Soumis Sous Cage

30 jours que je suis sous cage. Il parait que c’est plus le fantasme des hommes soumis que celui des Dames. Moi ce n’était pas le mien. Je me souviens du conseil final de ma première Domina : « fais attention à ce que tu recherches, tu risques de le trouver » Je n’avais pas compris à l’époque la portée de ses mots.

30 jours que je suis sous cage et déjà, je ne sais plus si je suis vraiment un homme. J’ai l’impression d’avoir perdu mes neurones. Elle m’a simplement dit : « tu veux devenir mon soumis ? Mais tu ne veux pas faire cela, ou ceci, tu ne veux pas mettre telle tenue, tu en as des exigences pour un male qui se prétend soumis. Je te propose un jeu. Tu vas simplement mettre cette cage de chasteté et on verra comment tu évolues. »

30 jours que je suis sous cage et maintenant toutes mes matinées sont les mêmes. Elle me donne les restes de ses céréales préalablement introduit dans son sexe divin, directement dans une gamelle. Elle me fait grâce certains matins d’uriner dedans. Puis nous allons dans la salle de bain. Je me mets à genoux devant la douche qu’elle commence à prendre.

30 jours que je suis sous cage et je regarde ma belle prendre une douche pendant que je l’attends à genoux, la cage retirée, ma main sur mon sexe. Elle joue à STOP ou ENCORE pour me frustrer au maximum. Elle me dit stop et me tend une tondeuse. La moitié droite de tes poils de torse pour continuer. Je m’exécute moi, qui ne voulais pas que mon corps soit sans poils. Une fois que c’est fait, il lui suffit de me dire ENCORE pour que je comprenne que je dois reprendre mes caresses sur mon sexe bien meurtri. Puis de nouveau STOP. Quand j’entends ce mot, non seulement, je dois arrêter immédiatement mais en plus je dois faire le beau pour elle comme un chien les deux mains au niveau de mon torse, je dois haleter la langue sortie. Au moins elle est certaine que je ne me caresse plus.

30 jours que je suis sous cage, à genoux dans la salle de bain de ma Reine.

Elle se retourne et me présente ses splendides fesses. Je comprends, elle n’a plus besoin de parler depuis quelques jours, je ne suis plus rien. Je sors ma langue pour lui nettoyer son anus. ENCORE. Je reprends la masturbation en lui léchant son divin petit trou. STOP FINAL. Je me jette sous la douche qu’elle me balance froide sur le sexe d’abord puis sous tout le corps. J’ai 1 minute pour le laver entièrement. Pour mes 30 jours, j’ai le droit à un nouveau rosebud plus gros. Mon cul s’ouvre bien selon elle. J’ai accepté le rosebud pour aller au travail au bout du douzième jour en cage. Avant je refusais. Elle remet la cage et la clé autour de son cou. Avec le gros rosebud entre les fesses, la cage sur le sexe, j’enfile ma tenue réglementaire. Sur le pas de la porte, je dois de nouveau me mettre à genoux, elle descend grossièrement son pantalon et son string et je dois frotter mon nez comme un fou sur sa divine chatte. Ces quelques secondes sont un délice et une en même temps. Je n’ai plus la force de lutter. Puis je me relève en lui souhaitant une belle journée et en gardant son odeur pour quelques heures.

31 jours que je suis en cage…que vais-je accepter de plus pour rester avec elle ?

31 jours en cage mais pas 32. Elle m’a demandé de rentrer tôt ce soir et de l’attendre à 4 pattes, nu, en collier, cagoule de chien sur la tête, une de ses culottes sales, dans la bouche, sous la cagoule. Bien entendu, au préalable, j’avais du préparer le repas et mis la table, un seul couvert pour elle. A son arrivée, 45 minutes en retard, bien entendu, je n’avais pas le droit de prononcer un mot. Elle a vérifié que sa culotte était bien en place dans ma bouche. Elle s’est installée à table et je devais être bien visible en face d’elle. Elle m’avait enlevé la cage. Je savais que son jeu de STOP et ENCORE allait reprendre pour me frustrer encore plus. Bien visible donc devant elle, elle m’a demandé de levé la patte pour accroitre ses rires et elle a commencé à me demander de me caresser une des jambes en l’air.
ENCORE…STOP…elle buvait un verre en me regardant et en riant. ENCORE…STOP… ma tête dans la cagoule remuait, de gauche à droite. Elle était allée trop loin, impossible de lui dire que j’allais éjaculer. Je remuais comme un fou mais elle n’a pas compris ce que je voulais lui dire. Je m’arrêtais sans son ordre donc elle me criait ENCORE ! ENCORE ! je veux que mon chien se caresse, le rosebud XL encore en place. J’ai fini par jouir. Je remontais la tête pour essayer de voir ses yeux mais elle souriait toujours. Retire ta cagoule me dit-elle. Je l’ai retiré et je lui ai demandais de retirer le reste pour aller prendre une douche. Une fois sans les habits sm et sans tenue de chien, au lieu de prendre une douche, j’en ai profité pour quitter son appartement en m’habillant normalement rapidement et sans un mot pour elle.

