La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°876)

Deux soumis appelés au Château – (suite de l'épisode N°873) -

- Suce-moi sous la table !

C’est ainsi que le Marquis d’Evans m’ordonne de passer sous la table en claquant des doigts et c’est donc dessous celle-ci que j’y trouve émeline, déjà en train de lécher les couilles du Maître à grands coups de langues. Celui-ci confortablement attablé, écarte déjà largement les jambes assis sur sa luxueuse chaise Louis VX.

Sous cette longue table des convives donc, je saisis la bite de Monsieur le Marquis approchant ma bouche de celle d’émeline qui lèche avec avidité les nobles bourses en me regardant amicalement. De ma main, je décalotte alors le gland rose violacé et je commence à le sucer tout en le branlant doucement en même temps. Puis je m'active sur sa bite, voulant lui apporter un maximum de plaisir et aidée par émeline qui se met à lécher la hampe de bas en haut du Marquis, tandis que je m’occupe de son gland. Deux langues à la fois pour le Vit dressé de notre Maître ! Quel bonheur nous avons toutes les deux de ce privilège ! Parfois Sa noble main va sous la table pour m'appuyer sur la tête et me forcer à l'avaler totalement. Emeline s’écarte alors légèrement par le dessous et en profite pour lécher de nouveau les couilles pendantes. Assez rapidement, Je sens la queue de notre Maître qui se gonfle encore et se dresse encore plus dans une raideur poussée au maximum. Son souffle s'accélère et d’un coup s’agrippant à ma tête de ses grosses mains, Il se libère dans ma bouche en grognant discrètement. Quand je l’entends me dire :

- Avales, petite chienne, avales tout.
Quand il se calme, je le suce encore un peu pour bien nettoyer sa bite, aidée par émeline qui se délecte aussi du nectar ainsi offert et restant sur son Vit. Puis nous mélangeons nos salives spermée via nos deux langues avec émeline, savourant la semence de notre Maître dans des baisers dignes des meilleures lesbiennes …

- Allez sortez toutes les deux et maintenant au service !

J’avais donc mal supposé, c’est bien ce soir que je dois servir et rien n’est reporté.

Sortant la tête et pas encore debout, quelle est ma grande surprise de voir à l’autre bout de la table une Domina qui me dévisage d’un air sévère. Je n’avais pas vu de femme dans le salon et donc je suppose qu’elle est venu durant notre fellation. Cela est fort possible car des Maîtres sont en train de la saluer d’un bonjour de la main, comme si elle était une habituée du cercle d’amis du Marquis d’Evans.

Je ressors donc de sous la table. Mon Maître me complimente et m’ordonne d’aller chercher les premiers plats avec émeline dans la cuisine où Marie nous attend pour nous faire commencer le service.

Etant obligée de passer devant la Domina qui me dévisageait, celle-ci m’att au passage du bras et me stoppe net, empoignant fermement mon poignet et laissant émeline rejoindre Marie sans moi.

- J’aime donner quelques pitances à mes chiennes, alors tu auras le reste de mon foie gras (celui-ci était déjà sur la table en guise d’apéritif) si tu me fais jouir. Viens ici, petite salope ….

Puis elle se lève, écarte sa chaise et s'appuie sur la table en remontant sa robe de soie jusqu'à la taille. La Domina ne porte pas de culotte et sa chatte fournie est toute gonflée. Je me retourne et regarde inquiète mon Maître qui d’un signe de tête m’ordonne d’obtempérer, alors je m'accroupis devant elle, la saisis par le haut des cuisses et je commence à lécher sa chatte. Je ne sais pas trop comment m'y prendre mais je fais de mon mieux en me disant à moi-même que je dois lui faire ce que j'aimerais que l'on me fasse. Est cela marche, elle réagit bien à mes caresses, son bassin commence à onduler, elle m'appuie elle aussi sur la tête. Elle me tend des petits morceaux de foie gras que je picore sans cesser de la sucer. Elle gémit de plus en plus fort et commente son plaisir sans aucune gène devant les autres qui admirent la scène ! Quand au bout d’un petit moment :

- Ouiii, suce moi bien le clito … c'est bon … tu es une bonne petite gouine … hummmmm ! … Ohh la ! … ouiiiii … c'est bon … petite putain… je vais jouir … Ouiiiiii … je jouis, je jouiiis ! haaaaaaaa !

