La Belle Des Années Folles - Chapitre 3 -

Résumé des chapitres précédents : Jeanne, jeune femme de 19 ans, violée dans sa province natale à l’âge de 15 ans, " monte " à Paris. Là, la curiosité et le désir la pousse à sortir un soir de la maison où elle est bonne et elle se retrouve par hasard Place Clichy où elle est emportée malgré par une folle en goguette…

3 - Le bouge de la place Clichy.

Ils arrivaient maintenant à fond de la cale. Le raz-de-marée humain avait déferlé en tourbillonnant dans les escaliers avec des cris et mouvements incohérents et la cohorte touchait le fond de la fosse… Il y faisait très sombre, puis la porte s’ouvrit brutalement. Un mouvement de foule encore et Jeanne se retrouva avec la moitié du groupe à l’entrée de l’antre.

Les yeux de Jeanne s'accoutumèrent rapidement à la demi obscurité, en même temps que de forts relents d'alcools, mêlés à une odeur de pierres humides et de musc lui assaillaient les narines. Elle vit juste en face d'elle, une femme qui dansait nue sur une grande table, à moitié saoule, en écartant les cuisses de façon obscène. Juste en dessous d'elle, sur le bout de la même table une femme se faisait baiser en levrette tandis qu'elle suçait la bite tendue d'un type debout à côté d'elle.

Au moment précis où Jeanne comprend qu'elle est dans un bouge infâme, une sorte de boîte à partouses. Une main forte lui saisit l'entrejambes, par devant, à travers la robe et lui cramponne le pubis. En l'espace d'une fraction de seconde, elle est replongée cinq ans en arrière, au moment précis où le blondinet l'avait saisie…

Par reflexe, elle veut d'abord se dégager, mais tout de suite venant de derrière elle, une autre main la trousse jusqu'au-dessus des fesses et une autre encore, déjà s'insinue dans la jambière de sa culotte. La main agile et experte atteint à peine la vulve, que déjà un doigt est planté dans le trou du con et commence à y aller et venir… Une bouche se colle à la sienne (Photo 1).

Le goût acide d'alcool et d'alambic lui déferle dans la bouche. Elle entrouvre les lèvres pour respirer et une langue large et épaisse entre profondément dans sa bouche.

Rapidement, elle décide de ne plus lutter et de se laisser aller… Confusément et sans doute très inconsciemment, elle a envie de cela…. L'homme qui la branle, n'est manifestement pas celui qui l'embrasse goulûment. Une main est passée dans la jambière, et commence à faire descendre la culotte de plusieurs centimètres, rendant plus accessible encore tout l'entrejambes déjà mouillé de la jeune femme. Elle sent son esprit chavirer et se met à rendre les coups de langues qui se lancent dans sa bouche. Se laissant aller, elle écarte un peu plus les cuisses pour laisser davantage d'accès à la vulve. La main en profite pour s'insinuer dans la raie des fesses et caresser de l'index le petit trou de son jeune cul. Jeanne sent fondre toute résistance et elle lâche prise. Une nouvelle main par devant cette fois, lui ouvre le corsage et en sort ses seins, aux formes pleines et magnifiques. Déjà une bouche s'empare de l'un d'eux et en suce le téton avec délectation.

Les yeux fermés depuis le premier moment de '' l'agression '', ses sens chamboulés estiment qu'ils doivent être quatre hommes à l'entourer et à lui prodiguer toutes ces attentions. Oui, quatre : un derrière elle qui s'occupe de son cul, un autre sous sa robe qui la branle par devant, un autre encore qui lui suce le sein gauche et un enfin qui l'embrasse en lui roulant des patins extraordinaires dont elle n’a même jamais eu l’idée auparavant !… La main qui s'est calée entre ses fesses et lui caresse son petit trou de jeune fille, remonte maintenant, le doigt maintenu sur l’œillet. Jeanne sent alors 2 mains sur ces hanches qui font glisser la culotte jusqu'au bas de ses cuisses, juste au-dessus de ses genoux. Sa robe légère est alors troussée jusqu'aux reins. Elle prend alors conscience qu'elle a désormais les fesses à l'air devant l’assemblée…

Elle est toujours fortement embrassée par une langue rugueuse qui tourne dans sa bouche et la fait chavirer.
Elle est toujours branlée devant par une main adroite qui s'insinue habillement dans sa fente mouillée, une bouche aspire le bout de son téton avec des sussions magnifiques… Et maintenant les deux mains qui l'ont déculottée, écartent fermement ses fesses. Elle sent un museau moustachu se coller à sa raie ouverte et tout de suite une langue fine et pointue s’insinuer entre ses fesses jusqu’à l'œillet.

