Le Piège Du Vestiaire

Léo est un de mes élèves depuis plus de de 7 ans déjà. Je le connais bien. C’est un garçon vraiment très gentil, sensible, toujours à vouloir aider. Il a commencé le badminton à 11 ans lorsqu’il est entré au collège. Ses parents l’avaient inscrit pour qu’il ait une activité physique et il a vraiment accroché. Aujourd’hui, à 18 ans, il est sans doute le meilleur jeune du club.
Mais ce qu’il y a de particulier chez ce garçon, c’est ce côté attachant. Il est le fils parfait que tout le monde voudrait avoir. Depuis toujours, il se démarque des autres par sa disponibilité, son sens de l’équipe, sa sens du devoir, sa générosité. Je l’apprécie vraiment ce petit Léo. Enfin petit … il mesure 1,8m maintenant…
Je pense qu’il est très attaché à moi. Il m’apprécie parce que je suis juste avec lui, à son écoute et que je laisse me donner un coup de main dès que c’est possible. Il aime m’accompagner et m’aider lorsque je prépare la salle ou lorsque je range. Il est même parfois là pour donner un coup de main lors des séances pour adultes alors qu’il ne joue même pas.
Je n’ai jamais caché à mes élèves que je suis gay. Je ne l’affiche pas non plus, mais il m’est arrivé à plusieurs reprises de présenter mon copain aux équipes. Je pense que tout le monde l’accepte. Tout du moins, je n’ai jamais eu de remarque désobligeante ou de comportement hostile. J’ai même eu des parents qui sont venus me voir un jour pour me demander des conseils car ils pensaient que leur fils était gay…
Les séances ont lieu le soir au gymnase municipal de la petite ville de Provence dans laquelle je vis. Le mardi et le vendredi pour les jeunes de 19h à 21h. Aidé d’autres moniteurs, j’ai scindé les s en deux groupes : les 8-12 et les 13-17 ans. Je m’occupe tantôt de l’un, tantôt de l’autre. Léo est bien entendu dans le deuxième groupe maintenant. Ils sont 7 ados Ce n’est pas toujours facile à gérer. Leur côté rebelle pré-pubère refait surface à la première occasion.

Certains sont là depuis longtemps et ils sont passés par le groupe des petits. Je les connais donc bien. D’autres sont arrivés récemment, ils sont donc plus imprévisibles, mais je gère. Je suis sympa avec eux, un peu copain, mais je pose des limites et lorsqu’elles sont dépassées, la sanction tombe, sans négociation ni discussion. Je pense qu’ils m’apprécient pour ce côté juste et stricte. Un cadre qu’ils n’ont peut-être (surement) pas chez eux.
Léo est le seul que je n’ai pas besoin de rappeler à l’ordre lorsqu’il s’agît de mettre en place ou de ranger les filets. Il est toujours le dernier à m’aider dans la remise. Parfois même je le trouve un peu « collant ». Mais bon, je sais qu’il aime discuter avec moi de tout et de rien. Je le laisse donc faire.
Mais il y a autre chose de troublant chez ce jeune garçon.
Lorsque nous arrivons aux vestiaires les autres sont déjà partis ou sur le point. Nous nous changeons donc généralement ensemble. Il n’y a qu’une cabine de douche, donc nous la prenons l’un après l’autre. Souvent Léo en premier, moi ensuite. C’est l’occasion de voir son corps. Il est grand, muscles secs de sportif de fond, rien en trop, pas un pète de graisse. Sa peau est blanche, presque translucide, elle semble douce et soyeuse. Il est totalement imberbe, sauf une petite touffe au sommet du pubis. Quand on le regarde dans son ensemble, il parait comme un Apollon, à la jeunesse insolente. Un visage fin couronne ce corps parfait, un menton carré, des sourcils comme dessinés au crayon, mais surtout des yeux verts clairs transperçant. De longs sourcils viennent finir le tableau, lui conférant un magnifique regard, un de ceux qu’on ne peut soutenir sans baisser les yeux.