Elle se laisse submerger par le plaisir et jouit de tout son corps.
Ses jambes tremblent et ses mains sont crispées sur le bord de la table. Elle finit par s'écrouler sur sa chaise et avale le reste de son champagne apéritif d'un trait.

La Domina me dit d’aller dans la cuisine sans plus me regarder et juste avant de me lancer son fond de foie gras que j’att à quatre pattes. Je le mange avec régal en guise de récompense … Puis je vais en cuisine rejoindre émeline et Marie …

Le regard inquisiteur de Marie me fait froid dans le dos. En effet à peine entrée dans la cuisine, je la trouve plantée devant moi au milieu de la pièce. Elle est debout droite comme un I, jambes légèrement écartées, bras croisés, tête relevée. A ses pieds émeline est agenouillée et en pleurs, une main se tenant la joue, je comprends qu’elle vient de recevoir une bonne paire de gifles. Dans la main de Marie, une large spatule plate de cuisine en métal et avec un long manche.

- Je n’aime pas qu’on me fasse attendre, les assiettes des entrées sont prêtes et elles doivent être servies, toi et cette chienne d’émeline, vous êtes en retard …
- Mais …
- Y’a pas de mais … , me dit Marie en me coupant sèchement la parole. Vient ici à mes pieds, tout de suite … et montre moi tes fesses à quatre pattes, petite traînée … Et plus vite que ça …

Craintive, je viens aux pieds de la cuisinière en regardant émeline pleurer et je m’aperçois que ses fesses sont toutes rougies, visiblement Marie l’a sévèrement corrigée. Positionnée le cul tourné à portée de Marie, je reçois dix coups de la spatule plate sur chaque fesse, ce qui me fait crier quand j’entends la matrone me dire :

- Et maintenant à genoux et écoute-moi bien … Tu es à mon service sur l’ordre de ton Maître et donc j’entends bien me faire obéir …

A peine a-t-elle finit de me dire cela que je reçois deux gifles d’une volée rapide. Je comprends alors que je viens de recevoir la même correction qu’émeline … Des larmes coulent de mes yeux …

- Heureusement que les 2 autres chiennes (Marie parle de 2 autres soumises assignées au service avec émeline et moi-même) ont fait le travail à votre place… En attendant, toutes les deux, vous ferez chauffer les assiettes du plat principal, ce sont des tranches de gigot d’agneau saucées avec des légumes frais préparation maison.
Quand je vous ferais sonner vous irez desservir l’entrée pour passer à la viande …

Sur ces mots Marie nous ordonne de nous lever et de se mettre devant les fourneaux. Nous n’échangeons aucun mot avec émeline de peur des remontrances de la sévère cuisinière. Au bout d’une demi-heure, Marie nous sonne. Alors je m’empresse d’aller à la grande salle et je débarrasse la table des assiettes de l'entrée avec émeline, et je reviens ensuite avec le plat principal.

Quand je sers la Domina laquelle j’ai eu l’honneur de faire jouir, celle-ci me met la main entre les cuisses et j’en reste immobile, le plat dans mes mains tant cela m’excite, à en oublier les remontrances de Marie. Je sens ses doigts fouiller mon intimité. Je ne retiens un gémissements qu'en me mordant les lèvres. Oui car tout ce qui s’est passé, soi sucer mon Maître sous la table et ensuite cette Domina a mis le feu dans mon ventre, j'ai envie que l'on me prenne, j'ai envie de sentir que l'on me pénètre et les doigts de cette Maîtresse qui s'agitent dans mon sexe humide me rendent folle de désir. Si j'osais, je me masturberais bien dans la cuisine mais j'ai trop peur de Marie. La Domina retire sa main et déclare à tous, de vive voix, que je suis toute mouillée. Elle hume ensuite ses doigts et les suce un à un avec délectation, avant de me tourner le dos à ne plus faire cas de ma présence. Tous les invités éclatent de rire. Un peu honteuse, je termine de servir en étant pelotée par quasi tous les convives au fur et à mesure que je les sers. On fouille ma chatte à chaque fois que je sers un Maître, on me malaxe les seins, on tapote mes fesses, on caresse mon entrecuisse .... Je sens de multiples doigts s’immiscer dans mon chaud et humide minou. Puis très excitée, je retourne dans la cuisine où Marie me dit sur un ton qui me semble un peu plus complaisant :