Jamais elle n'a eu à cet endroit une telle caresse subtile et délicate. Elle se sent défaillir, comme dans une sorte ivresse… Presque malgré elle, elle fléchit légèrement les jambes pour faciliter l'ouverture de la raie culière. Elle sent sa culotte se tendre au-dessus de ses genoux… Le visage derrière elle se colle plus avant encore contre son cul et la langue plonge dans son petit trou, pour le sucer et le lécher avidement…

C'est divin, jamais elle n'a connu une telle sensation aussi profonde. Ses sphincters se contractent malgré elle et son branleur, sentant les parois du con se resserrer sur ses doigts, active et approfondit son mouvement. Jeanne sent qu’elle va partir en pamoison et se raccroche aux épaules de l'homme qui lui fait face et l'embrasse si fort. Avant de lâcher prise complètement, elle ouvre les yeux et là, elle voit une longue chevelure penchée sur son sein, et le profil d'un visage aux traits fins et doux… Il lui faut bien se rendre à l'évidence, c'est une femme qui lui suçote les seins et en aspire le bout… (Photo 2). Elle frémit de cette découverte. Repoussant un peu l'homme qui l'embrasse goulûment, elle porte son regard vers son ventre. Et là, par-dessus sa robe retroussée, elle est surprise de voir une longue chevelure rousse, accroupie aux pieds de l'homme qui l’embrasse. Il s’agit bien d’une femme, une autre femme, oui et qui lui suce la bite avec application.

L'homme a un membre énorme, long et épais. D’ailleurs la femme rousse a du mal à faire le tour d'une seule main. Cette vue lui rappelle le vit énorme de Casi, le jeune soldat Noir qu'elle a connu cinq ans plus tôt.
Elle sent sa fente se tremper et les doigts de son branleur dégoulinent de sa cyprine. Tout d'un coup, elle comprend que c'est sans doute la femme rousse qui lui a mis la main dans la fente et dans le trou de son con. Jeanne est complètement déboussolée par cette découverte : sur les quatre qui s'occupent d'elle, il y a deux femmes. Cela lui parait un instant impensable.

L'instant d'avant elle n'aurait jamais pu imaginer que ce soit possible : qu'une femme puisse faire cela à une autre femme. Celle qui lui suce les seins, peut avoir la trentaine peut-être ; avec un visage plutôt fin, les cheveux plutôt longs et blonds. La femme lui prend la main gauche et l'amène vers son bas ventre. Au toucher, Jeanne s'aperçoit que la femme est toute nue, du moins tout le bas, même si elle a encore sur elle une fine chemise, qui lui frotte de temps à autre ses seins de jeunette. La main de Jeanne atteint le pubis de la femme. Celle-ci lui conduit la main jusqu'à sa fente très mouillée. Jeanne sent sous ses doigts un gros clito qu'elle commence à caresser tandis que la femme redouble de baisers sur ses seins… Jeanne ne connait que son clitoris, elle n'avait jamais eu l'occasion d'en toucher un autre que le sien… Celui-là, se met à penser Jeanne, est bien plus gros que celui de Gerboise, qu’elle avait pu bien voir à plusieurs reprises. Et même que le mien, pensa-t-elle… Il dépasse largement la grosseur du bout de son index. Sous l’emprise de l’émotion de sa première caresse à une femme, Jeanne branle le gros bouton d’amour avec ferveur… Elle sent le clitoris se dresser et bander de plus en plus… Jeanne n’en revient pas qu’une femme puisse bander comme ça… Et elle se sent tout à coup très excitée.

