La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1495)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1493) -

La jeune femme le remercie en souriant, prenant part à la conversation en savourant le chocolat chaud. Puis la soirée avançant, le couple prend congé du Châtelain pour retourner chez eux… La vie suit son cours, le Noble sollicite Vanessa régulièrement en fonction de Son emploi du temps, elle est épanouie dans sa vie de soumise, mais également dans sa vie vanille auprès de Laurent, tout autant que lui. Dans leur milieu professionnel, chacun a accepté leur relation et cela n’influence pas sur le fonctionnement de la caserne. Pourtant, un matin à la prise de garde, l’officier en charge de l’équipement se présente devant l’équipe réunie pour recadrer les choses, faisant part d’une autorité démesurée.

- Messieurs, je peux entendre vos difficultés à appliquer les protocoles en vigueur qui sont anciens, mais je n’ai pas vu passer de compte rendu me faisant part de ce souci, vous n’avez pas à changer les protocoles au grès de vos envies, Je suis le responsable, et c’est moi qui décide des changements, annonce-t-il les toisant de haut.
- Bien Mon capitaine, répond l’adjudant, chef de la garde, comprenant qu’une discussion à cet instant serait stérile.

Vanessa qui ne supporte pas les chefs faisant preuve d’une autorité outre-mesure ne peut s’empêcher d’intervenir.

- Mon capitaine, avec tout le respect que je vous dois, vous faites preuve d’une bien mauvaise foi. Nous vous avons fait savoir oralement, à maintes reprises, les difficultés que nous rencontrions à ce sujet, vous auriez pu étudier le problème à bras le corps, sans attendre un éventuel compte-rendu écrit.

-Sergent, je vous conseille fortement de surveiller vos paroles, votre façon de vous adresser à un officier est inappropriée.
- Tout comme votre façon de manager, mon capitaine, répond-t-elle sur un ton restant très calme et respectueux.


- Messieurs, ce point de vue est également le vôtre ?, interroge le capitaine d’un ton fâché.

Aucun n’ose répondre, même si tous remercient intérieurement Vanessa d’avoir osé dire ce qu’ils pensaient.

- Bien, je prends note de votre silence, ceci n’en restera pas là, répond le capitaine en quittant le hall pour rejoindre son bureau.

Tous reprennent leurs fonctions, s’attelant aux tâches habituelles. Laurent arrive comme à son habitude un peu plus tard, mais à peine entré dans son bureau que le capitaine lui demande audience.

- Capitaine, que puis-je pour vous ?
- Mon Commandant, je viens vous laisser une chance de gérer la situation avant que ce courrier n’arrive sur le bureau du colonel, répond le capitaine lui tendant une enveloppe d’un air vainqueur.

Le Commandant en prend connaissance, il s’agit d’un courrier du capitaine au colonel, lui relatant les faits du matin, faisant part du non-respect de la hiérarchie de Vanessa, insistant sur le fait qu’elle prend des libertés, étant protégée par le Commandant. Laurent n’apprécie pas ce qu’il lit et, encore moins la démarche du capitaine qui vient dans son bureau lui imposer de réagir sous une forme détournée de chantage. Il le connaît et, sait à quel point il peut faire preuve d’autorité déplacée, souvent par jalousie hiérarchique, il a déjà dû le remettre à sa place par le passé. Mais Vanessa s’est permise de répondre à un plus haut gradé, sans au préalable venir lui en parler. Les faits sont là, alors Laurent doit réagir dans le sens du capitaine s’il veut que le colonel n’en soit pas informé.

- Bien capitaine, je vous remercie de me laisser l’opportunité de gérer ce problème, faites réunir la garde après la pause déjeuner, j’ai à leur parler. Puis nous déciderons de la suite à donner ensemble, si cela vous convient ?
- Entendu, Mon Commandant, répond l’homme en quittant le bureau, un sourire ironique aux lèvres.

Laurent réfléchit un instant, il connaît sa compagne et sait qu’elle ne peut pas se retenir d’intervenir face à l’injustice, quelle qu’elle soit.
Mais une partie de lui, lui en veut de ne pas s’être contrôlée, elle l’a mis dans une situation compliquée, tenu par le capitaine, il déteste cette sensation. Il hésite à la faire venir pour lui demander des explications, mais se dit qu’il doit éviter de lui offrir un privilège de plus pour le moment. Devoir gérer cette situation dès le matin l’irrite, l’énerve et il ressent le besoin de se détendre, de se calmer intérieurement, de calmer sa colère intérieure envers les agissements malsains de son capitaine. Que faire pour cela, là sur l’instant, il faut qu’il soulage cette contrariété pour se calmer… Alors il pense tout d’un coup que derrière la porte de son bureau, il y a ce qu’il faut pour se calmer, et donc il sort et va trouver sa secrétaire.