- Le plaisir des Maîtres avant tout. Prend le temps de les satisfaire selon leur exigence, mais ne traine pas plus qu’il faut, sinon gare à tes fesses …

Une autre demi-heure passée, un ordre de Marie me tire de mes pensées, tandis que nous finissons avec émeline la préparation du dessert.
Ils ont fini le plat principal et je dois donc apporter ce dessert. Tandis que les 2 autres soumises desservent assiettes et couverts. Je retourne dans la grande salle avec les grandes coupes de sorbets de glaces assorties de crème chantilly. Monsieur le Marquis me demande de nouvelles bouteilles de champagne. Je reviens donc avec deux bouteilles et je les mets à la place des autres vidées dans les seaux de glace.

Alors que je vais de nouveau retourner dans la cuisine, la Domina m'arrête et m'ordonne de monter sur la table. "Les choses sérieuse commencent" me dis-je en moi-même toute excitée, il me faut bien l’avouer. Je monte tant bien que mal sur la table et je me mets debout au centre de la longue table. La Maîtresse saisit la bouteille vide, enlève totalement la cape, la pose debout entre mes jambes et m'ordonne de m’accroupir, devant toute l’assemblée présente, afin de m'empaler dessus. Je m'accroupis doucement guidant le goulot vers ma chatte. Le verre est terriblement froid, il me glace le ventre mais je suis tellement mouillée que la bouteille entre facilement. Un Maître prend alors la bouteille et l'agite de haut en bas. Le verre se réchauffe doucement. Le goulot va et viens dans mon sexe béant. J'avais envie d'être pénétrée tout à l'heure et cette bouteille fait bien son office. Je fais quelques mouvements bien que ma position ne soit pas très facile. L’homme bouge la bouteille de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je ne sens plus la fraîcheur du verre, je sens simplement ce cylindre lisse qui me défonce la chatte. Le col de la bouteille en bougeant me procure des sensations incroyables, je jouis en tombant presque à genou, faisant tomber quelques verres, branlée par cette bouteille que ce Maître enfonce autant qu'il peut dans mon intimité.

J'ai à peine repris mes esprits que quelque chose de froid et lisse tente de pénétrer mon petit trou anal. C'est la Domina qui me sodomise avec un god sortit de son sac. Intérieurement je suis surprise qu'il entre aussi facilement, n'ayant pas eu le cul préparé. Les deux dominants agitent l'un la bouteille dans ma chatte, l'autre le god dans mon anus. Elle enfonce ce god du plus profond qu'elle peut, m'arrachant des gémissements d'aise. Ils me branlent si bien l'un et l'autre que je jouis une seconde fois, ne pouvant échapper des cris de plaisirs. La Maîtresse retire le god de mes entrailles et je n'ai pas le temps de respirer que je suis happée par deux Maîtres, portée et déposée sur une autre table vide et plus petite de proximité et je suis retournée sur le dos par quatre paires de main. On me tire vers le bord de cette table. Ma tête pend en arrière. Le Maître est debout sa queue dardée vers ma bouche entrouverte. Il me prend la tête de ses deux mains et me fourre sa queue dans la bouche. Dans cette position, il peut me l'enfoncer au fond de la gorge et il ne s'en prive pas. Il défonce ma bouche comme il le ferait avec une chatte ou un cul, à grands coups de reins, J'ai du mal à respirer et je me concentre sur ma respiration pour prendre de l'air quand il m'en donne l'occasion. Je me détends complètement pour lui permettre de s'enfoncer en moi facilement. Son gros sexe emplit ma gorge. Il donne des coups de reins de plus en plus violents, jusqu'à ce qu'il explose dans ma bouche envoyant des jets de sperme au fond ma gorge

Puis la Domina prend sa place, à genou sur deux chaises un peu écartées. J'ai sa chatte sur ma bouche, je la lèche quand elle me l'ordonne. Elle aime cela, puis elle change un peu de position. J'ai maintenant sa rosette à portée de ma langue. De ses deux mains, elle écarte les lobes de ses fesses ouvrant largement sa raie culière, me donnant accès à son cul. Je l'agrippe par les hanches, permettant à ma langue de faire son office. Je lui fais la feuille de rose qu'elle réclame de ses cris. ma langue s'insinue dans son petit trou, elle aime, elle le dit, elle jouit en me traitant de putain, de sale gouine et de grande salope…

(A suivre ...)

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