La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1494)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1490) -

- En attendant, reprenez un verre de cet excellent Beaujolais, répondit le Maître avec la bonne bouteille dans Sa main tendue et Ses pieds reposant toujours sur mon épaule, étant toujours couchée à Ses pieds en chien de fusil … J'entendis Monsieur le Marquis d'Evans se lever puis il appuya sur un bouton placé sur son bureau et alla se rassoir dans son luxueux et confortable fauteuil en cuir et reposa Ses pieds sur mes épaules. Quelques minutes après, on frappa alors à la porte et après avoir reçu l'ordre d'entrer, je vis le Majordome entrer et attendre les instructions du Maître des Lieux :

- Je voudrais savoir comment cela s'est passé avec les soumises de notre cher invité, ici présent, depuis que tu les enfermer dans une chambre ? Est ce qu'elles ont été obéissante ? Est-ce ce que tu as eu besoin de sévir ? Est ce qu'elles se sont rebellées ?... Vois-tu, notre cher ami rencontre quelques problèmes d'Autorité et d'obéissance avec ses deux chiennes … Et quoi de mieux qu’ici, au Château haut lieu historique de la Domination/soumission, pour leur rappeler et leur apprendre quelle est leur vraie attitude et place à adopter, digne d'une soumise à tout moment et en tout lieu, dit Monsieur le Marquis d'Evans
- Monsieur le Marquis... En effet, après les avoir enfermés dans une chambre et exigé qu'elles restent agenouillées, immobiles et silencieuses jusqu' à ce que l'on vienne les chercher, j'ai pu constater grâce aux caméras de surveillance qu'elles se déplaçaient et discutaient librement et de manière insolente, pensant qu’elles n’étaient pas surveillées. J'ai donc décidé de sévir pour leur apprendre comment des soumises doivent se comporter, que toute désobéissance serait punie et que l'on ne laisserait rien passer… Je leur ai donc administré à chacune 30 coups de cravache et j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois sans qu’elles ne crient, ni ne bougent.

.. Il est évident qu'une soumise sous Votre Joug aurait eu une sanction bien plus élevée… Après cela je leur ai mis un bâillon-boule pour être sûr de ne plus les entendre... Elles sont insolentes et n'obéissent pas à de simples ordres mais je suis certain qu'après quelques jours passés au Château, elles deviendront très vite dociles, si je puis me permettre de le dire Monsieur le Marquis d'Evans.
- Merci mon cher Walter, j'avoue que ce que tu me racontes-là, ne me surprend qu’à moitié. En effet, Monsieur Ho Shen, ici présent, est venu me demander aide et conseils par rapport aux soucis qu'ils rencontrent avec ses soumises. Et je compte bien l'aider à reprendre la main et à leur monter comment il faut se comporter quand on est de bonnes soumises... Va me les chercher et emmène-les ici… Je veux les voir devant Moi afin que je les soumette à Mon savoir-faire…
- Bien Monsieur le Marquis, répondit le Majordome tout en quittant le bureau.

Le Châtelain s'adressa à son invité :

- Vos soumises ne vont pas tarder à arriver et je compte les tester et les pousser dans leurs retranchements pour leur faire comprendre quelle est leur place. Je vous demande de ne pas intervenir à aucun moment, sauf si je vous pose une seule question à répondre devant elles, et de me faire confiance... J'aurais peut-être une proposition à vous faire par la suite mais je ne vous en dirais pas plus pour le moment. Est-ce ce que tout est clair et bon de votre côté ? demanda le Noble d'un ton très amical
- Tout est bon de mon côté et je vous fais entièrement confiance. J’ai même hâte de voir le comportement de mes soumises avec un Maître de Renom et d'une grande expérience tel que Vous…
- Juste une question de logistique, vos soumises comprennent et parlent-elles bien le français ?
- Oui aucun souci, elles ont étudié votre langue à l’université de Pékin durant de nombreuses années
- Parfait, alors laissez-Moi faire …

