Nuit Torride.

Il y a quelques mois, je me trouvais pour une semaine de vacances à la montagne. Je ne suis pas un fanatique du ski, mais une semaine de repos au grand air allait me faire du bien à quelques semaines du début du printemps.

C’était hors période de vacances scolaires et cette station du Queyras était plutôt tranquille. J’avais pris pension dans un grand chalet-hôtel avec restaurant, piscine, sauna, bref, je pouvais trouver tout ce que je voulais pour passer un séjour agréable et décontracté. Les installations de la station me permettaient de monter un peu en altitude pour profiter de l’air vivifiant et du soleil dans les refuges de haute montagne.

En milieu de semaine, il y a eu une soirée fondue où la plupart des vacanciers se sont retrouvés autour des tables disposées de part et d’autre d’une piste de danse improvisée. En face de moi, j’avais deux jeunes femmes d’environ trente ans qui étaient déjà passablement excitées quand elles sont arrivées.

Plus par politesse que par envie, je les ai invitées à danser lorsque le D.J. a commencé à passer une musique appropriée. Lors d’une séquence disco, elles sont venues toutes les deux face à moi et ont entamé une danse lascive au son de la musique, se déhanchant plus que la normale, se frottant tantôt l’une à l’autre tantôt contre moi ou même l’une contre l’autre.

Sabrina et Caroline m’allumaient littéralement et j’étais réceptif. Je n’avais pas eu d’aventure depuis mon arrivée, sans l’avoir chercher, il me semblait que c’était mur pour cette nuit ! A minuit lorsque la musique s’est arrêtée, nous avons quitté tous les trois le patio pour regagner les étages. Ces deux coquines étaient de plus en plus excitées, un peu grisées par le vin rosé servi généreusement à table.

Assez semblables, grandes brunes toutes les deux, elles avaient de belles rondeurs moulées par un pullover et un fuseau très ajustés. Les cheveux d’un noir de geais tombaient librement sur leurs épaules.

Dans le couloir menant aux chambres elles marchaient devant moi en se tenant par la taille. Sans le savoir, nous étions voisins de chambre. Avant ce soir, je ne les avais jamais vues.

Lorsque j’ai ouvert la porte, je n’ai pas eu à choisir, Sabrina est entrée d’office dans ma chambre. Avant de refermer la porte, j’ai souhaité une bonne nuit à Caroline qui me dit en s’esclaffant :
• Ne t’inquiète pas, elle sera bonne !

La porte refermée, j’ai enlacé Sabrina qui s’est collée moi de tout son corps. Je sentais ses seins durs contre mon torse et son bassin qui roulait en face du mien dans une danse savante qui a fait dresser ma bite dans mon boxer. Ne laissant qu’un éclairage discret, nous nous sommes déshabillés mutuellement.

En quelques secondes, j’avais devant moi une fille splendide à la peau légèrement hâlée avec des seins comme je les aime, ronds et généreux, sa taille mince s’évasait vers des hanches bien galbées et un pubis nu. Le nombril était orné d’un piercing avec un strass et une petite chaine dorée. Elle portait un discret tatouage (une tête de Bunny) sur la fesse droite. S’allongeant en travers du lit, elle me dit :
• Viens, baise moi vite, j’en ai envie et toi aussi !
• OK ! ça marche !

Ma queue était déjà bien bandée. Je me couvris rapidement et d’une seule poussée, j’investis sa chatte toute brûlante et humide. Sabrina referma ses jambes sur mes reins pour mieux me sentir en elle. Sous mes mouvements de va-et-vient, ma belle roucoulait.

Je sentais ma jouissance monter. Celle de Sabrina survint brusquement et je me lâchai aussi, jouissant brutalement en déversant mon sperme au fond du préservatif. Nous étions encore enlacés quand j’entendis un léger bruit et perçu la sensation qu’une troisième personne montait sur le lit.

Je ne me trompais pas. Caroline venait de nous rejoindre. Il faut croire que dans la précipitation j’avais du mal refermer la porte. Intégralement nue elle aussi, elle repoussa Sabrina sur le côté en disant :
• Ecarte-toi un peu, je veux me faire manger la chatte !

