Julie - Une Nouvelle Vie: L'Arrivée (Partie 3)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Julie, notre héroïne, est enfin en route pour visiter un appartement. Sous les conseils "avisés" d'Hector, elle a enfilé une tenue sexy et un peu provoquante pour mettre toutes les chances de son côté avec Marco. En route vers son avenir, elle est confrontée à une bande de six jeunes de la cité voisine qui profitent d’elle. Le premier trio s'est bien vidé les couilles dans la gorge de notre jeune eurasienne, et c'est maintenant l'heure pour une deuxième passe.
Les deux gros blacks l'encadrent pour la porter sur la banquette où ils avaient pu profiter de ces belles mamelles. L’un d’eux soulève le fin tissu qui protège encore un peu son intimité, pour exposer les deux grosses mamelles bien fermes et les tétons toujours bien durs et gonflés. Et c'est maintenant, allongée les seins à l’air, la tête dans le vide, qu'elle sent l'arabe se placer à califourchon au-dessus de ces deux gros obus, qui maintenant pointent vers le plafond du bus.
Il lui crache un gros molard entre les deux seins, badigeonne sa longue bite de salive, et bien calé entre les deux mamelles, entreprend une bonne branlette espagnole. Julie n'a pas le temps de protester qu'un des deux blacks lui prend la tête entre ses deux mains, la lui bascule bien en arrière et lui présente à son tour son gros barreau de chair. Aussi large que celle de Karim mais plus longue, lui aussi entame une gorge profonde. Seulement là ce n'est pas le même morceau ! Après quelques essais infructueux, et beaucoup d’efforts de Julie à détendre sa gorge, il se cale bien à fond dans cette étroite gangue chaude et baveuse. Julie, la grosse bite plantée au fond de la gorge, et les grosses balloches pendantes sur le nez, ne peut plus respirer. Mais de nouveau, les vidéos de ce matin lui ont appris qu'il ne faut pas paniquer, il vaut mieux se laisser faire. Elle va bien arriver à reprendre sa respiration à un moment donné. Karim en profite pour faire un gros plan sur la bosse qui dépasse de la gorge de la belle, preuve que son pote est bien au fond.

Le black se met alors à lui marteler la bouche, beaucoup plus violemment que Karim ou Michel, en prenant bien soin de se retirer entièrement régulièrement pour laisser à Julie l'occasion de reprendre sa respiration. De nouveau les bruits de gargouillis et de succions alternent avec les "HAN HAN" de plaisir de son bourreau. Il se retire une ultime fois pour lui éjaculer lui aussi dans la bouche. Elle peut cette fois l'avaler d'un trait.
Son répit est de courte durée puisque le cinquième larron vient prendre la place de son pote. Celui-là est plus dans la norme de ce qu'elle connait, alors après ce que venait de subir sa bouche et sa gorge, elle peut enfin prendre son pied en aspirant bien ce nouveau morceau de chair. De sa main droite elle lui caresse le dessous des couilles, lui malaxe les burnes, titille son périnée. Comme pour Karim, elle att la queue de son autre main, et commence à la branler. Ceci a pour effet d’empêcher la bite de rentrer entièrement dans sa bouche, et permet à Julie de focaliser son attention sur le gland qu’elle s’amuse à aspirer, et à titiller avec la langue. Entre les bruits de succion on peut l’entendre gémir de plaisir.
-Elle aime vraiment ça c’te chienne. Moi qui la prenait pour une intello, c’est une vraie nympho en fait !
Une bite entre les deux seins, et une deuxième dans la bouche, elle sent maintenant deux paires de mains lui attr les chevilles et l’arrière des genoux pour bien écarter ces belles cuisses charnues.
-Eh mec, je crois qu’en plus elle a même pas de string ! Vient filmer ça, on voit trop bien son abricot.
-HUUUUUUMMMM !!!!!!!
La bouche pleine, Julie se cambre et gémit de plaisir au moment où la couture de son slim rentre entre ses grandes lèvres et appuie sur son clito.
-Hahahaha, regarde je crois même qu’elle mouille c’te pute !
Un gros doigt s’insinue maintenant entre ses lèvres bien gonflées de plaisir. Seul le fin tissu de son futal la protège encore. Elle sent bien ce doigt appuyer le long de sa chatte, puis remonter jusqu’à son clito.
Il la caresse, faire rouler son petit bouton contre son pubis, elle jouit comme une folle dans cette position.
-Regardez comme elle est trempée !
Un deuxième doigt lui caresse la chatte alors que le premier accentue la pression sur son clito et le branle de plus en plus vite. Ces attouchements accentuent son plaisir, elle accélère le mouvement de sa main le long de la queue qui lui fouille la bouche, l’aspire encore plus avidement.
-Han, han, putain la chienne, qu’est-ce qu’elle suce bien !
-Matez moi son falzar, elle mouille de plus en plus.