Premier jour sans la cage et je pense qu’il n’y en aura plus jamais. C’est une pratique de fou. Tout ce qu’elle a réussi à me faire faire en ayant cette cage au sexe. Comment se petit bout de plastique peu autant changer mon comportement ? Comment a-t-elle pu r ainsi de ma faiblesse ? Enfin ma faiblesse… ce matin, je me suis masturbé 4 fois en deux heures pour éviter d’avoir la tentation de répondre à ses appels. 8 depuis hier soir. Et maintenant des sms. Je ne voulais pas répondre pour éviter sa colère mais ce n’est pas cela au contraire, elle me taquine toujours : » Je sais ce qui se passe dans ta petite tête. »

Premier jour sans la cage. Je me suis mis à courir, reprendre le plaisir de poursuivre sa vie normalement et notamment de courir sans gêne entre les jambes. Ni de rosebud pour me déformer les fesses et le canal anal. Comment j’ai pu accepter cela ? Et là, la moitié de mon corps sans poils…STOP...je me retourne le rouge aux joues. Non il s’agit juste d’une vieille dame qui crie après son chien. Cela va être ainsi à présent. Dès que je vais entendre STOP ou ENCORE, je ne penserais plus à RTL mais bien à l’homme que j’étais dans cette cage.


Premier jour sans la cage et devant ma valise. Les tenues qu’elle m’a fait acheter. Je devais dormir avec une nuisette en satin. C’est vrai j’adorais. Mais bon, ce n’est pas une tenue pour un homme. Il faut que je jette ses affaires si quelqu’un tombe dessus. Elle vient de m’envoyer une photo de ses fesses nues sans un mot dans son mail. Il faut que je change de mail. C’est vrai qu’elles sont belles ses fesses. N’y penses plus, n’y penses plus. Plus jamais cette cage. Redeviens un homme, t’as envie d’avoir des s, de construire une famille. Tu ne pourras pas en étant en permanence en cage et sous la contrainte de tes pulsions. Que l’homme est faible tout de même. S’il ne se vide pas régulièrement, plus rien ne compte pour lui sauf satisfaire celle qui peut le soulager.

Premier jour sans la cage. Cette fois-ci il s’agit d’une photo de sa poitrine. Que l’homme est faible, il faut que je me masturbe encore pour l’oublier. Je dois vivre une vie normale. Avoir un couple normal, si j’étais avec une femme comme elle, comment pourrais-je revoir mes amis ? Elle m’humilierait devant eux. J’aurais trop honte. Mais non elle n’est pas comme cela, tu délires. Elle me manque. Je pourrais essayer de négocier des points, peut-être pas de choses dans mon cul. C’est vrai que c’est agréable de jouir par là, de sentir son gode entre mes fesses, de sentir ses mains sur mes hanches. Mais bon, arrêtes d’y penser, c’est un package. Je pourrais négocier de lui faire l’amour normalement de temps en temps et pas avec un gode attaché à ma cage avec lequel je dois la prendre dans toutes les positions. N’y penses plus. L’homme est faible. T’imagine vivre sans elle ? T’as été un salaud hier soir. Pourquoi t’es parti sans lui dire au revoir ? J’ai honte d’avoir ses envies, c’était tellement bon, je me sentais tellement vivant. Arrête ! T’as vu ce que t’as dû faire ! La honte de devoir faire le beau pour elle, de porter une cagoule de chien, de manger ses restes et berkkk son urine… ah encore un sms.
Ne réponds pas ! ou dis-lui que c’est fini.

