La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°903)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°902) –

Le début de soirée se passe autour des coupes de Champagne, sur divers sujets de discussions, alternant entre l’actualité, la littérature, le cinéma… Puis un serveur vient les chercher pour les mener au restaurant de l’hôtel. Keira MDE s’applique à se comporter en femme du monde tout le long de la soirée, faisant parfaitement illusion dans cet univers qui n’est pas le sien. Le dîner se passe au fil des mets délicieux qu’elle n’a pas l’habitude de déguster, chacun apprécie ce moment, l’homme pour la compagnie, Vanessa pour cet environnement agréable. Le dîner terminé, ils remontent dans la suite, et s’installent dans les fauteuils, l’homme regarde un instant Keira MDE sans oser parler, comme s’il réfléchissait à ses termes.

- Puis-je vous poser une question ? Si elle est trop indiscrète ne me répondez pas, ose-t-il enfin.
- Bien entendu, sourit la jeune femme.
- Quels genres de services proposez-vous ?
- Eh bien, je maîtrise un grand nombre de pratiques, je ne propose rien, je réponds à des attentes.
- Une geisha des temps modernes, dit l’homme souriant.
- C’est un peu cela, répond Keira MDE le sourire aux lèvres.
- Et les pratiques qui sortent de l’ordinaire également ? questionne-t-il craignant la réaction de la jeune femme.
- Aucune pratique ne sort de l’ordinaire, les goûts de chacun sont simplement différents, le rassure la jeune femme.
- Mes goûts sont vraiment particuliers.
- Particuliers au point qu’ils soient inavouables ? sourit la jeune femme.
- Disons que…
- Je vous écoute, je ne suis pas ici pour vous juger, le coupe-t-elle.
- Des pratiques qui font appel à quelques instruments, comme des cordes, menottes et autres…ose enfin l’homme,
- Bien entendu, répond-t-elle d’une voix posée.
- Connaitriez-vous un endroit en ville pour cela ?
- Pourquoi ne pas rester ici, propose Keira MDE.


- Disons que cette suite est magnifique, très agréable, mais peu équipée dans ce but.
- J’ai ce qu’il faut à disposition pour l’équiper, faites votre liste.
- Eh bien, vous êtes une femme pleine de ressources…disons que…si vous pouviez avoir une cravache, un martinet, un collier et une laisse…
- Bien évidemment, autre chose ? répond la jeune femme comprenant qu’il a envie de la soumettre pour le reste de la soirée.
- Non, le reste c’est plutôt dans la pratique…ce que je recherche…si vous acceptez de m’offrir ces plaisirs.
- C’est la raison de ma présence ici, Monsieur.
- Eh bien… Voila, je vais vous avouer une chose … Je … J’aime être traité comme un chien, humilié, insulté, lécher les chaussures, et tout ce qui a attrait à l’humiliation. Oui en secret, je suis un soumis au plus profond de moi… Je suis un PDG ayant des centaines d’employés et pourtant je ne veux être qu’un simple chien humilié …

Keira MDE ne répond pas, bouche bée, figée un instant par la surprise, ne s’attendant pas à recevoir ce genre de demande, elle regarde en direction de l’homme qui l’observe anxieux de sa réaction. Aussitôt elle lui sourit en acquiesçant de la tête.

- Aucun souci, pouvez-vous me laisser quelques minutes que j’aille chercher ce qu’il faut.
- Merci beaucoup, dit-il rassuré de sa réaction.

Keira MDE sort de la suite, elle sait que le service d’étage pouvait lui faire porter tout le matériel nécessaire, mais elle ne sait pas quoi faire face à cette demande et décide d’appeler le Maître.

- Maître, je vous prie de bien vouloir m’excuser de Vous déranger, mais…
- Eh bien quoi ? Un souci avec ta mission ? questionne Monsieur Le Marquis d’un ton Dominant.
- Non Maître, enfin si un peu, disons qu’il désire des pratiques qui sortent de mon champ de compétences, Maître.
- Pardon ? répond le Noble d’un ton fâché. Pourquoi penses-tu que j’ai envoyé une de mes meilleures soumises MDE ? Pour que tu me dises que tu ne sais pas t’y prendre pour contenter cet homme ? N’as-tu pas été formée pour contenter TOUS les hommes ? accuse-t-il.

- Si Maître…mais…cet homme souhaite que je le soumette, je ne m’attendais pas du tout à ce genre de demande et j’ai donc préférer Vous appeler, répond la jeune femme d’une faible voix.

Le Noble ne s’attendait également pas du tout à ce cas de figure, il réfléchit un instant, il pourrait la faire remplacer, mais ça risquerait de perturber cet homme qu’il ne connait pas et qui vient de se confier à Sa propre soumise.