Quelques minutes après j'entendis Walter revenir au bureau du Maître et s’arrêter au milieu de pièce avec les deux chiennes de l'hôte chinois, tout en leur ordonnant de rester immobiles.
Elles avaient le fessier déjà bien marqué, tantôt par Walter, des coups de cravache ayant copieusement zébré leur postérieur… Le Majordome répartit vaquer à ses occupations. Elles restaient immobiles et silencieuses se demandant ce qui allait se passer tout en regardant et cherchant, dans le regard du Maître Ho Shen, un quelconque soutien qu'elles ne trouvèrent pas. Elles firent déjà une grosse erreur en regardant avec insistance et interrogation le Dominant asiatique droit dans les yeux en occultant de baisser la tête ou au minima les yeux... Le Maître des Lieux laissa le silence s'installer qui commençait à devenir pesant. En moi, je ne doutais pas un seul instant que c'était une volonté du Seigneur pour tester les deux soumises. Après un bon moment, Monsieur le Marquis d'Evans s'adressa aux soumises d'un ton autoritairement calme et froid comme si tout était parfaitement et totalement maitrisé :

- Vous êtes les soumises de Maître Ho Shen, mon ami et hôte. Il m'a demandé de l'aide dans le cadre de votre éducation. Tout d’abord, il est inutile de dire à quel point je suis insatisfait de votre attitude dans la chambre où vous avez été enfermé, attitude qui n'était nullement digne de bonnes soumises digne de ce nom… J'ai ainsi pu constater que vous avez du mal à respecter de basiques règles élémentaires d’un comportement de soumission. Comme par exemple, le simple fait de regarder un Dominant dans les yeux, ce qui est strictement interdit au sein de notre Communauté. Vous serez punies pour cette faute quand je l'aurais décidé et c'est Moi-même qui choisira la sanction. C'est Moi qui vous donnerai les Exigences et tout manquement volontaire ou involontaire de votre part sera sanctionné. Je n'ai jamais rien laissé passer à celles ou à ceux qui m'appartiennent et je n'ai pas l'intention de vous accorder le moindre traitement de faveur sous prétexte que vous appartenez à mon hôte. Une soumise doit se plier à toutes les volontés du Maître et obéir sans le moindre orgueil mal placé et la moindre tentative de rébellion.
Je veux que vous vous montriez digne du Maître auquel vous appartenez... Avez-vous quelque chose à dire ? Vous êtes autorisées à vous exprimer …

Le silence se réinstalla de nouveau quelques instants, puis, celle qui paraissait la moins timide, prit la parole dans un parfait français mais avec un délicieux accent asiatique

- Je m’appelle Mei-Ling et voici ma sœur Shan-Yu. Merci, honorable Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, de votre hospitalité et de nous rappeler à l’ordre. Je comprends vos us et coutumes comportementaux et occidentaux. La culture orientale a épousé les mêmes codes dans les relations de Domination/soumission et cela bien avant l’occident. Mais, malgré votre forte réputation et charisme si puissant, Monsieur le Marquis, nous n’avons pas à vous obéir car ce n’est pas à vous de nous soumettre car nous obéissons uniquement à Maître Ho Shen, dit-elle dans un aplomb déconcertant
- Obéir à Maître Ho Shen, vous dites ? Alors faites-le ! Ce dernier m’a rapporté que souvent vous n’en faisiez qu’à votre tête…
- Disons qu’il y a des choses difficiles à accepter dans ses exigences, comme le fouet par exemple …
- Savez-vous qu’en agissant ainsi, que si vous ne lui obéissez pas au doigt et à l’œil, vous risquez tout simplement de le perdre ? Un jour ou l’autre vous vous retrouverez toutes les deux sans Maître,… Est-ce cela que vous souhaitez vraiment ? Ne sous-estimez pas cette hypothèse … Sinon posez-vous la question : Avez-vous véritablement besoin de soumission ?
- Oui nous avons besoin de vivre notre soumission et je ne pense pas que Maître Ho Shen nous rende notre liberté, il nous aime trop pour ça ! Il ne peut pas se passer de nous !
- Vous pensez donc que c’est lui qui dépend de vous et pas l’inverse ?
- Nous dépendons aussi de lui car nous avons trouvé confort et réconfort en sa demeure et amour en lui…

Monsieur le Marquis se retourna et fit un clin d’œil discret à Maître Ho Shen comme pour lui faire comprendre qu’il allait tenter un coup de bluff…