Je reconnais que c’est agréable à regarder. J’ai vu évoluer son corps pour devenir tel qu’il est aujourd’hui. Si avant je n’y prêtais pas attention, il est homme maintenant. Pourtant je m’efforce de n’avoir aucune pensée impure à son égard, car ce n’est encore qu’un gamin et le connais depuis si longtemps… Aucune, et pourtant…
J’ai la sensation qu’il y a quelque chose d’étrange chez lui.
A chaque fois qu’il est nu devant moi, j’ai l’impression qu’il s’exhibe. Je veux dire par là qu’il est très long à s’essuyer avec sa serviette. Ensuite, il discute avec moi, retardant d’autant l’enfilage de son boxer. Les passages de serviette dans son « service trois pièces » sont plus qu’insistants. Et son fameux service parlons en : Une belle paire de couilles bien pendantes et un pénis volumineux et long, environ trois fois le mien au repos. A moins qu’il ne soit pas tout a fait au repos… Non je ne peux y croire. Léo s’exhiberait-il devant moi ? Serait-il pervers à ce point ? Serait-ce un appel ? Mieux vaut dire que non. Que c’est mon imagination qui me joue des tours…
La semaine dernière, il a encore recommencé avec son exhibition. Sauf que je j’ai surpris plusieurs fois son regard vers mon entrejambe. Encore mon imagination me direz-vous. Ou alors, c’est simplement un jeune qui regarde ce qu’il y a à regarder, sans arrière-pensée ! Mais tout cela me donne un doute certain.
Je décide donc d’échafauder un plan pour en avoir le cœur net. La séance a lieu le soir même au gymnase. Comme a son accoutumé, Léo traine avec moi à la fin de la séance pour ranger. Cette fois, je prends mon temps pour tout le monde soit bien partit quand nous rentrerons dans les vestiaires. Le champ étant libre, nous nous dirigeons ensemble dans la zone réservée aux garçons. Cette fois, je me déshabille rapidement pour griller la priorité à mon jeune compagnon et rentrer le premier dans la douche. Pendant que je me lave, j’excite particulièrement mon sexe pour qu’il bande légèrement, histoire qu’il y ait bien une différence avec avant. Lorsque je sors de la douche, Léo est face à moi, nu, serviette sur l’épaule et prêt à entrer dans la douche. Tout en m’essuyant, je reprends son jeu en exhibant mon sexe mi-mou. Son regard est immédiatement attiré par le fameux objet… Mais cette fois, je note clairement qu’il marque un arrêt. Je lui lance une banalité pour qu’il me laisse le temps de finir de m’essuyer et de sortir de l’encadrement de la porte de la douche.
Mais, chose imprévue, la scène provoque en moi une chaleur qui a pour conséquence de finir le travail commencé : je commence à bander carrément. Je décide donc de masquer mon émoi avec ma serviette, mais c’est trop tard, il m’a vu. Et si je me faisais de films… que va-t-il penser ? Et s’il le répétait ? Ces pensées on l’avantage de faire retomber « la pression ».
Léo a pris a pris ma place dans la douche. Il ne dit plus rien et moi non-plus. Pourtant un détail me surprend au bout d’un moment. Je trouve que sa douche s’éternise… Toutes les éventualités me passent par la tête. Je décide le tout pour le tout. Je rentre dans la douche en prétextant avoir oublié mon gel douche. Léo est tourné face conte le mur. Je ne vois que ses belles fesses rondes et son dos musclé. Ses mains sont clairement sur son pubis et le mouvement du bras droit ne laisse aucun doute : il est en train de se branler ! Quand il m’entend parler, il a un mouvement de sursaut et il pivote légèrement vers la droite. Il tente de cacher son sexe, mais il n’y parvient qu’à moitié, compte tenu de sa taille en érection. Je reste là, interdit, et lui rouge comme une pivoine. Il essais de baragouiner quelques chose mais ce ne sont que des onomatopées dans sa bouche. Malgré la prévisibilité de la situation que j’ai provoquée, je suis quand même étonné. D’abord par le culot qu’il a de se branler là, dans une douche sans porte à quelques mètres de moi. Ensuite, de la taille de l’engin que je viens de voir entre ses jambes. Une verge longue d’au moins vingt centimètres et d’une largeur conséquente, surmontée d’un gland décalotté plus large, posé comme une tête sur un corps. Sur son corps sec et long, l’ensemble forme une harmonie certaine. L’image dégage une forte puissance masculine, débordante de testostérone.
