L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 54)

L’Odyssée de la Belle Hélène – Le royaume des Licornes -

Alors que la belle Hélène dormait encore à poings fermés sous l’aile protectrice de Pégase qui était également dans une profonde phase de sommeil, Apollon entreprit exactement la même démarche qu’il venait de faire avec son épouse terrestre, à savoir s’infiltrer dans les pensées du centaure ailé afin de lui parler dans sa tête tout en laissant Pégase bien endormi :

- Pégase, mon vieil ami, je viens d’ordonner à ta petite protégée d’Hélène, de retrouver la belle Alcmène. Tu l’aideras au mieux dans cette quête. Et donc tu devras l’emmener sur ton dos jusqu’à Athènes. Mais avant cela, je ne lui ai pas dit que tu t’arrêteras en chemin sur l’île de Lemnos, le royaume des licornes qui restent prisonnières du méchant roi Thoas. Cet infâme souverain a envahi leur royaume et retient les licornes prisonnières dans une partie de la forêt de l’île grâce à son arc magique aux multiples pouvoirs. Il faudra qu’Hélène et toi puissiez s’emparer de cet arc magique et en même temps libérer les licornes du joug du roi Thoas. Cet arc magique est indispensable pour retrouver Alcmène car, comme tu sais, il suffit de prononcer le nom de la cible comme par exemple ‘’Alcmène !’’ pour que la flèche de cet arc se dirige jusqu’à elle. Ainsi vous n’aurez qu’à suivre à vol d’ailes la flèche jusqu’à son but… Et comme, je te l’ai déjà dit, Alcmène ne peut pas mourir de cette flèche, car la douce Déesse Aphrodite lui a octroyé le pouvoir de l’immortalité. C’est d’ailleurs la raison de l’exil d’Alcmène à Athènes, fuir le méchant Eurysthée qui veut lui reprendre son immortalité afin de se venger de Persée et Andromède… Même si pour le moment afin de la protéger, la douce Déesse Aphrodite a pris l’apparence d’un aigle noir et reste auprès d’Alcmène, je ne peux intervenir et tu en connais les raisons… Mais une chose à la fois, d’abord il faut reprendre l’arc magique… Je sais que Thoas, vicieux et pervers comme il est, ne restera pas insensible aux charmes de la Belle Hélène et donc il ne faudra pas qu’elle hésite à se donner corps et âme à lui si besoin afin de s’emparer, par la ruse, de l’arc magique…

Au petit matin Hélène et Pégase se réveillèrent.

Chacun avait bien en tête la mission qu’Apollon leur avait confiée durant leur sommeil. Quand Hélène demanda au centaure ailé de l’emmener à Athènes, Pégase lui répondit oui, mais qu’il devait avant, se rendre en chemin sur l’île de Lemnos et tout faire pour voler l’arc magique et libérer les licornes … Chacun expliqua à l’autre, les directives d’Apollon reçues dans leur sommeil …

Il ne fallut pas plus d’une heure de battements d’ailes à Pégase pour enfin survoler l’île de Lemnos. Du ciel, au premier coup d’œil, la végétation d’une belle forêt touffue au centre de cette immense île, donnait une couleur verdoyante et ses pourtours laissaient apparaître de belles plages sablées mouillant dans une eau turquoise. On aurait cru voir un véritable paradis terrestre. La forêt était séparée en deux parties par une haute colline à demi boisée. Une orée déboisée par la nature délimitait assez bien la séparation des deux forêts de chaque côté de la petite montagne. Le centaure ailé aperçu une petite et discrète crique qui lui paraissait idéale pour atterrir... Une fois Hélène déposée sur la terre ferme, et après avoir bien observé les alentours, elle aperçut à l’orée des premiers arbres de la forêt, des arcs tendus en suspension dans le vide à environ 2 mètres de hauteur et postées tous les 10 mètres et qui semblaient cerner ladite forêt. Chaque arc avait une flèche pointée en direction de l’intérieur de la forêt. Pégase expliqua à la Troyenne :

