Collection Libertinages. Le Transfert. (1/1)
Lhistoire que je vais vous raconter est difficile à croire et aussi difficile à écrire sans me tromper surtout dans la chronologie, tout a commencé après nos 18 ans à Bruno et à moi qui ai comme prénom Benoît, nous avions une copine qui avait notre âge et qui sappelait Laure.
A peine débutée et joublie de dire que Bruno et moi sommes jumeaux, parfaitement identiques même nos peaux voulaient que personne ne puisse savoir qui était qui, elles sont sans aucun grain de beauté.
Quels sont les garçons ou les filles dans notre situation qui sont restées insensibles à des petits jeux qui nous paraissaient anodins et emprunts de la marque de notre jeunesse.
Il y avait une différence entre nous mais que nous étions les seuls à connaître, jétais un peu plus hardi que mon frère qui serait resté puceau bien plus longtemps sil avait été fils unique.
Prendre la place de lun ou de lautre même devant notre mère qui se targuait de toujours nous reconnaître lui a permis davoir sa langue dans la bouche des filles que je rencontrais et que je lui refilais en douce, avec certaines, je jouais au docteur et après quil est pris ma place, il pouvait jouer aussi.
Quand nous avons rencontré Laure dans le lycée avant notre Bac loin de nous lidée de faire ce que nous avons fait, nous étions passés maîtres dans lart de léchange de nos vies selon les circonstances.
Ce qui nous a tout compliqué cest que nous étions tous les deux fous dingues de cette jolie fille blonde avec des seins à faire bander un eunuque comme on le disait, il y avait un hic elle était partante pour faire lamour mais seulement avec la bague au doigt.
Nous avons tiré au sort et cest Bruno qui a gagné, jignore pourquoi je mévertue à jouer avec lui car 100 % des fois cest lui qui gagne.
Un jour jai envisagé quil trichait et jai vérifié la pièce quil sortait à chaque tirage de sa poche, javais entendu parler de pièces qui avaient un défaut au moment de les frapper et qui se retrouvaient avec deux faces piles ou deux faces.
Pas de subterfuges la pièce était bien avec un côté pile et lautre face.
Nous bandions tellement devant elle quaprès que Bruno est gagné sans quelle le sache il lépouserait, et nous pourrions reprendre nos jeux amoraux en couchant avec elle chacun notre tour sans quelle sen aperçoive.
Dans nos esprits devenus malades nous envisagions un mariage à trois la petite prise en double pénétration.
Cest ce qui sest passé après quil lest demandé en mariage à ses parents, bien sûr sa timidité la empêché daller les voir et cest moi qui me suis coltiné la demande auprès deux.
Ils ont tous essayé de les dissuader leur disant quils étaient trop jeunes quils profitent de la vie mais Laure allait à confesse depuis quelle était petite fille et refusait de se donner à lui hors mariage.
Dans lattente du mariage nous avions droit tour à tour à sa langue qui nous emballait fougueusement et à nos mains sur ses seins sans quelle remarque les changements que nous opérions.
Après nos Bacs que nous avons eus tous les trois avec mention, nous sommes allés à la Fac de la grande ville voisine, nous avions trouvé un logement payé par nos deux familles où ils aient avoir leur chambre et moi la mienne à lautre bout dun couloir assez loin pour préserver lintimité des uns et des autres.
Un premier virage s'est opéré quand Laure a parlé que je pourrais amener une copine, Bruno ma fait une crasse comme jaimais lui en faire, il lui a dit que jétais homo et cest pour cela quelle me voyait toujours seul.
À partir de ce moment elle la cru et ma vie sen est trouvé chamboulée.
Les papiers ont été établis au nom de mon frère avec comme témoin son jumeau, bien sûr moi.
Le jour des noces il était vêtu dun smoking blanc alors que le mien identique en tout point jusquau nud pape était noir.
Nos parents là encore avaient prévu de réserver au nouveau couple une chambre dans un hôtel près de la salle des fêtes ou ils avaient prévu le repas et à moi une autre chambre avec porte communiquante.
Ils ont dit « Oui » jen témoigne ma cavalière copine de Laure en témoignant aussi mais quand après le repas nous avons rejoint nos chambres javais dautre visé que la chatte de cette fille qui essayait de frotter son bassin le plus possible contre moi tout au long de la journée.
Sournoisement quand je le pouvais je faisais boire Bruno avec pour assurer le coup quelques somnifères devant lachever.
Arrivé dans nos chambres jétais en train douvrir ma porte quand jai vu Bruno la porter dans ses bras pour la faire entrer dans la chambre nuptiale.
Je bandais comme un taureau, jai entendu leau de leur salle de bain coulé, jai ouvert la porte de communication qui par chance de lautre côté était restée sans la sécurité.
Brun était toujours habillé mais semblait cuvé à moitié avachi sur le lit, jentendais Laure chanter certainement en joie de faire lamour pour la première fois.
Jai mis le costume blanc bien rangé sur la chaise de la salle de bain et jai ouvert la porte de notre chambre nuptiale faisant semblant de finir de me sécher métant simplement mouillé, je nous ai bien sûr isolé aussi bien chambre que salle de bain.
Elle sest avancée pimpante dans sa nudité que je voyais pour la première fois layant seulement vu en maillot de bain 2 pièces à la piscine où nous allions tous les trois.
Je bandais comme un taureau et ce que jespérais malgré lautre con qui dormait dans la chambre voisine, elle a mis sa main sur ma bite en membrassant tendrement.
Je lai couché sous moi et jai senti quelle écartait ses cuisses attendant de devenir femme, la chance venait de me donner lopportunité de dépuceler ma belle-sur me vengeant ainsi de mon frère qui mavait fait passer devant elle pour un homosexuel.
