La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°893)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°892) –

Le lendemain à 6h00, ce fut un soumis qui vint me réveiller en tirant sur ma laisse. Sachant que nous n’avions pas le droit de parler entre nous, je le suivis sans un mot. Ayant un rdv professionnel, j’avais droit à la douche dans la salle de bain commune, et pas juste au tuyau d’arrosage dans les écuries. Cela dit l’eau était tout aussi froide, et je me lavais rapidement. Avant d’avoir droit de me doucher, le soumis me pratiqua d’abord trois lavements anaux. Un aurait suffi, mais il avait sûrement reçu des ordres. Personne ne m’avait parlé de déjeuner. Et le Maître avait dit de Le rejoindre dès la douche finie. Alors, malgré un estomac réclamant pitance, je partis en quadrupédie vers le bureau du Maître. Je rentrais sur Son ordre.

- Bien, tu es à l’heure ! Va t’empaler sur ta chaise, le dossier est sur ton bureau. Tu n’as pas de temps à perdre ! Je te rappelle que les clients arrivent à 9h, et que tu n’as pas le droit de te vêtir tant que tu n’en auras pas reçu l’autorisation. À 8h30, tu viendras te prosterner à Mes pieds, et je verrais ce que tu auras retenu. Ne me déçois pas ! Je ne veux pas que d’importants clients puissent penser que j’emplois des incapables !

Je m’installais donc, en poussant un soupir de légère douleur et de grande excitation en m’empalant sur le plug vertical qui sortait de ma chaise de bureau. Je n’avais pas remarqué qu’il y avait de légères différences entre la chaise sur laquelle j’étais assise et celle que j’avais toujours eu depuis que j’occupais ce poste. Alors que cela devait faire une demi-heure que je travaillais sur le dossier, je réprimais avec grand peine un hoquet de surprise. Le plug, enfoncé profondément dans mon cul s’était mis à vibrer. Au bout de cinq minutes, il s’arrêta. Je repris alors mon travail, mais dix minutes plus tard, il se remit en marche sur une autre vibration. Ma séance de travail se poursuivit jusqu’à 7h30 comme cela, à avoir le cul qui vibrait pendant cinq minutes à intervalle de dix minutes.

À 7h30, je restais tranquille durant un quart d’heure. Je crus que j’allais pouvoir travailler sans perturbation, mais j’eus la surprise, sans réussir à décider si ça en était une bonne ou une mauvaise, de sentir le plug se rétracter puis se renfoncer dans un mouvement vertical et régulier de bas en haut et de haut en bas. Il me semblait même qu’il s’enfonçait de plus en plus profondément. Je gémissais doucement, n’étant pas sûre d’être autorisée à exprimer mon excitation. Je jetais un œil vers le Maître, que je voyais de dos et qui semblait imperturbable et ne pas se rendre compte de mon état. J’essayais tant bien que mal de me concentrer sur mon dossier, il me restait pas mal de choses à voir, mais cela n’était pas facile de retenir des informations, de se concentrer, alors que je me faisais défoncer le cul par un plug en plastique, qui variait de vitesse et se remis à vibrer pendant qu’il me baisait. Mon plaisir grandissait, mes yeux se troublaient. Je n’étais pas loin de jouir. Je ne contrôlais plus mes gémissements. Et alors que j’étais à deux doigts de basculer, tout s’arrêta. J’eus de la peine à retrouver mon souffle. Et il fallut que je me remette très rapidement au travail car il ne restait que peu de temps avant l’interrogation du Maître. Quand l’horloge m’indiqua qu’il était l’heure, je Le rejoignais à quatre pattes et me prosternais à Ses pieds.

- Eh bien Ma chienne ! Tu es drôlement bruyante lorsque tu travailles. La prochaine fois, tu t’arrangeras pour être silencieuse, tu M’as empêché de me concentrer sur Mon travail, dit-Il, l’air le plus sérieux du monde.