- L’arc magique a la faculté de se démultiplier et peut ainsi se positionner tout autour de la forêt tenant en joue pour tirer et sur tous ceux qui essaieraient de sortir de la forêt, on peut donc y entrer mais pas en sortir … Il faudrait s’approprier l’arc originel qui est détenu par Thoas pour ordonner à l’arme magique de redevenir unique et ses multiples doublons autour de la forêt disparaitront… Les belles et douces licornes sont retenues prisonnières par les nombreux doubles de l’arc et ne peuvent plus aller dans l’autre forêt de l’autre côté de la colline pour se désaltérer au pied de la grande cascade que le méchant roi Thoas a réquisitionné pour lui et ses soldats.
Alors les licornes n’ayant que très peu d’eau juste celle d’un faible ruisseau traversant la partie de la forêt où elles se trouvent prisonnières, s’affaiblissent de jour en jour et meurent à petit feu …

Après un long silence où Pégase réfléchit, il se décida :

- On va entrer dans la forêt pour parler à Cydipsé, la reine des licornes. C’est une de mes conquê… disons une très vieille amie, elle représente la sagesse et la douceur même…
- Entrer ? Je ne manque pas de courage mais comment allons-nous pouvoir ressortir, on sera criblé de flèches ? Dit Hélène dans une expression autant de doute que de crainte…
- Par les airs ! N’oublie pas que je vole ! Si je prends mon envol dans la petite clairière située au cœur de la forêt, toi sur mon dos, on devrait être assez haut quand on arrivera à l’orée et hors d’atteinte des flèches de tous les doublons de l’arc magique !

Rassurée, Hélène n’hésita plus et se dirigea à l’orée de la forêt, passa devant un arc tendu et suspendu, sans que celui ne montre de l’agressivité, laissant entrer la Troyenne et Pégase… Ils n’eurent pas besoin de marcher très longtemps pour se sentir observés quand ils se trouvèrent encerclés subitement par tout un troupeau de magnifiques créatures au pelage blanc … Une vingtaine de licornes étaient maintenant bien visibles et montraient un certain soulagement à la vue de Pégase. Une belle et haute jument-licorne avec au front une corne magnifique se posta juste devant le centaure ailé et s’exclama avec une douce voix :

- Pégase, mon ami, que je suis heureuse de te revoir …
- Cydipsé ! ma belle Cydipsé, toujours aussi majestueuse, belle et séduisante …
- Je ne serai pas belle très longtemps, si ça continue … Regarde nous, nous faisons peine à voir …
- Oui je sais, Apollon m’a tout expliqué et nous sommes là pour vous aider …
- Merci Pégase, je savais qu’un jour tu viendrais à notre secours … Mais ?... Qui est la belle créature humaine qui t’accompagne ?
- Une amie à qui tu peux avoir toute confiance, elle est avec nous ! Je te présente Hélène de Troie…
- Hélène de Troie ?… Toi ici ? Dit la reine des licornes avec un air inquiet en regardant la Troyenne … Ta réputation d’être la plus femme du monde te précède … Car ce pervers roi Thoas se vante souvent, à qui veut l’entendre, qu’il aura un jour à ses pieds celle qui fut jadis la femme de son vieil ennemi de toujours, le roi Ménélas ! (voir Les 12 servitudes d'Hélène)… Il est si imbu de sa personne ! … Hélène, méfie-toi de lui, il est méchant et dangereux …
- Ah ? Il a dit ça ? Eh bien, je crois que j’ai deviné son point faible à ce pervers de petit roi … Je vais aller le trouver, et je vais feindre de me soumettre à lui … Je vais le piéger à son propre jeu … Ô Cydipsé, reine des licornes, je vous promets de tout faire pour vous libérer de ce triste roi pervers …

Après d’amicales et chaleureuses paroles d’entraide, Pégase et Hélène se rendirent dans la petite clairière au centre de la forêt pour s’envoler de l’autre côté de la colline sans que les nombreuses flèches lancées en leur direction ne puissent les atteindre au moment de sortir du périmètre délimité par les arcs… Pégase atterrit près de la fameuse cascade, il déposa Hélène et comme convenu ensemble, il reprit au plus vite son envol, laissant agir seule la Belle Hélène qui avait élaboré son plan empli de ruse.
Un comité d’accueil caché derrière la forte chute d’eau apparu soudainement et n’eut aucun mal à faire prisonnière la belle Hélène. Celle-ci fut satisfaite quand les gardes ressemblant plus à des géants bossus et laids l’emmenèrent auprès du roi Thoas dans des grognements inaudibles et des expressions de visages crétins et peu accueillants … Hélène, escortée par les vilains gardes, marcha sur une bonne centaine de mètres, longeant la rivière au fort courant quand, au détour d’une autre chute d’eau moins vertigineuse, se trouvait à une vingtaine de mètre du courant, un impressionnant édifice construit au cœur de la forêt. Quelques statues de sombres et diaboliques Divinités trônaient sur un perron de chaque côté de la haute porte d’entrée…

