La Pétanque (3) Suite

« Hé, Guy, tu as encore vraiment envie de la baiser ? Dit Maxime... Regarde son petit trou du cul...
Gérald vient de te le préparer... allez à ton tour, il n'attend que ta bite !!
- No... Nonnn... Tu crois que je peux la sodomiser, vraiment !! Pendant que Gérald la baise ? Je... je n'ai jamais fait ça moi !! Et toi, tu ne veux pas la baiser ? ...
- Mais si, crois moi... elle adore !! Moi ce sera pour une prochaine fois...»

Le copain de Gérald monta sur la table et se mit à genoux derrière moi, il glissa ses mains sous mon porte-jarretelles, je sentis sa bite forcer mon ampoule rectale et pénétrer dans mon anus, sa queue s'enfonça profondément. Elle glissait entre mes sphincters humides et me délivrait un plaisir si intense que la seule chose qui m'importait, était que les bites enfoncées en moi puissent assouvir le besoin de sexe que je ressentais. Le passé, le présent et le futur n'existaient plus, je flottais dans un univers rythmé par mes gémissements de plaisir et la coordination des pénétrations des deux hommes. Gérald tressaillit sous moi.

« Trixie, je crois bien que je vais éjaculer... Aahhhhhhh, tiens, tiens petite Salope... !! »

Et il déversa sa semence dans mon ventre, lorsque les spasmes de léjaculation cessèrent, je ralenti le mouvement de mes hanches, ne bougeais plus, restant le bassin en l'air pour garder la bite de Guy dans mes entrailles. Je caressais doucement son torse noir musclé.

« Tu aurais pu m'attendre pour jouir... ! Lui dis-je en souriant... »

Délicatement, il réussi à s'extirper de mes jambes et descendit de la table.
Je crus que Guy, m'ayant pour lui tout seul allez profiter pleinement de la situation, mais ce ne fut pas le cas, il arrêta ses pénétrations.

« Dis, Trixie... tu vas peut-être trouver cela farfelu, mais ne pourrais-tu pas me donner tes bas et ton porte-jarretelles... je les garderais en souvenir de cette journée merveilleuse.

.. !! 
- Mais oui...
- Je peux te les quitter... je n'ai jamais fait ça à une fille... »

Sur mes reins, il dégrafa avec dévotion mon porte-jarretelles. Assise sur la table, les jambes sur ses cuisses, il défit avec sensualité les quatre agrafes qui soutenaient mes bas, et les fit rouler doucement l'un après l'autre le long de mes jambes galbées, chaque fois que dix centimètres de peau étaient dénudés, il les léchait et les embrasait délicatement.

L'opération terminée, il me fit mettre à genoux et enfila deux doigts dans mon anus. Ne le trouvant peut-être pas assez lubrifié, il commença à enfiler son gland et dix centimètres de sa bite dans ma chatte, il les ressortit poisseux, dégoulinant de sperme du grand noir, puis il enfonça à nouveau son phallus dans mon cul.

« Ah ça va mieux... »

Un coup de reins fougueux et son piston, traversa mes sphincters serrés, pénétrant profondément entre mes fesses. Je grognais de plaisir de sentir cette bite entrer si profondément dans mes entrailles, Guy était maintenant déchaîné, il avait apparemment laissé ses réticences au vestiaire... Il attrapa mes épaules et me tira vers l'arrière.

« Petite Salope, après avoir déversé mon sperme dans ta chatte, je vais éjaculer dans ton cul, je suis sûr maintenant que tu aimes ça... et moi, je serai le plus heureux des hommes... ! »

Je sentis les palpitations de son phallus, il allait jouir. Un puissant orgasme montait en moi, je jouissais au moment ou avec un grand cri, il déversait son sperme.

J'étais épuisée, j'avais au cours de mes trois orgasmes énormément joui. Nue comme un ver, j'avisais le fauteuil que son propriétaire avait laissé libre, il était en grande conversation avec Gérald et me jetait des regards lubriques. Je m'y installais, posais mes jambes sur les accoudoirs, les yeux fermés la tête renversée, m'offrait à la caresse du soleil. Je sentais que du sperme coulait de mes deux orifices.

Je sentis un mouvement sur ma droite, le patron était là le pantalon sur les talons, sa grosse queue tendue, il avait posé une main sur mon mollet.

« Dites, mademoiselle... vous m'avez tellement excité... vous ne pourriez pas me sucer la bite... je crois qu'elle va exploser...
- Mais... je....
- Trixie... je crois que tu ne peux pas refuser, dit Gérald ! Bernard nous offre l'omelette en casse-croûte... C'est la fête à Guy...
- oui... mais... !! »

Je le regardais, il était vieux, gros, laid, sa bite était vraiment grosse... mais... allez !! une petite fellation !! Il devrait éjaculer rapidement...

« Petite Salope tu tâches mes cousins ! »

Sa main descendit sur ma chatte, il ramassa avec deux doigts le liquide visqueux qui en coulait, de ses boudins courts et poilus, il força mes lèvres.