Son arabe empoigne fermement les deux roberts entre lesquels il accélère lui aussi son mouvement. Quelqu’un lui pince ses deux gros tétons qui ont encore gonflés, les roulent entre les doigts. Elle se cambre encore plus, écarte les jambes sous la pression des caresses vaginales.
-HUM, HUM, SLURP, SLURP, elle astique bien le manche qu’elle a en bouche, le branle, l’aspire, l’avale ...
Quand soudain son black lui att le visage, cale sa queue bien au fond de sa gorge, écrasant ses deux grosses balloches poilues sur son nez, et explose dans un long râle de plaisir. L’arabe lui aussi se retire d’entre ses seins, écarte tout le monde et vient appuyer son gros gland turgescent sur le fin tissu blanc de son slim entre les deux petits lobes de ses grandes lèvres. Appuyant bien son gland sur le clito, il se branle et inonde le pubis de Julie de son sperme chaud et gluant. Le chibre mollissant du black se retire de la belle bouche dans un grand bruit de succion. Un grand filet de bave et de sperme mélangé s’étale sur le joli visage de Julie. L’arabe l’enjambe à son tour et vient lui aussi finir de se vider dans la bouche de la belle qui encore sous l’emprise de l’excitation lui nettoie goulument la queue. Elle déglutit et avale les dernières gouttes de sperme qui lui reste dans la bouche. Et tout ça sous l’objectif de Karim qui n’a absolument rien perdu de cette scène digne d’un bon porno.
Epuisée, la mâchoire endolorie, le goût et l’odeur de sperme se dégageant d’elle, Julie reprend peu à peu conscience d’elle-même et de ce qui vient de lui arriver.

-Ben dit donc ma salope, tu cachais bien ton jeu. Maintenant on sait ce que tu vaux, preuves à l’appui.
Ils lui montrent vite fait les séquences qu’ils ont chacun enregistré. Bizarrement, elle se sent bien. Ils ne l’ont même pas sautée mais elle a quand même joui. C’est bien la première fois qu’elle avalait du foutre, et quelle quantité en plus, mais ça ne la gêne même pas. Ce n’est pas terrible au niveau goût, mais les odeurs, le plaisir, la soumission, toutes ces sensations mélangées, c’est ça qui l’avait fait jouir. Elle arrive enfin à se redresser, réalise que le bus sort de l’autoroute pour entrer en ville, mais prend ensuite conscience du sperme gluant mélangé à sa propre cyprine en train de refroidir sur son taille basse.
-Putain, merde les gars, comment je vais faire maintenant ? J’ai un entretien en ville dans un quart d’heure ! J’peux pas me présenter comme ça ?
-Ah ça, on peut pas faire la salope et espérer restée présentable sans prendre de précaution ! Lui retourne Karim.
-Sans déconner les gars ! J’viens de vous vider les couilles, vous pourriez au moins me filer un coup de main.
Au supplice de ne pas vouloir rater sa première visite, elle lâche sans peser les conséquences de sa proposition :
-J’vous promets de vous laisser me faire ce qui vous plaira si vous me sortez de cette merde.
Les tours de la banlieue se profilent maintenant aux alentours. Elle descend au prochain arrêt et n’a toujours pas de solution de repli. « Merci encore Hector ! », elle le maudit intérieurement et s’en veut de s’être laissée aller à jouer la belle. Quand tout à coup Michel fait une proposition :
-Bon j’avoue, t’es une bonne chienne, et si en plus on peut encore s’occuper de toi moi j’suis preneur. J’ai un pote dans le coin qui bosse dans un p’tit business et ma sœur va s’fringuer là-bas quand elle doit trouver un nouveau taf’, genre se faire le chef pour avoir le job, tu vois ?
Tout sera mieux à prendre que de se présenter dans un accoutrement qui pue le foutre et la chatte.

-OK j’accepte tout ce que vous voulez, mais s’il vous plait m’laisser pas dans la merde !
-Ou dans l’foutre ! Eclate tout à coup l’arabe qui lui avait arrosé la chatte de sa jute.
Karim interpelle alors le chauffeur :
-Hey Moussa tu peux nous lâcher là, on a un truc à faire. Tu nous diras quand tu repasses ? On rentre avec la p’tite tout à l’heure !
-Pas de problème mec. J’ai au moins une tournée à faire dans le coin.
Une fois en dehors du bus, l’ambiance n’est plus la même, fini la jouissance des mains baladeuses sur ses seins et sa chatte. Fini aussi les queues qui lui baisent la bouche et la gorge. Fini les odeurs mélangées de sperme et de cyprine qui l’ont tellement excitée, maintenant ces mêmes odeurs laissent un sentiment d’échec. Seule reste l’inquiétude de son entretien avec Marco qui acceptera ou non de lui louer son appart’. Entourée de ses cinq nouveaux « potes », elle attend anxieuse le retour de Michel qui doit lui trouver une nouvelle tenue. C’est en effet au coin de la rue que va se jouer son avenir. Le PMU de Marco est à deux minutes à pied, elle doit le rencontrer dans moins d’un quart d’heure, et toujours pas de Michel en vue. En plus qu’est-ce qu’il entendait par « se faire le chef pour avoir le job » ? Julie avait peur de connaître la réponse à cette question. Mais pas question d’abandonner, pas maintenant, alors qu’elle est si près de son but.