Puis on l’enchaîna aux pieds et poignets et Hélène fut immédiatement conduite dans la pièce principale, à petits pas à cause de la courte chaîne reliant ses deux chevilles. On la fit mettre à genoux au centre de la pièce et on l’a laissa seule quelques instants, du temps que l’on prévienne le roi Thoas qu’on lui amène une prisonnière ayant osé fouler du pied la cascade … Hélène profita de ses quelques instants à être seule pour regarder autour d’elle. D’abord, elle aperçut ce qui visiblement était l’arc magique original. Il trônait suspendu et immobile à un bon mètre du sol près d’une fenêtre, sa flèche tendue en direction de la forêt des licornes. Ensuite, sur le mur d’en face qu’elle ne fut pas sa grosse surprise d’apercevoir un magnifique nu de femme très érotique peint sur tout le pan de mur. La peinture murale était superbe et digne des plus grands artistes de l’époque ! Mais ce qui stupéfia la belle Hélène, c’est que la très belle femme peinte était … la fameuse Hélène de Troie ! Elle se reconnut donc de suite et se demanda pourquoi, son image se trouvait exposée chez ce roi ennemi de son ex-époux le roi Ménélas ? … Ce qu’Hélène ne savait pas c’est que le méchant roi Thoas vouait un véritable culte sans borne pour la beauté d’Hélène, au point de s’être offert la belle de ses fantasmes en peinture sur un pan mural….
On comprend ainsi pourquoi il clamait souvent vouloir la soumettre un jour…

Il n’est pas difficile d’imaginer la stupéfaction totale de l’infâme Thoas quand il arriva à l’entrée de la pièce avec un fin roseau à la main qu’il fit siffler dans l’air. Il crut tout d’abord à une farce ! Du genre, ses fidèles gardes lui ont trouvé un sosie de la belle Hélène afin de lui faire plaisir, l’originale étant inaccessible ! Il crut aussi qu’il rêvait et qu’il allait se réveiller ou on ne sait-on quoi d’autre !… Bref, il resta un long moment silencieux dubitatif dans le cadre de la porte face à la Troyenne nue, enchaînée et agenouillée. Alors après de longues minutes, il s’avança et se positionna droit debout bien planté sur ses deux jambes écartées, les bras croisés tenant toujours sa badine, la tête haute, le regard Dominateur mais plein d’envie gourmande. Hélène était juste à ses pieds quand il s’exclama sévèrement :

- Qui es-tu, pour avoir osé s’approcher de la cascade interdite ?
- Je suis Hélène de Troie, Seigneur et Maître, dit Hélène faussement soumise en baissant les yeux et n’occultant pas de l’appeler ainsi afin de feindre sa docilité et crainte.
- Hélène de Troie… la véritable Hélène de Troie ? Non ce n’est pas possible …
- Si ! Seigneur et Maître. Je suis bien Hélène de Troie … ex-épouse du roi Ménélas
- Ménélas n’était qu’un chien … Mais comment cela se fait-il qu’on t’est trouvé près de la cascade interdite ?
- C’est un méchant centaure qui m’a amené ici… Il m’a enlevé pour me déposer en ce lieu, me laissant à mon triste sort, mentit avec ruse Hélène.

Le roi Thoas ne chercha plus à poser d’autres questions, ces autres questions seront pour plus tard, pour l’instant il était comme subjugué par tant de beauté et il regardait avec gourmandise vicieuse la Troyenne, ses envies perverses exacerbées par la position de soumission de la belle Troyenne, agenouillée, enchaînée, à sa merci. Alors Il contempla ce corps nu et parfait recroquevillé à ses pieds, cette peau d'albâtre, la finesse des courbes, la perfection de cette croupe qu'il voulait saillir ! Et il ne prononça plus aucune question, passant à ce qui lui paraissait prioritaire, profiter de cette occasion de soumettre la femme de ses rêves. Alors, simplement, il avança son pied, poussant sa sandale sous le visage de celle qui se tenait agenouillée :

