Les Aventures Sexuelles D'Aliénor - Marie, Le Grand Amour 3/3

Rene par son nouvel amour Marie est arrivée deuxième dans toutes les matières, précédée par Aliénor qui avait un véritable don. Les mois passèrent ainsi tranquillement. Marie avait refait toute sa garde robe et avait pris confiance en elle. Mais un soir alors qu’elle se déshabillaient en même temps Aliénor remarquait que le soutient gorge de sa compagne semblait trop petit pour elle. Marie répond alors
« C’est un 105 E mais il commence à me serrer depuis quelque temps.
– Il faut que tu prennes une taille plus grande.
– Tu penses.
– Oui. Je me rappelle de ce soutient. Tu l’a depuis qu’on est ensemble et il t’allait bien avant.
– Oui. Le problème c’est que ma poitrine grossit encore. Ca faisait cinq ans que j’achetais du bonnet E.
– Comment ça se fait ?
– Je ne sais pas. Mes seins ont commencés à pousser quand j’avais 11 ans, à 15 ans j’avais déjà un bonnet C. A 16 ans je passais au D et à 18 le bonnet E.
– Effectivement. Je les mate pourtant pas mal mais je suis passée complètement à côté. En tout cas ça ne me dérange pas du tout que tu ais des seins plus gros, au contraire.»

L’année terminée Aliénor décidait d’emmener sa compagne à Montbazac. Elle voulait présenter Marie à sa famille. Quelques sous-vêtements, shorts et t-shirts jetés dans deux sacs à dos. Aliénor prenait le guidon de la Voxan. Marie accrochée derrière elle, elle prend la direction du Sud-Ouest. C’était la première fois qu’Aliénor allait faire un aussi long trajet avec sa moto. Près de 800 km, aussi dormirent elles une nuit à mi-chemin.
Marie était enchantée en arrivant en Aquitaine, elle tombait tout de suite sous le charme de la région, très différente de sa tendre Bretagne natale.
Au bruit de la moto dans la cours la porte du château s’ouvre. Hugues, le père, Christine la mère, Henri le frère et Bérénice la sœur sortent accueillir les deux jeunes femmes. Marie intimidée sent la main d’Aliénor se glisser dans la sienne.

Les Montbazac n’hésitent pas et font tous la bise à Marie surprise par autant de chaleur de la part de nobles, qui il est vrai n’en avaient pas l’allure comme Aliénor le lui avait dit. « Depuis le temps qu’Aliénor nous parle de vous, nous étions impatients de vous rencontrer. Elle nous a dit tellement de bien de vous. Marie ne savait que répondre, gênée par autant de compliments. Aliénor je te laisse faire la visite, je vais préparer à boire. »

Aliénor fait visiter à sa compagne le vieux château des Montbazac qui n’avait pratiquement pas bougé depuis sa construction en 1240. Il avait résisté à tout de la guerre de Cent Ans à la Seconde Guerre Mondiale. Fatigué par le temps, un peu usé, aujourd’hui il coulait une retraite paisible. Il avait été construit par Aliénor de Montbazac la fille unique de Philippe de Cognac et de Falconbridge, l’unique fils naturel de Richard Cœur de Lion, lui-même fils d’Henri II Plantagenêt et de la Grande Aliénor d’Aquitaine. Orpheline de père assez jeune et sans grande fortune Aliénor de Cognac avait épousée le chevalier Audran de Montbazac. C’est elle qui avait fait construire le château. Aliénor de Montbazac avait eût trois fils : Audran, les jumeaux Richard et Philippe, Aliénor descendait de l’un des jumeaux. Car ils se partageaient la même femme et personnes n’avait jamais sût qui était le père des s. Marie était captivée par le récit d’Aliénor, impressionnée par la connaissance qu’elle avait de l’histoire du château et de sa famille. Une histoire que le dernier domestique de son grand-père lui avait raconté quand elle était et pour laquelle elle s’était passionnée. C’est d’ailleurs cette histoire qui l’avait fait se passionner pour la matière historique et se passionner pour son aïeule la grande Aliénor d’Aquitaine, dont elle connaissait l’histoire sur le bout des ongles.

Elles retrouvaient les Montbazac dans la cours où ils avaient installés une grande table avec une carafe de citronnade. La conversation s’engageait rapidement entre Marie et les Montbazac.
