Improbable Rencontre - 06

« Tu n'as aucune raison d'avoir honte, et encore moins de culpabiliser » m'assure Eliott. « Ce mec voulait ton cul et toi tu voulais sa queue. Si tu veux tout savoir, je suis plutôt content que vous ayez baisé et ça avait l'air plutôt chaud ». Et comment ! Attablé à la terrasse d'un restaurant pour déjeuner avec Eliott, je lui raconte mon plan inattendu avec Medhi. En reparler me fait bander. Je ne peux m'empêcher de caresser mon jean. Eliott sourit en le remarquant :

« Tu vois, tu bandes encore en y repensant. Il n'y a vraiment pas de quoi avoir honte. Assume ! T''es un mec passif qui adore se faire baiser par un actif plutôt dominateur et autoritaire.
- Parle moins fort Eliott, s'il te plaît, on pourrait t'entendre.
- Et alors ? Assume, t'es une vraie chienne qui aime la queue.
- Je suis pourtant loin d'être soumis dans la vraie vie.
- Ca n'a rien à voir Cyril. Tu devrais le rappeler et te faire encore monter par lui.
- Tu crois ?
- J'en suis certain ».

J'ai longtemps tergiversé. Cela a duré quelques jours. Et finalement, j'ai envoyé un message à Medhi. La conversation était plus chaleureuse et respectueuse que notre plan cul dans les toilettes. J'avais moins peur de le revoir … et je bandais raide en m'imaginant recommencer avec lui.

Un soir après le boulot, je me rends chez Medhi. Il m'ouvre la porte, en boxer. Je vois sa queue longue et veineuse – alors qu'elle est au repos – déformer le tissu et courir sur sa hanche droite. Ses abdos saillants, son torse imberbe, ses épaules sculptées et son visage émacié m'excitent. Plus aucune hésitation, je veux me faire monter par ce mâle viril. Son coloc' étant parti, nous avons son appartement pour nous tout seuls. On s'assoit au salon avec une bière. C'est étrange, nous sommes tous deux timides. Ce n'est plus le rebeu dominateur en rûte mais un étudiant plutôt courtois. Et cela m'excite aussi.

Je sens ma queue se raidir dans mon pantalon.

J'ai envie de le provoquer. Je me déshabille pour ne garder que mon boxer. Medhi remarque ma queue raide. L'excitation monte en lui, il passe sa langue sur ses lèvres, se caresse à travers son boxer. Sa queue gonfle progressivement. Son gland s'échappe de l'élastique et une goutte de mouille tâche le tissu. « Suce moi Cyril ». Il enlève son boxer et frappe sa queue dans sa main droite. Le mâle se réveille. Il veut se faire sucer. J'admire le corps de rebeu sportif et musclé. Je m'agenouille devant lui et prend sa queue en bouche. Un peu de mouille coule sur ma langue. Une odeur de mâle se diffuse dans ma bouche. « Suce ! ». Le ton est plus directif. Ma propre excitation augmente. Ma bouche coulisse lentement sur sa queue qui gonfle davantage. Ses 23cm sont bien raides. Je peine à le sucer en entier tant sa queue de mâle est longue. Il bascule sa tête en arrière et laisse s'échapper des râles de plaisir. « J'avais oublié que tu avais une bouche de suceuse ». J'aime quand il me parle ainsi, quand le mâle prend le dessus. Eliott avait raison : je suis une chienne qui aime la queue. Mais celle de Medhi, j'aimerai aussi l'avoir dans mon cul. J'accélère le rythme et je le branle en même temps que je le suce. Ses râles sont plus forts. Je me délecte de la mouille que sa queue lâche abondamment dans ma bouche. « La bonne suceuse de rebeu ! Si tu continues, tu vas me faire jouir. Et le jus de mâle, t'aimes ça, hein ! ». J’acquiesce avec un petit gémissement « Regarde cette suceuse qui ne peut pas répondre parce qu'elle en a plein la bouche ». Il retire sa queue et me bifle plusieurs fois.

Je suis toujours à genoux devant lui. Il se penche vers moi, me force d'une main à ouvrir ma mâchoire et me crache dans la bouche. « Avale ! ». Medhi passe ses bras sous mes épaules pour me relever. On remarque tous les deux une tâche sombre sur mon boxer blanc. « C'est le fait de sucer un rebeu ou un mâle qui te montre que t'es une chienne qui te fait mouiller ? Je vais t'enculer comme on traite une sale chienne comme toi ».
Medhi me pousse au sol et je me retrouve à quatre pattes. J'ai à peine le temps de réagir qu'il enfonce deux doigts dans ma bouche et les fout ensuite dans mon cul. Deux doigts d'un coup, sans préparation, je grimace de douleur. « Pas à moi ! T'es une chienne et tu vas vite kiffer te prendre deux doigts ». Et il a raison. Il continue ses mouvements de va et vient dans mon cul. La douleur cède la place à du bien-être. Mon cul se dilate progressivement, si bien qu'il insère un troisième doigt. Je gémis de plaisir. Je me cambre instinctivement pour mieux recevoir ses doigts. Un filet de mouille coule de ma queue jusqu'au sol :
« La chienne se réveille, dit-il d'un ai narquois
- Baise-moi Medhi. J'ai trop envie de ta queue
- T'es qu'une salope en manque ».