Lorsqu’il constate mon arrêt devant lui, qu’il est certain d’avoir été pris la main dans le sac (ou sur le paquet devrais-je dire ici), il dégage ses mains pour me laisser pleinement voir son intimité.
Je vois parfaitement maintenant son pénis. Il est tellement bandé, que le gland touche ses abdominaux formés. L’eau qui dégouline sur son corps souligne le caractère érotique de la scène. Il ne dit plus rien et me regarde droit dans les yeux. Il est face à moi maintenant, complètement tourné. Je suis toujours immobile en admiration devant ce corps d’éphèbe. Je dois dire ou faire quelque chose, mais quoi ? Je me décide enfin à dire :
- Et bien ! je vois que tu t’amuses bien !
Quelle phrase de merde ! Je suis complètement naze. Il me répond en baissant les yeux sur le slip que j’avais enfilé avant de rentrer dans la douche :
- Je vois que toi aussi tu aimerais bien t’amuser …
Mon regard suit le sien. En baissant la tête, je vois que mon slip déborde d’une forte érection. Le gland tendu dépasse même de l’élastique de mon freegun. Je suis sidéré de ce que je vois ! Je ne m’était même pas rendu compte de l’effet provoqué. Je ne peux donc plus nier la relation de cause à effet ! Il s’approche doucement. Son regard plongé dans le mien.
- Je peux ? dit-il en tendant une main vers moi ?
Il prend mon absence de réponse pour un oui. Mon cerveau n’est plus qu’un bouillon brûlant. Il pose sa main sur mon paquet débordant et il serre l’ensemble entre ses doigts. Cela me provoque une sensation torride qui me fait inspirer un grand coup, sans possibilité d’expirer, comme si cette pression avait été le gonfleur de mes poumons. J’ai le souffle coupé. Il s’approche encore. Son visage n’est qu’a dix centimètres du mien. Je sens son haleine chaude sur mon visage. Ses yeux verts sont comme deux billes de cristal vertes d’une pureté inouïe que j’observerai à la loupe. L’eau qui ruissèle sur son front plaque des mèches de cheveux châtains sur son front. Ses lèvres roses et délicates sont maintenant à quelques centimètres de ma bouche. C’est alors que je craque.
Je fonds sur lui comme une furie, goûtant à sa langue, puisant dans sa bouche toute l’ivresse d’un baisé passionné. Je le serre dans mes bras et le plaque contre moi. Je sens sa virilité déployée son mon bas ventre. Ses mains m’enveloppent à leur tour, glissant de mes épaules pour s’arrêter sur mes fesses. Il glisse une phalange dans ma raie.
Notre baiser langoureux dure bien trois minutes, avant que nos langues engourdies se séparent et laissent enfin nos lèvres se détacher pour prendre une inspiration vitale. Léo profite de ce répit pour glisser à genoux, et baisser mon slip. Mon sexe se déploie face à son visage, tendu, gorgé de désir. Quelques gouttes de méat perlent déjà sur le gland, témoins de mon désir. Après quelques secondes d’hésitation, il commence par lécher le bout de ma verge, lapant au passage les gouttes salées. Puis il s’enhardi, et gobe le tout, faisant glisser ses lèvres sur mon membre. La sensation est divine. Je crois défaillir à chaque instant. Il est impossible qu’il en soit à son premier coup, vu son expérience. Aucun faux pas, il pratique une fellation excessivement bonne. Au bout de quelques minutes, je dois l’interrompre pour éviter je jouir déjà. Je lui dis qu’il est doué, il sourit malicieusement. Il a enfin ce qu’il voulait. Depuis combien de temps attendait-il ça ?
Je décide de lui rendre la pareille. Je me glisse à mon tour à genoux. Le carrelage est douloureux, mais peu importe ! La proximité de son sexe confirme mes premières impressions. Il s’agit d’un beau morceau. 21 cm par 5. Maintenant que je le vois de près, je note la perfection de la forme, harmonieuse, les veines tendues apparentes. A mon tour j’embrasse l’objet, le lèche sur sa longueur en prenant soin d’éviter le gland, puis je fouille ses beaux testicules avec ma langue. Enfin je remonter le long de la verge pour gober son bout turgescent. A cet instant, je sens un tremblement dans son corps, doublé d’un gémissement de plaisir. Je lui prodigue une pipe comme j’en ai le secret.