Ils furent surpris de voir à quel point Marie ressemblait à la description qu’en avait fait Aliénor, douceur, intelligence, gentillesse, discrétion, timidité aussi. Bien que timide elle se laissait apprivoisée par cette famille simple qui semblait déjà l’apprécier. Elle remarquait aussi l’intérêt que semblait lui porter Henri, tout comme Aliénor qui balançait discrètement un coup de pied à son frère l’air de dire « Pas touche ». Ça ne surprenait pas Marie, Aliénor était extrêmement jalouse, bien qu’elle n’ait rien à craindre Marie était la fidélité incarnée. La suite de la conversation tourne autour de l’entretien du château, des derniers livres lus par Christine prof de philo, des clients d’Hugues avocat, du lycée pour Henri et Bérénice, de la moto d’Aliénor qui avait été à son père et qu’il lui avait laissé en cadeau pour son permis moto. Hugues estimait cependant que descendre à moto depuis Paris relevait de l’inconscience, « Pourquoi tu n’a pas pris ma vieille Supercinq je l’ai pas laisser à Paris pour des prunes. Si jamais tu veux pas la conduire pour X raisons je la reprends et c’est Henri qui la récupère dès qu’il à son permis. Et si tu veux je te laisse la C5. Elle roule bien, mais je peux plus rouler avec. Imaginez un avocat qui roule dans une vieille bagnole, ca attire pas les clients. Et puis la moto c’est sympas, mais compliqué pour partir en vacances ». L’ambiance était bonne . Rapidement Marie s’est sentie bien avec les Montbazac, bien dans cette région au caractère de braise. Les jours qui ont suivis Aliénor faisait découvrir Montbazac et sa région à sa compagne. Si Marie trouvait la région très belle et accueillante elle restait profondément attachée à sa Bretagne natale. Les aquitains étaient chaleureux, sauf quand ils les voyaient main dans la main. Eh oui on était à la campagne, on était pas à Paris ou dans une grande ville, l’homosexualité choquait encore. Malgré tout Marie s’attachait à l’ancien duché de la grande Aliénor dont sa compagne lui contait l’histoire qu’elle semblait connaître par cœur.

Cela faisait deux semaines que les deux jeunes femmes étaient dans le Sud-Ouest, Marie avait découvert la famille et la région de sa compagne et chaque jour elle aimait davantage la région, les Montbazac et surtout Aliénor. Elles y pensaient, mais trouvaient qu’il était encore tôt. Malgré qu’elle soit devenue homosexuelle Marie gardait de ses origines un fond de catholicisme. Pour elle un couple devait être marié. L’Eglise leur était interdite au grand soulagement d’Aliénor bouffeuse de curés comme ce bon vieux Clemenceau. Elles s’étaient tant battues contre les conservateurs qui refusaient le mariage aux homosexuels pourquoi maintenant qu’il était enfin autorisé ne pouvaient elles pas s’épouser ? Aussi en toute discrétion Marie conduite par Hugues achetait une bague de fiançailles et faisait sa demande à Aliénor dans la chapelle du château parsemée de roses au pied de l’autel.
« L’Eglise est contre à mon grand regret. Je ne peux attendre qu’elle nous ouvre ses portes. Alors tant pis pour la bénédiction religieuse, nous aurons la bénédiction laïque et elle suffira à mon bonheur si tu le veux. Aliénor, Christine, Athéna de Montbazac, fille de Hugues V de Montbazac comte de Cognac et de Falconbridge, baron de Montbazac et de Christine Pelletier acceptez-vous de me prendre pour épouse ?
- Oui. Je le veux du plus profond de mon âme. Marie, Guyse, Yvonne Le Trégor, fille de Guy Le Trégor et Yvonne Edern. »
Les Montbazac et Marie préparèrent le mariage, un mariage simple. Un costume trois pièces blanc pour Aliénor et une robe blanche toute simple pour Marie. Les Montbazac et trois amis d’Aliénor originaires du village furent les seuls invités. Personne ou presque ne s’était malheureusement déplacé pour voir Marie convoler, sa famille avait coupée les ponts et pour ses amis cela faisait trop loin. Seul le parrain de Marie avait fait le déplacement. Même s’il n’était pas favorable au mariage pour les homosexuels, l’ancien officier de marine était tout de même heureux de voir sa filleule se marier, être heureuse même avec une femme.
Mariage difficile à organiser, le maire qui s’était opposé au mariage homosexuel refusait de le célébrer, tout comme ses adjoints. Seul un conseiller municipal acceptait d’officier. Pour cela il fallait avec l’accord du tribunal, accord facilement accordé d’ailleurs.

En septembre Aliénor et Marie retournaient à Paris VII mains dans la main arboraient fièrement leurs alliances. Arrivées dans le cours de l’éternel Arnould, elles se sont placées à leurs places habituelles. Les autres étudiants arrivent. A côté de Marie s’installe une étudiante dont le joli ventre arrondit indiquait qu’elle était enceinte de quatre ou cinq mois. Marie était surprise de voir une étudiante enceinte. Aliénor n’était pas surprise outre mesure. Elles avaient 20 ans passé ce n’était pas anormal.
« Ca arrive il suffit qu’elle se soit pas protégée et qu’elle ait voulue le garder.
- C’est clair c’est pas les écoles catholiques où j’étais que j’aurais vu ça.
- Ca te dérange ?
- Je dois t’avouer que ça me choque un peu.
