin de toi. Je veux rester avec toi. »
Doucement Aliénor prend Marie dans ses bras et d’un geste tendre pose un baiser sur son front avant de poser sa tête sur son épaule. Elle sent que Marie est exténuée. Alors elle décide d’attendre la fermeture du par cet de ne plus parler. Ca n’était pas facile du tout pour Marie d’abandonner une partie de ce en quoi elle avait crût pendant des années et de reconnaître que les idées en quoi elle avait crût la condamnait. Le choc était d’autant plus violent qu’elle découvrait l’amour. A 18h les visiteurs regagnèrent la sortie. Doucement Aliénor relevait Marie et la soutenait pour marcher jusqu’à la grille. Aliénor commençait même à se demander comment elles allaient faire pour rentrer à moto. Marie n’était pas en état de tenir sur la Voxan. Heureusement il faisait beau et la nuit n’allait tomber que dans une heure, elles avaient encore un peu de temps, même si Aliénor préférait éviter rouler de nuit elle n’allait pas avoir le choix. Durant l’heure qui restait elle devoir « réanimer » Marie. Doucement elle s’assoie dans l’herbe avec elle juste après les grilles du château. Tout aussi doucement elle bras de Marie autour de sa taille et l’embrasse doucement sur la joue. Mais rien n’y fait. Ce n’est qu’une demie-heure plus tard alors que la température baisse que Marie sort de sa torpeur. Elle regarde Aliénor que ses bras enlacent. Elle se sent bien comme ça, détendue. Elle sent un baiser se poser sur sa joue. Elle tourne alors la tête pour en déposer un sur la joue d’Aliénor le plus naturellement du monde. Aliénor est heureuse, Marie est revenue à elle et à complètement accepté l’amour qu’elle lui porte. Aliénor est d’autant plus heureuse que la révélation de son amour, la découverte par Marie qu’elle aimait elle aussi, c’était bien passée. Surtout Marie avait été très rapide pour accepter un tel changement. Ca ne se fait pas en quelques heures de manière générale, d’autant plus quand les préceptes religieux sont là. Au cours des derniers jours Aliénor avait sentie que Marie était à son insu sensible à elle. Même si elle se doutait que Marie accepte son amour ce n’était pas gagné d’avance et il n’était pas dit que ces gestes tendres se fassent le soir même. C’était même hautement improbable. Mais miracle tout avait marché impeccablement bien, elle n’en revenait pas. Aliénor trouvait ça même très romantique de le faire dans ce coin avec un joli château en toile de fond. Pendant qu’Aliénor pensait à tout cela Marie continuait de l’embrasser sur la joue. Et alors qu’Aliénor ne s’y attendait pas du tout, Marie prend son visage dans sa main le tourne et pose un baiser sur ses lèvres. Aliénor n’en revient pas. Elle ne pensait pas que ce serait Marie qui l’embrasserait la première ni même ce soir. Décidément elle la surprenait. Mais ces surprises étaient un véritable plaisir. A se demander si ce soir elles ne feraient pas l’amour, au rythme où Marie allait.
19h sonnait au clocher du village, puis 19h30. Aliénor dit doucement Marie qu’elles allaient devoir rentrer. Elles s’équipèrent, Aliénor allumait le moteur, une fois prêtes elle met la marche avant et démarre en douceur. Elle n’avait pas envie d’aller vite, elle était si heureuse. Une heure plus tard elles étaient rentrées sur Paris, directement à l’appartement d’Aliénor. Après avoir enlevées leurs affaires, Marie prenait Aliénor dans les bras. Tout le long du chemin de retour, serrant Aliénor elle n’avait pensée qu’a ce moment de tendresse qu’elle allaient partager une fois rentrées.
