Une Asiat En Club Libertin

Bonsoir, je m'appelle Patricia. Je me présente, je suis une jeune femme de 31 ans, d'origine vietnamienne et française. Grande et fine, bouche pulpeuse, cheveux courts et noirs, yeux marrons. J’ai, il faut le dire un très joli cul mais une petite poitrine. Je suis ce que l'on appelle une jolie femme, plutôt distinguée. J’aime m’habiller avec de beaux vêtements qui me mettent en valeur. Les hommes bien élevés disent que je suis une belle femme. Les plus jeunes disent de moi que je suis bonne et les bien élevés doivent le penser. Et ceux qui me connaissent savent que je suis aussi une sacrée salope.
Je suis en couple depuis trois ans avec mon compagnon, Serge. Lui est assez beau mec et plutôt dominateur, cela tombe bien, je suis plutôt soumise. Je n’en avais pas ment conscience au début de notre relation. OK j’aimais déjà me faire prendre le cul ou que Serge vienne dans ma bouche ou sur mon visage, mais je pensais que j’aimais ça parce que c’était Serge…
Lui avait déjà une bonne vision de ce qu’il voulait sexuellement, moi pas encore. Plusieurs fois il m’avait proposé de faire la chose à plusieurs, mais je lui avait toujours répondu non.
Un jour, plus lassé de ses questions et espérant y mettre un terme, je réponds oui pour aller dans un club libertin, juste pour voir me dit il. J’ai bien sur conscience que son rêve serait de me voir me faire déboiter par quelques mecs bien monté, mais il peut rêver... je souriais intérieurement...
Bref nous sommes donc allés un soir dans un club de son choix « pour prendre un verre ». J’y suis allé plutôt décontracté, y allant en spectatrice. Nous étions habillés classe et sexy, mais pas vulgaire. A l’arrivée, nous avons demandé à la jeune femme à l’accueil si elle pouvait nous faire visiter les lieux. Elle nous répondit que nous pouvions le faire seul sans soucis, car l’heure n’étant pas avancé, personne ne devrait être dans les coins câlins. En effet, les différentes salles étaient vides.

Je fus plutôt impressionné de cette visite. Salle avec piscine, plutôt sympa, d’autres m’impressionnèrent plus, avec des croix en bois, des chevalets… Tous ces objets ressemblaient plus à des salles de s, même si je me disais que j’aurais aimé me faire prendre par Serge attaché à cette croix. Je ne lui disais pas, j’aurais risqué de me faire sauter sur le champ… ;)
Nous finîmes par passer devant une salle ou je m’arrêtais net. Devant moi, agenouillée, se tenait une femme, plutôt jolie, la quarantaine, qui était occupé à tailler une pipe à une énorme queue, à travers un trou. Elle semblait y prendre du plaisir, malgré le fait que manifestement cela n’était pas son mari. Celui-ci était occupé à lui caresser l’arrière de la tête pendant qu’elle suçait un inconnu, et il l’encourageait avec des mots plutôt crus. Puis, émergeant d’un trou, une autre belle bite. Le mari de la femme m’invitait déjà du regard à prendre en main la situation, mais je préférais baisser les yeux. Il prit alors la main de sa femme et lui fit empoigner cette jolie queue... Sa femme n’avait pas l’air d’avoir peur, elle redoubla d’intensité à sucer la première queue, pendant qu’elle branlait la seconde. Je compris que le premier en avait fini lorsque je vis quelques gouttes blanchâtres tomber au sol... Son salop de mari lui fit alors lécher le sol. Il lui dit qu’elle ne voulait pas qu’elle en perde une goutte...
Son mari, dans le même temps me regardait intensément, et je voyais bien dans son regard qu’il aurait souhaité que je fasse comme sa femme, que je me transforme sur le champ en garage à bites. Je déclinais à nouveau en baissant les yeux.
Je vis alors que Serge me regardait, moi qui avait l’air totalement absorbé par la situation, complètement nouvelle pour moi. Et je me rendais compte que j’étais en train de mouiller. Mais il me proposa d’aller boire un verre. Je fus à la fois soulagé et en même temps un peu déçu de devoir quitter cette scène.
Avant de repartir de la boite et après avoir bu un verre, je vis cette femme et son mari ressortir des coins câlins.
Je remarquais les taches qui constellaient ses habits. Je me surpris à penser que si cela avait été moi et pour ne pas tacher les miens, j’aurais enlevé le haut… Le mari vint étrangement vers nous, et sans me regarder tendit une carte de visite à mon mari, lui disant qu’il était disposé à me dresser. L’homme ne manquait pas de toupet tout de même. Serge prit la carte, je cru m’...
Serge voulut savoir ce que je pensais de cette soirée. Je dus bien lui avouer que cela ne m’avait pas dégouté. Mais je ne lui dis pas que cette salle à trou, que plus tard je sus qu’elle s’appelait un Glory Hole, m’avait carrément excité. Je restais évasive avec Serge, je ne voulais pas passer pour une salope face à l’homme que j’aimais. Je lui demandais s’il allait garder cette carte, mais il ne me répondit pas. Voulait-il me faire dresser ?
Plusieurs jours passèrent…

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