- Et deux filles mariées ensemble ça te dérange pas répondait Aliénor en riant. »
Le cours continue à se dérouler comme prévu, mais Marie était scotchée au ventre de l’étudiante qui était à côté elle. Elle était choquée, mais elle trouvait ça tellement beau, une jeune femme qui portait la vie. Une idée commençait à germer dans sa tête. Et si elle tombait enceinte. Elle avait pas finie ses études, mais elles trouveraient à se débrouiller. Par contre se posait une question essentielles comment faire un bébé quand on est lesbienne et quel père pour ces s. Un prénom se dégageait dans sa tête pour être le père de son : Henri, le frère d’Aliénor. Cet été il avait flashé sur elle. Pourquoi pas Henri, elle avait épousée Aliénor, mais avec un de son frère leurs deux familles seraient définitivement unies. Adopté et ayant adopté les Montbazac ça lui semblait être le meilleur choix possible. Quand au moyen il y’avait la fécondation in vitro ou alors solution qui la gênait en tant qu’homosexuelle, la méthode naturelle.

Marie en parle le midi à Aliénor qui est surprise que sa femme veuille être enceinte. Elles étaient lesbiennes, elles étaient jeunes (22 ans) et étaient encore étudiantes, sans savoir ce qu’elles allaient faire après, du moins pour Aliénor. Marie voulait devenir historienne, enseigner à la fac et être chercheuse, il fallait donc qu’elle aille jusqu’à la thèse.
Aliénor avait déjà songée à la maternité, mais pas plus que ça au contraire de Marie. Aliénor même si ce n’était pas son but absolu, voulait avoir un elle aussi mais plus tard. Aliénor était surprise par l’idée de Marie. Elle pensait devenir maman dans quelques années, mais après tout pourquoi pas. Il pourrait même être amusant se disait elle qu’elles soient enceintes en même temps. Si l’idée lui plaisait elle voulait tout de même avoir l’avis de sa famille. Les Montbazac étaient réservés, ils avaient les mêmes réserves que leur fille. Et puis il fallait bien choisir le père. Hugues et Christine étaient honorés de l’idée de leur belle-fille, mais ils n’étaient pas sûr qu’Henri soit encore assez mûr. Aliénor avait elle aussi réfléchie. Elle avait pensé à Romain le frère aîné de Delphine. Malgré sa séparation avec Delphine ils étaient restés en contact. Il était beau gosse, intelligent et ouvert d’esprit. Hugues et sa femme ne le connaissaient pas et même s’ils faisaient confiance à leur fille ils auraient préférés le connaître.
Hugues et Christine décident de monter à Paris un week-end avec Henri pour en discuter avec les filles et Romain. Celui-ci s’est montré charmant, tel que leur fille l’avait décrit. Il acceptait d’être le père de l’ d’Aliénor sans problèmes. Il était prêt à le reconnaître et à verser une pension, en échange il souhaitait en avoir la garde un week-end sur deux et la moitié des vacances comme le droit l’y autorisait. Ce qu’Aliénor acceptait sans problème. Hugues satisfait fixe un rendez-vous chez leur notaire en terre du Sud. Henri était prêt à reconnaître l’ et à ce qu’il porte leurs deux noms, ce que Marie voulait aussi. En revanche pour la pension, il ne pourrait lui en verser qu’une fois qu’il aurait un travail. A ce propos il révélait avoir un entretiens pour entrer dans l’Ecole de l’Air pour devenir pilote au sein de la grande muette. En ce qui concerne le partage de la garde ne se sentant pas prêt à être père il demandait pour l’instant à en être relevé, surtout s’il devenait pilote. Hugues et Christine sont repartis satisfait, laissant Henri chez sa sœur et belle-sœur.
Bien qu’elle soit lesbienne Aliénor éprouvait un certain plaisir lorsqu’elle couchait avec Romain. Il lui faisait l’amour avec délicatesse et tendresse ce qu’elle n’avait connu chez aucun mec. Marie au contraire connaissait un véritable supplice. Elle appréhendait beaucoup. Elle n’avait jamais été pénétrée par un homme et Henri chaud comme la braise a oublié ce détail. Pas de préliminaires il est entré directement en Marie qui à criée de douleur. Henri y allait puissamment. Il la désirait depuis si longtemps il n’a pas été long à éjaculer. Ils ont recommencés quelques jours plus tard. Marie souffrait toujours autant et trouvait vulgaire la façon dont les hommes prenaient les femmes. Un mois plus tard les deux jeunes femmes étaient enceintes. Henri quittait Marie le soir même où elle lui annonçait qu’elle était enceinte. Elle était soulagée elle allait enfin pouvoir retrouver Aliénor, qui si Romain ne l’avait pas aidé serait tombée dans ses bras. Cela avait été dur, il avait toutes les qualités que l’on peut attendre d’un homme, tendre, suffisamment viril, serviable, intelligent, sensible, beau, …. . Romain appréciait Aliénor, mais il savait très bien qu’elle ne serait sous le charme qu’un temps, pourquoi rompre avec Marie qu’elle aimait vraiment. Aliénor luttait intérieurement pour résister à ses anciens démons et elle y est parvenue grâce à Romain.

