Est-Ce De L'E (1/2)

Première partie.

Quand j’avais une quinzaine d’années, ma mère est décédée dans un accident de la route alors qu’elle revenait d’un séminaire professionnel avec une collègue de bureau. Je me suis retrouvé seul avec mon père qui, de son côté, avait une très bonne situation qui nous permettait du vivre confortablement dans une belle et grande maison dans un quartier chic de la ville.

Les premiers temps ont été durs à vivre… L’un comme l’autre nous n’arrivions pas à surmonter le chagrin qui nous envahissait à chaque fois que nous regardions un portrait de Maman. Puis un jour où nous avions parlé avec mon père de cette perte brutale, nous avons convenu que le souvenir, c’était dans le cœur que nous devions le garder… Depuis ce weekend, les quelques portraits et photographies de Maman qui ornaient les murs de la maison ont été enlevé et remplacés par des gravures.

Les mois ont passé… puis une année… la maison était toujours aussi triste… Puis, nous avons été invités au mariage de Stéphane, un collègue et ami de mon père. Je l’ai toujours plus ou moins considéré comme un grand frère, même s’il avait près de quinze ans de plus que moi... Ce devait être le premier événement joyeux auquel nous allions participer.

Quelques semaines avant la cérémonie, Stéphane est passé un soir à la maison pour nous annoncer une bonne nouvelle… La cavalière qu’il avait pressenti pour mon père venait de lui confirmer sa présence et j’aurais moi aussi une cavalière en la personne de sa fille unique. En se tournant vers moi Stéphane m’a confié :
• Tu verras, Géraldine est un peu plus âgée que toi mais je suis sur que vous allez vous entendre… C’est une fille pleine d’entrain et d’énergie.




Le jour du mariage j’ai fait la connaissance de Géraldine et de sa mère Gisèle. Nous nous sommes tout de suite bien entendus et selon certaines personnes de l’assemblée, nous formions un joli petit couple.

Lors du banquet, nous ne nous sommes jamais quittés, dansant toute la soirée, bavardant comme si nous nous connaissions depuis longtemps.

A 20 ans Géraldine était ce qu’on peut appeler « une belle plante »… Avec ses talons, elle était aussi grande que moi qui mesure 1 m 75 ! Brune très typée méridionale, elle était coiffée d’un chignon décoré de petites fleurs blanches… Elle a des grands yeux verts qui éclairent un visage ovale un peu mat, un petit nez droit et des lèvres pourpres. Elle a une silhouette longiligne de sportive mais ce qui m’a frappé ce jour là, c’est l’ampleur de sa poitrine… Elle m’a d’ailleurs confié en aparté que cela la gênait pour diverses raisons mais la principale, c’était le regard des hommes qui ne voyaient que cela d’elle !

Nous nous sommes revus à plusieurs reprises comme deux bons copains… Puis un jour, mon père m’a dit que nous allions retrouver Gisèle et sa fille dans un restaurant chic de la ville…
Alors que nous en étions à l’apéritif, mon père et Gisèle nous ont annoncés qu’ils avaient une grande nouvelle et que c’était ce que nous fêtions… Gisèle et Géraldine allaient venir s’installer à la maison ! Gisèle a poursuivi en disant :
• Je ne veux pas prendre la place de ta mère… Avec ton père, nous nous sommes bien entendu lors du mariage de Stéphane et je pense qu’il en a été de même pour toi et Géraldine.

Je m’expliquais mieux les absences nocturnes de mon père… Il a poursuivi en disant que Géraldine serait un peu la sœur que je n’avais jamais eue... Une grande sœur plus âgée d’environ deux ans.

C’est au cours du weekend suivant qu’elles sont venues s’installer à la maison. Gisèle et mon père se sont installés dans la chambre conjugale et Géraldine s’est installée dans une des chambres de l’étage. Nous avons rapidement trouvé nos marques. A ce moment, je ne savais que peu de choses sur Gisèle mais j’ai appris qu’elle était mère célibataire, ayant réussi à élever seule sa fille tout en faisant une belle carrière dans l’entreprise qui l’avait embauchée à l’issue de ses études universitaires.


Bon sang ne saurait mentir… Géraldine, après avoir obtenu son bac à de seize ans tout juste venait d’enchainer deux années à l’Ecole des langues orientales avant de faire une première année dans une prestigieuse école de journalisme. Quant à moi, je ne savais pas quelle voie choisir et je me trouvais en Terminale S… à quelques semaines de l’examen… A 18 ans, ce n’était pas très glorieux à côté du parcours de Géraldine…

Comme je l’ai déjà dit, Géraldine s’est installée à l’étage dans une des quatre chambres… Comme habituellement, je me servais de la salle de bains plutôt que du cabinet de toilette où il n’y avait qu’une douche et un lavabo, je lui ai offert de lui céder ma place :
• Oh non… Nous pouvons bien partager la salle de bains… Je ne veux pas te chasser !
• D’accord… si cela ne te dérange pas, c’est tant mieux !