Lhomo la planté dun grand coup et comme dans les papiers il y avait un certificat du médecin disant que Bruno nétait porteur daucune maladie transmissible cest sans capote que je lai dépucelé avant que je déverse en elle les grandes quantités de sperme que javais en réserve sans penser que ce serait dès cette nuit que je le ferais.
La petite a joui au deuxième coup que je lui ai mis la prenant en levrette, elle était attentive à être une bonne épouse et si je lavais voulu jaurais pu la sodomiser car elle était prête à tous faire pour le plaisir de son mari.
Nous avons dormi dans les bras lun de lautre jusquà ce que le réceptionniste appelle pour que le couple se prépare pour que je les conduise en Espagne.
Je lui ai mis la main aux fesses pour la pousser vers la salle de bain se préparer en prenant son temps lui disant que je rejoignais la chambre de Benoît qui devait être déjà prêt car il était prévu quil soit réveillé avant nous.
Avant de passer la porte elle sest retournée me lançant un baiser me montrant sa chatte et me disant que jétais fou de refuser un vagin comme le sien.
Voilà une difficulté dans lécriture, jai écrit « me disant que jétais fou
» alors que jaurais dû écrire « me disant que Benoît dans la chambre voisine était fou
» avant de disparaître faire couler son bain.
Grâce à la clef de la chambre voisine que javais subtilisée je me suis glissé nu dans ma chambre par le couloir, Bruno encore endormi ronflait le combiné téléphonique posé près de lui le réceptionniste avait appelé et comme il était toujours aviné et sous-sédatifs il sétait rendormi.
Je lai secoué pour quil se réveille et quand il ma vu, a tiqué me connaissant sachant ce que javais fait à sa place.
Beau joueur, cela l'a calmé surtout que je lui ai promis que le soir en Espagne et pendant trois jours sur les huit que nous devions passer je sortirais tous les soirs chercher un bar gay pendant quil consommerait notre voyage de noces.
« Notre » car javais dans lesprit quaprès trois jours je trouverais le moyen de la prendre en double pénétration ce qui nous ouvrirait de bonnes options pour notre vie à lappartement les soirs après la Fac.
Lappartement je lai retrouvé quatre jours plus tard en sortant de lhôpital puis du cimetière où nous avons enterré le jeune marié broyé par la voiture qui avait grillé un stop sur la toute menant à lautoroute.
Les analyses ont montré que jétais sobre alors que la partie adverse avait plus de 3 grammes dans le sang, lassurance a donné à Laure de quoi vivre plus que largement sans avoir besoin de travailler.
Nous lavons beaucoup pleuré et la vie a continué personne nayant trouvé étrange que nous continuions nos études en étant colocataire, mais rapidement jai vu que mon frère était toujours présent en mayant mis une barrière entre celle que jaimais comme il laimait et moi, mon homosexualité.
Nous avions chacun notre chambre mais les parties communes mont rapidement posé problème sans pour autant que je lui dise.
Au début tout allait bien, nous vivions comme des amis mais après les fêtes les choses ont commencé à changer pour atteindre son apogée quand la température à commencer à remonter.
Laure s'est mis à porter des tenues plus décontractées, peignoir en sortit de son bain avec la ceinture qui se desserrait de temps en temps me montrant un peu de sa poitrine, elle sassayait non loin de moi quand un soir dans le film que nous regardions le héros sappelant Bruno.
À un moment elle s'est mise à pleurer et est venue se lover contre moi, comme chaque jour je métais masturbé pour éviter de bander en la voyant.
Elle ma regardé avec ses grands yeux mais les choses en sont restées là, homo oblige.
La différence cest quelle a pris lhabitude de se mettre contre moi et un jour ou elle était ses fesses touchant ma verge à travers mon pantalon, je me suis mis à bander.
Elle ma regardé sans rien me dire.
Le lendemain quand je suis rentré elle était déjà en tenue légère mais une transformation physique ma sauté aux yeux, elle était passée chez le coiffeur et sétait fait tondre faisant une coupe en brosse comme en fond de nombreux garçons.
Elle ma pris la main et ma conduite dans ma chambre, elle a fait tomber sa nuisette et sest mise en levrette sur mon lit « Bruno vient me sodomiser puisque c'est cela que tu aimes. »
Elle avait fait le transfert entre Bruno hétéro et Benoît homosexuel se servant de sa rosette pour leffec.
Jai sauté sur le lit avant quelle se ravise et ma verge est entrée jusquà ce que mes couilles touchent ses fesses.
Je lai pilonné comme un fou, sans quelle le sache je lavais dépucelé le soir de ses noces et là sans que je sache si cest Bruno où je lui dévirginise lanus.
Pendant plusieurs semaines le suceur de bite quelle croyait que jétais la prise surtout en levrette, un soir je venais de lui mettre, je lui donnais de grands coups mais ma verge a dérapé et je suis entré dans sa chatte, depuis que je la sodomisais quand elle sabandonnait sétait souvent des « Bruno continu » ou « Bruno plus fort ».
À partir de ce jour aucune fois elle na dit Bruno mais je suis redevenu Benoît, nous faisions lamour normalement sans pour autant refuser que je la sodomise, nous faisions lamour comme tous autres couples.
Nous avons eu nos diplômes et nous avons quitté lappartement pour vivre dans un grand pavillon ou après lavoir épousé et que ses cheveux aient repoussé me rendant la Laure que la moitié de moi aimait quand nous lavons rencontré.
Nous avons quatre s dont laîné qui se prénomme Bruno et chaque année à la Toussaint nous allons mettre des Chrysanthèmes en famille à mon autre moitié.
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