La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°868)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°867) –

Je me mis en quadrupédie, et quittais avec bonheur le manche à balai, mais restais pluguée et les pinces mordantes en place, que je sentais particulièrement lorsque je me déplaçais. Il fallait que j’écarte largement les cuisses pour ne pas que celles placées sur mes lèvres intimes ne se frottent entre elles, me donnant envie de crier à chaque fois, ce qui ne devait pas me donner une démarche très gracieuse. D’ailleurs, le Maître me le fit remarquer, tandis que nous progressions dans différents couloirs, me prévenant que ce serait une des premières choses que j’apprendrai au cours de mes séances de dressage… Nous nous arrêtâmes devant la porte de Sa chambre. Je souriais franchement en reconnaissant cette porte. Lors de ma première visite au Château, j’y avais vécu des moments tellement merveilleux !

- Décidément, Ma chienne, il va falloir que tu apprennes à te contrôler et à rester impassible. Une bonne chienne soumise ne doit pas laisser ses sentiments visibles, ni la douleur paraître, que ce soit des expressions faciales, sonores, tout doit être contrôlé, par Moi évidemment. Tu ne peux t’exprimer que lorsque je t’y autorise ! Ton dressage risque d’être long et douloureux, mais je saurais faire de toi ce que je veux, pour Mon plaisir !

Il aimait laisser planer des silences, quand il parlait, laissant le temps à Ses paroles d’imprégner Son interlocuteur

- Bien maintenant, Ma petite chienne, j’ai besoin de me détendre un peu, voyons ce que valent tes mains pour les massages. Tu m’avais écrit que ton mari les appréciait, voyons si c’était avec raison, ou s’il se contente de peu !

Je trouvais Ses propos humiliants mais, évidemment, je ne dis rien. Il s’approcha d’une commode, se dévêtit, et posa Ses vêtements sur le meuble, puis s’allongea sur le ventre sur le lit. D’un claquement de doigts et d’un geste de la main en direction de Son dos, Il me fit comprendre de venir le rejoindre sur le lit.

Il me fit placer à cheval au-dessus de Lui. J’étais partagée entre la douleur des pinces qui m’étiraient les chaires et les mordaient cruellement, et l’excitation de sentir le corps musclé nu du Maître entre mes cuisses ! Je sentais Ses muscles, Sa chaleur… Mon bas-ventre continuait à s’échauffer. Sur Son ordre, je posais mes mains sur Lui et commençais, comme j’en avais l’habitude avec mon mari, par le caresser sur toute la surface disponible en démarrant en haut de son dos, passant vers ses aisselles, puis ses reins, jusqu’en haut de ses magnifiques fesses, bref, je suivais toute sa colonne vertébrale passant mes doigts le long de son échine pour voir comment étaient placés Ses muscles, lesquels étaient noués, lesquels auraient le plus besoin d’attention. Après quelques vas et viens, à découvrir Son corps, je débutais le massage à proprement parler. Je m’appliquais de mon mieux, m’occupant de chaque nœud, un par un, et ne le quittant qu’une fois totalement dénoué. Le Châtelain semblait apprécier, il me sembla entendre à quelques reprises, de petits gémissements lorsqu’un nœud était particulièrement dur, et quand il se défaisait enfin. Evidement c’était discret, Il restait le Maître et devait donc se Maitriser en permanence, surtout devant Ses soumis et Ses esclaves…

De mon côté, mon bas-ventre s’excitait de plus en plus, et j’essayais tant bien que mal de retenir mes sécrétions intimes, sans y réussir. Je sentais ma mouille s’écouler de nouveau doucement et inexorablement mais cette fois vers la peau du Maître. Je craignais les représailles du Noble, qui pour le moment ne semblait pas le remarquer, ou du moins n’en disait rien… Une fois le dos totalement dénoué, je passais à un massage plus relaxant, et j’eus la surprise au bout d’un quart d’heure, environ, de m’apercevoir qu’Il s’était assoupi. Je descendis donc du lit, ne me sentant pas autorisée à y rester sans autorisation expresse du Châtelain, et je m’installais en position standard prosternée sur le tapis qui se trouvait juste à côté.
Je l’entendis se redresser au bout d’une petite demi-heure, et vit Ses pieds se poser près de ma tête. Je ne bougeais pas malgré mes bras et mes épaules qui commençaient à s’ankyloser. Il resta de longues minutes à me regarder, je sentais Ses yeux bleus intenses et dominants me fixer, m’imposer Sa Domination.

- Eh bien Ma chienne ! Quels effets ont eu tes mains sur Moi ! Je pense qu’ici aussi tu peux t’améliorer, je te ferai former par un de Mes soumis, qui excelle dans l’art des massages, tu apprendras beaucoup avec lui. Bien sûr en supplément de ton travail de secrétaire de direction, de tes corvées et de ton dressage ! (Silence…) En revanche, tu n’es pas une chienne très propre, tu aurais pu éviter de me barbouiller de ta cyprine ! Remonte sur le lit et vient me nettoyer de ta langue !

Je m’exécutais et Lui léchais consciencieusement le bas du dos et la raie des fesses, partout où je trouvais des marques de mon excitation.

- Et maintenant que je suis bien détendu au niveau du dos et propre, il y a maintenant une partie de moi bien tendu qui exige à son tour des soins ! A genoux, chienne !

Je pris la position exigée et ouvris la bouche. Le Maître introduisit Son noble membre dans ma cavité buccale et attendit. Je refermai mes lèvres autour de lui, suçotant le gland, avant de l’enfoncer petit à petit au fond de ma gorge, l’y laissant quelques secondes, essayant de maîtriser la nausée qui me prenait, car je savais que Monsieur le Marquis aimait rester en coït en gorge profonde qu’Il pouvait posséder. Puis je commençais à Lui faire une fellation, du mieux que je pouvais, avec toute mon application. Je sentais Sa queue grossir encore dans ma bouche, l’écartelant. Alors qu’elle avait atteint Sa taille maximale, le Noble se retira, passa derrière moi, m’appuya sur les épaules, me faisant mettre en levrette. J’étais tellement trempée que lorsqu’Il présenta Sa verge magnifiquement dressée à l’entrée de ma caverne humide, Il n’eut aucun mal à s’enfoncer en moi ! Il me besogna de longues minutes, sauvagement, bestialement.
Il retenait Son plaisir, voulant faire durer les choses le plus longtemps possible. La douleur des pinces, mélangée au plaisir qui arrivait comme un cheval au galop était sur le point de me faire basculer. Soudain, Il se retira, et sans préparation, Il s’enfonça d’un coup dans mon cul, ayant préalablement retiré le plug. Il me baisa virilement avant de lâcher Sa divine semence au plus profond de mes entrailles, restant de longues minutes en coït, totalement immobile au moment où, ne tenant plus étant trop excitée, je lâchais, sans autorisation, mes cris de jouissance.

- Eh bien, eh bien ! Qui t’a autorisée à jouir petite salope ? Certainement pas moi ! Walter ne va pas tarder à venir te chercher pour ta séance de dressage, je lui dirais donc de commencer pour une séance de punition ! On va t’apprendre à te contrôler, ne t’inquiète pas ! Fit-Il d’un ton et d’un air autoritaire.

Et sur Ses paroles, Walter frappa à la porte…

(A suivre …)

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