Roadtrip - Jour #1

Jour #1
Lyon, France - Sasso Marconi, Italie
643km

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Nous nous étions réveillés tôt, ce matin de juin, trop excités par l'aventure qui nous attendait enfin, après des semaines d'attente et de préparation. L'excitation était ensuite montée d'un cran lorsque j'ai senti la bouche de Nina avaler mon érection matinale. J'ai joui dans sa gorge quelques minutes plus tard. Puis Nina s'est levée, essuyant sa bouche du plat de la main, et est partie dans la salle de bain après m'avoir promis plus de fellations durant ce voyage que je n'en avais eu dans ma vie avant ça. J'étais donc plus que motivé.

Dans l'heure qui a suivi mon café, je suis allé charger le véhicule qui allait être notre fier destrier pour ces prochaines semaines. Un Mercedes utilitaire, récupéré par un ami travaillant dans le bâtiment, et dont j'avais aménagé l'arrière pour qu'on puisse y dormir en cas de besoin. J'y avais également installé deux étagères, de chaque côté, pour ranger nos affaires et nos réserves d'eau, nourriture, jouets sexuels, bref, tout le nécessaire.

Nina m'a rejoint une demie-heure plus tard, son sac à la main. Elle portait une robe qui lui arrivait à mi-cuisses, bleu clair avec de petites fleurs blanches imprimées dessus, ceinturée à la taille par une lanière de cuir marron. Elle avait un air plutôt innocent, et cela m'excitait car je savais que Nina était tout sauf innocente. Elle a posé son sac à l'arrière, et s'est installée sur le siège passager. Ses lunettes de soleil étaient aussi larges que son sourire. Je suis allé vérifier dans l'appartement que tout était fermé, puis je l'ai rejointe dans la voiture. Nina était plus belle que jamais. Je l'ai embrassée, follement amoureux, et j'ai lancé le moteur.

En quelques minutes, nous étions sur l'autoroute, avalant déjà les kilomètres. Il faisait beau, et comme nous avions décidé de partir un mardi, la route était dégagée, c'était un réel plaisir de conduire.

J'avais fait une playlist à passer dans la voiture, pour les zones où la radio ne passerait pas. Je me doutais bien que nous en aurions très vite marre, mais pour l'instant nous étions trop contents pour en avoir marre de quoi que ce soit. Nina s'est rapidement assoupie, bercée par le bruit du moteur et les mouvements de la voiture. En conducteur attentif, je regardais régulièrement dans mes rétroviseurs, mais impossible de ne pas dévier le regard sur les cuisses de Nina, un peu plus dévoilées au fur et à mesure que sa robe se relevait, selon ses gigotements. A plusieurs reprises, d'ailleurs, je n'ai pas pu m'empêcher d'aller effleurer sa peau du bout des doigts, confondant sûrement son genou et le levier de vitesse.

Nina s'est réveillée alors que nous étions dans les Alpes. Elle m'a regardé en souriant, s'est étirée en regardant le paysage montagneux.

_ On peut s'arrêter pour une pause-pipi ? m'a-t-elle demandé.

Ça tombait bien, nous approchions de l'Italie, et nous venions de croiser le panneau annonçant une dernière aire d'autoroute avant la frontière. En prenant la sortie, j'ai repensé à cette nuit, à l'hiver dernier, durant laquelle je l'avais traînée sur une aire de repos pour chauffeurs de poids-lourds, consignée dans un chiotte puant, tandis que les hommes arrivaient, se répandaient sur elle, et repartaient. J'ai hésité à lui proposer un plan du même genre, ça nous avait tous les deux très excités, mais cette aire-ci était bien plus peuplée, des chauffeurs de poids-lourds mais aussi des familles, des retraités. Ce n'était pas le bon endroit.

A peine garés, Nina s'est précipitée hors de la voiture et a couru aux toilettes. Son besoin était plus urgent que je ne le pensais. Quant à moi je suis sorti tranquillement et me suis étiré, faisant quelques pas pour me dégourdir un peu. Il fallait que je m'habitue, il y avait beaucoup de chemin à faire. Nous n'avions pas vraiment de but, si ce n'est de rouler, voir du pays, profiter l'un de l'autre.
On avait décidé qu'on ne rentrerait qu'après épuisement de nos ressources.

Je rentrais dans la station service quand Nina m'a rejoint, me sautant au cou pour m'embrasser.

_ Tu aurais dû me suivre, m'a-t-elle dit à l'oreille, me mordillant le lobe.
_ Je préfère te faire patienter encore un peu, lui ai-je répondu en claquant doucement sa fesse.

On a acheté des sandwiches, mauvais et extrêmement chers, qu'on a mangé en deux ou trois minutes, puis on a repris la route. Et quelques minutes plus tard, nous entrions dans le tunnel de Fréjus, passant ainsi la frontière. Plus de douze kilomètres de long à travers les Alpes. Alors que nous nous enfoncions dans l'obscurité, j'ai posé ma main sur la cuisse de Nina, qui m'a regardé avec un sourire interrogateur. Les yeux rivés majoritairement sur la route, j'ai relevé sa robe, pour découvrir sa culotte en coton rose, bordée de dentelle. En touchant le tissu du bout des doigts, je l'ai senti humide.

_ Mademoiselle aurait-elle des pensées impures ?
_ Toujours ! m'a répondu Nina en rigolant.
_ Tant mieux. Tu devrais te toucher un peu, alors.