Leurs grossesses se passaient bien. Quand leur ventres ont commencés à s’arrondirent les autres étudiants ont étés surpris. Les réactions étaient plutôt positives. Seuls quelques rétrogrades ont trouvés le moyen de les critiquer comme ils l’avaient déjà fait quand elles s’étaient affichées ensemble les premières fois. Mais Aliénor et Marie s’en fichaient, elles s’aimaient. Les Montbazac avaient bien acceptés leur relation et leurs amis respectifs aussi. Et ceux qui n’approuvaient pas fermaient leur gueule avec Aliénor prête à tout instant monter au créneau et à sortir sa batte de baseball. Elle ne cherchait pas les histoires, mais elle se défendait. Elle s’était toujours battue même gamine. Comme son ancêtre elle était fière et susceptible. Quand on la provoque elle répond, les coups tombent et cabossent. Musclée de nature elle a fait de la boxe, anglaise et française, tout en apprenant l’escrime et à monter à cheval pour ressembler davantage à son aïeule dont elle semblait avoir les traits. Depuis que le vieux domestique de Montbazac lui avait raconté l’histoire de sa famille elle s’était prise de passion pour la grande duchesse. Elle avait lu et vu tout ce qui était possible sur elle. Souvent son caractère volcanique lui avait joué des tours, mais avec l’âge elle était devenue plus diplomate, mais elle n’hésitait pas à se défendre. Sa compagne c’était accommodée de son caractère chaud, sa tête de mule, son côté grande gueule, comme toute bonne fille du Sud. Mais Aliénor était surtout ardente comme la braise. Depuis qu’elles étaient enceintes leurs libido s’était accrue. Si certaines femmes vivaient mal leur grossesse, déprimaient, étaient malades ce n’était pas leur cas. La seule chose qui préoccupait Marie c’était qu’elle prenait beaucoup de poids. Malgré son gros ventre et ses kilos Aliénor regardait toujours Marie avec envie.

Même si elles étaient enceintes Aliénor et Marie continuaient à faire l’amour. Aliénor et Marie étaient désormais enceintes six mois il leur devenait difficile de coucher leur ventre les gênaient de plus en plus. Mais elles voulaient le faire jusqu’au bout. Aliénor était contente ses seins avaient grossis, elle aurait bien voulu qu’ils restent comme ça après son accouchement. Ceux de Marie étaient devenus énormes, elle avait dût prendre des soutien-gorges deux tailles au dessus. Et selon leur gynécologue ses seins devaient encore grossir pour préparer l’allaitement. Aliénor n’avait pris que 10 kilos, Marie avait en revanche pris 20 kilos en 6 mois et désespérait à chaque fois qu’elle se voyait dans un miroir. Les yeux d’Aliénor brillaient pourtant toujours du même désir.

Vendredi soir, les cours étaient finis, Aliénor et Marie étaient épuisées. Il leur fallait porter un ventre qui ne cessait de s’alourdir en plus de leurs affaires. En rentrant elles posent leurs sacs et s’assoient sur le lit après avoir monté les six étages sans ascenseur de leur immeuble.
« Ca devient de plus en plus dur.
- Oui. Viens on va prendre une douche ça va te faire du bien, répond Aliénor. Joignant le geste à la parole elle commence à déshabiller Marie tout en l’embrassant.
- Tu es sûre qu’on va aller se laver comme ça ?! reprend Marie amusée. »
Le pull de Marie tombe à terre, alors à son tour elle commence à enlever les vêtements de sa compagne. Sous le pull se trouvait un joli soutient gorge rouge qui laissait entrevoir deux superbes seins de femme enceinte. Le soutien acheté il y’a seulement deux mois semble déjà trop petit pour les deux superbes seins qui rebondis sur le haut. A son tour celui d’aliéner tombe dévoilant de beaux seins qui avaient pris une taille. Aliénor était contente d’avoir des seins plus gros même, elle aurait bien voulu qu’ils soient encore un peu plus gros. A la fin de la grossesse ce serait sans doute le cas, mais une fois qu’elle aurait fini d’allaiter ils allaient retrouver la taille qu’ils avaient avant la grossesse. Les seins d’Aliénor étaient plus petits (ils étaient passés de 80A avant Delphine, à la fin de sa grossesse elle sera à généreux 85D, une progression énorme) mais Marie les aimait bien. Elle adorait jouer avec, tout en faisant attention à ne pas faire sortir le lait qu’ils contenaient. La culotte d’Aliénor, dernier rempart de tissus tombait à son tour. Marie commençait à caresser le ventre rond de sa femme resté debout. Embrassant le ventre de celle-ci et de le lécher doucement, avant qu’Aliénor ne l’aide à se relever pour qu’elles s’embrassent, ce qui leur était difficile avec leurs deux ventres de femmes enceintes de 6 mois. Doucement Aliénor se baisse et embrasse les seins de Marie. Plus ils grossissaient plus Aliénor les aimait. Elle commence à les lécher, sur le dessus, le dessous, l’aréole qui s’était élargie et le téton déjà dur. Douce elle suce les deux seins un long moment avant de descendre sur l’énorme ventre que Marie portait. Elles étaient tombées enceintes en même temps et pourtant le ventre de Marie était bien plus gros. Aliénor n’avait jamais pensé que cela puisse être aussi agréable de toucher le ventre d’une femme