La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°875)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°874) –

Au bout d'un temps que je ne saurais définir, le Maître revint et déposa une gamelle devant moi…

- C'est bien Ma chienne ! Tu es restée absolument immobile pendant mon absence. Allez, mange. Il te reste vingt minutes avant de reprendre ton travail. Prends ton temps, rien ne presse.

Je mangeais avec bonheur tout ce qui se trouvait dans le récipient devant moi. De temps à autre, je recevais une caresse du Maître sur mon cul arrondi, quand soudain Il me prit sauvagement sans préavis, s'enfonçant tour à tour dans ma chatte ou dans mon cul pour finir par se vider au fond de mes entrailles dans un coït profond. Sous Ses coups puissants de reins, sauvage, j'avais renversé une partie de ma gamelle.

- Eh bien, je ne savais pas que j'avais des truies dans Mon Cheptel ! Dit-Il avec un sourire. Dépêche-toi de lécher le sol, ça va être l'heure de reprendre ton travail.

Je travaillais jusqu'à 17h, le cœur remplit de bonheur. Le Maître était strict, mais il était juste et bon. J'étais heureuse de tout avoir abandonné pour être sous Son joug total et absolu. Encore une fois, malgré la fatigue, je ne fis aucune erreur lors des interrogations du Châtelain… À 17h, je rejoignis Walter qui, avant ma séance de dressage, m'emmena dans une salle ou je retrouvais mon frère, esclave Endymion MDE et mes sœurs esclave Phryné MDE et soumise Laïs MDE. Là, on nous expliqua ce qui nous attendait pour le soir du réveillon de Noël. J'étais très excitée à cette perspective mais un peu angoissée aussi. Nous étions mardi soir, il restait quatre jours à attendre… Ensuite, je fus ramenée une heure dans la salle de dressage où je dus reprendre le même parcours que la veille. Enfin à 19h, je repartis en cuisine, finir ma journée au service de la perverse Marie. Je participais à la préparation du repas puis je fus affectée à la plonge. Marie en profita pour me prendre bestialement à même le sol sur le carrelage de la grande cuisine.

Elle me prit en levrette avec un god-ceinture et m’encula profondément tout en me tirant en arrière mes cheveux… Elle prenait plaisir à me faire crier m’ordonnant de hurler si j’avais mal afin que tous ceux dans le Château, qui pourraient entendre mes cris, se disent que je suis en train de passer un mauvais quart d’heure. Mais j’avoue que malgré la douleur de la sodomie sauvage, de cette brutale saillie perverse, je coulais ma cyprine de ma chatte trempée tant cela m’excitait de me faire prendre ainsi... Lorsqu'arriva l'heure de regagner ma niche, je m'allongeais avec plaisir sous mon épaisse couverture et m'endormais rapidement… Le lendemain fut une journée un peu particulière. C’était un mercredi. Le matin se passa normalement, et comme l’avait ordonné Walter, l’après-midi je le retrouvai en salle de dressage.

- Cette semaine est particulière chienne. C’est la semaine de Noël ! Donc nous ne ferons pas le programme de dressage intensif prévu pour une demi-journée de « congés » mais nous allons te préparer à la fête. Es-tu allergique à certains produits pour la peau ? Tu peux parler, tu en as l’autorisation.

Je lui répondis donc. Nous fîmes des tests en prévision de la soirée de samedi, des exercices d’assouplissement de tous les muscles de mon corps, y compris ceux intimes.

- Tu es nouvelle, tu n’as pas l’habitude que ton corps soit aussi sollicité qu’il le sera pour le réveillon. Ou peut-être pas d’ailleurs, mais il vaut mieux prévenir que guérir !

