Une Apparition

L’autre soir, tout à trac, il m’est revenu à l’esprit une petite anecdote qui m’est arrivé il y a déjà quelques temps.
C’était le début de l’été, en 2014. Comme beaucoup, j’avais voulu profiter des premiers vrais rayons de soleil, de la plage, de la mer. L’eau était encore un peu fraîche. Cela faisait déjà quelques jours que j’allais me prélasser tous les après midis sur ma serviette, pendant quelques heures. A propos de serviettes, il n’y en avait pas encore trop, elles étaient assez espacées. Les vacances scolaires n’étaient pas encore commencées. Pas ou peu d’s.
Ce jour là, vers les 17 heures, une petite voiture est venue se garer le long de la plage. Un jeune couple en est descendu. Dans les 25 ans environ tous les deux. Ils ont traversé la plage en direction de l’eau. Lui, grand athlétique, chevelure abondante, jean slim ajusté, déchiré là où il faut et tee shirt, pieds nus. Elle, petite robe blanche d’été, longs cheveux bruns, pieds nus aussi. Très mignons tous les deux. Très amoureux aussi. Quelques regards les ont suivis.
Arrivés au bord de l’eau, le gars a passé son tee shirt au dessus de sa tête, dévoilant un beau torse, aux abdos finement sculptés - mais pas trop -, déjà hâlé et recouvert d’une fine toison. Le spectacle ne faisait que commencer… Puis, négligemment, il a déboutonné un à un les boutons de la braguette de son jean et a fait glisser son jean à ses pieds. Dévoilant ainsi deux longues jambes fuselées et bronzées et, surtout, un slip de bain rouge gonflé d’un sacré paquet. Son maillot avait une forme très slippée, style slip brésilien. Au dessus de l’élastique, une ligne de poils très fournie descendait sous le slip. La température est montée d’un cran dans cette zone de la plage.
Le plus drôle, c’est que le gars avait fait tout cela le plus naturellement du monde, sans esbrouffe, de manière complètement naturelle. Il ne pouvait quand même pas ignorer l’effet qu’il avait produit sur les femmes environnantes comme sur les hommes d’ailleurs…Aussitôt, il se dirigea vers l’eau, marcha jusqu’à ce qu’il ait de l’eau jusqu’à la taille, puis effectua un superbe plongeon qui ne souleva aucune goutte.

Aussitôt, il se lança dans un superbe crawl. Oh, pas le crawl de gamin, avec la tête relevée. Non le vrai crawl de pro, tête sous l’eau, aucune gerbe d’écume lorsqu’il plongeait les bras. Il s’éloignait vers le large à bonne vitesse. Sa copine, restée sur le rivage, le regardait.
A force de nager comme un beau diable, on ne le distinguait pratiquement plus. Sa copine scrutait le large. Au bout d’un moment, on l’aperçut à nouveau. Il revenait vers la plage. Arrivé à une dizaine de mètres, il se redressa, ruisselant et marcha dans l’eau. Image superbe de son corps ruisselant dans le soleil de fin d’après midi. Arrivé sur la plage, il se colla à sa copine et l’embrassa longuement, debout. Ce qui a scotché la plage c’est que, quand sa copine s’est écartée, tout le monde a pu voir qu’elle ne portait pas de culotte car on a tous bien vu son triangle noir à travers sa robe mouillée.
Avec un naturel confondant, comme s’il était dans sa salle de bain, il dénoua son slip de bain et le fit glisser au bas de ses jambes. Je remarquais quelques têtes se relever légèrement sur les serviettes. Moi le premier. Ce qu’il dévoila alors valait le détour. Son bas ventre, orné d’une épaisse toison brune très fournie d’où dépassait une très belle bite d’au moins quinze centimètres, au bas mot et d’un très beau volume. Est-ce son long baiser avec sa copine qui l’avait mise dans cet état là ? Il faut dire qu’après tout ce temps passé dans cette eau fraîche, elle avait encore de belles proportions !
Il avait fait cela sans se tortiller sous une serviette, de manière ridicule comme le font la plupart des baigneurs. Mais sans vouloir provoquer non plus qui que ce soit. Simple life, je vous dis. Sa copine, tout en le dévorant des yeux, lui tendit son jean qu’il enfila lentement, laborieusement aussi. Essayez d’enfiler un jean slim sur ue peau mouillée, vous verrez…. Il reboutonna sa braguette Puis il enfila son tee shirt sur son torse mouillé. Sa copîne lui ébouriffa les cheveux pour les sécher un peu. Ils retraversèrent la plage comme ils étaient venus, enlacés et amoureux. Rien qu’à les voir, on ne pouvait que les trouver sympas, naturels, simples, sans esbrouffe. Beaux.
Ces deux là, s’il y avait eu des dunes en arrière de la plage, ils seraient allés baiser direct et moi, je serai aller les mater Mais, il n’y en avait pas, alors je ne leur donnais pas une heure avant qu’ils ne se trouvent un petit coin discret pour baiser comme des dieux, pour se donner du plaisir, pour jouir sans entraves. Ce jour là, j’ai eu la sensation que cette partie de plage avait assisté à rien de moins qu’une apparition.
Trois jours plus tard, je rencontrais Paulo, « meu Paulo ».