Nina m'a regardé en se mordant la lèvre inférieure, et sans rien dire de plus, a glissé sa main, lentement, entre ses cuisses. Elle s'est touchée à travers sa culotte pour commencer, les jambes écartées, les pieds posés devant elle. J'essayais de garder les yeux rivés sur la route, mais il était difficile de ne pas jeter un coup d'œil furtif à ce qui se passait à côté de moi. Ainsi, malgré les faibles lumières du tunnel, je voyais une tâche plus sombre apparaître doucement sur le coton rose de sa culotte.

Nous avons quitté le tunnel quelques minutes plus tard mais Nina ne s'est pas arrêtée. Au contraire, elle a fait glisser sa culotte le long de ses jambes, l'a jetée sur le tableau de bord, et a repris ce à quoi elle était occupée. Les yeux fermés derrière ses lunettes de soleil, elle avait deux doigts enfoncés en elle, tandis que de son autre main, elle s'activait sur son clitoris.
Je me suis amusé à doubler quelques camions, qui, à grands coups de klaxons, nous remerciaient pour le spectacle. Je les voyais dans le rétroviseur qui tentaient d'accélérer pour en profiter encore un peu, mais nous étions plus rapides. Je ne sais même pas si Nina s'en était aperçue, bien trop concentrée sur ce qu'elle faisait. Un troisième doigt s'est glissé entre ses fesses, et c'est peut-être ce qui l'a faite jouir moins d'une minute plus tard.

Le souffle court, Nina est restée un long moment dans la même position, avachie dans son siège, les pieds sur le tableau de bord, la robe relevée sur la taille, les doigts encore dans son sexe.

_ Ça fait du bien ?
_ Oui, m'a-t-elle répondu dans un souffle, merci.
_ Les routiers ont eu l'air d'apprécier en tous cas.
_ Ah bon ? J'ai pas vu !
_ Moi aussi j'ai apprécié. Je crois qu'une autre petite pause s'impose, d'ailleurs.

Nina m'a souri et on s'est arrêtés à la prochaine aire. Il n'y avait pas grand monde, mais je me suis tout de même garé le plus loin possible des autres voitures. Le moteur n'était même pas encore éteint que Nina avait défait sa ceinture de sécurité et se jetais sur moi pour défaire ma ceinture, celle de mon pantalon. La seconde d'après, mon sexe glissait dans sa gorge. Elle m'a avalé entièrement, comme elle savait si bien le faire, son nez enfoncé dans mes poils pubiens, ses doigts sur mes bourses. J'ai glissé ma main sur son dos en savourant le moment, j'ai remonté sa robe bien au-dessus de ses fesses et ai glissé un doigt entre ses cuisses, d'abord contre sa fente encore poisseuse, puis rapidement dans son anus. Ma deuxième main s'est posée au sommet de son crâne et je l'ai immobilisée ainsi, faisant aller et venir mon sexe dans sa bouche. J'ai rajouté un doigt dans son cul, accéléré un peu le rythme de mes coups de reins, et je me suis rapidement répandu dans sa gorge. Nina s'est étouffée et a toussé un peu, lâchant un peu de semence contre ma hampe, qu'elle a rapidement nettoyée du bout de sa langue.


Je l'ai remerciée, en l'embrassant sur le crâne et en lui claquant le cul, simultanément, puis nous sommes repartis.

Le reste de la route s'est fait sans encombre, si ce n'est que Nina n'a jamais remis sa culotte, et qu'elle est restée sur le tableau de bord, à la vue de tous. On a contourné Turin, Plaisance, Parme et Modène, et en fin de journée, on est arrivés aux abords de Bologne, où nous avons décidé de nous arrêter pour la nuit. On a trouvé un petit hôtel un peu en dehors de la ville, à Sasso Marconi. L'établissement n'avait rien de chic, mais un lit et une douche nous suffisaient. Et grand luxe, La Bettola était un hôtel-restaurant, où nous pourrions déguster nos premiers plats locaux.

Une fois la chambre payée, Nina est montée à l'étage, et j'ai bien vu le gérant reluquer son derrière tandis qu'elle montait les escaliers. S'il savait que sa culotte était toujours sur le tableau de bord. La chambre était spartiate. Un lit double, une vieille télé cathodique, la clim, et dans la salle de bain, un bac de douche, un lavabo, des toilettes. Rien de plus que le strict nécessaire. Nina s'est affalée sur le lit.

_ J'aime tester la literie, c'est la première chose que je fait quand j'arrive dans une chambre d'hôtel.

Moi ce que j'aimais, c'était la regarder, allongée sur le ventre avec sa robe qui remontait outrageusement jusqu'à l'orée de son cul. J'ai posé nos sacs au milieu de la pièce et me suis glissé derrière elle. D'une main j'ai relevé sa robe tandis que de l'autre j'écartais ses cuisses. Nina a gloussé de plaisir lorsque je me suis agenouillé derrière elle et que j'ai plongé mon visage entre ses jambes. Je l'ai léchée, de partout, de son cul à son clitoris, enfonçant mes doigts dans ses orifices, claquant sèchement ses fesses, et elle a joui sous ma langue quelques minutes plus tard. Je l'ai embrassée, partageant avec elle le goût de son sexe, puis nous avons pris une douche. La faim commençant à venir, nous sommes descendus au restaurant de l'hôtel manger un plat de pâtes, puisqu'on ne pouvait pas faire plus cliché, mais très vite, la fatigue a pris le dessus. Nous avons fini cette première journée au lit, tous les deux nus, devant un film en italien dont nous ne comprenions rien de l'intrigue, mais les doigts de Nina sur mon corps m'ont suffi pour m'endormir.

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