La coquine blonde que Jeanne branle si tendrement, fait un mouvement du corps de sorte que les doigts de Jeanne s'enfoncent en plein dans le con. Dans l'instant qui suit, la femme lui décharge dans la main en criant qu'elle veut être baisée sur le champ. L'homme qui embrassait Jeanne depuis le début, sort sa bite de la bouche de la femme rousse accroupie à ses pieds ; il fait faire un demi-tour à la douce blonde que Jeanne branle et remplace la main de Jeanne par sa bite énorme.
Le membre est immédiatement avalé. Il enconne la jolie femme en levrette, là sous les yeux et entre les jambes de Jeanne…

Sous l'assaut du membre plutôt monstrueux, la femme a un hoquet et un râle profond. De sa jambe gauche, Jeanne la contient aux épaules tant sont fortes les poussées de l'homme dans ses va-et-vient… La femme râle de plus en plus fort et perd son foutre en abondance, rendant la bite toute luisante de mouille chaque fois qu'elle sort aux trois quarts du con…

Brusquement n'y tenant plus et sans vraiment l'avoir réfléchi, Jeanne s'empare du membre du baiseur au moment d'un de ses reculs. Elle le sort complètement du con de la femme et se penchant sur lui, l'embouche. Le braquemart est en effet démesuré, très épais et long aussi, comme la bite de Casi ; plus peut-être car elle ne peut le prendre directement en entier dans sa bouche. Le vit dont elle aspire maintenant le bout du gland avec avidité, a un goût acide. Sans doute le goût de la cyprine de la femme. Jeanne n'a encore jamais eu l'occasion de rencontrer cette saveur si particulière. Tout au plus avait-elle à plusieurs reprises sucé ses doigts après s'être caressée, mais ce goût si spécial, fait d'une saveur aigrelette et très épicé, lui plaît vraiment beaucoup, presque autant que le goût des bites qu'elle avait connu voici quelques années, pour autant qu'elle en ait encore le souvenir précis…

Courbée sur la bite, juste derrière les fesses de la belle blonde, elle voit celle-ci à quatre pattes, penchée en avant, se branler la fente et le trou du cul d'une main frénétique, en attendant le retour du membre dans son con. Le goût de la bite décuple l'excitation et le désir de Jeanne. L'homme lui impose alors de se relever un peu et avec des soupirs qui annoncent sa jouissance éminente, sans attendre, il ré-enconne illico la femme devant lui, enfonçant sa bite jusqu'à la garde. La jolie baisée soupire et râle très fortement ; elle jouit sans retenue.

L'autre homme, le quatrième personnage derrière elle, qui s'est arrêté un instant de lui écarter les fesses alors qu'elle se penchait en avant, la redresse complètement contre lui. Comme elle lui tourne le dos, elle ne peut le voir. Il lui saisit les fesses d'une main, tandis que de l'autre il lui malaxe fortement la poitrine. Elle n'a même pas envie de se soustraire à l'assaut qu'elle reçoit… Elle sent une bite énorme, aller et venir au creux de ses reins… Peut-être le sexe était-il encore emmailloté dans le coton du caleçon, elle ne saurait le dire de prime abord… Le vit roule de gauche à droite sur ses fesses et à travers le tissu de sa robe légère et retroussée, elle le sent bien maintenant, alors qu'il se fait plus présent, plus insistant…

Elle sent tellement bien ce membre dans son dos, qu’elle aurait pu en décrire la forme, la longueur, la grosseur. Il doit être d'une taille impressionnante lui aussi, car lorsqu'elle sent les couilles très grosses sur la rondeur de ses fesses, elle sent la pointe du vit au milieu de son dos, juste en dessous de ses omoplates… Elle sent sa vulve se mouiller brusquement de désir… A cet instant, elle a envie d'avoir le membre au fond de son trou et le sentir aller et venir en elle…