Beaucoup d’hommes m’ont félicité pour ce qui est l’une de mes spécialités coquines. Ma technique est simple : l’usage de la langue est proscrit. En effet, les papilles râpeuses du dessus de la langue provoquent une sensation désagréable. Tout du moins, les plus sensibles le perçoivent comme tel. Ainsi le contact de l’intérieur des lèvres prodiguent un plaisir bien plus doux et intense. Un mouvement de va et vient sur le gland est du plus bel effet. Il y a aussi le jeu avec la gorge. En avalant bien le gland, celui-ci pénètre dans la gorge, comme dans un trou chaud. La sensation est alors décuplée, mais le suceur soit maitriser le reflex de rejet et de vomissement. Les spécialistes appellent cela une gorge profonde.
A la vue de la taille du membre de Léo, je ne risque pas de le gober complètement, mais je laisse son gland glisser à la limite de ce que je peux accepter. Il semble apprécier et la double caresse de mes lèvres et de ma gorge l’ont mis en transe. Il tremble maintenant comme une feuille, soufflant et gémissant comme un animal. Je sens son plaisir monter. Depuis le début de la fellation un petit goût salé m’indique qu’il apprécie et que son plaisir monte. En tant que spécialiste, je connais tous ces marqueurs. En particulier ceux avant la jouissance : on sent la verge se tendre encore plus fort, le gland se durcir comme de la pierre et le goût salé qui devient continu.
Léo en est à ce point. Je ressens clairement qu’il est prêt à exploser, le goût salé, le gland dur comme du béton. Il baisse la tête. Je lève les yeux en continuant le mouvement. Il comprend que je veux tout. Ses gémissements et tremblements s’accélèrent, et un cri me donne le top. J’avale au plus profond possible, et je sens les contractions de son éjaculation dans ma gorge, le liquide chaud et abondant qui s’y écoule, les jets puissants qui remplissent ma bouche. C’est magique. Sans doute la plus belle pipe de ma vie ! Je n’ai jamais ressenti pareil jouissance chez un partenaire et ça, ça m’excite au plus haut point. Tellement que je suis sur le point de jouir sans me toucher.
Léo, qui a repris ses esprits, me relève par un mouvement de bras. Il s’agenouille à nouveau et enfourne mon sexe prêt à partir. Il a bien observé ma technique, car il me prodigue la même. Sauf que je n’en peux plus et je lui notifie. Il retire le sexe de sa bouche, la conservant ouverte et tirant la langue. D’une main, il branle mon membre. C’est à ce moment que je joui. Six jets puissants viennent remplir sa bouche et couvrir son visage de sperme. C’est ce qu’il voulait, recevoir en pleine face ma jouissance et le couvrir de ma semence virile.
C’est réussi. Il en a de partout ! Jusque dans les cheveux. Il se relève et je le pousse tendrement sous la douche qui n’avait cessé de couleur depuis le début. Je le savonne tendrement. Il se laisse faire et profite de chaque instant où nous sommes en contact. Il se retourne et je continu sur son dos et des fesses galbées. Le contact de cette peau douce, de ces muscles fermes, tous ces attributs de jeunesse n’ont pour effet que de rallumer mon désir. Je bande à nouveau très dur. Je le retourne et je constate que lui aussi en redemande. Mais la douche n’est pas terminée… Je savonne chaque recoin de son corps puis le rince consciencieusement. A son tour, il prend la main et me prodigue les mêmes soins, en insistant tout particulièrement sur mon sexe qu’il semble adorer. Je dois dire que de ce côté-là je suis gâté par mère nature. Il est plus court que celui de Léo, dans les 18 cm, mais il est très large. Il en impose comme une massue. Il parait lourd et épais. Il a surtout la particularité d’être très dur en érection, pas comme la plupart des mecs qui en ont une grosse.
