La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°923)

Une belle lope soumise au Château - (suite de l'épisode précédent N°922) -

... Il était près de 15 heures quand Sissy s'éveilla. La belle chemise de nuit brodée l'enveloppait d'une douceur rassurante. Elle se leva, un peu ragaillardie par les 5 heures de repos. Ses pectoraux lui faisaient un peu mal, elle les toucha, ses aréoles lui semblaient un peu dures et boursouflées... le diffuseur de docteur Charles-Antoine ... la progestérone se répandait en elle... A peine avait-elle fait quelques pas dans la vaste pièce que Rose entra :

-"Alors Sissy ! On a bien dormi ? Je vais t'aider à t'équiper et je t'emmène aux écuries.

Allant fouiller dans une grande armoire, elle sortit une culotte de cheval rose et grise, un polo court et une petite veste cintrée. Puis, se dirigeant vers un beau meuble bas très moderne, d'acier et de loupe d'orme qui s'intégrait avec harmonie avec le reste du mobilier, Louis XV, elle sortit une paire de bottes de cuir fauve.

-"Viens que je fasse de toi une belle cavalière.

Sissy enfila la culotte qui s'ajustait parfaitement ... Sa Belle et Vénérée avait du communiquer au château ses mensurations précises, le couturier de Sir Evans, aurait fait le reste avec la diligence, la rigueur et la précision dont le personnel au service de la Maison Evans faisait preuve. L'habit, de coupe "spéciale", se lassait tel un corset, derrière, sur les reins. Le "fond de culotte" traditionnellement ren du vêtement d'équitation était pourvu d'une ouverture laissant libre accès à l'anus. Rose tendit à Sissy le polo et la veste puis elle retourna chercher le plug d'apparat afin de mettre une dernière touche à la tenue de l'écuyère...

-"Eh bien dit-elle, tu as bonne mine ! Le tour du Domaine va t'enchanter, tu verras. Allez viens !

Elle refixa la laisse au magnifique collier de titane rose et se dirigea vers la porte des appartements de Sissy. Longeant à nouveau les couloirs richement décorés, les deux femmes sortirent par l'arrière donnant directement sur le parc.

Les écuries se profilaient au bout d'une longue et large allée flanquée de majestueux tilleuls centenaires. Deux pas devant Sissy, Rose, toujours vêtue de son seul corset de cuir rouge et chaussée de bottines du même ton, ouvrait la marche avec la grâce et le maintien que Marie et Sir Evans lui avaient inculqués toutes ces années.

A proximité des écuries se trouvaient les garages, de quoi tenir à l'abri une douzaine de voitures. C'est vers ces bâtiments que quelques heures plus tôt David, avec l'impatience d'un à la veille de Noël, se dirigeait à grand pas. Il n'avait aucune idée de ce que son Mentor, Amant et Bienfaiteur Sir Édouard avait choisit de lui offrir pour remplacer la Morgan qu'il avait détruite ...

Il laissa les écuries à sa droite et fila vers les garages. Au fur et à mesure qu'il se rapprochait, il commençait à distinguer le véhicule... Son cœur s'accéléra, il faillit se mettre à courir... Dans la 3° alvéole, somptueuse et immaculée dans sa robe blanche, sa nouvelle voiture l'attendait : une Aston Martin Vintage V8 ...380 chevaux pour 1,6 tonne. Comme la Morgan, la sellerie était rouge. David se mit à pleurer. Le Marquis était si dur et si bon... Contournant le bolide, il s'installa au volant ... il y avait une enveloppe portant les armoiries de Sir Édouard. Dans l'enveloppe un bristol :

" David, Chère petite pute, si tu ne prends pas soin de celui-ci, je t'envoie un an dans les bas-fonds de Bangkok apprendre à aire des sushis .... Ne trahis pas ma confiance ..."

Rose et Sissy arrivaient aux écuries. Fernand, le palefrenier, était là pour les accueillir. De sa main droite il tenait par le filet une belle jument grise que Sir Édouard avait acquise au Haras des Coudrettes. Une longe était lovée dans son autre
main. Son petit sourire en disait long sur la perversité de ses pensées ...

