Petite, Si Petite 2

Ainsi Sonia avait utilisé notre ordinateur pour recruter des hommes bien montés. Le visiteur avait répondu à son annonce. A mon arrivée l’individu avait déjà déballé sa marchandise et l’offrait à l’appréciation de ma femme. La brave épouse frustrée était en admiration devant le phénomène sexuel étalé . Elle y avait touché et quémandait l’autorisation de s’assurer de la réalité de la chose en touchant encore cette verge, si extraordinaire quand elle la comparaît à mon moineau minuscule.

Tel un dénommé Thomas, elle voulait toucher pour croire. Voir ne suffisait plus. Il fallait prendre dans la main, caresser avec les doigts, peut-être adorer en déposant des bisous d’admiration. Sonia touchait et ne tarissait pas d’éloges :

- Elle est splendide, magnifique. Elle va encore grandir si je te masturbe?… Mais oui! Formidable, combien de centimètres en tout m’as-tu dit?

-Vingt-deux ! Du matériel de première qualité., sain et très réactif, comme annoncé. J’en suis fier et je garantis que son usage donne entière satisfaction à qui veut l’éprouver.

- Ah! Tu es sûr, pas plus de 22? J’aurais cru… Il faut que je prenne mon mètre de couturière. Vingt-deux seulement ? Il paraît que d’autres sont plus longues.

- Attends que je te la mette en bouche ou au bon endroit, on verra si tu es capable de l’avaler dans sa totalité. Remarque aussi son diamètre

- Oh! Oui, c’est impressionnant. Et tu peux la faire pénétrer dans le vagin ? Je peux ? Dans la bouche, c’est permis?

- Tu as déjà tellement de mal à en prendre un bout dans la bouche. C’est pour toi, la bonne mesure, crois en mon expérience. Que veux-tu, il a bien fallu que je me crée des occasions d’essayer des chattes. En général ces dames me couvrent de louanges et en redemandent. J’ai un carnet d’adresses. Il a fallu que tes messages m’émeuvent pour que je te réserve cet après-midi de prise de contact. Ah! Tes mâchoires n’ont pas l’habitude.

Bien sûr j’occupe ta bouche, je suis arrêté trop vite pour tout loger. Ça t ‘en bouche déjà un coin. Tu n’as pas tout senti, crois moi. Gare à ta cramouille, tu vas souffrir. Si je comprends bien, c’est ta première grosse queue. Tu es mariée, mais ton homme est assez limité. .. Si je ne me trompe pas

- Oh! Ne m’en parle pas, il en a une petite, ridicule. Si j’avais su ! J’ai eu tort de ne pas l’essayer avant de l’adopter.

Voilà mon éloge sous forme de confidences de mon épouse désolée m’avoir épousé. Un éloge plutôt funèbre, l’amour de Sonia est mort, je n’existe plus, je suis réduit dans sa mémoire à une bite ridicule ! Un type rencontré sur le web s’exhibe,vante son sexe et ma femme dénigre le mien Elle suppose qu ‘elle doit avoir droit à un membre au moins aussi grand que celui de son visiteur.

- Quoi, tu n’avais pas déballé sa marchandise avant de l’acheter. Tu n’avais pas pris son paquet en main : même pas cette curiosité élémentaire?

- Quand même, ça ne se fait pas.

- Alors ne t’étonne pas du résultat ! Je te plains malheureuse . Si petite? Comme ça ? Mais c’est une arnaque. Tu blagues. Comme tu montres avec tes doigts? Pauvre fille, tu ne sais donc pas ce qu’est un véritable orgasme! Ton mari rikiki est-il capable de te faire jouir vraiment ?

- A vrai dire, je ne sais plus. Je croyais, mais la vue de ce magnifique jouet me laisse penser que je passe habituellement à côté des véritables joies de la chair. Quelle différence. Comme ça doit être fort, bouleversant de se faire défoncer par une queue aussi longue et raide

- Et comment ! Un engin aussi insignifiant ne peut produire que des effets de surface, il ne va pas assez loin, il ne dilate qu’une toute petite partie du vagin. Cela revient à retourner un jardin avec une fourchette à tarte.

- Je crois., la comparaison est bonne. Je reconnais qu’il est ardent mais de moins en moins efficace malgré ses efforts.
Souvent il me fatigue plus qu’il ne me fait jouir. C’est lassant à force.

-Ne t’inquiète pas, nous allons réparer cette erreur de jeunesse. Aujourd’hui est arrivée l’heure de la révélation. Si tu le permets, mais il vaudrait mieux même que tu le souhaites, que tu m’en pries, je peux te faire connaître tout ce qu’il y a de plus magique dans un rapport sexuel authentique, réalisé avec un sexe assez long et large comme celui que tu mets actuellement dans les meilleures dispositions avec tes mains et tes lèvres.