Doucement Aliénor pose ses lèvres sur celles de Marie un court instant, puis dépose un baiser un peu plus long, avant de recommencer plusieurs fois en laissant ses lèvres de plus en plus longtemps, jusqu’à les poser un long moment sans bouger. Le baiser suivant elle ouvre la bouche caressant les lèvres de Marie du bout de sa langue. Le souffle ralentit indiquait que son appréhension avait disparue. Petit à petit Aliénor faisait s’insinuer sa langue entre les lèvres de sa compagne. Caressant la langue sa langue avec la sienne elle la faisait tournoyer autours, doucement et tendrement. Marie s’habituait au contact d’une langue dans sa bouche et commençait à faire bouger la sienne, avant qu’Aliénor ne la laisse entrer dans la sienne. Timide au début elle prenait de l’assurance. Leurs baisers devenaient passionnés et leurs mains glissaient du visage aux cheveux, à la taille, puis aux hanches avant de se poser sur les fesses. Aliénor soulève ensuite légèrement le haut de Marie pour passer ses mains en dessous et caresser sa peau douce. Marie à son tour soulève la chemise de sa partenaire pour y glisser ses mains et sentir ce corps ferme qui ne demandait qu’à s’abandonner au plaisir. Ces caresses et ces baisers lui faisaient un bien fou, elle n’aurait jamais crût cela possible. Aliénor commençait à enlever le haut de sa maîtresse, elle lui fait signe d’arrêter en posant doucement sa main sur son vêtement et commence à déboutonner la chemise, avant de passer au jean, au soutient gorge et à la culotte. Marie restait muette devant le joli corps nu d’Aliénor. Elle trouvait Aliénor sublime avec ses épaules masculines, ces petits seins, sa taille fine, ses hanches étroites et son ventre ferme. Elle qui n’avait jamais été amoureuse comprenait alors ce que c’était. Elle ne comprenait pas ce qui avait pût la séduire chez Aliénor, surtout aussi rapidement. Tant pis si elle ne comprenait pas l’aimait. Marie ne voulait plus qu’une chose, passer le reste de sa vie avec Aliénor. Après avoir contemplé sa futur amante Marie fait signe à Aliénor de la dévêtir. Lorsqu’elle est nue, Aliénor ne peut s’empêcher de la trouver magnifique. Elle n’avait jamais cherchée à savoir s’il y’avait un style de filles qui lui plaisait davantage. A cet instant elle ne savait qu’une chose, elle avait devant elle un corps magnifique. Elle ne savait pas pourquoi mais elle trouvait que Marie avait le plus beau corps dont l’on puisse rêver. Un peu plus grande qu’elle, avec des épaules solides, des formes rondes, mais surtout deux seins gros et ronds, parfaitement proportionnés. Peu de filles pouvaient se vanter d’avoir une telle poitrine (105E au jugé d’Aliénor), notamment elle (85B). Elle semblait absorbée par la vue de ce corps digne d’Aphrodite à la grande surprise de Marie qui ne s’était mais trouvée très belle.