Cependant, je réussissais à répondre sans le moindre souci aux différentes questions du Châtelain, m’évitant ainsi une volée de coups de badine. L’heure avançait, et malgré cela, Il ne m’ordonnait toujours pas d’aller m’habiller. Au contraire, Il exigea que je passe sous le bureau pour Lui faire la meilleure fellation dont j’étais capable. Et il se vida rapidement dans ma bouche, puis m’ordonna de rester à quatre pattes à l’endroit où j’étais… Au moment où le gong sonna 9h, on frappa à la porte du bureau.
Je ne bougeais pas, paralysée à l’idée que ce soit les clients qui arrivent et qu’ils puissent me voir malgré que le fond du bureau fût fermé. Après l’invitation du Maître à entrer, Walter se présenta, effectivement accompagné des deux hommes avec qui nous avions rdv. J’avais peur qu’Il ne m’ordonne de sortir de ma cachette à ce moment-là. Mais après les premières phrases de politesse, Il demanda à Walter de les conduire au petit salon pour plus de convivialité. À peine furent-ils sortis, qu’Il me sortit de mon antre en tirant sur mon collier.

- Bien tu vas attendre que je sois sorti, tu vas te vêtir et tu nous rejoindras. Tu es Ma secrétaire particulière mais tu vas aussi jouer le rôle de serveuse. Tu resteras debout à coté de mon fauteuil, légèrement en arrière. Tu obéiras au moindre ordre qui te sera donné, par qui que ce soit, sans broncher, sans hésiter. Attention, Ma chienne, je veux être fier de toi ! Si quelque chose se passe mal, tu le regretteras, crois-Moi bien là-dessus !

Et il partit sans se retourner. Je trouvais étrange ces recommandations, mais je me dépêchais de prendre les vêtements dans l’armoire, un tailleur jupe bleu roi. Mais aucun chemisier, et évidemment aucun sous-vêtement. La veste se fermait en me moulant la poitrine sur un joli décolleté. Il faudrait que je fasse attention à ma façon de me pencher si je ne voulais pas que tout le monde puisse admirer mes seins. Puis je me dirigeais debout vers le salon. Le Maître n'avait pas précisé la position dans laquelle je devais arriver, mais je me serais mise en quadrupédie j'aurais risqué d'abimer le tailleur… Je frappais à la porte et sur l'injonction du Maître, je rentrais dans la pièce. Les deux hommes présents à Ses côtés étaient grands et avaient à peu près une quarantaine d'années. Je les saluais pendant qu'Il me présentait et j'allais me placer à Ses côtés comme Il l'avait exigé plus tôt. Ils reprirent leur conversation comme si je n'étais pas là, sauf lorsque le Maître me demandait quelques renseignements supplémentaires sur le dossier.
Heureusement pour moi, j'eus réponse à tout. Peu de temps après mon arrivée, Il proposa à boire aux deux hommes, et sur un regard de Sa part, je servis un thé, qui se trouvait sur une desserte proche, à tout le monde sauf à moi, il n'y avait que trois tasses. Pendant que je servais, les trois hommes ne se génèrent pas pour regarder le décolleté que ma veste leur offrait. L'un des clients laissa même échapper un "hummm" approbateur et gourmand, qui me fit rougir.

- Et vous, Madame, vous ne buvez pas ? Demanda celui-ci.

Je fus prise de court et le Maître répondit à ma place.

- Non, elle ne le souhaite pas, elle se désaltèrera plus tard ! Dit-Il avec un sourire et un clin d'oeil à Ses interlocuteurs qui répondirent d'un sourire entendu.

La discussion reprit, la signature du contrat se conclut à la satisfaction du Marquis d'Evans. Une fois l'accord passé, l'ambiance changea, se fit plus détendue. Et la conversation prit le chemin des divers ‘’bêtes’’ que possédaient le Maître.

- Et dans Votre meute, Marquis, avez-Vous fait de nouvelles acquisitions ?
- La dernière date d'il y a quelques mois, cher ami ! Et si Vous me le permettez, il est temps que je l'abreuve, cela fait un moment qu'elle n'a pas bu.
- Mais bien sûr ! Il ne faudrait pas qu'elle se déshydrate ! Dit-il d'un sourire en coin, avec un regard de prédateur.

Et le Maître se leva, se dirigea vers un petit meuble qu'Il ouvrit et dont Il sortit une gamelle. Il l'a rempli d'eau, la posa près de la table basse et me regarda. Sur un claquement de doigts, Il dit :

- Eh bien, Ma chienne ! Tu as entendu ? Viens te désaltérer ! …

(A suivre …)

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