La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°921)

Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°920) –

J’étais terriblement excitée, et j’aurai bien aimé qu’on me redonne le droit de jouir, car les vagues de plaisir venaient nombreuses s’échouer aux portes de ma volonté d’obéir scrupuleusement pour que le Maître soit fier de moi. D’ailleurs je ne le voyais plus, mais je ne doutais pas qu’Il profitât tant qu’Il pouvait du spectacle de Sa salope de chienne en chaleur ! Maître Khalès prit la place de Maîtresse Diamina, mais resta debout pour que sa verge puisse être à hauteur de mes mains et de ma bouche. Je me faisais enculer à la queue leu leu, je suçais toutes les bites qui se présentaient devant moi, lorsque je sentis qu’on avait rallumé un magic wand et qu’on me le collait à nouveau sur mon clito et qu’on me doigtait la chatte. Tous mes orifices étaient occupés en même temps. C’était absolument délicieux, et jouissif, et je me concentrai autant que je le pouvais pour ne pas désobéir. Je tremblais de tout mon corps. Puis on se mit, en plus de tout le reste à me claquer les fesses, fortement, régulièrement, me faisant lâcher quelques secondes la verge que j’avais dans la bouche ce qui me valut quelques paires de claques. Pendant quelques instants mon cul et ma chatte furent libérés, mais pas longtemps. Rapidement Maîtresse Fatalis, harnachée d’un gros gode ceinture vint me défoncer la chatte à grands coups vigoureux de reins. Le gode était plus gros, plus épais et plus large que toutes les queues que j’avais pu voir passer dans la soirée, à me labourer et me déchirer presque les chaires. J’avais envie de hurler, mais toujours le puissant plaisir accompagnait la douleur. Et les vraies queues recommencèrent à se succéder dans ma bouche, dans mon cul et dans ma chatte…

Tous les Dominants avaient leurs bites de sorties et soit se masturbaient en attendant qu’un orifice se libère, soit s’accouplaient ici ou là avec une des Maîtresses présentes. Des chattes se présentèrent également à ma bouche, dans laquelle se mêlaient les gouts des différentes cyprines, des différents spermes.

Mes deux autres orifices recevaient également des sexes factices, de plus ou moins grosses tailles. À un moment, on fit une sorte de chaîne humaine. Maitresse Fatalis se mit à quatre pattes devant moi, je devais lui lécher la chatte et le cul alors que derrière moi j’étais enculée par un gode par une Maîtresse baisée par un autre gode ceinture. Nous étions six ainsi, remuant toutes d’un même rythme. La pièce était emplie des cris et des gémissements de ces Dominantes qui s’en donnaient à cœur joie ! Seule moi, la chienne MDE avait interdiction toujours de jouir ou de gémir. Les Maîtresses me délaissèrent, certaines finissant à deux ce qui avait été commencé, et les Maîtres revinrent me fourrer la chatte et le cul alternativement, tandis que de nombreux coups de cravache et de nombreuses claques pleuvaient sur mon dos et mes fesses. Puis je recommençais à sucer les queues qui venaient, factices ou réelles. Au bout d’une bonne heure de baise, de défonce à l’excès, de suçage, je fus enfin laissée tranquille quelques minutes. Tout le monde se rhabilla et des petits groupes se formèrent ci et là pour discuter tranquillement. Je restais un moment attachée, seule sur ma table… On me détacha pour le dessert. Il y avait divers crèmes, glaces, fruits et gâteaux. On m’allongea sur la table, bras en croix genoux repliés, cuisses largement écartées. Monsieur le Comte d’Orlan prit une banane et me l’écrasa sur les seins avant de me les lécher pour me nettoyer…

