L'Immeuble

Je m’appelle Marine, 25 ans et en couple avec Alexandre 26 ans. Suite à la mutation de mon chéri, nous avons aménager à Nantes où j’ai eu la chance de trouver un poste d’ATSEM dans une école maternelle proche de notre logement.
Nous habitons un bel appartement au 5ème étage d’un immeuble qui en comporte 6.
J’ai sympathisée avec la fille de l’appartement en face de nous. Marion doit avoir une bonne trentaine. Elle vit avec son mari et son petit garçon qui est dans ma maternelle.
Au-dessus de nous vit un homme d’environ 45 ans. Il semble vivre seul car je n’ai jamais vu une femme chez lui. Et oui, j’ai un gros défaut c’est d’épier tous mes voisins, ce qui agace Alex qui me traite de commère.

J’ai remarqué depuis quelques temps des événements troublants dans l’immeuble.

Un soir, alors qu’Alex dormait et que le silence régnait dans l’immeuble, j’ai entendu des coups dans le mur et ensuite une voisine jouir bruyamment. Rien d’étrange me direz-vous sauf que le mari est routier et absent en semaine. Je me suis précipité à la porte mais je ne voyais rien par l’œilleton. Alors, je suis sortie discrètement sur le palier et j’ai vu au 4ème étage notre voisin du dessus sortir de chez la fameuse voisine qui était nue. Je suis rentrée rapidement pour me mettre au lit. Comme Alex dormait à poing fermé, je me suis soulagé toute seule. La situation m’avait un peu chauffée.

Un autre jour, j’attendais en bas l’ascenseur qui restait bloqué au 1er étage. Quand il s’est débloqué et qu’il est arrivée au rez-de-chaussée, j’ai compris pourquoi il était resté au 1er. La bourgeoise du 3ème s’essuyait la commissure des lèvres alors que notre voisin du 6ème finissait de remettre sa ceinture. Elle est sortie de l’ascenseur tête basse alors que lui avait un large sourire.

Je suis montée voir ma copine pour lui raconter ce qui c’était passé. Elle m’écoutait avec un sourire aux lèvres en s’efforçant de paraître étonnée.

A la fin de mon récit, elle prit la parole :
« Je ne sais pas si je devrais te dire… »
« Quoi, vas-y dis-moi, on se connait bien maintenant »
« Je crois qu’il veut se faire toutes les filles de l’immeuble et… »
« Et toi », elle me coupa
« Oui, moi aussi et c’est un super coup »
« Tu as trompé ton mari ? »
« Ne fais pas ta mijoré, je ne regrette pas »
« Comment c’est arrivé »
« C’était à la fête des voisins, j’avais une jupe légère et courte et un débardeur sans soutif. Le petit était chez ses grands-parents et mon mari avait trop vite bu et il était rentré. Me voyant seul, Martin, puisque c’est son nom, m’a tenu compagnie en me draguant assez ouvertement. Comme toi, j’avais entendu parlé de lui et la voisine du 2ème m’avait dit exactement ce que je t’ai avoué tout à l’heure. »
« Quoi, la femme du notaire »
« Oui. Et quand il m’a proposé d’aller voir son bolide, une superbe voiture d’ailleurs, une Aston Martin je crois, bref, je l’ai suivi. Nous étions dans son garage qu’il avait laissé ouvert. Lorsque je me suis penché pour voir l’intérieur, il m’a mis les mains aux fesses. Je me suis redressé prestement et là, il m’a pris par la taille et m’a fait des bisous dans mon cou. Sans réaction de ma part, ses mains sont remontées sur mes seins. Je suis très sensible de la poitrine et je mouille souvent presque instantanément. Je me suis retournée et il s’est emparé de mes lèvres. J’ai accepté son baiser et ma langue et venue tournée autour de la sienne. En tendant la main, il a actionné la porte du garage qui s’est fermé et la lumière s’alluma. A ce moment, il prit mon visage dans ses mains, me fixa et me fit comprendre qu’il voulait que je m’agenouille. A genou, je découvris un beau sexe tendu et de bonne taille. Sans hésiter, je l’ai sucé. Il avait bon goût en plus. Puis, il m’a redressé et m’a allongé sur le capot, a relevé ma jupe et m’a fait un cunni comme je n’en avais jamais connu. J’ai joui en quelques minutes.
Puis, il retira mon string et découvrit ma poitrine. Il me les malaxait, me les pinçait puis les caressait sensuellement. J’étais repartie à mouiller comme une fontaine. Alors, il me regarda dans les yeux et je sentis à ce moment-là, son sexe entrer en moi. Il était endurant. Pendant une bonne vingtaine de minutes, il me baisa divinement. Puis, il me prit en levrette tout en caressant mon petit trou. »
« Non, il ne t’a pas sodomisé ? »
« Oh tu sais mon mari adore me prendre par-là alors je ne me suis pas refusé. Mais son sexe est plus gros et si le début était un peu douloureux, le plaisir en fut ensuite plus intense. Il a tenu encore une dizaine de minutes avant de se lâcher en moi. Très galamment il me donna de quoi m’essuyer et me proposa de faire un tour dans son bolide. Un dernier baiser et nous voilà partie. Pendant le trajet, je l’ai dégrafé et fut surprise de le voir à nouveau en forme. Il s’est arrêté dans une clairière, à l’abri des regards. Je me suis penché et je l’ai sucé jusqu’à son éjaculation que j’ai adoré avaler.
Puis, nous sommes rentrés. C’est mon seul écart en 7 ans de mariage. »
« Je n’en reviens pas. Toi, je n’aurais jamais imaginé ».
« Je ne compte pas la mamie du 1er mais il me semble que vous êtes deux à ne pas être passé à la casserole »
« Alors là, ne compte pas sur moi. »
Je me suis levé, abasourdi, pour rentrer chez moi. Et là, elle ajouta.
« Tu me raconteras. »
J’ai haussé les épaules et suis rentrée chez moi.

