Orage De Sexe

A 23 ans (aujourd’hui 44), après mes études, je me suis mis en couple avec mon premier mec rencontré 3 ans auparavant. M 30 ans, blond, mince, masculin, passif à 99%. C’était mon tout premier mec il m’a tout appris. Même si après quelques années la vie nous a séparée nous sommes restés en contact et dernièrement il m’a rappelé un bon souvenir.
Ce dimanche d’été il fait très chaud et très lourd, la météo a prévu un gros orage en fin d’après-midi. Comme nous sommes sortis la veille nous avons passé la matinée à dormir et a somnolé l’après-midi.
Alors que j’ouvre les yeux, je suis seul dans le lit où est M ?
Nu, je me lève et parcours l’appartement à sa recherche. Je le retrouve dans le salon, nu, penché en avant, accoudé à la fenêtre ouverte, attendant l’orage. La vision de mon mec dans cette position comme offert, me fait bander direct. Je m’approche derrière lui, humidifie ma queue de salive et place ma bite entre ses fesses. Après une seconde de surprise, sans un mot, il se cambre, immédiatement mon gland trouve son trou. Je pousse et rentre dans son intimité de toute la longueur de mon sexe. Mes 18x5 cm bien en lui, nous poussons un léger gémissement de plaisir. Je reste quelques secondes immobile au fond de son cul puis je commence mes vas et viens très lents.
On entend le tonnerre gronder au loin et on commence à voir les éclairs illuminer le ciel noir. Je prends un pied d’enfer a baiser mon mec à la fenêtre. La peur d’être surpris par un passant nous excite.
M bouge lascivement son cul ce qui fait monter le plaisir rapidement.
J’accélère mes coups de reins, l’orage se rapproche et, à chaque éclair, je m’enfonce profondément en lui avec un grand coup, ce qui augmente nôtre excitation. Je transpire de tout mon corps la chaleur devient insupportable. Mais le cul de M que je lime puissamment, c’est trop bon, je ne peux plus me retenir, je jouis puissamment en inondant ses entrailles d’une grande quantité de jus tellement que la jouissance a été forte.

J’ai vraiment dû me retenir de crier mon plaisir pour ne pas ameuter les voisins ou les passants.
Alors que la pluie commence à tomber, je sors ma queue de son cul et me recul un peu. Je regarde son anus encore un peu dilaté par ma queue et je vois mon jus qui commence à dégouliner de son trou sur ses couilles et le long de sa cuisse gauche. Cette vision me rend fou, je ne sais pas ce qui me prends mais je me jette à genoux derrière lui. Et, alors que je n’aime pas le goût du sperme, je commence à lécher ma semence sur sa jambe, puis sur ses couilles et remonte jusqu’à son cul. Je plonge lubriquement ma tête entre ses fesses en les écartant au maximum avec mes mains. Puis, je darde ma langue entre les replis de son anus en dévorant mon jus comme un dingue. M se laisse faire, et à ses petits cris à peine retenus, il aime ce que je lui inflige. Je passe une main entre ses jambes pour saisir sa queue en pleine érection dure comme du bois et commence à le branler doucement. T
Vivement excité, je me fraye un passage entre ses jambes et me retrouve assis par terre sous la fenêtre, le visage face à sa bite. J’ouvre la bouche, M s’avance et me la fourre dans la bouche profondément. Il va me baiser la bouche assez rudement, mais je ne peux pas bouger la tête coincée contre le mur. M y va brutalement, je sens sa queue butée au fond de ma gorge et je sens ma salive coulée sur mon menton et le long de mon cou. Heureusement qu’il n’a pas une bite énorme et va venir assez vite. Dans un petit gémissement de délivrance il jouit dans ma bouche. Je reçois ses jets brûlants au fond de ma gorge et je l’entends dire :
- Avale !
Je m’exécute sans pouvoir protesté (on ne parle pas la bouche pleine). Je fixe ses yeux avec un regard pervers, puis, je déglutit son jus.
Enfin il me libère la bouche, se recule, me tends sa main que je prends dans la mienne. Sans effort, il me relève me plaque contre lui et colle sa bouche à la mienne pour me faire un énorme et long baiser.
Enfin il dit :
- Merci mon bébé.
- De rien mon amour.
Aujourd’hui je n’aime toujours pas le goût du sperme. Oui, je dois être un des rares homo à ne pas aimer l’avoir dans la bouche.
ET à ce jour je peux compter sur une seule main les fois où j’ai avaler du sperme.


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