Depuis le temps qu'elle n'avait pas connu cette sensation. Cinq ans déjà ! Et elle n'a jamais plus été baisée, à aucun moment. Ce qui lui a paru très long après l'intensité de cette seule et unique fois qu'elle a connue, lors de son dépucelage… Les masturbations, certes, cela occupe un moment mais ce n'est rien à côté d'une bonne bite dans son trou de femme ; elle rêve de ça depuis si longtemps…
Et là, maintenant, cette envie qui à chaque seconde explose davantage en elle, ne fait rien pour arranger son état : elle sent qu'elle mouille terriblement et que ses petites lèvres et son clitoris la brûlent intensément… La pression du sexe dans son dos se fait plus forte encore, elle a très envie de se retourner et de faire face à l'homme, de lui saisir le vit et de le frotter sur sa motte, avant de se le rentrer dans le trou…

Une main ferme lui soulève la jambe gauche. La culotte aux genoux, entrave la montée de la jambe. La femme rousse toujours accroupie à ses pieds, fait descendre le morceau d'étoffe jusqu'à ses chevilles, dégageant ainsi complètement la jambe de la culotte, qui est alors maintenue par une main forte, à mi-hauteur, à demi repliée. En même temps, une autre main la maintient troussée par derrière, remontant sa robe jusqu'au creux des reins. Un petit courant d'air frais lui caresse la chatte. L'humidité de la fente fait qu'elle ressent immédiatement un peu de fraîcheur entre les jambes. Elle sent les cheveux de la femme accroupie à ses pieds et qui la branle, effleurer sous sa jupe remontée, l'intérieur de ses cuisses…

Tout de suite, elle sent un souffle chaud sur sa vulve en feu. Un bout de nez s'insinue en haut de sa fente, entre ses lèvres juste en dessous du clitoris et une langue chaude lui entre dans le con, léchant, suçant et aspirant. Elle comprend que la rousse dont elle n’a pas encore vu le visage, remplace ses doigts par sa bouche et sa langue. Celle-ci s'enfonce maintenant profondément, puis ressort rapidement pour aller titiller le petit trou derrière où elle se darde à petits coups rapides. La langue agile revient ensuite en avant sur le clitoris qui est alors aspiré, avant de repasser dans le trou du con… Une caresse divine et si bien calculée…

Jeanne sent de grands frissons l'envahir. Elle éprouve des démangeaisons au plus profond de son ventre, jusqu'à la racine de ses seins et sans qu’elle s’en étonne vraiment, elle décharge abondamment, en plusieurs saccades. Elle se dit qu’elle doit inonder le visage de sa suceuse de sa décharge chaude. Pourtant la bouche et le nez ne se reculent pas. Au contraire, elle sent la langue s'enfoncer davantage dans le trou béant du con et la bouche aspirer la liqueur chaude. Un immense tressaillement la parcourt de la tête aux pieds et elle plie un peu sa jambe d'appui pour que le contact avec le visage soit encore plus fort, plus étroit, plus intense…

La main qui lui tient la jambe à demi levée est toujours aussi ferme… Elle sent quelque chose passer entre ses fesses et la bouche quitte sa vulve un instant, seul le nez ruisselant est maintenant en contact avec les petites lèvres qu'il frotte d'un lent va-et-vient. Jeanne comprend que la femme entre ses jambes doit sucer le gland de la bite dont elle sent la tige caresser son petit trou et le bas de la fente. La femme se recule légèrement et de sa langue elle lèche maintenant le clitoris et le pubis de Jeanne.

Tout de suite, Jeanne sent entre ses jambes une sorte de va-et-vient et le bout d'un gland effleure sa fente baveuse… Sa jambe d'appui s'amollit et, sans la main qui tient l'autre jambe, elle se serait écroulée tant la caresse du gland l'a ébranlée. Elle s'abandonne un peu plus et le bout de la bite vient doucement s'insinuer dans l'entrée de son con ruisselant. D'une main la femme sous elle, lui fait ouvrir un plus les cuisses et de ses doigts elle écarte les lèvres de la vulve trempée. Elle prend la bite en main et introduit le gland au con de la jeune femme. La fente était tellement mouillée que le vit glisse presque trop facilement et s’échappe d’entre les petites lèvres. Jeanne se sent dilatée. Elle a la sensation qu’une bite au gland disproportionné est au contact de sa jeune moule… Aidée de la femme et par les mouvements de Jeanne, le membre de l'homme derrière elle, finit par entrer dans la place. Jeanne est alors empalée mi debout, mi en levrette sur le membre énorme, comme suspendue au-dessus du sexe dressé. Elle a l'impression d'être défoncée… Depuis le temps qu’elle en rêvait de ce moment… de cette baise farouche et spontanée !