Medhi retire ses doigts, je lâche un gémissement de déception. Il s'en va dans la chambre et revient avec un foulard. Il me bande les yeux. Je ne vois plus rien. Il renfonce ses trois doigts dans mon cul, le plaisir revient immédiatement. Il accélère. Ne rien voir stimule les autres sens. Le plaisir est plus intense. L’ouïe est affinée : je l'entends déchirer l'emballage d'une capote et le claquement du latex sur sa queue raide de rebeu.

Il pose ses mains sur mes hanches. Je me cambre autant que je peux. Je suis impatient d'être monté par ce rebeu domi et limé par ses coups de reins. Il s'enfonce d'un coup en moi et je gueule de … plaisir ! Non, je n'ai pas mal. C'est jouissif d'être pénétré sèchement par cette queue et, tout de suite enculé vivement. Ses coups de reins sont puissants et profonds. Son gland touche ma prostate et décuple mon plaisir. Il souffle dans mon dos. Ses mains serrent fermement mes hanches. « Comme t'encaisses ma bite. Une vraie chienne. Et t'aimes en plus. Un rebeu t'encule et toi, tu kiffes. T'as un cul de chienne pour encaisser 23 cm ». Et il continue à me bourrer le cul. Et moi je couine de plaisir, sans m'arrêter. Même si je bande comme une salope, c'est mon cul qui me procure du plaisir.


Soudain, j'entends tourner des clés dans la serrure de la porte d'entrée. Puis la porte qui s'ouvre (son coloc' ?). Je suis saisi de panique et me crispe. « Bouge pas ! C'est un mec que j'ai prévenu que j'allais enculer une salope ». Mais pourquoi a-t-il les clés ? L'inconnu ne prononce pas un mot. Je l'entend baisser son jean puis sa main caresser sa queue. Apparemment il ne porte pas de sous-vêtement. Medhi n'a pas arrêté de me bourrer le cul. Le mâle en rûte baise mon cul de salope en me fessant de temps en temps. Je sens le gland de l'inconnu frôler mes lèvres. « Suce-le ! ». J'hésite. « Montre-lui que t'es une bonne suceuse ». Les mots de Medhi m'excitent. Mes lèvres glissent sur le gland du mec, puis je le prends en bouche. Ses deux mains serrent ma tête et sa queue raide coulisse dans ma bouche puis ma gorge. Elle est longue et épaisse, une queue d'étalon. Ses mains sont puissantes. Il accélère doucement la cadence. De la salive coule de mes lèvres.

Je me retrouve sans l'avoir voulu au milieu d'un plan à trois. Un rebeu viril me bourrine le cul. Un inconnu me baise la bouche. Je suis une chienne baisée des deux côtés et j'aime ça. A quatre pattes sur le plancher d'un salon. Comme une salope. Une bonne salope docile. Et j'aime ça. Je bande de plaisir et d'excitation.

J'entends les râles rauques de l'inconnu. Sa voix me fait penser à quelqu'un. Il râle de plus en plus fort. Je sens sa queue se gonfler au maximum. De la mouille s'écoule dans ma gorge. Il va bientôt jouir. Et Medhi aussi, je sens ses coups de reins plus forts et saccadés.
« Alors elle te plaît cette salope. Et encore, t'as pas goûté à son cul. Un bon cul de chienne serré. Parfait pour une queue de rebeu.
- Enlève lui le foulard, je veux qu'il me voit jouir dans sa petite gueule de pute. »

Cette voix ! Mais … c'est celle de Mathias. Je vois enfin son visage ; c'est bien lui. Je n'ai pas le temps de me remettre de ma surprise. Ses deux mains plaquent fermement ma tête sur son ventre.
Toute sa queue est dans ma bouche et dans ma gorge. J'étouffe à moitié, de la salive s'échappe. Les râles de Mathias s'intensifient. L'étalon va juter. Des jets puissants giclent dans ma gorge. Un goût amer et salé. J'avale pour ne pas . Sa queue occupe toute ma bouche. Il jouit encore, son sperme s'échappe de mes lèvres. Puis il se retire. Son gland jute une dernière goutte de son jus d'étalon. Il l'étale avec sa queue sur mes lèvres.

Medhi continue de m'enculer. Ce rebeu est insatiable. « Ton cul de salope va me faire juter, putain. J'aurai bien voulu te féconder ». Il retire sa queue et m'encule d'un coup sec. Cet assaut me faire jouir. Mon sperme s'étale sur le plancher. Je couine de plaisir. Je jouis en couinant. Des couinements de chienne enculée par un rebeu dominateur. Mon cul se contracte sur la queue de Medhi qui s'enfonce bien profondément. Il s'effondre sur mon dos et jouit avec des gémissements graves. Après un dernier coup de reins, il se retire, enlève la capote et essuie sa queue sur mon trou dilaté de chienne.

Je suis surpris de voir Mathias ici. Fasse à mon étonnement, Medhi me balance avec un air narquois : « Tu ne t'attendais pas à le voir ici, n'est-ce pas ? »


PS : Un petit clin d’œil à Brandon et Mathieu, deux belles rencontres totalement inattendues.

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