On m’enfonça et m’écrasa une fraise sur et dans mon cul avant de récupérer le jus et les morceaux avec une langue. Maitresse Etoile d’Or prit un morceau d’ananas en bouche et m’embrassa goulument pour me faire avaler le fruit. On me badigeonna entièrement de crème glacée, ce qui me fit trembler de froid. Mais j’étais chaude, et la glace fondait rapidement. Plusieurs Dominants se mirent à me lécher et à me mordiller des pieds à la tête, me provoquant de délicieux frissons… On m’emmena alors au milieu du grand salon.
On me plaça à genoux sur la petite table, droite, cuisses écartées, mains attachées dans le dos. Maîtresse Cravache saisit son instrument de prédilection et exigea que je compte les coups qu’elle me donna sur les seins. Je serrais les dents pour ne pas crier en même temps que les nombres défilaient. Elle alternait sur chaque sein. Puis elle s’arrêta, passa derrière moi, serra mon cou avec son coude et m’assena une vingtaine de coups rapides et secs sur chacun d’eux. Puis après avoir demandé l’avis des autres Dominants et Dominantes, elle me fit placer en levrette. Elle commença à me caresser doucement la croupe. Elle cracha sur ma rosette en guise de lubrifiant, et m’enfila aussi sec un doigt dans le cul, très vite suivi d’un deuxième. Elle s’amusait à les sortir entièrement et à les replonger immédiatement au plus profond qu’elle le pouvait. J’étais tellement excitée, je mouillais tellement, que ma cyprine tombait à grosse goutte sur la table. Elle abandonna mon cul, qui ne resta pas inoccupé longtemps, pour me caresser la chatte. Pendant ce temps plusieurs Maîtres s’étaient levés et me doigtaient chacun leur tour mon cul devenu libre. Tous avaient ressorti leur sexe dressé de leur pantalon et se caressaient en regardant ceux qui s’occupaient de moi…

Puis Madame la Comtesse d’Orlan vint à son tour m’observer et rajoutant du lubrifiant m’enfonça doucement trois doigts dans mon fondement. Ma respiration se coupa quelques secondes le temps que je m’habitue et me détende. Trouvant certainement que je n’ouvrais pas mes sphincters assez vites, elle me claqua une fesse, accompagné d’un « Allez chienne ! » et elle rajouta un quatrième doigt. Cela m’excitait énormément. Je n’avais que peu subit de dilatation anal, et cela m’entrainait mentalement toujours très loin ! Pendant que je me faisais ouvrir le cul, Maîtresse Diamina posa une pince sur chacun de mes orteils, provoquant une nouvelle douleur, qui associait à ce qui se passait dans mes entrailles, commençait à me faire perdre la tête dans mes sensations.
Maître Khalès ne tarda pas à remplacer les doigts de la Comtesse, et je me fis défoncer virilement le cul. Sa queue était vraiment très grosse, car elle prenait plus de place que les quatre doigts qui venaient de me quitter. Maîtresse Nadia vint se placer au-dessus de mon visage, me cracha dessus et étala sa salive sur tout mon visage, puis me tritura divinement les seins. Jamais on ne m’avait vrillé si délicieusement mes tétons ainsi avant cette soirée. C’était tellement excitant d’arriver aux portes de l’orgasme mais sans jouir, les sensations semblaient décuplées, cela me rendait folle ! Et évidemment me faisait mouiller encore plus ? Quel cercle vicieux ! … On me détacha les mains, tandis que je me faisais toujours enculer par Maître Khalès, et on exigea que je me dresse sur mes bras afin que je puisse également sucer toutes les bites et les chattes qui se présenteraient à moi. Une flaque assez conséquente s’était formée sur la table…

On me fit descendre de la table, et à genoux je dus la nettoyer avant que Maître Mangini ne s’allonge dessus, dos sur le plateau et exige que je vienne m’empaler millimètre après millimètre sur sa queue bien dressée. Il me fut exigé de le chevaucher sauvagement, je devais me tenir aux portes de la jouissance sans me laisser aller, et maintenir un rythme soutenu. Il me plaqua contre lui, relevant légèrement mon cul. Maître César présenta son sexe devant mon cul et m’enfila jusqu’à la garde. J’étais entièrement remplie en même temps par devant et par derrière, manquant me faire jouir instantanément. Les deux hommes s’activaient en moi, tandis que Maîtresse Épine d’Or, me claquait les fesses régulièrement en rythme avec eux. Il devenait sérieusement difficile de me contrôler, et j’espérais qu’on m’autoriserait rapidement à jouir ou qu’on me laisserait respirer quelques minutes. Et j’entendis les mots que j’espérais tant « Allez jouis salope de chienne ! Lâche-toi ! » et c’est dans des cris sauvages, animaux, que mon orgasme éclatait, long, puissant, intense.
Je tremblais de tout mon corps, je ne le maîtrisais plus. Et alors que mes cris commençaient à se tarir, Maître Wallance vint me fourrer sa verge au fond de ma gorge, empêchant tout son de sortir, me donnant les larmes aux yeux. Les bites se succédèrent à nouveau dans mes entrailles. Je sentais ma mouille couler le long de mes cuisses. Tous mes trous étaient utilisés, ils en usaient et abusaient à leur convenance, et moi telle une chienne en chaleur, je tendais mon cul, j’ondulais du bassin, j’ouvrais grand ma bouche pour en redemander encore et encore… Une véritable orgie !

