L'Enfer 4

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je viens de passer la nuit dehors couchée sur la paille, les membres écartelés et attachés par des lanières à des piquets plantés dans le sol.
Après m'avoir entravée puis sodomisée mon maître a enduit les tétons de mes seins, mon anus, ma chatte et mon clitoris de produit qui m'a échauffé les sens pendant un bon moment et donné des envies de bite m'empêchant de dormir.

Premier mercredi de captivité
Après avoir fais une fellation à mon maître je déjeune et fais ma toilette
Mathieu ne m'affuble pas des grosses chaînes, il met une ceinture de cuir autour de ma taille équipée de deux bracelets dans lesquels il emprisonne mes poignets.
Je garde ma muselière/bâillon.
Il ouvre le coffre de sa voiture et me dépose à l'intérieur en me soulevant comme une plume.
Il referme le coffre et je me retrouve recroquevillée dans le noir.
Ma situation n'est pas idéale et je ressens les cahots pendant le trajet.
La voiture s'arrête, mon maître m'extrait du coffre, Jacques l'obèse nous attend sur le pas de sa porte, il se saisit de ma laisse.
<<je reviens chercher la truie vers treize heures, amuses toi bien avec et ne la ménages pas>>.
<<OK, à tout à l'heure>>.

Jacques me fait entrer chez lui me tirant par la laisse puis il referme la porte et nous gagnons le salon.
<<à genoux ici et attends moi sans bouger>>.
J'obéis.
Il quitte la pièce et revient quelques temps après, il s'est changé et a revêtu une robe de chambre qui a du mal à cacher son ventre très proéminent.
Il s'assoit sur le canapé.
<<tu vas me sucer pour commencer et après on s'amusera>>.
Je me lève et m'approche de lui pour qu'il retire ma muselière et libère mes poignets ensuite je me mets à genoux entre ses jambes, je dégrafe la ceinture de sa robe de chambre et en écarte les pans ensuite je caresse son pénis qui est en érection.


Je mets ma tête sous les bourrelets de son ventre et en repoussant ceux-ci ma bouche se trouve au niveau de sa queue. Je l'embrasse, la lèche pendant un bon moment puis la prends dans ma bouche ce qui le fait sursauter.
Je serre au maximum mes lèvres sur son sexe pendant que je le suce et rapidement avec des soubresauts celui-ci arrose ma gorge de sperme. j'avale et continue à sucer un peu puis je me retire et m'accroupis à coté du canapé attendant la suite.

Ensuite commence ce qu'il appelle s'amuser.
Je dois aller chercher une cravache dans un placard et lui amener.
<<embrasses la, elle va te caresser les fesses>>.
Je fais ce qu'il me dit ce qui le fait rire.
<<tu vas faire des tours de la pièce à quatre pattes et passer à chaque fois près de moi>>.
Je m'exécute et à chaque fois que je passe devant lui il me demande d'aller plus vite et des coups de cravache s'abattent sur mes fesses.
Au bout d'un moment je fatigue mais je continue tant qu'il ne me dit pas d'arrêter.
<<maintenant la même chose en rampant>>.
Et c'est reparti, les coups de cravache pleuvent car il me trouve trop lente.
<<maintenant tu vas prendre des poses>>.
A genoux, couchée sur le dos puis sur le ventre, jambes levées ou repliées, sur le sol, sur le canapé, il me même faire le poirier.
Ensuite je m'allonge sur la table et prends les poses qu'il exige.
Je dois ouvrir au maximum ma chatte avec mes deux mains, masturber mon clitoris me doigter la chatte et l'anus.
Il n'arrête pas de prendre des photos.
Il en profite pour mettre ses gros doigts et le manche de la cravache dans ma chatte et mon cul.

Il est satisfait et m'emmène dans sa chambre.
Je l'embrasse longuement puis j'embrasse et lèche son corps en descendant vers son ventre.
A genoux entre ses jambes après avoir léché son pénis qui est gluant à cause des secrétions causées par son excitation lors de la séance de poses puis je lui fais une fellation.

Rapidement je me positionne à califourchon sur lui et introduis sa queue dans ma chatte, il soupire beaucoup pendant que sa verge fait des aller-retour dans mon intimité. Il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu'il ne se crispe et en râlant n'éjacule en moi.
Je me retire, caresse puis masturbe son pénis gluant de sperme longtemps avant qu'il ne commence à rebander puis je le suce jusqu'à avoir une érection satisfaisante.
De nouveau je me mets au dessus de lui mais en sens inverse et tenant sa queue dans une main je le tiens contre mon anus et je fais descendre mon corps pour m'empaler et l'enfoncer entièrement dans mon cul.
Il soupire de plus en plus fort et me traite de salope pendant que je remue et pour une fois il ne débande pas pendant le coït.
Il se passe du temps avant qu'il ne parvienne à jouir, ce qu'il fait en poussant un long râle. Sa queue tremble et envoie quelques gouttes de sperme dans mon cul.
Je me retire et me lève puis j'attends debout qu'il récupère.
Il se rhabille et nous retournons dans le salon ou il me dit que je suis une putain très douée pour le sexe.

