Mardi 27 Octobre 1981

Je passais dans la rue du magasin où œuvrait Véro, j’avais un peu de temps libre et je décidais de m’arrêter pour lui faire juste un petit bonjour. Je dus attendre environ 5 minutes avant que sa secrétaire m’introduise dans son bureau. A mon arrivée Véro se leva et vint vers moi, elle était élégante, un corsage sable flottant et une jupe droite de la même couleur. Je la pris dans les bras, un long baiser nous unis et nos corps se collèrent et se frottèrent. Cela entraina rapidement des transformations dans mon short.
Véro : « Vous n’étiez pas au club samedi, je me suis ennuyé de toi, … »
Moi : « Invitation professionnelle, … mais je passe ce matin, … pour te faire un petit bonjour, … »
Véro : « Seulement, … »
De sa bouche, je passais à son cou que j’embrassais tendrement et là elle frissonna et je me décidais : « J’ai envie de toi, … de te baiser, … »
Véro : « C’est ce que j’espérais, … je t’ai fait attendre, … pour me préparer comme tu aimes, … viens, … » et ouvrant son corsage, « C’est pour toi, … » Elle avait un soutien gorge quart de bonnet, car elle m’avait dit, je ne peux pas être au travail sans SG, j’ai de la poitrine et ça se verrait, donc elle avait opté pour un quart de bonnet, ainsi disait elle, ils sont maintenus et ils sont toujours à ta disposition si tu viens sans prévenir. Je m’empressais de m‘occuper de ces belles rondeurs, les tétons commençant à pointer gentiment.
Véro : « Arrêtes, … » et se reculant un peu remonta sa jupe qui se transforma en ceinture et s’asseyant sur la table de réunion, elle ouvrit le compas de ses jambes pour montrer qu’elle n’avait pas de slip avec : « Tu vois pourquoi tu as du attendre, … je suis prête comme tu aimes, …
Viens, … prends moi, … tu es venu pour ça, … »
Je me défaisais rapidement, et m’approchait d’elle. Elle me saisit et me guida dans son fourreau où je trouvais ma place, bien au chaud et je commençais à la ramoner. Elle était tellement chaude qu’elle ne mit pas longtemps à réagir et à commenter mon travail : « Oh, … oui, … j’aime, … c’est bon, … oui, … baises moi, … fort,… » Plus ça allait plus la pression montait et j’accélérait la cadence et c fut : « OH, … oui, … continues, … plus fort, … oui, … défonces moi la chatte, … je vais, … OUIIIIIIIII, … OOOHHHH, … OUIIII, ….

» ses jambes se refermèrent sur moi et elle fut secouée de plusieurs spasmes pendant que je remplissais son fourreau de mon plaisir. Enfin se raccrochant à moi : « Tu m’as donné du plaisir, … j’espère que tu en as eu, … mais, … »
Moi : « J’en ai eu, … j’en ai toujours avec toi, … tu aimes ça, … je t’ai déjà dit que tu aimes le sexe, … et tout ce qui peut te donner du plaisir, … tu es gourmande de sexe, … »
Encore, un corps à corps et j’étais parti.
➢ Samedi 31 octobre 1981
Ce samedi, après avoir diner chez des amis, nous retrouvons toute la bande en boite pour danser et s’amuser. L’ambiance est bonne. Nous dansons en changeant de cavalières et je réussis à pouvoir danser quelque fois avec Véro. Elle est en pleine forme, puis arrive une série de tangos et là, c’est elle qui fit en sorte que nous puissions danser ensemble. A peine sur la piste, nous étions collés l’un à l’autre et je décidais d’aller de l’avant et la serrant fort, je lui dit : « Roules bien des hanches, … j’aime sentir te frotter contre moi, … fais moi bander, … »
Véro s’exécutant : « Comme ça, … j’aime me frotter contre toi, … surtout si tu deviens dur, … mets ta jambe, … »
Moi : « C’est bien, … je sens que ça vient, … puis on sortira, … »
Véro dans un souffle : « Ce que tu veux, … tu le sais, … Je suis ta maitresse soumise, … j’aime sentir ta jambe, … » En fait à chaque passage, elle se frottait le minou et je sentais à son souffle que tout cela faisait monter la pression, je la voulais chaude, très chaude, au point où elle aimait que la tête n’obéisse plus qu’au sexe. Lors de deux pas, je ne positionnais pas, volontairement, ma jambe au bon endroit, la réaction fut instantanée : « Tu es un horrible, … remets ta jambe, … je ferais ce que tu veux, … »
Alors je lui glissais dans l’oreille : « Tu mouilles, … »
Véro : « Oui, … tu le sais, … je serais prête, … et tu pourras me gouter, … OH, … ne t’arrêtes pas, … je mouille, … » et je me remis de façon à ce qu’elle puisse reprendre son petit jeu : « Oui, … c’est bon … OH, …oui, … je sens que ça vient, … OUIIIIII, … » et se cramponnant à moi, le souffle court, elle jouit gentiment.