- Lêche ! ordonna-t-il d'une voix tonitruante

Et docilement, humblement, Hélène lécha les sandales de cuir et le pied poussiéreux, suscitant une montée de désirs pervers chez le roi car il avait enfin l’occasion d’humilier la femme de son ennemi ! Cette première humiliation le rendait conquérant d’une femelle qu’il allait soumettre, à ses vicieuses exigences ! De longues minutes, Thoas laissa ainsi son pied sous la langue humide de la belle Hélène qui léchait le pied sans aucune rébellion... consciente que cette humiliation et sans doute d'autres encore seraient nécessaires avant de pouvoir s'emparer de l’arc magique. S’il fallait utiliser tous ses charmes, toutes les ruses, toutes les humiliations, elle avait cette volonté forte de tenir sa parole faites aux licornes … Lorsque le roi fut satisfait, Thoas la frappa sur la croupe nue du fin roseau qu'il maniait avec vivacité et force, ce qui fit allonger tout le corps d’Hélène à terre, feignant la crainte :

- Debout ! On ne demeure pas allongée en présence de son Seigneur et Maître ! dit-il d'une voix aux accents sévères.

Hélène se leva et reçut immédiatement un nouveau coup sur la cuisse cette fois

- A genoux, maintenant ! Ordonna-t-il, voyant avec une satisfaction non dissimulée celle qu’il a toujours rêvé d’avilir poser ses genoux sur le sol carrelé... - Ressent l'humiliation chienne ! Nulle ne peut échapper au puissant Thoas, quand on ose s’approcher de la cascade interdite ! lança le roi tout en saisissant une poignée de cheveux de la belle pour l'attirer contre lui.

Dans un regard Dominant envers Hélène agenouillée sur le sol, il caressait avec perversité son beau visage dans un mélange d’envie admirative à sa beauté mais aussi un profond désir de la soumettre, de se sentir un puissant Dominant. Il lui lécha sans délicatesse le visage vicieusement d’une large langue avide, puis le cou, la nuque pour revenir sur les lèvres, avant de l'embrasser goulûment tout en lui pétrissant les seins sans douceur, sauvagement. On aurait cru voir un animal aux instincts primaires. La blonde troyenne ne bougeait pas, la tête penchée sur le côté, docile et soumise à l’évidence. Elle laissait simplement apparaître (ou feindre) quelques gémissements de plaisirs.

- Mmmhhh, que tes lèvres sont fraîches, la chienne !

Puis, il avança son pied de nouveau :

- Lèche encore chienne ! ordonna-t-il et Hélène docilement baissa de nouveau la tête afin de poser humblement ses lèvres sur le pied épais de Thoas. - J'ai dit lèche encore! répéta-t-il d'un ton irrité, ponctuant sa phrase d'un coup de badine sur les fesses.

Hélène se remit donc à lécher les pieds du roi... durant de longues minutes, attendant que Thoas décide de changer sa façon de l'humilier...

- Suffit ! dit-il enfin, Redresse-toi, debout !

Hélène se mit donc debout, les yeux baissés, laissant ses bras le long du corps toujours avec ses poignets enchainés entre eux d’une chaîne peu longue... Son corps demeurait toujours d'une pure beauté. Même les zébrures toute fraîches dues aux coups de badine ne faisaient que souligner la perfection de ses courbes, l'élégante pâleur diaphane de la peau, la blondeur dorée des cheveux, ses yeux d’une exceptionnelle beauté... Thoas avança la main et se saisit entre deux doigts d'un superbe téton d'Hélène, le pinçant d'abord sans excès, avant de presser de toutes ses forces, jusqu'à saisir sur le visage grimaçant de la belle, la marque d'une profonde souffrance. Il ne relâcha cependant pas la pression, se saisissant au contraire de l'autre téton, afin de s'amuser sadiquement à tordre et étirer les deux si sensibles mamelons qui durcissaient sous l'effet de la pression et de la douleur. La Troyenne perçut un frémissement d’excitation en elle, non feint celui-là, se doutant que de tels attouchements étaient devenus une habitude chez ce pervers roi qui devait toujours marquer une attirance pour les douleurs imposées à ses partenaires, à l’évidence pensa Hélène...