Le soir, Alexandre fut agréablement surpris de me voir aussi chaude et il en a bien profité.

Quelques jours après, je croisais Marion qui me dit avec un grand sourire :
« Ça y est, il ne reste plus que toi »
Martin avait donc baisé avec 10 filles de l’immeuble. Sans m’en rendre compte, j’étais intrigué et excité par cette histoire. J’avais qu’une peur c’était de le croiser. Même si Alex profitait de mon soudain besoin de sexe, j’avais peur de faire partie de son harem.

Mais voilà, volontairement ou pas, je me trouvais souvent dans l’ascenseur avec lui ces derniers temps. Il me faisait toujours un compliment et son sourire était ravageur. Plus les jours avançaient, plus je me disais, « ma fille soit forte, ce n’est pas dans ton éducation ».

Puis, un jour je pris l’ascenseur et il était là. Il me dit bonjour avec son sourire. Je baissai la tête pour éviter son regard. Il releva mon menton et me dit :
« Pourquoi caché un si beau visage »
« Oh mais je ne me cache pas »
« Pas très convaincant, petite »
J’étais tétanisé par son regard. Dans ma tête, je me dis qu’il avait de beaux yeux.
Son sourire, ses yeux, bon coup, j’étais dans mes pensées lorsqu’il bloqua l’ascenseur. Il prit mon visage dans ses mains et approcha sa bouche de la mienne. Je lui fis les gros yeux mais laissa sa langue entourer la mienne. Ses mains se firent baladeuse et je fondais, me livrais, moi aussi à cet homme. Tout en continuant de me caresser, il appuya sur le 5ème étage et débloqua l’ascenseur. Devant ma porte, il me dit
« Ton mec n’est pas là, ouvre. » et moi, comme une automate, j’obéis.
Il m’entraina dans ma chambre, comme si c’était chez lui. Il m’assit sur mon lit et libéra son sexe bandé. C’est vrai qu’il était beau et je me suis mise à le lécher, faire des bisous sur son urètre et le prendre au maximum dans ma bouche. Il appréciait vraiment et j’étais fière de moi, toute retenue oubliée. Puis, il retira mes chaussures, fit glisser mon jean et ma culotte. Il finit de se déshabiller et j’en fis autant. Marion avait raison, il me fit jouir rien qu’avec sa bouche. Puis, il s’allongea sur moi, me fixa et me pénétra lentement. Il était gros mais je mouillais tellement qu’il entra sans difficulté. C’était bon et je ne manquais pas de lui dire entre deux gémissements. Il me baisa longtemps sans fatiguer. J’avais jouit plusieurs fois et lui tenait la cadence. Puis il me demanda de me retourner et je m’exécutai avec une certaine appréhension.
Il me prit en levrette et j’atteins rapidement un orgasme foudroyant. Il profita de mon moment de jouissance pour enfoncer son index dans mon conduit anal.
« Non s’il te plait, pas par-là ».
Mais il était évident que mon anus était déjà bien dilaté et il ne m’écouta pas. Un deuxième doigt vint se loger et s’en douleur, s’y enfonça.
« Tu es prête, petite fille, tu vas pousser comme pour aller à la scelle. »