enceinte. Arrivée sur le bas elle fait se coucher Marie sur le lit, elle ne pouvait descendre plus bas, gênée par les ventres. Une fois sur le dos Marie sentais la langue d’Aliénor se poser sur ses lèvres avant de faire pénétrer son doigt dans la caverne aux merveilles. Elle était si douce ce soir là. Depuis qu’elles étaient ensemble Marie s’épilait intégralement laissant voir deux superbes lèvres qui n’attendaient que le contact de la peau d’Aliénor. Aliénor fait doucement passer sa langue sur les lèvres avant de la faire pénétrer dans la chambre intime de Marie qui soupirait de bonheur aux caresses de son amante. Aliénor continue à jouer avec sa langue pendant de longues minutes, avant d’accélérer tout doucement le rythme. Prenant d’une main un sein de Marie elle commence à tripoter ce sein qui avait doublé de volume depuis le début de la grossesse (passer d’un 95F à un 100I). Aliénor allait regretter aussi que Marie accouche, elle adorait la taille des seins de sa maîtresse. La respiration de Marie s’accélère sous les coups de langue et le tripotage intensif d’Aliénor. Aliénor après une accélération tout en douceur se donnait maintenant à fonds. Marie se cabrait malgré son ventre qui la gênait dans ses mouvements. Elle aurait voulu pouvoir avec ses mains appuyer la tête d’Aliénor sur son sexe comme d’habitude, mais son ventre ne lui permettait plus. Aliénor le sentit et appuie encore davantage son visage contre le sexe de sa femme. Son sexe se contractait, de plus en plus fort, elle sentait monter le plaisir, ça venait, elle allait l’avoir … un cris de bonheur s’échappait. Marie était emplie de bonheur. Aliénor retire doucement sa langue pour remonter et embrasser Marie ce qu’elle avait le plus grand mal à faire avec leur deux ventres arrondit de 6 mois. Elle y arrive malgré tout. Elle passe au dessus de Marie et se positionne au dessus de son visage. Marie effleure alors de sa langue le sexe parfaitement rasée de sa maîtresse. Marie n’en pouvait plus d’attendre elle était assoiffée de sexe. Depuis qu’elle était enceinte Marie avait encore plus souvent envie de faire l’amour. Mais à 6 mois de grossesse elle avait du mal à bouger. Elle était enceinte du même nombre de mois mais son ventre était beaucoup plus gros que celui de sa femme. Marie devait se contenter de rester sur le dos tout le long de leur étreinte. Aliénor aussi commençait à avoir du mal à bouger pour faire l’amour, bientôt elles ne pourraient plus faire l’amour. Marie se met à lécher frénétiquement les deux lèvres d’Aliénor lui faisait pousser de grands soupirs. « Oui vas y chérie c’est bon, lèche moi, lèche moi, plus fort, vas y c’est bonnnnn. ». Tout en prenant du plaisir elle avait repris dans ses mains les seins de Marie, qui attrapait les siens, dont elle aimait le nouveau volume. Sous la pression des doigts d’Aliénor qui lui donnait du plaisir Marie accélère et appuie plus sa langue sur les parties intimes de sa compagne. Aliénor sentait monter l’orgasme ses mains se crispaient sur les seins de Marie ivre de bonheur. Elle le sentait il venait il allait exploser … ça y’est. Aliénor n’en pouvait plus elle inondait la bouche de sa femme de cyprine. Elle reste encore quelques instant comme ça, avant de se positionner à côté de sa maîtresse radieuse elle aussi. Aliénor embrasse Marie langoureusement avant de s’endormirent et de recommencer quelques heures plus tard et le restant du week-end. Aliénor ne se souvenait pas qu’elles aient jamais autant fait l’amour depuis qu’elles étaient en couple.
Deux mois plus tard elles décident de quitter leur studio parisien pour s’installer dans le Sud-Ouest et attendre leur délivrance comme on disait au Moyen Age. Aliénor et Marie sont enceintes de 8 mois et peuvent quasiment accoucher d’un moment à l’autre. Pour descendre elles utilisent la vieille C5 breack d’Hugues qui malgré sa taille avait du mal à contenir toutes leurs affaires et celles des futurs bébés. Aliénor prenait le volant malgré son ventre qui la gênait, et les 15 kg qu’elle avait pris. Marie qui n’avait pas le permis et trop gênée par son ventre regardait le paysage qu’elle commençait à bien connaître. Si sa grossesse c’était bien passée les dernières semaines avaient été difficiles. Marie avait pris 30kg durant sa grossesse, son ventre lui pesait, elle se sentait essoufflée. Le voyage a duré trois jours. Bien que la C5 soit confortable elles ne pouvaient faire trop de route dans la journée. Heureusement leur grossesse c’était bien passée, elle n’avait eût aucun soucis l’une l’autre. Il leur restait un mois avant la date du terme, mais toutes les deux sentaient que cela allait arriver avant. Elles faisaient bien car la semaine qui suivait leur arrivée au château des cris de bébés ont retentis, pour la première fois depuis … longtemps. Toutes les deux ont accouchées le même jour, à quelques heures d’intervalles. Marie donne le jour à un petit Philippe avant que six heures après Aliénor ne donne la vie à une petite Jeanne. Philippe, Richard, Henri, Hugues de Montbazac-Le Trégor et Jeanne, Aliénor, Marie, Christine de Montbazac.