Le reste de la semaine passa ainsi, entre corvées, travail, préparation à la soirée. Et le samedi arriva … Il y avait une effervescence rarement vue au Château. Avec mes sœurs et mon frère de soumission, nous fûmes réunis pour être préparés pour la soirée. Épilation totale, soin du corps, maquillage léger et manucure pour les filles, coiffure. Puis on nous peignit le corps de peinture dorée. Chacun nous fûmes couverts de pinces à grelot bleu roi et nos culs parés de plug frappé des Armoiries du Maître parsemé d'éclats de saphir.
Les pinces étaient disposées sur nos tétons, nos flancs, les lèvres intimes pour les femelles, la base des bourses pour le mâle. Puis nous fûmes amener tous tirés en laisse à quatre pattes dans la grande salle de réception où trônait un sapin humain, comme j'avais pu l'entendre indiscrètement dans les cuisines quelques jours auparavant, constitués de soumis et soumises qui pourraient obtenir l'honneur de porter les nobles Initiales si la soirée se déroulait comme le voulait le Majordome, Monsieur le Marquis n'étant pas au courant de la mise en scène...

Les quatre esclaves/soumises MDE que nous étions furent attachés voire saucissonnés dans diverses positions et enrubannés puis installés au pied de ce sapin. Esclave Endymion MDE placé sur le dos, pieds et mains liés dans le dos, cuisses largement écartées (position très inconfortable !). Esclave Phryné MDE sur le dos également, bras tenus écartés par une barre d'écartement, genoux relevés sur le torse dégageant ainsi sa chatte déjà humide. soumise Laïs MDE, aussi sur le dos eut les poignets attachés aux chevilles et ramenés au-dessus de la tête, bras étendus au maximum. Et moi, je fus placée en position prosternée le cul bien relevé, cuisses écartées, offrant ma chatte et mon cul. Tous nous avions un bâillon-boule et un bandeau sur les yeux et des bouchons d'oreilles, nous privant ainsi de la vue et de l'ouïe. Et nous fûmes abandonnés ainsi de longues heures…

Point de vue extérieur : Pendant ce temps-là, Monsieur le Marquis s'apprêtait à recevoir Ses invités, dont les premiers venaient d'être annoncés par les gardes veillant les grilles du parc du Château. Alors qu'Il s'attendait à être accompagné par Ses chiens du Cheptel les plus méritants et portants Ses initiales, Walter Lui amena quatre soumises mais qui n'avaient jamais pu encore obtenir le trigramme accolé à leur nom.

- Eh bien, quel choix étonnant mon ami ! Dit le Maître sur un ton légèrement irrité.
- Oui Monsieur.
Mais Vos chiens MDE sont occupés ailleurs. Je Vous prie de bien vouloir me faire confiance Monsieur le Marquis.
- Bien. Tu ne m'as jamais déçu, tu as mon entière confiance, mon cher Walter !

Mais on voyait bien que cela le dérangeait. Il se dirigea vers le perron pour accueillir Ses amis. Les chiennes Le suivaient dans un parfait ensemble, silencieusement, elles évoluaient avec grâce et volupté. Monsieur le Marquis leur jetait régulièrement un regard. Il fallait reconnaître que Walter les avait bien choisit, une plastique agréable, une démarche sensuelle et racée. Non, IL n'aurait pas à rougir devant Ses invités… Quand tous furent arrivés et qu'Il se dirigea vers la grande salle de réception, Walter attendait pour ouvrir les portes. Malgré Son habitude à ne rien laisser paraître, le Châtelain eut un temps d'arrêt en voyant le sapin humain et les cadeaux qui se trouvaient à son pied. Il fut tellement surpris qu'Il ne vit pas l'immense sapin naturel un peu plus loin sous lequel se trouvaient les cadeaux apportés par les Invités et que plusieurs soumis avaient été chargés de récupérer et de les y déposer. Le Maître s'approcha du sapin humain pour l'observer, voir comment il était fait, sourit en reconnaissant les soumis qui le composait. Puis Il s'intéressa aux cadeaux, prodiguant une caresse par ici, enfonçant un doigt par là... Enfin il se dirigea vers la table, prononça un discours de bienvenue et invita tout le monde à prendre place pour l’apéritif suivi du repas du réveillon. De nombreux soumis et soumises se tenaient proche de la table pour répondre aux moindres exigences des Dominants et Dominantes présents ce soir-là… Le repas de Noël de Marie fut succulent présentés sur des plateaux humains. Il dura longtemps. Le dessert fut servi à minuit pile. Tout le monde se leva pour souhaiter un joyeux Noël au Maître des lieux. Une fois le dernier met dégusté, Walter se présenta à Monsieur le Marquis :

- Monsieur le Marquis, si Vous le voulez bien, voici quatre papiers correspondant chacun à un des cadeaux sous le sapin.
Cela pour que Vous puissiez profiter au fil du hasard de chacun d'eux. L'idée étant que le dernier Vous accompagne pour Vous offrir la nuit que Vous voudrez. Pour Vos Invités, le grand donjon est préparé, les soumis à leur disposition. A moins qu'ils ne préfèrent arpenter les autres pièces ou le jardin pour plus d'originalité.

