Christine Vacances Et Métro

Retrouvé cette histoire que j'avais perdue.
Bises

Les vacances de Christine
 
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Cette confession pourra paraître bien crue, voire choquante pour certains. Qu’importe. Christine m’a envoyé ce texte que j’ai retranscrit (avec quelques retouches syntaxiques, seulement).
Le langage est « cru », voire vulgaire, les situations scabreuses. Ainsi va le monde lorsque l’on fréquente les dessous obscènes qui le composent.
 
*
 
Comme convenu je ne devais rejoindre Christine près d’Antibes que dans deux semaines où elle passait seule des vacances et où je devais la rejoindre. Je savais qu’elle ne se priverait de rien et qu’elle mettrait à profit sa liberté pour « s’amuser ».
Je reçois au bout d’une semaine ce mail :
 
« Mon chéri,
 
Pardonne-moi de ne t’avoir pas écrit plus tôt, mais j’ai été prise toute la semaine. Les vacances sont parfois fatigantes mais on peut les rendre très excitantes ! Les deux premiers jours furent consacrés au repos et à me faire dorer sur la plage, tu verras combien le soleil sait me caresser.
Par contre j’ai passé les jours et nuits suivantes de façon très remplies. Je rentre ce matin vers 6 heures. Je suis fatiguée et je t’écris après quelques heures de sommeil. Je vais me recoucher et rêver dès que j’aurai terminé ma confession. Ne sois pas choqué, mon chéri. Tu me connais.
 
*
Mercredi, me rendant à la plage, sur le petit lieu que j’avais élu, près d’un rocher, assez à l’écart, me déshabillant, je me suis rendue compte que j’avais oublié mon maillot. Je n’avais pas envie de rentrer au studio. Ce n’était pas une plage de nudiste. Je portais sous ma mini en skaï rouge que tu aimes une petite culotte en coton blanc, (tu sais,  celle  genre « petit bateau » que j’avais rectifiée afin qu’elle soit plus ouverte). Je défais ma jupe, retire le haut et m’allonge ainsi en culotte sur ma serviette. Le soleil me chauffe, partout.

Délicieuses sensations. Je pense à toi, à moitié endormie. Je vais me baigner, sans prêter attention aux regards qui, intrigués, me dévorent littéralement. Je nage plus d’une heure, l’eau est très douce. Je me dépêche de rentrer pour me faire sécher. Surprise, mon petit lieu que je croyais à l’écart est envahi par des hommes (mais aussi des couples) qui n’étaient pas là pour rien… Je m’allonge, serviette sur le visage et je me mets à rêver. Je rentre me reposer. Je change ma jupe. Et sors.
 