- Carole, ferme la porte à clé et viens me rejoindre, immédiatement !

Le ton est sans appel, ferme et directif. Carole comprend que c’est Le Maître qui parle et non le supérieur hiérarchique, aussi elle se hâte d’obéir. Arrivée dans le bureau du Commandant, sans dire un seul mot, elle se met nue et s’agenouille en parfaite position au centre de la pièce. Laurent est assis à son bureau, relisant le courrier du capitaine et il fourmille d’une colère froide. Alors, il claque des doigts et aussitôt elle vient se placer entre ses jambes, sous son bureau, les mains dans le dos. Il ouvre son pantalon, sort son sexe encore mou, aucun ordre n’est nécessaire pour que Carole commence une fellation des plus appliquées. Après seulement quelques minutes, la verge de Laurent s’est redressée, alors il se lève.

- Debout chienne, les mains sur le bureau, le cul bien cambrée en arrière, salope, ordonne-t-Il.

Carole obéit dans la seconde, se cambre pour s’offrir du mieux qu’elle peut. Placé derrière elle, le Commandant défait sa ceinture de son pantalon et sans attendre, frappe sans modération le fessier de la soumise pour se défouler. Il assène les coups de ceinture sur chaque fesse avec une régularité de métronome et assez violemment.
Les coups claquent fortement et le cul de Carole rougit à vue d’œil. Soumise depuis longtemps, elle a été formée au Château pour n’émettre aucun son, aucun bruit lors d’un tel traitement, alors c’est avec la bouche grande ouverte, les yeux aussi, que rien de sort de la cavité buccale de la soumise. On pourrait penser que c’est un acte gratuit qu’exerce Laurent venant se défouler sur Carole qui n’y est pour rien de la contrariété de son Commandant. Mais ce dernier, en exigeant d’elle de venir dans son bureau sait très bien que Carole est avant tout une grande masochiste en puissance et qu’elle a mainte et mainte fois exprimé que le fouet, la badine, la ceinture ou tout autre instrument venant frapper son corps étaient les bienvenus, que ça l’excitait énormément et qu’elle en jouirait sans modération à chaque fois si elle en était autorisée. C’est avec cette connaissance parfaite du masochisme exacerbé de sa secrétaire que Laurent sait qu’il peut agir ainsi de la sorte sans nuire à Carole, tout en se défoulant sur son corps nu.

Laurent sait donc que ce violent traitement la fait énormément mouiller, alors après une vingtaine de coups de ceinture, sans attendre, bandant encore fortement, excité par ce cul rougi, il jette sa ceinture au sol et il prend les hanches de Carole fermement dans ses mains et d’un seul geste, d’une seule poussée d’un coup de reins puissants, la pénètre profondément dans la chatte trempée de la soumise. Le Commandant ne lui laisse pas le temps de s’habi, et la besogne dans un assaut viril, bestial, allant et venant avec force dans le vagin très humide de la secrétaire, la fessant fortement en cadence sur un cul déjà bien meurtri, ce qui doit provoquer une plus forte douleur à chaque claque fusant avec vigueur sur cette peau rougie. Après plusieurs minutes, alors que le fessier de Carole est très rouge vif, Il se vide en elle dans des flots saccadés de sperme, tout en émettant des longs râles de mâle jouisseur… Puis Laurent se retire et lui ordonne de s’agenouiller pour le nettoyer avec sa langue.
Elle s’exécute, s’appliquant pour enlever toute trace de sperme et de cyprine sur le sexe du Commandant, avant qu’Il la congédie.

- C’est bien chienne, rhabille-toi, mais reste sans culotte, je connais parfaitement ton masochisme et je sais que le contact de ta peau nue de ton fessier sur le cuir de ta chaise de bureau t’excitera toute la journée par une douleur accrue… Aller maintenant reprends ton poste, salope.
- Bien Monsieur. Merci pour ce merveilleux moment, répond-t-elle tête baissée .
- Et que personne ne me dérange aujourd’hui, sauf extrême urgence, et Vanessa ne fait pas exception à cette règle.
- Bien Commandant, répond Carole se demandant quelle faute Vanessa a bien pu commettre pour avoir fâché de la sorte le chef de la caserne...