- Hum…Ah ? je vois ! … Je comprends, tu as bien fait de m’appeler. T’a-t-il parlé de pratiques en particulier ?
- Oui Maître, tout ce qui a attrait à l’humiliation, lécher les chaussures, être traité en chien…
- Voyons Keira MDE, j’ai bien vu les quelques fois ou Laurent t’a fait participer à son éducation sur des soumis, tu t’es parfaitement débrouillée, tu sauras faire sans le moindre doute.
- Mais ce n’est pas ma place, Maître.
- Eh bien ce soir ça l’est, fais-en sorte qu’il apprécie cette soirée, lorsque tu auras terminé envoie-moi un SMS et va attendre au salon de la réception, j’enverrai Walter venir te chercher.
- Bien Maître.

Le Noble raccroche, et Keira MDE file au service d’étage, demander ce dont elle a besoin. Elle revient quelques minutes plus tard dans la suite de l’homme, qu’elle retrouve anxieux, assis dans un fauteuil. Vanessa pose le matériel sur la table basse, s’assoit face à lui en lui souriant et décide d’engager la conversation pour le détendre.

- Etant donné que je ne vous connais pas, enfin très peu, sourit la jeune femme. Et que vous ne me connaissez pas vraiment non plus, je vous propose d’avoir un safe-word, un mot de sécurité pour l’occasion, qu’en pensez-vous ?
- Que c’est une excellente idée.
- Lequel souhaitez-vous ?
- C’est vous la Maitresse, ose l’homme.

Keira MDE sourit, elle réfléchit un instant, pense au Maître, à ses débuts, à sa vie, à ce qu’elle est devenue, et soudain un mot lui semble évident.


- Bien ce sera ‘FEU’, cela vous convient ?
- Parfait.
- Avez-vous des questions ?
- On commence quand, ose l’homme un sourire timide avec déjà une attitude de soumis dans le ton de sa voix.

Keira MDE sourit, puis prend soudain un visage sec et fermé, relève la tête, et d’un ton très directif annonce :

- Eh bien, quand tu auras pris ta place à genoux devant moi, espèce de chien.

A ces mots l’homme sent instantanément son sexe se dresser dans son pantalon. Il se lève et vient se placer à genoux devant la jeune femme. Keira MDE l’observe en silence, laissant son stress monter doucement.

- Vas me chercher la cravache, petit cabot, ordonne-t-elle d’un ton laconique.

L’homme s’apprête à se lever mais elle l’arrête d’un ton énergique, lui ordonnant de rester à quatre pattes. Il se dirige donc ainsi vers la table basse, et au moment de saisir la cravache de sa main droite, il reçoit l’ordre d’utiliser sa bouche. Et c’est ainsi, qu’il ramène comme un chien bien dressé ramènerait le journal, la cravache à Keira MDE. Elle s’en saisit, et patiente un instant observant son souffle, ses réactions, puis du bout de la palette elle pousse son torse vers le haut pour le forcer à se redresser sur ses genoux.

- Un peu trop habillé à mon goût, retire tes vêtements, le clébard.

L’homme obéit faisant tomber sa veste au sol derrière lui, puis déboutonnant sa chemise avant de la laisser rejoindre sa veste. Il déboutonne ensuite son pantalon mais ne sachant pas s’il peut se relever, se contente de le laisser tomber le long de ses cuisses. Keira MDE découvre un sexe déjà bien dressé dans un boxer de couleur noir.

- Retire le tout et reviens à genoux, espèce de caniche.

L’homme se lève, conservant la tête baissée, très excité de se conduire en chien soumis devant cette jeune femme. Il retire ses chaussures pour laisser choir son pantalon au sol, puis s’apprête à s’agenouiller de nouveau lorsqu’un coup de cravache sur sa cuisse gauche le stoppe instantanément.


- Qu’as-tu mal compris dans « retire tes vêtements », le toutou ?
- C’est que c’est un peu rapide de se dévoiler d’un seul coup, ose-t-il.
- Penses-tu que tu as le choix, chienne en chaleur, tu crois que je n’ai pas vu la bosse sous ton boxer, gronde Keira MDE, claquant de nouveau sa cuisse d’un coup de cravache, qu’elle retient, ne souhaitant pas y aller trop fort avec cet homme qui n’est pas un véritable soumis.
- Non.
- Non Madame ! insiste Keira MDE accompagnant sa phrase d’un nouveau coup.
- Non Madame, reprend l’homme et posant ses mains sur l’élastique de son boxer pour se dévoiler entièrement.