La fameuse "selle de maintien" était un modèle mono-quartier doublée, à troussequin carré en cuir de bœuf pleine fleur.
Ce type de selle, de part sa forme, permet au cavalier d'être assis extrêmement près de sa monture. Mais l'originalité de celle-ci résidait en le fait que, judicieusement placé et cousu, un godemiché de belle taille, mais sans excès, obligeait la cavalière ou le cavalier à s’empaler profond dans l’anus pour monter ... Rose s'empressa :

- "Je te retire ton plug d'apparat, monte et mets toi en selle...

Sissy s'exécuta... Elle enfourcha la monture, se leva sur les étriers et descendit doucement sur le godemiché. La jument frémissait, tiède... Sissy s'enfonçait, prenant place, cherchant le confort... elle s'ouvrit et engloutit le phallus de cuir bouilli. L'objet la remplissait en totalité, sans la blesser. La jument frémissait de l'envie d'aller gambader et déjà le godemiché provoquait en Sissy des ondes incontrôlables... Fernand se mit en route en direction de la carrière toute proche où Monsieur le Marquis les attendait. La jument, au pas, imprimait à Sissy une lente et inexorable caresse... Sir Édouard était bien là, debout au centre de la carrière … tenant en sa main une grande chambrière... Fernand s'avança jusqu'au centre et tendit la longe au Marquis.

-"Bonjour Sissy, as-tu dormi ? commença le Marquis
-"Oui Monsieur le Marquis, je vous remercie
-"Bien, bien, avant de partir faire le tour du domaine je vais voir comment tu montes...

Délovant la longe tout en reculant, Sir Édouard s'éloigna d'une dizaine de mètres

-"Au pas !" prononça-t-il distinctement.

La jument, bien dressée, prit la piste et commença à tourner en formant un cercle bien régulier dont le centre était le Marquis. Les ondes qui avaient traversé Sissy avec un mélange de délice et de supplice reprirent. D'un mouvement de bassin Sissy accompagnait l'ondulation. Sir Édouard scrutait Sissy, guettant sur son visage l'apparition des premiers signes de plaisir. Il observait le changement de rythme du souffle de l'esclave et sourit .
.. le godemiché imprimait sur la prostate de Sissy un massage qu'il savait délicieux.

-" Au trot ! lança-t-il d'un ordre bref.

La jument prit le trot. Sissy, sachant bien que rester inerte sur la selle ne ferait que donner de la brutalité au mouvement du phallus dans son fondement, prit appui sur ses étriers pour adopter le trot enlevé. L'effet sur le godemiché fut immédiat : celui ci entrait et sortait comme un sexe mâle, avec régularité, sans à-coup. Elle était en train d'être une nouvelle fois sodomisée, face au Marquis et elle sentait une onde de plaisir monter inexorablement. Le Marquis fit claquer la chambrière, atteignant avec précision le haut de la fesse gauche de Sissy.

- "Et alors ?" tonna-t-il.

Au bord du plaisir qu'elle refoulait de plus en plus difficilement Sissy s'entendit prononcer :

- "Je suis la putain de Sir Édouard, Monsieur Le Marquis d'Evans"

Au même moment une nouvelle houle de plaisir monta en elle, n'y tenant plus elle abandonna toute résistance et jouit abondamment, sentant un ruissellement tiède en haut de ses cuisses. Sir Édouard partit d'un rire tonitruant :

- "La petite chienne ! Hier dans mon bureau tu bandes comme une salope parce que je te caresse les tétons et voilà qu'aujourd'hui, sur ma plus belle jument, tu jouis par le cul ! Tu es vraiment une sacrée catin !"… Auuu Paaaas..."

La a jument quitta le trot pour revenir au pas. Le Marquis lui laissa faire un tour.

-" Aaaarééété !" la jument se mit à l'arrêt.

Sissy baissa les yeux et vit la large tâche sombre qui maculait tout le devant du pantalon.

-" Fernand !
-" Oui Monsieur le Marquis ?
-"Amenez-moi ma monture,je vais montrer nos terres à cette petite putain en chaleur..."

(A suivre ...)

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