Elle enjamba mon visage et m’offrit la vision rapprochée de sa vulve aux lèvres étroites ornées d’un petit anneau doré.
Par contre son clitoris était très développé et sortait de son capuchon. Je remontai mes bras pour lui saisir les hanches et, relevant ma tête, je commençai à lui lécher le sexe comme elle le souhaitait, suçant de temps à autre son clitoris que je prenais entre mes lèvres pour le mordiller.

J’étais encore fiché dans la chatte de Sabrina qui roulait des hanches pour me faire bander à nouveau. Elle s’était relevée et faisait face à Caroline qu’elle embrassait à bouche que veux-tu. J’étais tombé su deux coquines bisexuelles. GENIAL. Bientôt, comme dans un ballet bien réglé, les deux copines changèrent de place. Caroline vint s’empaler sur ma bite dressée pendant que Sabrina venait m’offrir sa chatte ruisselante à étancher.

Sabrina et Caroline continuaient de s’embrasser et de se caresser les seins. D’elle-même Caroline faisait les mouvements alternatifs sur ma bite. Elle était étroite et savait y faire avec ses muscles intimes qui me malaxaient le gland chaque fois qu’il arrivait au fond de sa chatte. Heureusement qu’elle assumait sa baise car Sabrina était déchaînée. Elle n’arrêtait pas de gigoter et j’avais de plus en plus de mal à lui faire son cunnilingus d’autant que j’avais introduit facilement deux doigts dans son cul. Aussi soudainement que quand je la baisais, la jouissance de Sabrina est arrivée. Elle l’a exprimé bruyamment :
• Ouiii ! Ouiii ! Oh que c’est bon !

Dans le même temps elle m’arrosait le bas du visage de plusieurs jets de cyprine. Presque aussitôt la jouissance de Caroline et la mienne arrivèrent simultanément. J’avais éjaculé deux fois dans le préservatif et j’avais la queue noyée dans le sperme. Nous nous sommes désunis et mes deux coquines se sont empressées sur ma bite. Dès que Sabrina a retiré la capote, Caroline a commencé à me faire une toilette à coups de langue. Elle a été rejointe aussitôt par Sabrina et elles se sont partagé les rôles. Pendant que l’une gobait mon gland, l’autre léchait la tige maintenue verticalement.
Je pensais que la nuit se terminerait calmement entre les deux filles, couchées dans le même lit. Je me trompais lourdement ! Elles n’en n’avaient pas encore assez. Sabrina me dit soudain :
• Tu n’as titillé la rondelle mon coquin. Et bien tu vas pouvoir en profiter !

Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir Caroline harnachée d’un gode ceinture. Tout avait été prémédité par ces deux belles garces. Caroline se coucha sur le dos pour que Sabrina vienne s’empaler la chatte sur le gode. Après quelques mouvements de va-et-vient, Sabrina dit comme une furie :
• Ta queue est courte mais je vais bien la sentir ! Prends-moi le cul mon salaud ! Encule-moi ! Tu en as envie !

Je pris place entre leurs cuisses et après m’être couvert une nouvelle fois, je présentai mon gland devant l’anneau plissé. Je n’ai pas eu à forcer beaucoup. Le passage était bien ouvert et c’est sans difficulté aucune que je glissai ma bite jusqu’au fond du cul de Sabrina. Pourtant j’ai un sexe assez trapu et court.

Nous avons accordé nos mouvements et au bout de quelques minutes, la belle commença à jouir. J’étais aussi sur le point de non retour. D’un coup de reins, je sortis de son sphincter, je retirai rapidement le préservatif et je crachai mon sperme sur le bas de son dos et ses fesses. J’avais bien pris mon pied et mes deux excitées aussi.

Nous avons effectivement fini la nuit dans le même lit. Au petit matin, Sabrina et Caroline se sont esquivées pour regagner leur chambre après m’avoir gratifié en double d’une fellation aboutie, pour me remercier dirent-elles.

J’avais passé la soirée et la nuit en compagnie de deux danseuses qui faisaient ensemble un spectacle érotique dans un célèbre club libertin des environs de Genève et qui faisait relâche pendant une semaine.

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