Une fois nu, il s’agenouille devant Keira MDE, le sexe dressé, preuve de son excitation face à la situation dans laquelle il se trouve. Vanessa l’observe un instant, sourit de constater qu’effectivement il apprécie visiblement grandement la soumission, et du bout de sa palette, effleure son verge dressée.

- Hum, il me semble que cette vigueur est un peu trop importante pour un chien de ton espèce.

Sans dire un mot, elle se lève, prend quelques glaçons dans le seau à champagne, et revient vers l’homme les appliquer contre sa queue. L’effet escompté ne se fait pas attendre, et aussitôt le vit de l’homme rétrécit. Il sursaute et porte immédiatement ses mains à son sexe pour le réchauffer, mais Keira MDE écarte ses mains à l’aide de la cravache.

- Conserve les mains dans le dos, petit chien.

Aussitôt l’homme obéit et patiente dans cette position, sentant de nouveau l’excitation monter et priant pour que sa verge ne le trahisse pas, afin de ne pas subir de nouveau le supplice de la glace. Keira MDE se saisit d’une cage de chasteté et la lui pose, l’homme comprend instantanément ce que c’est même s’il n’en a jamais porté, et ses sentiments se mélangent entre excitation d’être ainsi contraint et crainte de ressentir de la douleur. Vanessa s’asseye de nouveau dans le fauteuil lui faisant face, et patiente un instant connaissant bien les résultats de l’attente dans une position de soumission.

- Eh bien, une fois un peu corrigé tu sais te tenir finalement, le chien, je te félicite, tu vas donc avoir l’occasion de me remercier convenablement, dit-elle d’une voix volontairement dédaigneuse. Allez, viens lécher mes bottes, chien de rue !

L’homme ne se fait pas prier, il se met à quatre pattes devant la jeune femme, avance doucement jusqu’à ce que le bout de sa langue atteigne sa botte, et doucement avec un plaisir flagrant, lèche le bout de la botte de Keira MDE. Il s’applique consciencieusement sur toute la longueur des cuissardes de la jeune femme qui le laisse faire jusqu’à ce qu’aucun centimètre de cuir n’ait été oublié. Keira MDE le laisse faire encore un long moment avant de le repousser du bout du pied, aussitôt il reprend sa position à genoux sans oublier de placer les mains derrière son dos. Elle se lève, lui passe un collier et une laisse, et pendant de longues minutes le fait marcher à quatre pattes à sa suite dans tous les recoins de la grande suite… Au bout d’un moment, Vanessa s’arrête, quand le PDG s’agenouille et lève la main tel un petit garçon à l’école :

- Madame, puis-je vous demander une faveur, ose l’homme les yeux baissés
- M’autoriseriez-vous à vous lécher votre sexe ? Et si vous aviez la bonté de jouir dans ma bouche, sous ma langue, je serai le plus heureux des chiens

Vanessa se souvenant qu’il fallait contenter les moindres désirs de cet homme, comme le Maître l’avait exigé, ne put refuser cette requête. Comme toute réponse, la jeune femme soulève sa robe et dévoile un sexe épilé. Elle écarte les cuisses et s’appuyant les fesses contre une lourde table, présente son entre cuisses au soumis. Elle tire la tête de celui-ci contre son pubis en plaquant ses deux mains sur la nuque de l’homme :

- Parfait ! Alors lèche, salope, et donne-moi du plaisir !

Le PDG, la tête plaquée, tire sa langue et du bout de celle-ci qui ne tarde pas à titiller le clitoris de Vanessa durant un long moment. Puis cette langue s’infiltre entre les lèvres intimes de la jeune femme. On aurait cru qu’il avait l’habitude de lécher, car il lui prodigue avec tellement de savoir-faire, un savoureux cunnilingus avec sa langue extrêmement mobile et précise. Vanessa ne peut se retenir longtemps, sa respiration s’accélère, ses mains appuyant encore plus fortement sur la nuque du soumis. Savoir que contenter cet homme était de lui jouir dessus, elle laisse échapper son orgasme par de véritables cris de plaisirs. L’homme boit son abondante cyprine tel un coureur qui s’abreuverait après une course… Une fois calmée et voyant qu’il se fait tard et que l’homme fatigue, et ne souhaitant pas qu’il soit dans de mauvaises dispositions pour rencontrer le Maître le lendemain matin, elle décide de mettre fin à la séance D/s. Vanessa le laisse au centre du salon et se retire dans la salle de bain pour se saisir d’un peignoir, elle revient et le pose sur les épaules de l’homme en reprenant le vouvoiement pour lui faire comprendre qu’il reprend sa position.

- Je vous en prie asseyez-vous donc…

(A suivre …)

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