Elle aperçoit enfin Michel qui arrive un petit sac à la main. Qu’est-ce qu’il a bien pu lui trouver en si peu de temps ? En tout cas le sac ne lui paraît pas très gros pour du shopping. Mais plus le temps de tergiverser, pieds nus sur la veste de Karim, et cachée par le mur humain qui l’entoure, elle retire son débardeur et son slim tout poisseux de sperme. Elle att le sac que lui tend Michel qui, en effet, est bien léger. Elle en sort deux petites boîtes blanches et une troisième encore plus petite.
-Tu es sûr qu’il y a vraiment des vêtements là-dedans ?
-Mais oui t’inquiètes pas ! Et j’te garantis qu’ils t’iront comme un gant.
L’heure tourne de toute façon, plus moyen de faire machine arrière, en plus maintenant elle est complètement nue au milieu de la rue. Heureusement il n’y a pas trop de monde dans cette partie de la ville. Elle ouvre les deux plus « grosses » boîtes et en sort un mini débardeur blanc très court mais aussi très élastique, puis une micro jupe, blanche elle aussi, et taillée dans le même tissu. Elle passe tant bien que mal le débardeur qui en effet lui va comme un gant, très serré. Bien que la matière soit très agréable, le bas du débardeur couvre à peine les deux tiers de ses seins. Mettant bien en évidence sa proéminente poitrine, on distingue presque la base de ses aréoles. Elle passe ensuite sa nouvelle « jupe », qui ressemble plus à un bandeau arrivant tout juste au-dessous de sa chatte mais ne cachant que la moitié supérieure de son cul.
-Mais t’es pas dingue ? Je s’rais à poil que ce s’rait moins provoquant !
-Mais attends, j’y ai bien pensé, et t’as pas encore ouvert la dernière boîte !
Tout de même curieuse elle ouvre la dernière boîte et en extrait un micro string, blanc lui aussi, dont la face ne présente qu’un tout petit triangle transparent.
-C’est une blague non ?
-J’te promets que si tu déroches pas ce pourquoi tu es là avec tout ça, on te laisse tranquille. Mais si ça marche t’as plutôt intérêt à tenir ta promesse.
Elle consent donc à compléter sa tenue avec ce tout petit accessoire et s’apprête donc à rencontrer Marco ainsi « vêtue ». Alors qu’elle enfile ses petites bottines et sa petite veste, Karim lui retire son sac à main, ramasse sa veste et les vêtements souillés de sa pouliche, et d’ajouter :
-Ça, c’est pour être sûr que tu te défiles pas !
Puis il l’attire à lui et lui roule une nouvelle galoche bien baveuse, qu’elle lui retourne, de nouveau excitée par l’anticipation de se faire baiser par ce petit gang. Michel quant à lui se plaque derrière elle, sa grosse queue toute dure calée entre ses deux fesses. D’un doigt il soulève le tissu de son nouveau débardeur, libérant sa poitrine rebondie. Il lui att ses gros seins, et en titille les tétons pour les faire bien durcir en les roulant entre ses doigts. Ils la relâchent de leur étreinte commune, tous les six s’éclipsent et elle se retrouve seule sur le trottoir les seins et les tétons bien durs à l’air. Julie tente alors de réajuster ses nouveaux vêtements mais le tissu de son top est tellement fin qu’on distingue parfaitement le volume et la couleur de ses mamelles bien dures.
Bon tant pis c’est l’heure de toute façon, il faut y aller. Elle avance alors d’un pas déterminé vers son destin. Elle se rapproche alors de l’avenue où se trouve le PMU de Marco, elle en aperçoit la foule beaucoup plus dense que dans la petite rue sombre où elle s’est changée. Chaque pas qu’elle fait pour enfin rencontrer Marco est un supplice, l’oscillation permanente de ses gros nichons manque de découvrir ces derniers à tout instant. Et comme si cela ne suffisait pas, à chaque enjambée, la jupe elle-même se relève, révélant toujours un peu plus la base de ses fesses. Encore quelques pas, ça y est la foule de l’avenue, elle tourne sur sa droite et enfin elle aperçoit l’enseigne tout près.
Elle n’a que quelques mètres à faire, mais elle sent bien sa jupe qui remonte inexorablement le long de ses cuisses, découvrant toujours plus ses fesses et son pubis. L’oscillation de ses gros seins dans leur léger carcan de tissu attire l’œil, les mecs se retournent sur son passage, les autres meufs la regardent avec mépris. Mais elle s’en fout, de cet entretien dépend son indépendance, « alors rien à foutre de ces connes ! ». Elle se présente devant la porte vitrée, retire sa veste, réajuste un peu sa jupe et son top, inspire un grand coup …
-« Ding ding » - Bonjour, je m’appelle Julie, et je viens voir Marco !

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