Monsieur le Marquis apprécia l'idée. Le premier à être tiré fut esclave Endymion MDE, ensuite soumise Laïs MDE, esclave Phryné MDE et enfin soumise Marion MDE. Les trois premiers furent donc utilisés en public. Ils furent pris longuement chacun leur tour restant attachés dans leur position initiale, tous les trous disponibles furent utilisés abondamment. Les quatre soumis MDE furent tous surpris ne voyant et n'entendant rien, de se sentir pénétrés sans préavis mais aucun ne broncha, surtout quand ils reconnurent les mains et la queue qui les besognaient… Puis ils furent détachés, les yeux et les oreilles débarrassés et, sous les ordres du Maître, durent se mélanger entre eux et copuler en spectacle. Devant se lécher, s'embrasser, se pénétrer, dans une joyeuse orgie fraternelle. Lorsque les corps furent épuisés, les Invités se retirant souvent accompagnés dans les chambres mises à leur disposition, Monsieur le Marquis décida de monter Lui aussi finir Sa nuit avec Son dernier cadeau.

Point de vue de soumise Marion MDE : Je trouvais le temps extrêmement long. Mes muscles étaient tétanisés de cette longue posture e. J'avais ressenti des mouvements près de moi pendant un certain temps, des frôlements. Mais personne ne s'occupait de moi. Je finis par m'endormir d'ennui. Jusqu'à ce que je me sentis soulevée. Deux soumis avaient été chargés de m'emmener dans la chambre du Maître.

Lorsque je fus déposée sur un tapis, après quelques minutes, mes bouchons d'oreille furent enlevés, pourtant je ne percevais aucun bruit. Soudain, je sentis des mains, que j'aurai reconnues entre mille, sur mon corps, me caressant doucement, me massant légèrement. Je sentis mon bas-ventre réagir instantanément. Le Maître, toujours sans un mot, commença à enlever le ruban qui m'entourait, puis mes liens, et Il me prodigua un vrai massage. J'étais maintenant allongée sur le ventre.

- Ma chienne, je suis fière de toi. Tenir aussi longtemps dans une position imposée, et ne pas laisser échapper un son au moment de la libération est, je le sais, un exercice auquel tu n'as pas l’habitude de pratiquer. Cette nuit sera magique !

Il m'enleva mon bandeau puis m'ordonna de me mettre en levrette sur le lit. Avant de me pénétrer, Il murmura à mon oreille :

- Jouissance autorisée à volonté, alors profite-en, Ma salope de petite femelle de chienne !

La nuit fut longue, torride, puissante. Après avoir usé et abusé de tous mes trous, et nous avoir accordé un moment tendre, moi blottie dans Ses bras puissants et réconfortant, où je me suis sentie protéger comme jamais, le Maître appuya sur un bouton et cinq minutes après on frappait à la porte. Après en avoir reçu l'autorisation, Walter entra accompagné à ma grande joie de mes sœurs et frère MDE. Le reste de la nuit se poursuivit donc à cinq. Soit cinq à prendre soin du Maître, soit quatre soumis à baiser sous Ses ordres, soit le Maître s'occuper de trois d'entre nous (une verge deux mains) le dernier obéissant à un ordre, soit de lécher ou sucer l'un de nous, soit d'attendre dans une position imposée. Ce fut la nuit de débauche la plus chaude, la plus orgiaque que j'avais jamais connu. Sans aucun doute, je me souviendrai de ce premier Noël pendant longtemps. À la fin, tous épuisés, nous eûmes le droit de nous coucher sur le tapis au pied du lit, tous les quatre enroulés les uns autour des autres, dans une étreinte pure d'amour fraternel. Nous nous endormîmes heureux, assouvis, plus que jamais propriétés du Maître Vénéré…

(A suivre …)

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