Le Calendrier Des Pompiers...

(suite de j’ai trompé mon mari)

Nous n’avons pas vraiment reparlé de ce moment avec Jean : le technicien a eu l’élégance de partir une fois notre forfait terminé, alors que j’allais me réfugier dans les bras de jean.
Dieu que j’aime cet homme, il sait me découvrir, me permettre de me découvrir moi-même, et m’autoriser à dépasser mes limites.
Un cap entre nous était passé : il savait que je pouvais être débordée par mes émotions et en a joué, pour mon plus grand (plus gros même, devrais-je dire !) bénéfice.

Quelques semaines plus tard, à sa manière de me saluer le matin, j’ai senti que Jean me préparait à nouveau quelque chose : sa manière de me dire « bonne journée, sois sage » m’a alerté.
Aussi sans le savoir vraiment j’étais sur des charbons ardents cette matinée, m’occupant de la maison en me penchant un peu trop sur le canapé pour secouer les coussins, ou appuyant un peu de trop ma petite chatte brûlante sur l’angle de la table de la cuisine en séchant la vaisselle.
« T’es une gamine » me disais-je, une gamine délurée oui !
J’en étais à me dire que j’avais certainement halluciné en croyant que Jean avait à nouveau fomenté quelque chose, et me dis que le seul moyen pour me calmer serait probablement de me caresser un peu.
Aussi je me rendis dans notre chambre et récupérais Billy, notre sextoy favori, et tout en pensant à ce qui pourrait arriver, à ce technicien si bien pourvu, je commençais à me faire du bien.
Ces caresses qui au départ étaient si douces laissèrent bientôt la place à de vraies pénétrations en règle à l’aide de Billy, Sextoy bien membré qui il est vrai me rappelait bien ma dernière aventure…
J’allais et venais en moi avec cette grosse bite en latex veinée tout en caressant mon petit bouton électrique du fait de mon échauffement, quand tout d’un coup, alors que mon technicien me prenait par derrière pendant que je suçais Jean, la sonnerie de la porte d’entrée de la maison !
Désorientée, je me jette dans mon petit short d’intérieur et passe un caraco qui trainait par là et vais voir.


J’ouvre la porte et trouve devant moi deux jeunes gens très bien faits, souriants et en uniforme, et pour cause, les pompiers, pour le calendrier.
« Bonjour Madame, on espère ne pas vous déranger, c’est pour le calendrier… »
Mon sang ne fit qu’un tour : Jean est vraiment plus cochon encore que ce que je pensais, il tient vraiment à ce que je dépasse mes limites !
En songeant aux possibilités que permettent ces deux jeunes et beaux gosses, mon esprit s’enflamme, même si une petite colère point en moi : Jean me croit vraiment si salope que ça ?
Ok, si c’est ce qu’il pense il va en avoir pour son grade, je ne sais pas où il a planqué la caméra cette fois mais je vais y mettre le feu avec mon désir !!
Joues soudainement en feu, je dis en les détaillant de bas en haut « bien sûr entrez, vous prendrez bien un petit quelque chose ? », tout en m’écartant pour les laisser passer.
Au regard de complicité qu’ils se lancent, je vois que tout était bien prévu et que les deux comparses sont de mèche (ce qui est bien le comble pour des pompiers !).
« Asseyez-vous, je vous en prie, qu’est-ce que je vous sers ? ».
« Deux cafés, bien sûr, vous êtes en service » leur dis-je souriante, jouant l’excitation de l’uniforme.
Je les laisse deux secondes pour lancer la Nespresso et, revenant au salon, je vois que l’un d’entre eux retire prestement la main de sa braguette, alors que son comparse ne finit pas la phrase qu’il avait entamée en mon absence.
ment, pour attr le service à café d’apparat, je dois me pencher tout en gardant les jambes tendues, ce qui leur ménage une vue intéressante je le suppose.
« alors il y a longtemps que vous faites ce métier ? »
« euh….vous savez Madame, c’est plus une vocation qu’un métier, d’ailleurs nous sommes bénévoles pour tout vous dire »
« ah bon, dis-je en me penchant ostensiblement vers eux pour déposer les tasses sur la table du salon, vous voulez dire que vous protégez la veuve et l’orphelin et éteignez les feux chez les particuliers sans contrepartie financière ? »
S’ils n’ont pas compris le sous-entendu ils auront au moins vu que je ne portais rien sous mon caraco !
« euh….
oui c’est ça….. »
Eh bien, ils ne m’ont pas l’air bien dégourdis, je ne sais pas quelle perche il faut leur tendre ? Après tout on sait tous pourquoi on est là, non ?
A moins que cela ne fasse partie du contrat : il ne faut pas que cela soit trop facile, peut-être pour relever le niveau d’excitation……Jean tu es trop fort, je t’aime !
Je dépose les cafés sur la table et viens m’assoir entre eux sur le canapé, leurs yeux sortent de leurs orbites.
Il faut dire qu’une bretelle de mon caraco a glissé sur mon épaule et que celle-ci est nue, laissant entrevoir la naissance de ma poitrine tendue.
D’ailleurs, caraco ou pas, il est difficile de ne pas voir mes tétons pointer sous le fin tissu.
« alors cette année il est comment ce calendrier je leur demande ? »
Tandis que celui qui est à ma droite peine à refermer la bouche, celui qui est à ma gauche visiblement plus dégourdi me présente ces fameux calendriers.
Petits chats, paysages d’automne, vagues à l’assaut du phare, etc…
« Mais je croyais que ça avait évolué les calendriers de pompiers ? » dis-je avec un clin d’œil à mon dégourdi, l’autre n’ayant toujours pas refermé la bouche mais visiblement développé d’autres modes de communication à l’intérieur de son pantalon….Et il a l’air d’avoir de la conversation !
« ah oui madame, je vois de quoi vous parlez, mais ceux-là on ne les vend pas……. »
Puis devant ma mine contrite :
« Par contre on peut les faire à domicile si on est motivés ! » ajoute-t-il astucieusement en me faisant à son tour un clin d’œil.
« oh je ne sais pas, je ne voudrais pas vous gêner » minaude-je en jetant un œil sur la braguette de son camarade prête à exploser.
« Mais c’est avec plaisir Madame, nous sommes là pour votre serviceµ….. Régis !! »
Comme frappé d’un coup de fouet, le mollusque se réveille et, imitant son pote décidément plus vif d’esprit, se lève, avant de se rappeler qu’il a un gourdin qui l’en empêche partiellement !
« Puis-je vous demander un peu de musique chère Madame », fait le premier, toujours très grand siècle.