Léo est maintenant derrière moi, il me rince le dos. Il se plaque contre mon dos et je sens sa verge gonflée contre mes fesses. Il m’embrasse dans le coup positionne sa bouche juste contre mon oreille. Il me susurre :
- J’ai envie de toi.
Eh bien, il s’enhardit le garçon ! Je lui réponds que je suis plutôt actif. Il l’ignore et descend le long de mon dos. Il commence à lécher mes fesses, puis sa langue se fait plus insistante le long de ma raie. Il finit par un anulingus très réussi qui me fait lâcher prise. A cet instant, j’ai une terrible envie qu’il me prenne. J’ai envie de sentir sa virilité en moi, qu’il me possède. Je veux être le réceptacle de sa jouissance virile.
Il le sent et ne tarde pas à remonter le long de mon dos. Il commence par m’introduire un doigt, puis deux. J’apprécie le soin qu’il prend pour préparer mon trou à recevoir son gros calibre. J’en suis anxieux d’ailleurs car j’en ai que peu l’habitude. Mais j’y pense, comment connait-il tout ça ? Où a-t-il appris tout ce qu’il sait ?
Il a retiré ses doigts et plaque son pubis contre mes fesses, son sexe passant entre mes jambes. Puis, petit à petit, il frotte son gland dans ma raie pour trouver le portail magique. Naturellement, il s’emboite dans l’entrée de l’orifice dilaté. Par une légère pression des hanches, il le pousse à l’intérieur, très lentement, sans a coup. La sensation est superbe. Jamais je n’aurais pensé en arriver là un jour. La dernière fois qu’un mec m’a pris, ça remonte à plusieurs années. Un hétéro super viril qui voulait essayer avec un mec. J’avais craqué devant l’excitation de la situation. Mais j’avais regretté ensuite, car j’avais eu mal.
Léo, lui, est très doux. Mais quand sa verge me perfore au trois quart, je dois dire que ce commence à faire beaucoup. Je n’ai pas mal, mais la sensation devient désagréable, irritante. Il s’arrête et couvre mon cou de baisers, me mordillant au passage le lobe des oreilles. Cette diversion permet à mon fondement de se dilater davantage. La sensation désagréable s’estompe. Il reprend sa course et me pénètre jusqu’à la garde. Je me sens comme rempli, empalé par son attribut. Je défaille presque. Il commence de petits mouvements de va et vient. C’est de plus en plus agréable. Mon sexe, qui pendant la pénétration s’était avachi, reprend progressivement sa forme. Les mouvements de Léo s’accélèrent. La sensation a encore changé. Je sens maintenant comme de petites décharges électriques au niveau de l’entrejambe. Chaque coup de boutoir m’envoi de petit signaux de plaisir qui vont en grandissant. Il frotte sur ma prostate, c’est sûr. Cette jouissance est différente de toutes celles que j’ai déjà ressenties. Elle se diffuse dans l’aine, remonte dans mes testicules et se répercute dans mon gland. Déjà, un méat abondant s’écoule et filets depuis l’orifice de mon gland.
A ses cris, je sens que Léo est prêt de la jouissance. Il accélère encore le mouvement, ce qui a pour effet de stimuler encore plus ma prostate. Puis, dans un dernier coup de rein, il jouit en moi, râlant comme une bête à l’agonie. Je sens au fond de moi les contractions de son gland et les décharges de sperme qui m’emplissent. Ces derniers signaux, faits de micro-vibrations provoque chez moi un stimuli que je n’avais jamais connu. La réaction est immédiate : je décharge sur le carrelage de la douche sans même me toucher, en quatre jets puissants. Le premier va s’écraser sur le mur à un mètre devant moi, les autres au sol. Je regarde étonné les mon sperme épais couler le long du mur. Léo est toujours en moi, avachi sur mon dos, il n’en peut plus.
Comment une telle jouissance est-elle possible ? En 35 ans, je n’avais jamais connu ça. Et c’est un gamin qui vient de me la procurer. C’est incroyable, je n’en reviens toujours pas. Mais d’autres questions me taraudent : Que va-t-il se passer maintenant ? Comment allons-nous gérer ce changement de relation qui nous tombe dessus comme ça ? L’avenir me parait sombre, mais jouissif.

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