- Non seulement je souhaite cette révélation, mais mon corps la réclame. C’est la raison de mes recherches et de l’invitation que je t’ai envoyée. Oui, je veux connaître le grand frisson, le coup de foudre de l’orgasme, la petite mort que tu me promettais dans tes e-mails.

- C’est parfait. Je suis ton serviteur. Tourne-toi, présente ta moule, ouvre la bien avec tes mains, lève les jambes. Tu es belle, presque aussi neuve qu’une pucelle. Tu me fais un cadeau sublime, tu as droit à la récompense suprême.

- Es-tu certain de pouvoir me pénétrer avant 17 heures? Sans me faire trop mal. Je redoute la douleur et je voudrais être apte ce soir à faire l’amour avec mon mari s’il en manifeste l’intention.

- 17 heures , pourquoi ?

- C’est l’heure du retour de mon mari

Pour l’heure cela ira. Il faut savoir ce que tu veux. Veux tu goûter à la plénitude du bonheur, devenir vraiment femme ou n’aspires-tu qu’à te soumettre à la chatouille superficielle de sa nouille . N’en as-tu pas marre d’être privée de ce qu’il y a de bon sur cette terre. De plus tu dois savoir qu’un vagin est extensible et ne risque qu’un échauffement passager du fait des frottements nécessaires à l’obtention du plus grand plaisir. Sinon comment les femmes pourraient-elle se faire posséder plusieurs fois en vue de multiplier les orgasmes? Es-tu décidée ? Oublie les velléités de ton futur cocu.

- Oui. Et tant pis si la première fois avec toi est un peu douloureuse.
Quand je pense que je n’ai rien senti lors de ma défloration.

- Ce n’est pas croyable. Mais comment as-tu pu vivre aussi longtemps en état de manque. Tu dois retrouver ta liberté. Soit tu aimes encore ton mari et tu prends un amant vigoureux pour suppléer à ses défaillances , soit tu le quittes, tu divorces et tu le remplaces par un compagnon choisi après un casting sérieux. Si, dans un instant, tu me juges à la hauteur, je me proposerai volontiers comme amant.

- C’est merveilleux, toi, tu accepterais de venir deux ou trois fois par semaine combler mon vide, tu serais mon amant à l’insu de mon mari, en toute discrétion ? Dans mon milieu on ne recourt pas fréquemment au divorce. Va pour l’amant.

- Je pourrai te rendre heureuse deux fois par semaine, oui. Commence de cette façon avec moi. Cette solution peut d’ailleurs consti une étape instructive en direction d’un divorce suivi d’un mariage mieux assorti. Qu’en dis-tu ?

- Passons donc au travaux pratiques. Je sens que tu vas devenir mon amant et consolateur. Viens, fais moi l’amour, j’en meurs d’envie. Fais le cocu !

- Tu sens mon nœud contre ton con. Tu es prête? Tire sur tes lèvres. Attention, ça vient, un, deux...Il faudra de la vaseline, ma chère… Goûte, suce bien, oui, profite. Tu as tout prévu. Ce tube est tout neuf.

- Une amie me l’avait offert pour ma nuit de noces. Hélas nous n’en avons pas eu l’utilité, la vergette de mon époux pénètre facilement. J’ai souvent l’impression qu’ il nage dans un milieu trop vaste pour sa petite trique. Viens, je brûle d’impatience, fais moi jouir et si possible, plusieurs fois d’affilée. Un monde nouveau s’ouvre devant nous

Quand même, moi le mari encore en titre, je ne peux pas laisser faire. J’entends les premiers gémissements, l’intromission commence. Elle a choisi un gros morceau, la bite rencontre des difficultés, engendre une douleur,passagère peut-être, avant de créer un élargissement qui donnera au vagin la capacité de s’habi aux grandes dimensions.
Sonia geint en serrant les dents. Elle n’a plus aucune considération pour moi, a décidé de prendre un amant parce que nos relations sexuelles la laissent sur sa faim.

L’adultère commencé serait une étape vers le divorce. Pour moi l’étape sera courte et se terminera immédiatement. Je divorcerai sans hésitation, sans étape. Du garage j’annonce mon arrivée d’une voix forte. Pour arrêter la copulation, stopper la montée du plaisir et laisser à l’envahisseur le temps de s’en aller en courant, je crie :

- Chérie, coucou, tu es là ? Ta voiture est dehors. Veux-tu que je la rentre au garage ?

Sonia a avalé un chat.

- Ah! Oui mon a…mour, ce se…rait bien gen-til… Mer…ci.

Sa voix est hachée; avant même d’être prise, elle se pamait à l’idée d’être envahie par l’impressionnant engin. Hélas l’amant n’ a pas atteint les grandes profondeurs, se retire , att ses affaires, les enfile plus vite qu’il n’a enfilé la dame en chaleur, disparaît sans adieu avant que la voiture n’ait regagné sa place dans le garage.