Romain est descendu quelques jours plus tard aussi réjoui qu’Hugues et Christine. Hugues était même si heureux qu’il a appelé sa mère Amélie avec laquelle il était brouillé depuis son mariage et tant pis si cela les fâchait encore plus. Madame Amélie de Lazus, veuve du baron Richard X de Montbazac était très conservatrice, mais il se devait de la tenir informée. Marie envoyait aussi discrètement à sa mère un faire-part.
Le temps de son congé maternité passé Marie s’inscrivait à la fac de Bordeaux pour continuer ses études. Aliénor qui avait montré un instinct maternel que personnes n’aurait soupçonné restait au château. Elle continuait d’aménager la dépendance qu’Hugues et Christine leur avait donné. Doucement elle entamait un manuscrit sur l’Histoire des Montbazac depuis Aliénor. Avec ce livre Aliénor de Montbazac trouvait enfin sa voie, elle allait être écrivain.

Aliénor était épanouie par son nouveau rôle de mère malgré les quelques kilos qu’elle n’avait pas réussi à perdre après la naissance de sa fille. Mais elle avait réussi à garder sa poitrine. Tout comme Marie qui avait gardée ses seins, mais aussi 25 kilos. Ce qui n’empêchait pas Aliénor de continuer à aimer Marie et à lui faire l’amour toujours aussi souvent.
Cela faisait six mois maintenant qu’Aliénor et Marie avaient accouchées. Marie allait à Bordeaux tous les jours pour continuer ses études. L’amour d’une femme lui avait fait découvrir une région magnifique et attachante dont elle décidait d’étudier l’Histoire.
Marie selon ses horaires partait en train ou en voiture à Bordeaux. Marie avait passée son permis et Christine lui avait donnée sa vieille Citroën Saxo. Après ses cours elle passait de longues heures à la bibliothèque universitaire et aux archives. Souvent Marie rentrait tard et fatiguée. Aliénor restée au château s’occupait des s et écrivait, puisqu’elle s’était mise à écrire. Un soir Marie rentre comme chaque soir. Aliénor tenait Philippe dans ses bras lui donnant le biberon. Marie embrasse sa femme et son fils. Une fois que le petit Philippe a finit son biberon et a été couché avec Jeanne, Aliénor prend Marie dans ses bras et s’asseoir sur le canapé.
« Marie j’ai une bonne nouvelle. Un des éditeurs que j’avais contacté à accepté mon projet de livre sur Montbazac et un autre à accepté ma première histoire lesbienne. Je crois que j’ai trouvée ma voie, l’écriture.
- C’est formidable chérie, tu vas publier. Je suis fière de toi. Je suis tellement contente que tu sois reconnue.
- Oui et tous ça c’est grâce à toi. Je te l’ais déjà dit, mais tu m’as apporté ce qu’il me manquait, la stabilité et l’amour.
- Merci mon amour. Et toi ton regard n’as pas changé depuis le premier jour, alors que maintenant je suis aussi grosse qu’une baleine (100kg) avec ses 25kg qu’il me reste de la grossesse et que j’arrive pas à perdre.
- Moi je te trouve très belle. Tu parles de tes kilos en trop. J’en ais encore.
- Oui 5 seulement (70 kg) et toi ils sont bien répartis partout, ça se voit à peine. Alors que moi regarde j’ai du ventre, mes fesses ont croirait que j’ai le cul d’un hippopotame et mes cuisses c’est les piliers de l’Acropole.
- Tu exagères. Et tes seins ?
- Ils sont tout mous. On dirait une vache laitière.
- Même s’ils sont mous et qu’ils tombent je les aime quand même. Tu as des rondeurs et alors, je trouve qu’elles te vont bien. On te sens pleinement épanouie.
- Et je le suis épanouie avec toi. Tu es sûr que je ne fais pas grosse, j’ai l’impression.
- Je t’ais déjà prouvé que je t’aimais comme au premier jour même si tu as plus la taille fine. Et s’il faut je te le prouverais encore ce soir dit Aliénor en déposant un baiser sur les lèvres de Marie. Marie se laissant faire Aliénor recommençait jusqu’à ce que Marie lui rende ses baisers.
- Je suis fatiguée mais je sais pas te résister.