Jamais elle n'avait éprouvé une sensation aussi pénétrante. Elle se sent remplie de toute part. La bite de diamètre énorme dilate son trou, tire sur les petites lèvres et les commissures… La femme rousse s'est remise entre les jambes de Jeanne. Ses cheveux lui caressent l'intérieur des cuisses. Elle sent le souffle chaud sur son périnée, juste en arrière de la pénétration de la bite. Jeanne se dit que la femme est en train de lécher les couilles de l'homme qui la baise ce qui facilite du même coup la pénétration de la bite dans le con dilaté de Jeanne. De temps à autre, quand le chibre se retire, le nez de la rousse vient frotter le clitoris de Jeanne et même parfois, la langue glissant le long de la hampe du membre, lèche aussi le bouton en feu… (Photo 3)

La jeune femme est maintenant baisée bien à fond comme elle en avait une envie folle depuis longtemps. Ce qui est nouveau pour elle, c'est d'être baisée debout une jambe relevée et d'avoir en même temps par-dessous, le clitoris sucé et frotté. Et puis l'environnement est tellement nouveau pour elle, que cela décuple son excitation…

Dans la boîte règne un silence relatif. Silence entrecoupé de spasmes et de râles de jouissance des femmes, mais aussi des hommes au moment où ils lâchent leur foutre… En ouvrant les yeux, Jeanne peut constater qu'elle est entourée de groupes plus ou moins importants où la baise est multiple…

Sur une table grande table en face d'elle, une femme se fait prendre en levrette. Les bras et le buste appuyé sur la table, elle s’est agenouillée sur deux chaises écartées l’une de l’autre. Un colosse, dont Jeanne ne voit que la tignasse très brune et le torse poilu, la prend en levrette avec des ''han'' très marqués ; tandis qu'en dessous, à demi couché entre les chaises, un homme la suce… Par ses mouvements, la femme vient au-devant de la bite qui l'enfile. D'ailleurs l'homme qui baise en levrette, ne bouge pratiquement pas, c'est elle qui vient s’empaler à chaque va-et-vient… Une autre femme, grande et à la poitrine généreuse, debout à côté de l'homme poilu, lui caresse le torse, le ventre, les fesses et lui roule de puissants patins avec volupté…
A l'autre bout de la même table, une femme qui semble ivre, boit à même une bouteille de champagne et se l’enfile ensuite dans le con. Deux ou trois hommes l'entourent en se branlant la queue… L'un d’eux, debout au bout de la table, les jambes très écartées et penché sur la femme saoule se fait sucer et lécher entre les fesses, par une autre femme à genoux derrière lui… Cette dernière s’enfile à califourchon sur un homme couché par terre, dont les jambes sont glissées sous la table.

A la gauche de Jeanne, tout un groupe d'une bonne douzaine de personnes, hommes et femmes, sont là également et mènent grand tapage. Les bouteilles de champagne et les coupes circulent de mains en mains au milieu des rires et des rôts…
Une femme d'un certain âge, au moins la soixantaine probablement, est soutenue, les fesses dans le vide, par deux jeunes hommes vigoureux. Elle est soulevée de terre, les jambes relevées, très largement écartées… Les jeunes mecs qui la tiennent bandent à fond. Leur bite effleurent et frottent l'intérieur des cuisses de la femme. Celle-ci, tenue dans cette position infantilisante, pisse en riant comme une folle dans des coupes à champagne que tiennent devant elle deux autres types, un plus âgés, accroupis entre ses cuisses ouvertes… La vieille avait un fessier large et une fente très ouverte aux lèvres très colorées par l'excitation. Elle urine en longs jets qui paraissent intarissables, tant ils sont longs. Les deux hommes s'ingénient à déplacer les coupes sous le jet au fur et à mesure qu’elles se remplissaient de pisse…
Sitôt qu'elle est au bout de sa miction, le flot d'urine finissante lui roule sur la fente. Une femme dans les mêmes âges qu’elle, se met alors entre ses jambes ouvertes et lui nettoie de sa langue, le con, la fente, jusqu'au trou du cul… Puis les hommes reprennent de la même façon une autre femme du groupe et le jeu de pipi peut recommencer … Ce jeu intrigue beaucoup Jeanne : quoi, il y aurait d’autres plaisirs érotiques que celui de mettre un membre bien dressé dans une fente ouverte ? Gerboise, n’était peut-être pas aussi " déviante " que Jeanne l’avait d’abord supposé ?