- soumise Mei-Ling, malgré les sentiments que ressent Maître Ho Shen à votre égard, il m’a confié qu’il envisageait sérieusement de vous quitter, de vous rendre votre liberté et cela sans tarder, dès votre retour en Chine… Il m’a dit cela après que je lui ai fait prendre conscience, après une longue discussion que j’ai eu avec lui, que, ce que vous faites, ça s’appelle tout simplement du chantage aux sentiments, du chantage à l’affectif …
- Non, ce n’est pas possible, ce n’est pas vrai … je …

soumise Mei-Ling ne put continuer sa phrase car très émue, elle blêmit d’un seul coup, comme si elle avait reçu un coup de massue.
Elle marqua un silence via un évident et subit stress, elle avala sa salive difficilement et fut déstabilisée face à cette éventualité car elle était, jusque-là, persuadée que ça ne pouvait jamais arriver. La même réaction se montrait aussi chez sa sœur Shan-Yu… Le Noble fort en psychologie humaine remarque d’emblée son trouble et en profita pour enfoncer le clou :

- Le plus simple est de lui demander, que vous en aillez le cœur net ! … (se tournant vers son hôte chinois avec un autre et discret clin d’œil complice) Maître Ho Shen, Confirmez-vous ce que je viens d’affirmer ?

Le chinois compris vite la ruse, qui en n’était pas véritablement une, il y avait ruse juste sur le fait qu’il lui serait difficile de les quitter et qu’il fallait qu’il leur annonce le contraire. Et donc même s’il n’avait jamais eu l’intention de les quitter, il comprit vite aussi qu’il fallait faire comprendre que dorénavant le chantage à l’affectif qu’elles exerçaient sur lui était bel et bien terminé :

- soumise Mei-Ling, soumise Shan-Yu, en effet j’ai décidé de vous rendre votre liberté dès notre retour, Monsieur le Marquis m’a fait comprendre que notre relation courait à sa perte si on continuait comme ça… J’ai eu tort de laisser parler trop souvent mes sentiments envers vous deux et cela a eu pour conséquence d’édulcorer notre relation D/s, au lieu de la consolider… Donc soit vous m’obéissez au doigt et à l’œil à partir de cet instant, soit vous ne serez plus mes soumises et il faudra m’oublier… Et je ne reviendrai pas sur ma décision…
- Non Maître pas ça, Maître… je … non pas ça… On vous… vous obéira, promis… mais ne nous laissez pas, Maître … Je … je vous… en conjure, Maître, répondit soumise Mei-Ling dans un sanglot laissant couler ses larmes en même temps que sa sœur Shan-Yu silencieuse et pleureuse…
- Alors je vous donne une dernière chance jusqu’à notre retour en Chine, mais ce sera la toute dernière. Si vous me désobéissez et ne serait-ce qu’une seule fois avant de fouler notre mère patrie, ce sera terminé… Prosternez-vous et j’exige que vous obéissiez à Monsieur le Marquis d’Evans. Sachez que vous avez la chance inouïe de vous trouver devant un grand Maître de renommée mondiale, alors je veux une docilité exemplaire afin de me faire honneur… (se tournant face au Châtelain) Monsieur le Marquis, je vous les confie, il me semble qu’elles aient compris ce qu’elles risquent de désobéir dorénavant …
- Oh oui, elles ont, à l’évidence, tout compris et donc désormais tout est clair... soumise Mei-Ling, soumise Shan-Yu, mettez-vous à quatre pattes, le cul face à moi, votre visage face à la porte avec la tête baissée. Vous allez vous mettre une le plus à gauche, et une le plus à droite possible avec bien sûr l'interdiction totale de vous regarder… Exécution et sachez que j'ai horreur d’attendre, ordonna le Maître Vénéré sur un ton calme et d'une voix très autoritaire sans crier mais d’une froideur efficace et dominante.

Instantanément les soumises se mirent à quatre pattes et s'éloignèrent une se mettant à la droite et l'autre se mettant à la gauche de la pièce, faisant bien attention à respecter les règles qui avaient été édictées par le Maître des Lieux qui les impressionnait par Son Autorité naturelle et charismatique. Le Noble se leva puis marchant dans la pièce de long en large en silence, les scrutant sous toutes leurs coutures… Après quelques minutes, il se rapprocha de son bureau se saisit dans une armoire d'un Martinet à poil long qui avait l'air assez souple, le mania dans les airs puis satisfait de son effet sifflant, il se rapprocha doucement mais sûrement des deux soumises ...

(A suivre …)

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