- Parce que je suis irrésistible. »
Depuis leur accouchement Marie avait moins envie de faire l’amour, mais Aliénor était toujours aussi assoiffée de sexe et venait la chercher trois à quatre fois par semaine. Et elles faisaient l’amour, Marie ne savait pas lui résister. Aliénor et Marie mélangent leurs langues, pendant que les mains d’Aliénor déshabillaient doucement Marie tout en la caressant. Marie se laissait faire, Aliénor s’était mise à califourchon sur elle. Aliénor dégrafe le soutient-gorge découvrant des seins énormes à l’aréole large et qu’elle rêvait de sucer et que la fin de l’allaitement avait à peine diminué (105J, un mois avant d’accoucher ses seins étaient passés du I au J) Marie poitrine nue se laissait faire. Aliénor se penchait sur les seins de sa femme pour les embrasser, les lécher avant de sucer ces tétons déjà gonflés, durs, pointés vers son visage. Marie commençait à émettre de petits gémissements. Aliénor adorait les seins de sa compagne elle passe de longue minutes à s’occuper d’eux avec sa langue et sa main. Marie n’en pouvait plus elle fait signe à Aliénor de descendre. La belle aquitaine glisse le long du corps de son amante bretonne embrasse son ventre avant de défaire les boutons de son jean. Le jean enlevé elle se met à caresser du plat de la main le sexe de Marie à travers la culotte. Le morceau de tissus était déjà mouillé. Elle fait jouer sa langue dessus quelques instant avant de retirer la culotte noire. Marie était alors entièrement dilatée. Aliénor met sa tête entre les épaisses cuisses de son amante et fait glisser sa langue sur les lèvres quelques secondes augmentant les râles de Marie. Elle continue un peu avant de glisser à l’intérieur et de libérer ses ardeurs. D’abord des mouvements circulaires, elle se mit à faire des vas et viens avec sa langue, le bassin de Marie remuait de plus en plus. Marie sentait qu’elle allait jouir rapidement, son plaisir était intense sous cette langue qui lui faisait tant de bien. Elle contracte les cuisses pour appuyer davantage le visage d’Aliénor. Aliénor continue ses mouvements y mettant plus de force, elle sentait le vagin se contracter … « Oui, oui, oui, vas y chérie vas y chérie c’est bonnnn, encore, encore, encoreeeeeeeeee ». Le souffle court Marie s’arrête en remuant doucement le bassin. Aliénor ressort, remonte pour l’embrasser langoureusement. Laissant Marie reprendre ses esprits elle se laissait déshabiller pour s’offrir à elle. Sous le débardeur le soutien gorge laissait entrevoir deux jolis seins. Dégrafant le soutient gorge noir à pois rouge, deux seins s’échappaient. Ils n’avaient plus leur fermeté d’avant la grossesse, mais Marie s’en fichait les siens n’étaient pas mieux. Doucement elle se met à lécher l’un titillant du bout du doigt le téton de l’autre. Suçant doucement les tétons durcis, elle descend doucement vers le ventre qu’elle embrasse avec tendresse faisant jouer les boutons du jean d’Aliénor qu’elle descend avec lenteur, dévoilant une culotte assortie au soutient gorge. Le pantalon enlevé elle passe sa langue sur la culotte avant de la descendre pour faire entrer sa langue et commencer son doux mouvement de va et viens. Augmentant la rapidité de ses mouvements avec lenteur faisant gémir Aliénor qui mouillait doucement avant de presque crier quand Marie allait à fond. Au bout de quelques secondes de ce traitement elle sent sa femme se cabrer, Aliénor allait jouir. Aliénor jouissait d’un orgasme long. Au bout de quelques minutes Aliénor décide de se venger en faisant se mettre Marie au dessus de son visage. Ecartant les cuisses Marie vint se positionner au dessus du visage de sa femme qui commença par de longs mouvements sur les lèvres, avant de passer entre et de continuer à faire de long mouvements ample, faisant gémir Marie. Les mains d’Aliénor passèrent des jolies fesses rebondies de sa maîtresse à ses énormes seins qu’elle commence à malaxer. Aliénor prenait un plaisir fou avec les seins de Marie. Elle avait appris à provoquer des orgasmes uniquement en jouant avec. Marie à son tour prend les seins d’Aliénor. Elle les avait trouvés jolis la première fois, mais maintenant même s’ils tombent un peu, leur volume lui plaisait davantage. Elle ne comprenait pas pourquoi, mais ce soir Aliénor lui semblait particulièrement excité, ses coups de langue l’envoyait au nirvana, tour à tour rapides, lents, légers, appuyés, précis, amples, Aliénor faisait jouer sa langue de toutes les manières qu’elle connaissait. Marie sentait que son plaisir allait se transformer en orgasme rapidement. Son antre déjà humide s’humidifia de nouveau. Elle sentait son sexe se contracter de plus en plus fort, ça montait, elle allait jouir, … . Son orgasme avait été puissant. Elle se baisse et se met à lécher les seins d’Aliénor qui continu à tripoter les siens. Marie fait jouer sa langue sur les tétons, l’aréole, le dessous, le plat du sein par des mouvements ample ou précis, rapides