Le Gloryhole.

Le dernier weekend, je suis allé avec ma femme Noémie dans un des clubs libertins situé pas très loin de la maison…
En province, ce n’est pas toujours facile de trouver de tels établissements et il ne faut pas hésiter à faire des kilomètres pour satisfaire sa libido et s’offrir quelques belles jouissances… dans le partage.
Justement, cette boite venait d’ouvrir après un changement de propriétaires et près de 3 mois de travaux.
Quand nous sommes arrivés, il était près de minuit et la soirée semblait déjà bien lancée puisque le podium central était occupé par deux filles qui dansaient et se déshabillaient devant une bande de curieux des deux sexes… Les coins câlins étaient occupés eux aussi et nous ne voulions pas commencer par le jacuzzi que généralement nous gardons pour la fin !
Mais nous avons croisé un couple qui descendait de l’étage qui nous a dit :
• Cette nouveauté est vraiment TOP… Allez-y… Vous ne serez pas déçus !

L’escalier était plongé dans l’obscurité, seuls des points lumineux de couleur rouge indiquaient les marches et l’entrée d’un long et large couloir dont une partie était masquée par un rideau épais.
J’ai pensé en moi-même : « Bof… rien que du classique ! »
Mais lorsque nos regards ont été habitués à l’obscurité, nous avons distingué un peu plus clairement la disposition des lieux…
Le mur était certes percé des habituels trous par lesquels les hommes passent leur sexe pour se faire sucer dans l’anonymat le plus complet mais il y avait de l’autre côté deux tables basses sur lesquelles des sexes de bonne taille étaient ventousés et une sellette recouverte de tissu duquel émergeait également un gode…
En fait, lorsqu’une femme suçait un sexe mâle au travers d’un des trous, elle pouvait aussi se satisfaire si elle le voulait en introduisant un des ces godes dans sa chatte (ou son cul…)
Noémie m’a alors dit :
• Regarde la bite qui s’offre devant la machine à baiser ! Elle bande à moitié !
• Vas-y si cela te fait plaisir ! Moi, je vais entreprendre la noire qui vient de s’en prendre plein les seins !
• Ok… je vois qu’elle te fait envie… Regarde comment tu bandes déjà !
• Normal… Regarde les seins de ouf qu’elle a !

Noémie s’est dirigée vers le trou d’où sortait le sexe sur lequel elle avait jeté son dévolu et elle a commencé à le masturber de la main… puis elle s’est agenouillée en posant ses fesses sur la sellette… Elle était juste à la bonne hauteur pour prendre en bouche la bite qui désormais était bandée…
De mon côté, j’avais plaquée la noire contre le mur et je l’embrassais, mangeant sa bouche et ses seins dont je faisais rouler les tétons entre mes dents !
Je ne voyais qu’une silhouette dans l’obscurité relative de ce couloir…
Soudain elle s’est dégagée et me tournant le dos, elle dit :
• Baise-moi ou encule-moi… sucer ce mec, çà m’a chauffé ! je t’offre mon cul en levrette !
• Ok… Ici ?
• Oui… Debout ! Il me semble que c’est ta femme qui suce mon mec ! Regarde… Il ya des capotes sur l’étagère !
• Si tu reconnais sa queue…
• Oui… Il s’est mis justement devant la machine à baiser et c’est lui qui tient la télécommande ! Si ta femme s’enfile sur le gode, il va l’envoyer en l’air au fur et à mesure qu’il va sentir le plaisir monter dans sa bite !
• Waouh… C’est génial !

Je dois dire que j’ai perdu tout contact visuel avec Noémie pendant que je baisais la noire en levrette… Il faut dire que ses fesses callipyge et sa cambrure avaient de quoi attirer le regard et autre chose de plus pénétrant !
Chaque fois que mon sexe s’enfonçait au fond du sien, je sentais ses muscles internes me masser et elle resserrait ses fesses autour de ma bite… J’avais l’impression de la sodomiser !
J’étais tombé par un sacré coup… Elle savait y faire pour faire monter la sève !
Bref, nous avons joui presque en même temps… Au moment où elle a senti les giclées au fond de la capote, elle est partie à son tour, mordant à moitié sa main pour atténuer son rugissement de plaisir !
Nous sommes redescendus au bar où quelque minutes plus tard, nous avons été rejoints par son mec et ma femme qui avait les yeux brillants en me disant :
• Quel pied… Sucer une belle queue et s’envoyer en l’air avec la machine… Je recommencerai !
• Ok… moi je suis tombé sur un bon coup !
• Et bien tant mieux si vous êtes satisfaits… Ta femme est un sacré coup !
• Je sais et il ne faut pas lui en promettre ! Elle a déjà asséché trois mecs ce soir en les suçant !
• Tu m’en diras tant ! C’est pas étonnant qu’elle ait eu envie de sentir une pine en elle !
• Et moi, j’ai aussi envie d’en sentir une vraie… Allons voir ce qui se passe ! La machine, c’est bien… J’avais le gode dans la chatte et ce n’est qu’au bout de quelques temps que je me suis rendu compte que quelqu’un actionnait la télécommande ! C’est vrai que de le sentir vibrer plus ou moins vite pendant que j’allais et venais c’était très jouissif !

Quand nous avons fini notre coupe de champagne, nous nous sommes séparés… les uns et les autres partant au devant de nouvelles aventures coquines.