Nous restâmes quelques instants collés.
Véro : « Tu es content de toi, … tu m’as excitée, … j’ai aimé, …il faut t’occuper de moi, … »
Moi : « Tu sais ce que tu es, … »
Véro : « Oui, … celle à qui tu viens de donner du plaisir, … et qui fait que tu es dur, … et qui va s’offrir entièrement à toi, … pour que tu prennes du plaisir, … et que tu lui en donnes, ... »
Moi : « j’espère que tu es bien mouillée, … »
Véro : « Goujat, … je ne suis pas mouillée, … je suis trempée, …» et elle partit vers les toilettes qui avaient une sortie donnant sur l’arrière du bâtiment, sortie discrète. Pour ma part, aussi discrètement je me dirigeais vers le bar et commandait une nouvelle tournée, et filait par l’entrée. Je me dirigeais vers mon 4*4 que j’avais garé comme d’habitudes éloignée du grand parking.
Elle ne fut pas longue à arriver et aussitôt, se fut un baiser goulu accompagné d’un corps à corps sensuel et excitant. Ce soir, elle avait un large corsage qui cachait ses formes et une jupe trapèze. Après ce corps à corps, j’ouvris le hayon (j’avais coupé la lumière intérieure, sinon on aurait servi de spectacle) et s’asseyant en relevant haut sa jupe : « Viens, … viens me gouter, … dis moi que tu aimes, … » et je plongeais entre ses cuisses pour la sentir et la gouter.
Moi : « Tu devrais arrêter de tailler, courte, ta fourrure, … continuer à épiler le reste, … mais ne pas la tailler, … »
Véro : « Tu n’aimes quand c’est court, … »
Moi : « Ça permet de bien voir ta chatte, … mais ça ne conserve pas ton odeur, … ton odeur de femelle chaude, … »
Véro : « Comme tu veux, … j’aime que tu aimes mon odeur, …mais, viens, … je veux te sentir me prendre, … lèches moi, … »
Je reniflais son odeur avec plaisir et excitation, ce qui entrainait un gonflement certain dans mon pantalon et après avoir humé son odeur, je décidais, par petits coups de langue de la gouter à la source. J’entreprenais de lécher ses grosses lèvres et deux doigts s’inséraient dans son fourreau bien ouvert, bien chaud et ruisselant de cyprine.
Elle ne fut pas longue à réagir, d’abord en se laissant aller en arrière et en écartant largement ses cuisses : « Oui, … continues, … j’aime sentir ta langue, … oui, … prends moi avec tes doigts, … bien profond, … oui, … » et je commençais à la masturber gentiment, ce qui ne fit que l’énerver : « Plus vite , … oui, … je sens que ça vient, … OOOHHH, … OUIIIIIIIII, … » et ses cuisses se refermèrent brutalement sur ma tête, alors qu’elle était secouée de plusieurs petits spasmes. Enfin se relevant, elle récupéra ma main : « C’était bon, … donnes moi tes doigts, … je veux les gouter, … « C’est ce qu’elle fit avec une certaine sensualité. Par contre, j’avais une trique importante. Après avoir léché et sucé mes doigts : « A toi maintenant, … » alors que je n’avais pas terminé ma phrase, elle défit ceinture et braguette, pour sortir mon outil et prendre, directement, en bouche mon gland, qu’elle se mis a sucer avec une douceur excitante, … Proche de l’éclatement, je dus l’arrêter en lui disant : « Arrêtes, … je te veux, … lèves toi, … » Docilement elle se releva : « Pourquoi tu m’arrêtes, … c’était bon, … je pouvais terminer, … tu aurais pris ma bouche, …tu sais que j’aime, … »
Moi : « Oui, … mais je veux te baiser, … je veux prendre ton cul, … depuis le temps, …»
Véro : « Oui, … prends moi, … comme tu veux, … j’aime, … »
Moi : « Tournes toi, … je vais t’enculer, … tu aimes, … dis le, … »
Véro : » Oui, … ça fait longtemps, … j’y ai pensée, … je me suis préparée, … oui, … encules moi, … oh oui, … »
Et se retournant, elle se pencha légèrement en avant les mains sur ses fesses pour les écarter : « Oui, … regardes, … c’est à toi, … viens, … » Je me positionnais et cramponné à ses hanches je la pénétrais, au début, doucement qu’elle s’habitue à mon arrivée sur sa rosette et à mon entrée dans son fondement. L’approche et la pénétration se passa sans problème, tellement elle le désirait, tellement elle en avait envie, … et je commençais mes va et vient, lentement et plus elle était chaude plus j’augmentais la vitesse,.