Les queues se retirèrent de ma bouche et de mon cul, et Maître Mangini me fit s’accrocher à lui, les jambes autour de sa taille. Il se releva et me coucha sur la table à sa place. Il me pilonna quelques secondes et se retira, pour se vider dans ma bouche. On m’occupa vite les deux mains, et je recommençais à sucer à tour de rôle. On remit en marche le magic wand entre mes cuisses et je peinais à ne pas me contorsionner sous les vagues de plaisir. Et Maîtresse Cravache revint avec son instrument m’appliquant des coups sur les seins. Maîtresse Diamina me doigtait énergiquement la chatte. J’étais à nouveau à deux doigts de perdre pied, sous les moqueries des Dominants et Dominantes, qui cherchaient, et ne s’en cachaient pas à me faire jouir contre ordre. Mais je tenais bon ! Je tenais, je serrais les dents, j’essayais de m’évader mentalement de cette pièce ! Au bout d’une dizaine de minutes, tout s’arrêta. Tous les Invités firent un cercle autour de moi, les Maîtres virent éjaculer sur moi au, comme les Maîtresses, me pissèrent dessus. Je reçus l’ordre de rester immobile, dans la position où j’étais. Tous s’en retournèrent dans l’autre pièce, accompagnés de Monsieur le Marquis qui était resté simple spectateur durant toute la soirée. Je n’entendais pas ce qu’il se disait, mais à un moment les murmurent s’amplifièrent, et je compris que tout le monde se retirait. Je me demandais ce qu’il allait advenir de moi, mais tant que je n’avais reçu aucun ordre contraire, je restais immobile sur cette table, souillée. Puis j’entendis des pas s’approcher. J’avais beau tourner les yeux dans tous les sens, je ne parvenais pas à savoir qui était là. Jusqu’à ce que j’entende Sa voix.

- Ma chienne, je suis fier de toi ! Ce soir tu m’as montré que tu étais une vraie chienne MDE, que tu méritais Mes Nobles Initiales. Ta sanction est désormais totalement achevée et lundi tu pourras revenir travailler normalement dans ton bureau, près du mien. Une soumise va venir te chercher avec ce qui sera nécessaire pour que tu ne salisses pas tout le Château. Tu vas aller te laver et tu te rendras dans ta niche. Demain sera un dimanche comme un autre. Donc repose-toi bien, pour être en forme pour tes corvées habituelles. Tu auras le droit de bouger que lorsqu’on viendra te chercher.

Et je l’entendis s’éloigner. Je restais donc immobile. Je ne L’avais pas vu. Il s’était arrangé pour rester à l’abri de mon regard. Mais Sa voix m’avait réchauffé le cœur. J’étais heureuse, j’avais retrouvé mon chemin jusqu’à Ses nobles pieds, j’étais pardonnée. Je sentais que la nuit serait bonne. J’avais hâte qu’on m’enlève les pinces que j’avais toujours aux orteils et de laver car j’étais toutes collantes des crèmes et des fruits mais aussi d’urine, de cyprines et de spermes qu’on avait mangés sur moi. Et j’étais pressée de me reposer, ce diner avait été épuisant, malgré les corvées, le dimanche ne pouvait qu’être plus reposant. Mais j’étais loin de me douter de ce que demain me préparait…

(A suivre …)

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