Doucement elle se dirige vers le sein droit commençant à l’embrasser tout en caressant le bas du mamelon d’une main pendant que l’autre caressait le sein gauche. La main de Marie recommence à fouiller les cheveux de sa partenaire avant de prendre son sein gauche dans l’autre main et de titiller son téton du bout des doigts. Aliénor excité prend alors le téton de Marie entre ses lèvres et se met à le lécher, à tirer doucement dessus, à l’avaler en appuyant sa tête sur le sein. Marie sentait monté son plaisir et redoublait d’effort sur le téton qu’elle caressait. Son sexe commençait à frémir de plaisir, c’était la première fois qu’elle ressentait ça, doucement elle enlève la main d’Aliénor de son sein gauche pour la mettre sur son sexe. Délicatement Aliénor commence par frotter du plat de sa main la toison brune. Puis tout doucement elle fait passer son doigt sur les deux lèvres avant de passer entre. Marie suffoquait au contact du doigt d’Aliénor en son intérieur. Ecartant les cuisses sans s’en rendre compte elle laissait Aliénor la pénétrer profondément. Une fois arrivée au fond Aliénor commence à faire des mouvements de va et viens avec son doigt, de plus en plus fort. Pendant de longues minutes Marie ferme les yeux découvrant le plaisir. Commençant à y prendre goût elle murmure « Vas y c’est bonnn continue. ». Au bout de quelques minutes Aliénor retire son doigt pour placer son visage entre les cuisses de sa maîtresse. D’une langue experte elle commence par des petits coups de langue rapides sur les lèvres, avant d’y passer plus lentement et de s’y frayer un passage. Prenant les fesses de Marie dans ses mains Aliénor s’accrochait à elle pour faire pénétrer sa langue au plus profond. Ayant fait pénétrer doucement sa langue Aliénor commençait à la remuer sauvagement. Marie commençait à mouiller et sous les assauts de langue de sa partenaire elle commençait à remuer son bassin pour augmenter encore la pénétration d’Aliénor. Aliénor était aux anges Marie se libérait. Ce qui l’incitait à aller au bout. Marie se cabrait de plus en plus, elle sentait monter l’orgasme, son sexe se contractait de plus en plus …, soudain un flot de bonheur l’envahissait, elle mouillait, alors que la langue d’Aliénor continuait à tournoyer. Marie venait de vivre son premier orgasme. Aliénor retirait doucement sa langue et remontait, juste à temps pour pousser Marie contre le lit avant que ses jambes ne fléchissent.
« C’était bon chérie, dit Marie à Aliénor qui se couchait à côté d’elle et l’embrassait.
- Tu n’imaginais pas quel plaisir cela pouvait donner.
- Oui. Répondit Marie en glissant sa main sur le sexe de sa partenaire. Doucement Marie caresse le sexe d’Aliénor avant d’y faire pénétrer son doigt, tout en continuant à l’embrasser. »
Marie ne savait pas trop comment faire aussi elle faisait comme Aliénor avait fait avec elle. Et visiblement elle reproduisait bien ce qu’elle avait sentie. Aliénor avait fermée les yeux à la recherche du plaisir, qui n’a pas tardé à la démanger. Marie s’activait, déclenchant l’envie d’Aliénor qui se met à bouger le bassin pour augmenter ses sensations. Aliénor prenait du plaisir, elle sentait monter rapidement l’orgasme, plus vite qu’elle ne le pensait « Enlève ton doigt bouffe moi la chatte. » ordonne t’elle à Marie qui s’exécute. A peine Marie eût ‘elle fait entrer sa langue qu’Aliénor s’activait, faisait revenir l’orgasme rapidement. L’orgasme éclatait fort et intense, Aliénor mouillait sans retenue la langue de son amante qui continuait à la faire tourner prenant plaisir à prolonger l’orgasme de sa maîtresse. Marie retirait enfin sa langue un peu déçue qu’Aliénor l’ait eût si rapidement.
« Tu l’as eût plus vite que moi.
- Je suis désolée chérie j’en avais tellement envie. Viens dans mes bras. On recommencera tout à l’heure. »
Quand elles se réveillèrent alors que la nuit s’était déjà installée Marie prenait Aliénor dans ses bras et lui faisait l’amour. Quand elles ont finies Aliénor la relançait et ainsi toute la nuit. Evidement le lendemain matin personnes n’a vue les deux jeunes femmes. Marie était comblée quelqu’un avait posé les yeux sur elle et l’aimait pour ce qu’elle était, maintenant peu lui importais que ce soit une femme. Aliénor sans comprendre comment en quelques jours était tombée amoureuse, raide dingue de cette fille. Elle n’envisageait plus sa vie sans elle. Marie emménageait quelques jours plus tard chez Aliénor. Marie qui ignorait tout de l’amour était tombée folle amoureuse d’Aliénor, son amour pour la jolie aquitaine n’avait pas de bornes. Son amour était d’autant plus fou qu’en plus de n’avoir jamais ressenti ce sentiment elle avait été élevée dans une atmosphère religieuse conservatrice.

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