Le mois de juin s’est passé comme un enchantement… Nous nous confions nos petits secrets de grands adolescents, nos amourettes, nos déceptions… mais aussi, Géraldine me faisait réviser mes cours pour l’oral… Pour les épreuves écrites, je n’avais pas trop de soucis à me faire.
Alors que je pensais que nous passerions nos vacances tous les quatre sur la Côte d’azur, elle a décroché au dernier moment un stage de deux mois dans un journal local situé à Rennes… C’est donc par un SMS que je lui ai annoncé que j’avais mon bac avec une petite mention… mais l’essentiel est de l’avoir !
Nous sommes donc partis à trois après le 14 juillet… Nous passerions les trois semaines suivantes dans un mas situé dans l’arrière pays niçois que le frère de mon père nous prêtait pour cette période… Il prendrait la suite avec sa famille et m’offrait de rester quelques jours avec mes cousins et cousines que je ne voyais pas souvent…
Ces semaines m’ont permis de mieux connaitre Gisèle qui m’avait « adopté » comme un fils, sa gentillesse bienveillante mais ferme vis-à-vis de moi me plaisait… elle me confiait que sa vie n’avait pas toujours été facile, que cet amour d’été au cours duquel Géraldine avait été conçue avait pesé lourd dans sa vie car elle avait été rejetée par ses parents, qu’elle avait du se débrouiller seule, travaillant pour financer ses études… Elle me disait que je devais d’abord penser à mon avenir… Bref, je retrouvais un peu ma mère en elle.


Nous étions au calme, nous partagions notre temps en visites touristiques de cette merveilleuse région, en longues séance de farniente au bord de la piscine… Nous n’avions pas besoin de descendre sur la Côte avec la circulation infernale des estivants et la promiscuité sur les plages. Par contre, lorsque mon oncle est arrivé avec sa famille, il fallu oublier la quiétude des lieux... Il y avait des jumeaux de mon âge et deux filles de 17 et 15 ans… Désormais, je partageais la chambre avec les jumeaux et les filles dormaient dans deux chambres séparées au même étage.

Au cours de ma dernière semaine, nous avons été rejoints par Julia, une copine de lycée de l’aînée des filles qui venait pour quelques jours. Cette dernière était plutôt délurée, elle fumait cigarette sur cigarette, buvait de l’alcool alors que nous ne buvions que de l’eau ou des sodas…
Je me suis souvent demandé si elle ne profitait pas de ces vacances pour échapper au contrôle parental ???
A bord de la piscine, elle portait des bikinis des plus réduits qui n’avaient pas grand-chose à masquer tant elle était pratiquement sans poitrine… Elle me demandait souvent de lui passer de la crème solaire… bref, elle m’aguichait outrageusement… si bien que le dernier soir lors de la promenade digestive dans la pinède, nous nous sommes laissé distancer par les trois autres. J’avais envie de lui dire ce que je pensais de son attitude mais en fait il n’en a rien été… Elle s’est littéralement jetée à mon cou en disant :
• Baise-moi vite fait… Je suis en manque de bite et ce ne sont pas tes bêtas de cousins qui me satisferont. Viens, prends-moi debout contre un arbre.

Aussitôt elle a sorti un préservatif de la poche de son mini short d’une main pendant que l’autre massait mon pubis pour faire dresser mon sexe… Puis elle s’est penchée, a baissé mon caleçon et a embouché ma bite… Waouh ! Quelle furie ! Les quelques aventures que j’avais déjà eues avaient été bien plus calmes… mais comme je n’avais plus fait l’amour depuis plusieurs mois, il n’a pas fallu longtemps pour que je bande comme un taureau tant elle savait y faire avec sa bouche.
Elle m’a couvert elle-même en me redisant haut et fort :
• Vas-y sans préparation, j’aime bien quand c’est violent…
• OK… mais tu vas la sentir passer… tu as vu la taille…
• Oui… mais j’en ai déjà vu d’autres… Vas-y ! Bourre-moi !

Elle a baissé vivement son short, le laissant au niveau des genoux puis elle s’est tournée, a appuyé ses avant bras contre un pin en répétant de la prendre violemment… que c’était un coup vite fait, sans lendemain, juste une envie de sexe pur et dur !
C’est vrai que dans le clair obscur qui régnait dans le sous bois, ses fesses blanches m’attiraient… Julia m’avait suffisamment allumé depuis le début de la semaine que j’allais lui donner ce qu’elle voulait ! Dès que mon sexe a trouvé sa place entre ses fesses, Julia a cambré les reins et je l’ai embrochée vivement… C’est ce qu’elle souhaitait ! Son sexe était chaud et humide… Si au début, je suis allé doucement pour la pénétrer, comme elle m’encourageait à aller plus fort, je me suis déchaîné en la baisant à longs traits, sortant de son sexe à chaque fois pour y replonger en faisant claquer mon pubis contre ses fesses rondes et fermes jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un feulement rauque, presque en même temps que moi !
Dès que je suis sorti de son sexe, elle s’est retournée en disant :
• Merci… C’était le pied !

Nous nous sommes rajustés peu de temps avant que les cousins ne reviennent vers nous… Ils nous ont chambrés quand Julia leur a dit qu’elle s’était tordu la cheville et nous sommes redescendus vers la maison. Pour donner le change, Julia marchait en clopinant et en s’appuyant sur moi… mais je crois qu’aucun n’était dupe.

Après une nuit quelque peu agitée où je repassais en rêve ce qui s’était passé avec Julia, je ne suis aperçu que ce n’était pas elle qui peuplait mon rêve érotique !
C’était Géraldine…
Je la voyais déambuler autour de la piscine, me mettre son opulente poitrine sous le nez comme pour me narguer comme l’avait fait Julia au cours de la semaine.
Lorsque je me suis réveillé en sursaut, je me suis aperçu que je bandais et que je me caressais d’une main… J’étais proche de la jouissance et je me suis laissé emporter en pensant à Géraldine….
L’après-midi même, je prenais l’avion pour regagner Paris..

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