ou lents, tout en faisant jouer son doigt dans le vagin de sa femme qui commençait à suffoquer de plaisir. Son sexe se contractait rapidement excité par ce doigt qui répondait à la langue. Elle prenait un plaisir fou, l’orgasme déferlait sur elle comme rarement. Prenant les fesses de Marie dans ses mains tout en l’embrassant en l’invitant à se retourner pour se mettre en 69. Maintenant elles allaient se faire plaisir ensemble. Marie à peine le temps de se retourner qu’Aliénor s’activait déjà sur les lèvres ressorties de sa maîtresse. Marie encore toute excité se met à lécher frénétiquement sa compagne, faisant pénétrer sa langue tout en suffoquant sous les assauts de langue d’Aliénor transformée en furie. Aliénor n’avait jamais lécher Marie comme ça, elle était assoiffée de son sexe. Aliénor la léchait à une vitesse incroyable sur toutes les parties de son vagin. Marie n’en pouvait plus, elle s’était arrêté de lécher Aliénor tellement son plaisir était intense. Aliénor sentait la cyprine couler de nouveau sur sa langue, Marie allait jouir, elle sentait son sexe se contracter, son souffle court… Marie explosait, elle mouillait comme jamais elle n’avait mouillée, c’était son plus bel orgasme. Marie se retourne embrasse Aliénor qui la prend dans ses bras. Si Marie était épuisée Aliénor ne l’était pas et demande à Marie de la finir au doigt. Marie malgré sa fatigue fait entrer son doigt et en douceur provoque un nouvel orgasme à son amante si intense qu’elle aussi rendait les armes s’endormant contre sa femme.
Aliénor commence à écrire son livre sur l’histoire des Montbazac, étant bien occupée toute la journée avec leurs bébés, elle travaille le soir, cherchant les informations dont elle à besoin dans les archives du château. Après de longs mois de recherches Aliénor aura enfin à sa disposition le matériel intellectuel dont elle à besoin pour écrire son livre. Heureusement pour elles Hugues et Christine les aidaient. Car malgré sa bourse de thèse et les allocations qu’elles touchaient, elles n’avaient pas assez pour vivre. Finalement après un an de travail Aliénor envoi son texte à l’éditeur.
Le livre sur les Montbazac connaît un certains succès chez les historiens et en particuliers les médiévistes. Son livre va même dépasser les frontières du monde fermé des historiens avec la vente d’une dizaine de milliers d’exemplaires auprès du grand public. Ce succès la pousse à continuer dans la veine historique. Elle se lance donc dans le roman historique avec succès, en parallèle de ses romans érotico-lesbiens qui eux aussi rencontrent un certain succès. De son côté Marie terminera sa thèse sur les relations entre l’Aquitaine et la Bretagne. Pour cela elle avait du passer une semaine en Bretagne afin de récolter le plus d’informations possibles dans les archives bretonnes. Sa thèse terminée et réussie Marie décide de se consacrer à ce qui était devenu un problème pour elle, sa poitrine.
Ses seins n’avaient pas cessés de grossir depuis l’adolescence. Lors de sa rencontre avec Aliénor voilà 7 ans, sa poitrine faisait un joli 105 E, très vite passée à un F, juste avant d’accoucher elle était passée à un 105J. Alors que son fils fêtait ses 2 ans, elle avait du changer la taille de ses soutient-gorges J pour des bonnets K. Leur croissance avait ralenti, mais d’après son médecin ils allaient encore sans doute prendre du volume. Effectivement trois ans plus tard elle changeait à nouveau de taille de soutient pour des modèles de tailles L. Marie était gênée dans son quotidien par sa poitrine et si pour l’instant elle ne se faisait pas opérer d’une réduction mammaire, c’était uniquement pour Aliénor qui était folle de joie d’avoir à s’occuper de tels seins lorsqu’elles faisaient l’amour. Mais Marie avait tout de même prévenu Aliénor que s’ils continuaient à prendre du volume elle se ferait opérer pour qu’ils reviennent à la taille qu’ils avaient au moment de la naissance de son fils. Ou s’ils finissaient par ne plus grossir, les garder tels qu’ils étaient quelques années. Aliénor acceptait. Finalement après avoir atteint la taille exceptionnelle de 105M la poitrine de Marie s’était arrêtée de prendre de l’ampleur. Durant 10 ans elle va garder sa poitrine généreuse pour le plus grand plaisir d’Aliénor.
Lorsque les s auront grandi un peu Aliénor reprendra le sport pour son plus grand bonheur, escrime, équitation et natation feront partie de ses activités. Marie se remettra à la randonnée et avec Aliénor apprendra à faire du cheval.
Marie avait la vie dont elle avait toujours rêvée, avoir quelqu’un dans sa vie, des s, un métier qui la passionne. Elle n’avait jamais pensée qu’elle serait historienne, ni surtout qu’elle se marierait avec une femme. Aliénor elle aussi était heureuse elle avait enfin trouvé son équilibre, entre sa femme, ses s, sa terre de Montbazac, sa moto, sa passion pour l’Histoire, l’écriture et la nature.

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