Après la pause, les hommes sont en rang au garde à vous, le commandant leur fait face, on peut lire dans son regard qu’il n’est pas disposé à leur laisser la parole. Tous savent que s’il a pris la peine de se déplacer, c’est qu’il veut régler la situation de ce matin et, tous le connaissent suffisamment pour savoir qu’il le fera fermement. Le capitaine à ses côtés affiche un visage radieux, leur faisant comprendre qu’il a obtenu gain de cause auprès du chef de la caserne.

- Mesdames et messieurs, il semble qu’il soit nécessaire de rappeler l’importance de la hiérarchie dans notre corps de métier. Je ne vais pas y aller par quatre chemins, ce qui s’est passé ce matin est inadmissible, quand un officier donne un ordre, on s’exécute, point. Si vous avez des revendications à exprimer, je peux les entendre, mais elles doivent passer par vos chefs de garde. Sachez que je ne laisserais pas l’anarchie s’installer dans ma caserne et, que si je dois prendre des sanctions disciplinaires, je le ferais, quel que soit l’homme ou la femme concerné. J’espère avoir été assez clair pour ne pas avoir à refaire ce genre d’intervention qui nous fait perdre notre temps à tous.

Aucun ne répond, tous savent que prendre la parole maintenant serait très mal venu, mais Vanessa trouvant cette situation injuste tente d’intervenir.

- Mon commandant, si vous me le permettez, je pense que…
- Non sergent, je ne vous permets rien et, j’apprécierais que vous sachiez rester à votre place dorénavant, à moins que vous ne souhaitiez recevoir prochainement un ordre de mutation, répond-t-il sèchement.

La jeune femme ne répond rien, sa gorge se sert, elle voit le capitaine esquisser un petit rictus, ce qui l’irrite au plus haut point. Le commandant quitte la salle pour rejoindre son bureau accompagné du capitaine, afin de clore ce sujet. Les rangs se rompent et chacun reprend ses activités, non sans parler de la situation tendue, soutenant la jeune femme par leurs encouragements. Vanessa est attristée des dernières paroles de son compagnon à son égard, elle y pense une grande partie de la journée et, ressent le besoin de lui en parler, elle se dirige vers son bureau où Carole l’accueille.

- Carole bonjour, je peux le déranger ?
- Ah Vanessa, il est seul mais a exigé à ne pas être dérangé, en précisant que tu ne faisais pas exception à cette règle.
- Je comprends, répond-t-elle la voix chevrotante.

Carole ressent le désarroi de Vanessa et ne peut supporter de laisser une de ses sœurs de soumission dans un tel état.

- Tu sais, je connais Monsieur Le Commandant depuis bien longtemps, bien avant d’entrer à son service en tant que secrétaire. C’est un homme juste, je l’ai déjà vu devoir être ferme, même à contrecœur et aujourd’hui c’est à cela que tu l’as contraint. Et je puis t’assurer que ça n’a pas dû être une partie de plaisir pour lui, mais il a assumé son rôle sans flancher.
- Oui tu as raison, répond Vanessa déboussolée.
- A toi d’assumer tes erreurs et, de reconnaître que tu aurais dû rester à ta place de sergent. Tu as pensé pouvoir contrer un capitaine sans prendre en compte ta situation particulière auprès du Commandant, tu l’as mis dans une situation compliquée, lui qui s’est engagé auprès du Colonel à ce que votre relation n’aurait pas d’influence négative sur le service…Là il est à la merci d’un de ses hommes, tu penses bien que pour un Dominant la pilule est difficile à avaler.
- Si seulement j’avais réfléchi avant d’intervenir et de foncer tête baissée…
- Effectivement, tu sais habituellement comment t’adresser à tes supérieurs dans ton travail, et bien au-delà…tu sauras réparer tes erreurs, fais ce que tu dois faire pour présenter tes excuses auprès de ceux que tu as offensés et, mets ton orgueil de côté, alors il saura te pardonner.
- Merci Carole pour ton avis avisé, tu es une véritable amie, je vais suivre tes conseils… Mais dis-moi par ailleurs, tu te tiens bien droite sur ta chaise, tu as mal au dos ?
- Non c’est au cul, j’ai les fesses complètement meurtries, elles doivent même être bien bleuies… et je dois rester ainsi sans culotte toute la journée… Mais tu sais comme j’aime ça, alors non seulement ça ne me pose aucun problème, mais en plus ça m’excite, j’en mouille encore !
- Sacrée Carole, ton masochisme m’a toujours surpris ! Enfin, je le respecte, chacun son truc ! Allez, je file !

Vanessa quitte le bureau de Carole et réfléchit rapidement par quoi, par qui commencer. Elle réalise qu’elle doit en informer Le Maître et décide de lui écrire immédiatement un mail...

(A suivre …)

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