Il présenta son sexe et lentement et avec douceur, il a entré son gland. Le plus dure était passé, alors toujours aussi lentement, il s’enfonça dans mes entrailles. Il stoppa pour que je m’y habitue. Puis en doux mouvements, il me sodomisait. C’était la première fois mais je commençais à apprécier. Ses mouvements se firent de plus en plus intense et là je criais non pas de douleur mais de plaisir. Là, il m’attrapa par les fesses et accéléra ses va-et-vient.
« Tu m’autorise à jouir dans ta bouche, petite ».
« Arrête de m’appeler petite et oui, je veux bien ». Alex adore que quand je le suce, j’avale son sperme et moi j’aime faire plaisir à mon homme et ce n’est pas si mauvais.
J’ai eu un petit mouvement de recul lorsqu’il me présenta son sexe qui sortait de mon cul alors il se branla et il éjacula dans ma bouche ouverte. Là, c’est moi qui le fixa dans les yeux et fière de moi, j’avalais sa semence.
C’est à ce moment que mon portable sonna. C’était ma directrice qui s’inquiétait de ne pas me voir. Merde, j’avais complétement zapper. Je lui dis que j’avais passé une sale nuit, que je ne m’étais pas réveillé et que je serais là cet après-midi.

En rentrant de l’école, je suis allé voir Marion. A peine la porte ouverte elle me dit :
« Ça y est »
« Je suis honteuse mais oui et c’était bien »
« Je savais que tu ne résisterais pas, allez raconte »
A la fin de mon récit elle me dit que j’étais encore plus salope que les autres. Non seulement, j’avais baisée dans le lit conjugal et en plus je lui ai offert ma virginité anale.

Ce qu’elle ne sait pas c’est que depuis, je vais de temps en temps le voir pour me faire sauter et que j’ai également céder au gardien.

Il me draguait depuis que je suis arrivé dans l’immeuble mais depuis mon aventure, je l’allumais de temps en temps. Puis un jour, je suis me suis posté devant sa loge et quand il m’a vu, j’ai mis mon doigt sur mes lèvres, comme une petite fille, et je me suis dirigé vers le local à poubelle qu’il venait de laver à grande eau. J’avais une petite jupe en jeans avec une chemise à pression en jeans également. Il ouvrit le local et une fois à l’intérieur, il tira sur les pressions, ce qui libéra mes seins et mit directement sa main entre mes cuisses. Il me trouva bien humide.
« T’es une belle salope toi, je vais bien te baiser »
Il me retourna et sans préparation me baisa debout. Sa brutalité voire sa bestialité m’a excitée et j’ai vite jouit. Et quand je lui ai demandé, aussi vulgairement que lui, de me la mettre dans le cul, il n’en croyait pas ses yeux mais sa bite a trouvé le chemin facilement. J’ai jouit une nouvelle fois et lui se libéra en moi. Je suis vite remonté chez moi prendre une douche. Je ne sais pas ce qui m’a pris ce jour-là et depuis je crains de céder à mes pulsions. Je le sais, je ne résisterais sûrement pas. L’avenir me le dira.
Quand à Alex, avec ruse je lui ai céder mon cul et il est heureux.

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