Premier jour sans la cage. Elle me dit de venir la voir au moins pour reprendre mes affaires et se dire au revoir correctement, c’est la moindre des choses après ce qu’on a vécu. Je serais fort. Je lui dirais au revoir et plus jamais cela. Je ne dois pas être aussi dépendant de mes pulsions de males. Il faut que je sois fort, je suis tellement plus qu’un chien.
Jour 1 avec la cage. Quel faible je suis.

Jour 1 avec la cage. Elle m’a donné une liste. Elle me dit que c’est pour mieux me préparer. Sa liste est tout ce que je vais accepter ces prochaines semaines. Cela passe de l’épilation intégrale au fistfucking mais aussi apprendre l’anglais et faire le grand écart pour donner quelques exemples. Il y a des choses plus farfelues comme trouver une équipe de foot- ball féminine et me proposer pour laver leur tenue après chaque entrainement.

Jour 2 avec la cage. Elle recommence ses folies et allonge sa liste. 80% des choses qu’elle espère ne sont pas réalisables. Jamais je ne ferais cela.

Jour 29 avec la cage. Ça y est j’ai enfin réussi. Je me mets à genoux, je fais le beau comme un bon chien. Elle me met un sucre sur le nez et j’arrive à le jeter en l’air et à l’attr avec la gueule. Ma maitresse riait aux éclats, que c’est bon de l’entendre ainsi. Nous avons progressé énormément dans l’éducation canine. Je ne parle plus les we ou nous sommes ensemble. Je dois faire mes besoins dehors en réclamant en me collant à la fenêtre ou à la porte. Je mange uniquement dans une gamelle. Je dors dans un panier ou sur un tapis à ses pieds. J’adore cela, je me sens libre dans cette vie. Enfin apaisé.

Jour 34 avec la cage. J’ai un planning de fou : sport le matin, ménage le midi chez des amies à elle et certains soirs. Mais je préfère faire le ménage chez ses amies que ses soirées s. Quand elle sort le soir, elle m’attache au lit et me met un casque audio. Dans celui-ci je peux l’entendre jouir et jour encore. Elle s’est enregistrée et me le passe en continue. Comme c’est excitant, comme c’est beau une femme qui a un orgasme. Et comme cela fait mal à la cage.

Jour 38 avec la cage. Une soirée détente m’a-t-elle dit. Nous discutions « normalement » en buvant quelques bières qu’elle avait apporté. Evidemment, cela a dérapé. Au bout de la 2ieme bière pour moi, elle m’a attaché les mains et elle est allée chercher un biberon et une couche pour adulte qu’elle m’a mise. Cela faisait partie de la liste initiale. J’avais tout de suite dit que c’était impossible mais après 38 jours en cage, on ne reflechit plus de la même manière. Dans le biberon, de la bière, la couche sur moi je ne pouvais pas aller au toilette. Pour dormir, comme mes mains resteraient attachés m’a-t-elle dit, j’avais l’autorisation suprême de dormir avec le pouce de son gros orteil dans la bouche. Plus qu’une autorisation, c’était un ordre qui l’amusait beaucoup.

Jour 45 avec la cage. Voila, ce qui l’amusait le plus. Me voici chez Métamorph’Ose sur Paris, une pancarte dans les mains « larbin pour vous Mesdames, Mesdemoiselles ». Elle avait négocié avec Mme Martine, la gérante, que je puisse m’installer chez elle avec cette pancarte. Bien entendu, en contrepartie, je l’aider pour servir des clients si elle voulait.

Jour 52 avec la cage, nous sommes début décembre. Quand je me masturbe à présent elle me fait chanter petit papa noel en meme temps sa culotte sur ma tête. Bien entendu, elle a poursuivi son je de STOP et ENCORE pour me diriger dans ma masturbation. Je ne lutte plus avec elle et avec moi-même d’ailleurs. Je me sens serein. Même quand je marche dans les rues éclairées par Noel et que j’entends petit papa noel cela me fait sourire sa perversion car cela m’excite aussi cette chanson.

Jour 1 sans ma cage. Je suis de nouveau seul chez moi. Elle m’a autorisé à jouir hier soir. Faut dire que toutes traces de mon ego, d’une moindre rébellion avaient disparu. Un sentiment d’ennui sans doute chez elle mais comment pourrait-il en être autrement comme beaucoup seul le chemin est amusant, la destination reste banale. J'espère que ce n'est pas le cas. Elle me manque déjà.






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