« bien sûr ! », j’ai toujours un Otis Redding à portée de main, sa musique m’a toujours profondément troublé.
Alors que les premières notes jouent, et sous l’impulsion de Tony (j’ai plus tard appris son prénom), mes deux beaux gosses commencent à se déhancher, l’un face à moi, l’autre plus timide de dos à moi, ce qui n’est d’ailleurs pas pour me déplaire.
Quand même, à mon âge, deux beaux gosses qui me font un striptease, Jean me surprendra toujours…
Alors que les T-shirts s’envolent, la température monte en moi et je ne cherche plus à cacher mon excitation à la vue de ces beaux pectoraux : mes mains sagement posées sur mes cuisses sont sensiblement remontées et alors que l’une d’elles poursuit sa route vers mes seins quasi libérés, l’autre entame une danse circulaire sur le fin tissu de mon short d’intérieur.
Les ceinture claquent, les pantalons tombent, ils ont tous les deux un chapiteau dans le caleçon…
Je relève alors mes jambes sur le canapé et tandis que d’une main j’écarte mon short deux de mes doigts s’infiltrent dans mon intimité maintenant ruisselante.
Et comme une apothéose, ils font descendre simultanément leurs deux caleçons dos à moi, m’offrant la vue de 4 belles fesses bien musclées, puis se retournent d’un même mouvement, leurs deux jeunes sexes dressés vers moi.
C’en est trop, je perds tout contrôle : passant mon caraco par-dessus mes épaules je me jette à leurs pieds et att ces deux colonnes de vigoureuse chair.
On dirait que j’ai attendu ce moment toute ma vie : l’état d’excitation dans lequel je suis en témoigne, je coule littéralement alors que je sens vibrer ces deux colonnes de chair dans mes mains.
Le mollusque a une queue effectivement assez longue mais plutôt fine qui pointe à l’horizontale tandis que Tony a lui un sexe plus court mais plus gros, qui lui touche presque le nombril.
Je les caresse, les presse en les regardant dans les yeux, puis passe à coup de langue du bout d’une verge à l’autre en les regardant dans les yeux….
.comme j’aime me sentir ainsi salope, une révélation !
L’excitation monte, j’engloutis maintenant une bite puis l’autre, en faisant de puissants allers/retours au fond de ma gorge pendant que ma main branle l’autre avec vigueur et j’alterne.
Régis souffle et Tony me regarde d’un air narquois : « je vois que madame apprécie les services publics ! Allez salope, mets-toi à genoux sur le canapé ! »
Ces mots me fouettent les sens et j’obéis immédiatement, m’appuyant sur le dossier du canapé, croupe offerte, alors que Tony vient se replacer devant moi et me redonne sa queue à lécher.
« Baise moi cette bonne bourgeoise Régis, on n’est pas toujours si bien accueillis ! »
Ni une ni deux, le mollusque m’enfile d’un coup jusqu’à la garde et touche mon utérus.
« Aaaaaahhhh » arrive-je à peine à proférer, bouche grande ouverte, ce dont profite Tony pour me fourrer sa grosse queue noueuse au fond de la gorge !
Le salaud, moi qui n’ai jamais fait de gorge profonde je me retrouve avec sa bite touchant ma luette, ce qui me déclenche des hauts le cœur.
Alors que sa bite ressort pleine de ma salive et que je bave moi-même comme une limace, je m’apprête à lui dire que c’est trop loin, mais je ne dis finalement que :
« Aaaaahhhhhh ! Oui, continue, vas-y ! »