Ma femme rectifie sa tenue et se repeigne dans la salle de bain. Son rêve s’écroule pour cette première relation adultère. Pendant que je range la voiture au garage, tout rentre vite dans l’ordre. Quand j’arrive enfin à l’étage,ma petite femme, un peu trop rouge et essoufflée dégage une odeur de transpiration, mais fait son possible pour paraître naturelle.

- Chéri, voudrais-tu m’aider à tirer le lit, je n’en ai pas eu le temps ce matin.

- C’est quoi ce slip à côté du lit ? Houlala! C’est du XXXXL. Comment a-t-il atterri à ma place? Ce n’est pas à moi. Pas possible, beaucoup trop grand pour ma petite queue ridicule, hein? Vois, Sonia, c’est fait pour un pénis de plus de vingt centimètres. Ça ne sort pas de mon imagination. Qu’est-ce que ça fout là ? Berk ! Il est poisseux. Quelqu’un, un malpropre, t’en aurait fait cadeau et l‘aurait déposé dans ma chambre?

Sonia me regarde, interdite, muette, encore plus rouge.. Je ne cherche pas le suspens:

- C’est peut-être le type qui s’est sauvé pendant que je rentrais ta voiture qui l’aura oublié dans sa hâte de foutre le camp ? Il aurait pu attendre et me remettre mon insigne de cocu.

-Quoi? Que dis-tu? Quel type? Euh…!

- Tu devais vérifier qu’il faisait seulement vingt-deux centimètres. Ta mémoire te trahit ?

- Ah! Oui. …Tu te souviens, je t’en avais parlé. Par curiosité, je voulais savoir, alors, j’ai invité l’ami d’une collègue à me laisser examiner sa verge. C’est-ce que tu as dû entendre. Mais ce n’est pas ce que tu crois, mon amour. Bien entendu, on ne peut pas prendre ces mesures sous un caleçon, tu comprendsOh! Tu as cru… ? Non, c’était juste pour voir si ça existe, rien d’autre, crois-moi. Mais quand je l’ai vu, j’avoue honnêtement, j’ai ressenti une chaleur incroyable dans tout mon corps. Bouhou! Terrible tu sais. Incroyable, presque monstrueux. Heureusement, je t’aime trop fort pour me laisser trop impressionner. Non, ne crois pas… mais vraiment la vue de son monstre m’a…refroidie.

- Et quand tu as très froid, tu deviens rouge et tu transpires. C’est si naturel

- Tiens tu devrais en profiter, faisons l’amour…

- Ton amie sait que ce monsieur te faisait une démonstration à domicile? Elle est d’accord? Je la connais?

- Non, c’est une nouvelle amie

- Et le démonstrateur, tu le connais ?

- ment, tu en as de bonnes, toi, mon amour!

- Sais-tu où il habite ?

- Oui, bien sûr, je ne demanderais pas une chose pareille à un inconnu. N’importe qui ne laisse pas une femme mesurer son pénis au repos ou sa verge en érection. Toi, par exemple tu te déshabillerais devant une autre que moi et tu permettrais qu’on te mesure avant puis après une indispensable masturbation ? Non, j’en persuadée.

- On ne s’exhibe pas quand on en a une aussi petite et ridicule, comme tu le disais.

- Mon amour, tu as mal entendu. Jamais je n’oserais…

- Ah! Oui, tu soignes ta réputation. Dans ce cas, tu prends ce slip perdu, attention il est hum… tu prends tes affaires et tu vas chez lui. Va vérifier combien de centimètres de sa queue tu es capable de recevoir dans ton sexe. Essaie le, compare et surtout : reste chez lui. Mais vingt-deux centimètres, c’est loin du record. Il y a mieux. Cherche bien. Ici tu ne trouveras pas, inutile de revenir perdre ton temps avec moi et « ma petite queue ridicule »

Dans sa hâte d’accueillir son hôte, Sonia avait laissé son ordinateur branché sur les e-mails de sa recrue. Il avait fui, mais ils avaient laissé trop de traces de sa visite. Il était impossible de nier. Quelques citations de leur conversation finirent de la convaincre de l’inutilité de s’accrocher au mari décrié. Elle est partie sans protester davantage, soulagée d’être mise à la porte, peut-être heureuse de quitter « ma petite queue ridicule » pour aller mesurer les plus grandes. Elle est arrivée le soir même à la case divorce. Je lui ai conseillé de ne pas oublier son mètre ruban.

Hélas à l’adresse de l’amant, Sonia l’a trouvé entre sa femme et ses trois s. L’explication a fait des étincelles, paraît-il. Elle est retournée chez papa. Pendant des semaines, après son départ, je ne l’ai pas revue. Elle aurait changé plusieurs fois de compagnon, a déploré son père ignorant les causes de notre rupture, au tribunal des affaires familiales.

Oserai-je un jour jeter les yeux sur une autre femme ? Si elles sont toutes à la recherche d’une barre pour faire du saut à la perche, ou d’une poutre d‘équilibre, j’ai peu de chance de faire l’amour deux fois de suite avec une autre. A moins qu’une lectrice…?

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!