Je l’avais vu glisser sa main droite vers sa chatte et de s’en occuper avec ardeur. « Oui, … continues, … remplis moi de ton plaisir, … j’aime quand tu me prends comme ça, … dis moi que tu aimes, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … »
La pression augmentait, et il fallait que j’accélère le mouvement, faute de quoi, je risquais de partir avant elle. Et c’est ce qui arriva, n’y tenant plus cramponné à ses hanches et bien enfoncé en elle, je me vidais dans son joli cul. Heureusement s’étant bien occupée de sa chatte, elle partit juste après moi, avec un râle de plaisir suivi d’un spasme sympathique. Nous désolidarisant, elle se releva, rabattit sa jupe avant de se coller à moi avec : « C’était bon, … tu m’a donné beaucoup de plaisir, … j’espère que tu en as pris, … il faut qu’on y aille,, … on se revoit cette semaine, … » et elle partit, par l’arrière du bâtiment alors que je repassais par l’entrée et récupérais mes boissons.
Arrivé à notre table, AL me dit : « Tu m’invites à danser,… »
Nous voilà sur la piste pour une gentille valse.
AL : « Ou étais-tu passé, … »
Moi : « Chercher des boissons, … »
AL : « Effectivement, … mais ce qui est amusant c’est que Véro a disparu aussi, … elle cherchait les boissons avec toi, … »
Moi : « Non, … elle n’était pas avec moi au bar, … »
AL : « Tu es gentil, … ne prends pas pour une imbécile, … »
Moi : « Mais, … »
AL me coupant : « Vous êtes sortis, … et vous vous êtes retrouvés dehors, … »
Moi : « Bon d’accord, … on est aller prendre l’air, … »
AL : « C’est beau, … vous avez pris l’air ensemble, … je comprends, … (après quelques instants de réflexion) Non c’est pas possible, … tu ne l’as quand même pas sauté sur le parking, … »
Moi : « Ben, … disons que ça c’est fait, … comme ça, … »
AL : « Je ne pensais pas qu’elle était en manque à ce point, … et se faire sauter sur le parking, …»
Moi : « C’est l’occasion qui a fait le larron, … »
AL : « Bon, … bon, … «
Moi : « Tu vas pas en faire un salade, … »
AL : « Non, … mais mon cavalier m’a demandé si tu allais en brousse ces jours prochains, … »
Moi : « Wouah, … directement comme ça, … tu lui as dit que tu ne savais pas, … et que t’allais te renseigner, …»
AL : Non, … il a tourné autour du pot, … mais c’était sa question, … en fait il aimerait qu’on passe une nuit ensemble, … »
Moi : « Et toi, … »
AL : « Pourquoi pas, … ça me changerait, … »
Moi : « Le problème, c’est que je ne vais pas aller en brousse rapidement, … mais, … en réfléchissant, … ce soir en sortant on fait comme la dernière fois, …vois avec Véro, … arrangez vous toutes deux, … je suis d’accord pour un échange, … »
Après plusieurs danses et il était aux environs de deux heures du matin, AL revint pour me dire qu’après discussion avec Véro, qui ne lui semblait pas possible de faire l’échange ce soir, … il était trop tard, … mais samedi prochain, … »
Sur cet accord, nous quittâmes la boite et proposait à AL un tour par la plage pour un bain de minuit passé, … mais ce fut un refus, vue l’heure, nous étions fatigués.

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