A la droite du groupe de Jeanne, se tient un autre groupe moins nombreux.
Là, une jeune et jolie blonde, la trentaine environ, les jambes passées au-dessus des bras d'un fauteuil baroque. Les pieds levés, elle a donc les cuisses très écartées et donne ainsi à voir une fente très peu poilue et très ouverte, ruisselante de cyprine et de salive. En effet, tour à tour, les deux ou trois hommes qui l’entourent, viennent s'agenouiller devant le fauteuil et chacun à leur tour, la tête entre les cuisses ouvertes, ils lèchent la vulve sur toute sa longueur. Pendant que l’un suce la blonde, les deux autres, se placent de chaque côté d'elle ; elle suce l'un et branle l'autre… (Photo 4). L'un lui roule des patins et lui caresse les seins, l'autre lui suce les seins, la main glissée sous son cul ouvert, il lui met un doigt dans son petit trou du cul… Sous l'effet des caresses, des coups de langue et des succions qui vont du clito au petit trou, la jeune femme décharge comme une folle… Elle blasphème en gueulant des obscénités et envoie des jets chauds de cyprine au visage de ses suceurs, qu'elle inonde de la racine des cheveux au torse… Tous les deux ou trois passages de mecs, elle réclame en hurlant qu'elle voudrait être prise au con et qu'il ne faudrait pas tarder à la baisser bien à fond !…
Bientôt, un des hommes s'exécute et vient la baiser dans le fauteuil, lui maintenant les jambes en l'air, tandis que les autres s'affairent autour d'elle ; qui l'embrassant, qui la caressant, qui lui mettant par-dessous un doigt dans le cul…
De temps à autre, elle demande avec autant de conviction à être prise derrière par l'entrée la plus étroite, celle de son joli petit cul. Ainsi enculée, elle jouit encore plus fort…. Ces courtes séances de baise sont toujours rapides et ne durent pas bien longtemps en quatre ou cinq aller-retour, le type décharge et surtout la belle oblige le mâle à la déconner prestement, pour qu’elle puisse décharger en longs jets qu'elle expédie jusqu’à deux trois mètres du fauteuil…

Au fond de la salle, plus loin, dans un coin sombre que Jeanne ne distingue qu'à grand peine, cinq ou six hommes et sans doute deux femmes, forment un autre groupe. Une femme, selon toute vraisemblance, est prise en double ; elle suce en même temps deux ou trois autres types dont les bites sont mises à hauteur de son visage… L'autre femme, les fesses appuyées sur un des bras du canapé, tantôt se branle en suçant la bite d'un mec à sa gauche, tantôt se penche en avant et passe sa langue entre les fesses du mec qui encule la femme prise en double… Cette baise particulière en double, n’est pas sans rappeler à Jeanne son dépucelage par le Casi, le Noir et l’autre blondinet, un jour de 1916 dans le fossé d’un chemin de Saintonge (Photo 5)…

A voir ainsi les hommes et les femmes baiser et décharger sans relâche, Jeanne en vient à se demander où ils puisent tant de ressources et d'énergie… Il n'y a pas un seul instant, pas un seul moment, où il n'y ait pas un homme ou une femme qui n'éprouve un orgasme ou ne décharge bruyamment…

A suivre…

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