« Suces.. d'abord, mes doigts... puis ma queue ! »

Je léchais ses phalanges, me redressais, ouvrais la bouche et commençais à sucer son monstrueux phallus. Mais j'avais beau m?appliquer, l'avaler entièrement, le masturber savamment, au bout de dix minutes, il n'avait toujours pas éjaculé.

« Surprenant, hein !! Dis toi bien petite Salope, que ta bouche ce n'est pas suffisant... Tu viens de te faire baiser le blanc maigrichon, puis par le noir avec sa bite de 30 centimètre, et sodomiser à nouveau par le nabot. Alors tu ne vas pas me dire que tu n'aimes pas ça... Allez grimpe... à genoux sur la table !! »

Je regardais mes trois compagnons, ils avaient leurs sexes tendus et se masturbaient doucement, on aurait dit que leurs yeux me suppliaient d?accéder à la demande du propriétaire des lieux. Je compris qu'ils allaient se délecter de me voir baiser par ce gros bonhomme adipeux. Je capitulais... bien que de la répulsion ne tordait les entrailles. Je remontais à genoux sur la table. Malgré sa corpulence, il bondit presque derrière moi. Il m?attrapa aux hanches faisant saillir ma croupe et commença à guider sa grosse bite vers ma chatte, il en battait le pourtour, il la faisait glisser le long de ma fente, du bout de son gland me frottait le clitoris, il prenait son temps.
.. Au bout d'un certain temps de ce petit jeu, l'excitation commença à me gagner... Trois minutes plus tard, la chatte trempée, avec à nouveau une boule de feu dans mes entrailles, j'avais oublié son obésité, sa laideur... Je ne désirais plus qu'une chose... qu'il me pénètre ! De deux doigts, j'écartais mes lèvres pour permettre l'intrusion de son énorme phallus...

« Enfile-moi ta grosse queue...
- Ah... tu mouilles, je savais bien que la petite Salope allait me supplier de la baiser !! Dis-moi que tu aimes ma queue... »

Il n'attendit pas la réponse, un coup de rein lascif et son membre graisseux distendit mes lèvres et glissa lentement dans ma chatte palpitante.

« Voilà, Trixie, tu es une gentille nana... Ma grosse bite est entrée entièrement... Hey...les Gars ! Vous entendez comme elle roucoule, elle aime ça... cette petite salope....
- Ouuuuiiii, ouuuuiiiii, encore.... encore...plus vite... plus vite.... hoquetais-je »

Le front posé sur la table, je sentais des larmes de bien-être couler sur mes joues... il transperçait ma chatte et ses couilles frappaient mes fesses. Il s'enfonçait si rapidement et si profondément en moi, que mes seins flottaient et rebondissaient dans tous les sens.
Puis une fois sa bite entièrement entrée et bien calée au fond de mon vagin, ne bougeant plus, il me faisait comprendre à demi-mot très crus, mais assez fort pour les autres l'entende que j'étais SA petite pute.
Il me semblait qu'il me pénétrait depuis une voluptueuse éternité, lorsque je sentis son sexe se raidir à l'intérieur de ma chatte distendue, je contractais mes parois vaginales et enserrais le cylindre trépidant de mon amant obèse. Il poussa un rugissement et se mit avec de grands soubresauts à remplir mon ventre avec sa semence crémeuse et épaisse. Toujours en moi, il me poussa à plat ventre sur la table, il m'enserra dans ses bras en se couchant sur moi.
Il saisit mes longs cheveux blonds et me releva la tête, puis il regarda mes trois amis avec un air de défi et il m'embrassa avec passion, comme pour leur faire comprendre que pour l'instant, je lui appartenais.
Je les regardais à mon tour, Guy éjaculait, Gérald et Maxime allaient suivre...
Puisque c'était ainsi, j'acceptais son baiser baveux, son vieux membre palpitait toujours dans mon vagin humide, il était encore étonnamment dur. La jouissance déferla, je criai... Que dis-je ! Je hurlais... je ne sais pas si la répulsion que je ressentais inconsciemment avait joué, mais cette fois le plaisir que j'avais eu avait été beaucoup plus intense et voluptueux que les mes trois orgasmes précédents... j'étais parcourue de frissons et de tremblements malgré la masse corpulente qui était toujours sur moi.
Gérald éjacula avec un cri

« La Salope... !!!  La Salope je ne croyais qu'elle allait autant jouir....
- Tu vois, me dit le tenancier, le gros vieux obèse t'a fait jouir... Allez dis moi que tu as aimé ma grosse bite... Tu ne peux pas tricher...je t'ai senti exploser de volupté... Tu en frisonnes encore ! »

Il me lécha le visage, embrassa et massa ma poitrine en sueur, mordillant puis étirant mes mamelons durcis par ma jouissance. Il me tenait toujours dans ses bras, voulant me faire sentir qu'il aurait bien voulu prolonger cette étreinte.
Mais Maxime s'approcha, tenant sa queue raide au bord de l'éjaculation, je n?eus que le temps d'ouvrir la bouche pour récupérer les jets de sperme.

A suivre

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