On sonne à la porte, il va ouvrir.
Il revient avec des plateaux repas.
<<Mathieu m'a dit de ne pas te donner à manger mais comme tu as été bien obéissante je vais passer outre>>.
Il m'autorise à m'asseoir en face de lui et nous mangeons' cela me fait bizarre de manger à table assise sur une chaise.
Ensuite il me remet la ceinture de cuir autour de la taille et immobilise mes poignets dans les bracelets puis fixe la muselière sur mon visage après avoir fait pénétrer la boule dans ma bouche.
<<tu es une bonne putain bien soumise et j'aime bien baiser avec toi>>.
Accroupie sur le sol j'attends.
Mon maître arrive, tenue en laisse il m'amène jusqu'au coffre de sa voiture dans lequel il me couche recroquevillée.
Vue la disposition des lieux et la haie d'arbuste qui entoure la proptiété on ne peut pas nous voir de la rue.

Retour chez Mathieu.

De nouveau affublée les chevilles et poignets affublés des bracelets en cuir il me pend par les poignets les pieds ne touchant pas terre au palan puis il retourne travailler.
Je commence à avoir l'habitude de souffrir et de pleurer.

Enfin le jardinier, un homme maigre et âgé arrive.
<<monsieur Mathieu t'en fait baver, il dit que tu aimes ça>>.
Il manoeuvre le palan et libère mes poignets.
Il mesure le tour de mon cou et de mes poignets.
<<je suis en train de travailler pour toi, tu verras c'est une belle surprise>>.
Il me déleste de la muselière.
<<monsieur Mathieu m'a dit que tu allais me faire quelque chose en plus>>.
Il étale un plaid qu'il avait amené puis s'allonge dessus après que j'aie baissé son pantalon et son slip d'un blanc douteux.
Je l'embrasse ce qui lui plait car il en redemande puis j'embrasse et lèche son sexe avant de lui faire une fellation ce qui le fait se trémousser, je suce jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche en gémissant.
Je caresse et masturbe sa queue ramollie pendant un bon moment avant qu'elle ne reprenne vie puis je la suce de nouveau énergiquement.
Je me mets à califourchon sur lui, je fais pénétrer sa verge dans mon vagin puis je m'active pendant un moment, il ne semble pas être prêt à jouir alors après de lui avoir fait une nouvelle fellation je la fais pénétrer dans mon anus puis je fais monter et descendre mon corps pour imprimer des mouvements de va-et-vient de son pénis dans mon cul.
Il n'arrête pas de crier <<oui! c'est bon! continues>>.
Il se passe du temps avant que son corps ne se cambre et qu'en poussant un long cri qui ressemble à une plainte il ne jouisse sans que beaucoup de sperme ne coule dans mes intestins.
Il n'en peut plus et me repousse quand après l'avoir laissé récupérer je commence à caresser sa verge.
Après m'avoir remis la muselière/bâillon il rattache mes poignets au palan et le fait monter sans aller jusqu'à me faire décoller de terre.

<<maintenant je vais aller travailler pour toi>>.

En fin d'après-midi je vois arriver le jardinier qui tient une planche percée d'un gros trou et de deux petits trous.Je constate que ce sont en fait deux planches reliées ensemble par des boulons.
Il manoeuvre la palan et détache mes poignets du crochet de celui-ci.
<<je vais regarder si ton nouveau jouet te va, mets toi à genoux>>.
Il libère mon cou du collier et mes poignets des bracelets en cuir.
Il désolidarise les deux morceaux qui constituent la planche puis les réunit de nouveau emprisonnant mon cou et mes poignets dans les trous, il revisse les boulons.
Je comprends qu'il a construit un carcan.
<<ça va, les trous ne sont pas trop justes>>.
En bougeant la tête je dis non.
<<c'est parfait, j'ai scellé les montants dans le sol, demain tu pourras l'utiliser. Tu es contente de ce que j'ai fais pour toi>>.
Je hoche la tête pour dire oui.

Il actionne le palan, mes bras sont étirés vers le haut et mes pieds ne touchent plus le sol.
<<excuses moi, ce sont les ordres>>.
Il part me laissant seule en pleurs avec le corps douloureux.

Enfin mon maître arrive, il me libère du palan et me sodomise à genoux.
Après m'avoir remis les chaînes direction sa maison ou j'attends à genoux de dîner.

Quand il me sort pour que je passe la nuit dehors il pleut.
<<tu ne vas pas me demander de te laisser dormir à l'intérieur comme une chochotte>>.
Je fais non avec ma tête.
Il m'installe sur la paille mouillée bras et jambes écartés, poignets et chevilles attachés aux piquets plantés dans le sol.
Je grelotte puis le pluie cesse mais trempée je passe une mauvaise nuit.

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