Thoas relâcha enfin la pression sur les tétons, pour asséner une gifle subite, rapide et brutale à la belle Hélène... Puis, la tirant contre les barreaux d’une fenêtre de la pièce, il commença à la flageller de sa badine fine et souple. Le corps d'Hélène se pliait, se tordait sous les coups qui laissaient de longues et fines traces rougissantes partout sur le corps. Au son strident de l'instrument fendant l'air, succédait avec une rude et cruelle régularité, le son du coup frappant la chair fragile si vicieusement martyrisée. Hélène se courbait sous les coups, gémissant autant de douleurs que, il fallait bien qu’elle se l’avoue à elle-même, de plaisirs grandissants. Plaisirs, oui qui paradoxalement, elle ne pouvait s’empêcher d’éprouver, et elle se surprit effectivement elle-même de sentir son excitation monter en son bas-ventre. Et cette danse perverse qui lui était imposée devenait cependant lascive et tellement impudique ! Car même sous les coups, même rabaissée sans pitié, Hélène demeurait la plus experte des catins, n'ignorant rien de la façon dont elle pouvait en toutes circonstances provoquer l'excitation incontrôlable de n'importe quel mâle, pour arriver à ses fins. Les leçons apprises par l'esclave êta, jadis, (lire les douze servitudes d’Hélène) n'avaient pas été perdues, bien au contraire ! Ainsi, se tordant sous les coups, Hélène s'agrippait aux barreaux, se cambrait, ouvrait largement ses cuisses, quitte à recevoir les coups les plus vicieux sur les parties les plus sensibles de son corps. L’excitation qui continuait à largement lubrifier son entre cuisses, elle commença à bouger son bassin, telle une femelle en chaleur réclamant l’accouplement, telle une liane, Hélène jouait de son corps, surmontant la douleur du supplice pour offrir les attitudes et les positions les plus suggestives au regard enflammé de ce vicieux roi Thoas. Malgré sa force, celui-ci n'était pas de taille à résister à de si impudiques expositions. Sans cesser de frapper, il sentait son sexe durcir et se tendre à la vue du spectacle lequel il en était également l’acteur Dominateur...

Il transpirait et empuantissait l'espace de l'odeur de sa sueur et de son excitation, sous les yeux excités de la jeune femme qui avait reculé d'un pas, pour mieux recevoir les coups. Thoas semblait encore plus gonfler, plus bander dur encore qu'à l'accoutumée devant une Hélène subissant les sévices de ce pervers avec la plus totale indécence affichée. Finalement, laissant tomber sa badine, le roi, n’y tenant plus, se saisit d'Hélène et la jeta à même le sol dallé, se laissant tomber sur elle de tout son poids, écartant les cuisses de la plus belle femme du monde et la pénétrant sans préambule d'un rapide et puissant coup de reins violent. Après s'être enfoncé en elle sans ménagement, bestialement, il la besogna à grands coups de boutoirs sauvages tel un porc en chaleur durant de longues minutes d’un accouplement torride et animal. En rut et sous les coups de bite qui allaient et venaient dans une infernale cadence sous des hennissements bestiaux, Thoas ne se retenait pas, il besognait la belle femelle profondément dans une virile saillie digne de ce nom. Alors il ne fallut pas longtemps à Thoas pour laisser son plaisir jaillir en elle...Il se répandait ainsi dans le ventre de celle qui lui appartenait, en de longs et interminables râles de mâle jouissant …

Une fois qu’il se fut déchainé ainsi à s’en vider les couilles dans le sexe béant de la belle, sexe trempé et désormais empli de sperme, il reprit son souffle mais au final c’est avec un sentiment profond de frustration qu’il l’a fixa de son regard dur et dominant. Il avait eu envie de jeter toute sa perversité instinctive en souillant Hélène, en lui imposant la plus avilissante des étreintes, après l'avoir fouettée et humiliée. Mais il n'avait pas le sentiment d'y être vraiment parvenu. Un goût d'inachevé emplissait sa bouche. Alors, il se retira d'un coup sec et tirant Hélène par les cheveux, la força à s'agenouiller pour le sucer et nettoyer son sexe souillé, ce qu'elle fit docilement, ses lèvres encore fraîches provoquant assez rapidement une nouvelle érection du vicieux roi...

(A suivre …)

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