Il faut dire que Régis, du haut de ses 22 ans au maximum, a engagé une cadence rapide qui me fait complètement décoller. Je n’ai pas le souvenir qu’on m’ait déjà baisée aussi vite, cela crée comme une irradiation qui monte de mon ventre jusqu’à mon cerveau, je jouis bouche ouverte…..tant pis pour moi, Tony m’a déjà refoutu sa bite au fond de la gorge !
J’att alors sa bite d’une main bien décidée à ne pas lui laisser me baiser la bouche sans mon aval, et en vérité aussi car j’ai un peu besoin d’une bouée de sauvetage.
De l’autre je lui att les couilles avec mes ongles et je serre en le regardant bien dans les yeux…
« Ah la salope ! » dit-il en se reculant tout à coup, « tu veux me faire jouir ma belle, mais on n’en a pas fini avec toi ! »
« Régis, arrête ! Couche-toi par terre ! » dit-il en poussant du pied la table du salon et…Régis qui a du mal à déculer !
Tony me place en 69 sur son pote, et pendant que celui-ci commence instantanément à me lécher ma fontaine ruisselante, il rentre en moi très doucement, centimètre après centimètre.
Sa plus grosse bite, sa progression lente et la langue qui s’active sur mon clito me font redécoller, je commence à perdre pied et dis « baisez moi plus fort putain j’attends ! ».
Tony ne se le fait pas redire deux fois et accélère le rythme et commence à me pilonner avec force.
S’il ne touche pas le fond de ma matrice comme son pote, il est quand même bien plus gros, je me sens écartée comme de manière inhabituelle et par réflexe je resserre mes lèvres autour de ce pieu en gémissant.
Gémissement étouffé par la bite de Régis que j’ai pris en bouche alors qu’elle me dansait devant les yeux sous les mouvements de Tony.
Tout d’un coup je sens des mains passer à côté de ma chatte mais sans s’y attarder, pourtant je perçois un mouvement dans les parages.
« Ohhh oui », entends-je Tony dire, alors que je n’ai rien fait de plus ??
Un coup d’œil en arrière, c’est bien ce que je pensais : Régis alterne coup de langues sur mon clito et sur les couilles de Tony, voilà de bons potes ou je ne m’y connais pas !
Profitant de la perturbation créée je m’échappe de l’emprise de Tony et reviens positionner mon sexe en feu sur son comparse, portant ma bouche à la hauteur de la grosse bite de Tony, que nous partageons donc désormais avec Régis.
J’alterne coups de langues, baisers à Régis, j’avale la bite de Tony et la tend à Régis qui en fait de même, je suis excitée comme une bonne chienne et bouge d’autant plus fort sur la bite qui est en moi quand soudain Tony craque et dans un cri guttural, m’envoie au visage deux trois jets de sperme chaud, j’envoie la seconde salve dans la tête de Régis que je sens jouir au fond de moi au même moment alors que je ne contrôle plus mon cul et que je danse la gigue à fort rythme jusqu’à jouir à nouveau en criant sans barrières, tant pis pour les voisins !
Je m’abats sur Régis tandis que Tony se pose sur le canapé : « eh ben ma cochonne on peut dire que tu aimes ça toi ! »
« seulement avec l’accord de mon mari », dis-je immédiatement, c’est plus dur d’être une petite salope une fois l’excitation retombée.
« ou est-il ce coquin d’abord, et où a-t-il planqué la caméra ? » leur demande-je.
Je sens comme une zone de flottement entre les deux comparses :
« euh on ne sait pas madame, on ne connaît pas votre mari ! »
Mon Dieu ! Le moment que nous venions de vivre n’était donc pas à son initiative ??
Mais alors…..je suis une vraie salope….

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