Terrasse d’un café, une vodka orange. Des regards complices. Un homme vient me demander s’il peut s’asseoir à ma table. Oui, bien entendu, j’accepte. Un bel homme (Michel), courtois, viril (45 ans environ). Nous parlons. Il m’invite au restaurant (champagne, bonne bouffe…). Nos conversations virent rapidement sur le cul, pour le dire vulgairement. Nous en venons, boisson aidant ( ?) à nous dire des « cochoncetés », des mots crus, il adore ça. Je vais te dire les mots qui m’ont le plus affolée : putain, pisseuse, salope (c’est banal), baiseuse, suceuse et… poufiasse (c’est le mot qui m’a le plus retenue). Je suis donc une « poufiasse ». Nous sommes ensuite montés au studio. Nous nous sommes embrassés et tripotés. Sa main n’a pas tardé à passer sous ma jupe. « J’avais bien raison de te traiter de pisseuse », me dit-il constatant l’état de ma petite culotte. Je lui dégrafe la braguette et sors son membre tendu et dur comme une barre de fer. Je lui enfile un préservatif, me tourne et lui offre mon derrière. Il me baise comme un forcené enfonçant un doigt par-dessus ma culotte dans mon petit trou (ce que tu aimes me faire et que j’aime que l’on me fasse). Je lui dis avant qu’il parte que j’avais envie de sortir et de me trouver un type. Il me dit de rester tranquille, de me reposer. Je suis sage. Je prends un bon bain et dors comme un loir.
*
Le lendemain, je retourne à la plage, un autre endroit. Très sage. Je fais la rencontre de Virginie, une jeune personne qui te plairait, sensuelle, grande, blonde, assez bien en chair… Nous faisons connaissance, elle m’invite à une soirée qu’elle organise avec son ami samedi.
C’était hier.
*
Je vais te raconter par le menu ce qui s’est passé. Je suis fatiguée mais très excitée à l’idée de te faire le récit de mes aventures.
Je suis restée à la maison, seule, reposée. J’ai appelé Michel à venir me rejoindre. Je me suis habillée « très pute » (mini en cuir évasée, bottines, tee-shirt moulant, ventre dénudé…) Des bisous, des caresses, rien de plus malgré nos envies. Nous nous rendons chez Virginie vers 21 h.  Une bouteille de vodka. Virginie nous a accueillis, surprise que je vienne avec un homme. Déjà quelques convives, de toutes sortes : jeunes, vieux, dévergondés ou réservés. Virginie me présenté son ami (Gérard) – en fait elle voulait que je le rencontre parce qu’il m’avait remarquée et appréciée sur la plage. Un bel homme ! Nous n’avons pas tardé à faire « connaissance ». Nous nous sommes embrassés, un peu caressés… Puis nous sommes allés nous isoler dans une petite pièce. Je lui ai offert mon cul (pardonne-moi la crudité de l’expression), il m’a baisée. Il s’est brusquement interrompu et j’ai senti le jet chaud de sa semence inonder mes fesses tendues. (J’aurai préféré qu’il jouisse dans ma bouche !). Je lui ai demandé de me lécher. Ce qu’il a fait avec soin, n’oubliant aucun replis de mon intimité.
*
Ensuite, mon chéri ? Tu veux savoir, j’imagine…
Je suis retournée dans la salle de séjour. J’ai discuté, regardé. Un type m’a accroché. Il était quasi nu : un petit slip en cuir avec une fermeture éclair sur le devant. Un tee-shirt blanc, bien moulant, de très belles fesses. Des bottines. Je craque, comme tu peux l’imaginer. Nous nous rendons dans la salle de bains. On se touche. Je lui ouvre le slip, sors le sexe ! Ah quelle queue ! Il me baise. On ne se dit rien. On n’avait rien à se dire, juste à jouir. J’ai joui comme une salope. Lui aussi.
 
*
Ensuite et enfin, je n’en peux plus de te raconter, il le faut toutefois.
Il est tard déjà. Je me suis reposée sur le canapé, un peu assoupie, rêvant.

Je sens une main sur mon genou. Il s’agit celle de Françoise, une femme d’un certain age, assez autoritaire et déterminée. Je me laisse faire, ouvre un peu les jambes pour la laisser faire. Elle m’excite par des mots qu’elle me chuchote à l’oreille. Elle me demande de la toucher. Ce que je fais. Elle me dit que son vieux mari est en train de nous mater et me demande d’ouvrir un peu plus les cuisses, elle tire un peu ma culotte afin de dégager mon minou et de le mettre bien en vue. J’aime la situation. On va retrouver le « vieux ». On se rend dans la petite chambre. Elle lui baisse son pantalon, lui sort la bite. Elle me demande de le sucer. Elle est un peu molle, malgré mes efforts. Elle me demande de la lécher, ce que je fais malgré mon dégoût. J’aime malgré tout. Il me tripote par derrière. C’est encore mieux.
Elle me retire ma culotte toute souillée par mes excès, retire la sienne. Et se met la mienne. Il vient lui renifler entre les cuisses. Je le branle pendant ce temps. Il bande mieux, plus dur.
Je récupère ma culotte. Je la garde précieusement, je me la remets, je la porte en t’écrivant.
Je suis une vraie « petite poufiasse », comme tu peux le voir. Je n’ai pas honte. Je vais dormir. Demain je serai très sage. Ensuite je ferai ce que tu me demanderas de faire.
Je suis tellement impatiente de te revoir.
De t’embrasser.
Ta Christine

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