Les Interviews De Sophie (Episode 2)

Je l’observai se relever, toute tremblante encore, sans dessus dessous. Qu’elle était belle ! Elle était sensuelle au naturel, tout ce qui me faisait craquer chez une femme. Je n’aimais pas tellement la sophistication, je m’y perdais et ne m’y reconnaissais pas. Je lui emboitais le pas, puis la pris par la main pour l’emmener jusqu’à ma chambre. A peine passer la porte, elle se retourna vers moi et me serra contre elle. S’en suivit un long moment de baisers torrides, de caresses, d’effeuillage langoureux. Elle se mit à genoux pour ôter mon bikini, prenant tout son temps, le fit descendre en l’attrapant entre ses lèvres…je les sentais dévaler le long de ma jambe, et me mis à frissonner de désirs. Tout en me caressant, elle me fit lever un pied, retira le slip de ma première cheville, puis fit de même avec l’autre, et s’amusa ensuite à remonter lentement jusqu’en haut de ma cuisse a petits coups de langue gourmands… Elle souffla alors délicatement sur mon pubis, saisis une de mes jambes et la déposa sur le lit.
Elle observa longuement mon bas ventre, soufflant et caressant du bout des doigts mon sexe, caressant l’intégralité de mon corps d’une main. Puis elle débuta un lapage délicieux, s’affairant toujours à maintenir une pression constante sur mon clitoris, soit avec le bout de sa langue soit avec son index. Elle s’amusa ensuite à pénétrer ma chatte avec sa langue, le plus loin possible. Ma tête bascula, je fermai les yeux face à tant de plaisir… Elle s’agrippa à mes fesses pour aller plus loin encore, et je l’aidais en appuyant sur sa nuque …. Elle se leva soudainement, et vint s’assoir à la tête du lit.

-Viens, viens te mettre dans mes bras, dans la même position que tout a l’heure, quand tu m’as fait jouir comme jamais. A mon tour, je veux que tu débordes, que tu m’inondes ! Viens et guide-moi.

Elle s’était débarrassée de ses vêtements sans que je m’en aperçoive. Elle se tenait là, les jambes grandes ouvertes pour que je puisse m’y blottir.

Je dégrafai son soutif et le fit voler à travers la pièce, lui arrachai son string mouillée de nectar, et m’installai.
Je prenais place entre ses deux seins, après les avoir suçoté du bout des lèvres, au passage. Je n’y pouvais rien, sa poitrine m’excitait comme une dingue, j’avais besoin de la toucher ou de la mordiller régulièrement pour être sure qu’elle existait.
De ses deux mains, elle écarta mes cuisses et les plaça à l’extérieur de ses jambes, afin de pouvoir les maintenir bien ouvertes. Elle débuta alors un doigtage précis, rythmé, faisant tournoyer ses doigts à l’intérieur de mon vagin pour en toucher toutes les parois.

- Cherche mon point G avec l’extrémité de tes doigts. Lui dis-je. Ne vas pas tout au fond, c’est un peu plus bas, oui, la, c’est ça, appuie dessus, non, la, devant, oui comme ça, aaaahhh…
- Tu veux que je le masse ton joli point ? Regarde, ne bouge pas… Mmmhhh… tu as chaud hein ? C’est bon ca… c’est bon de te doigter… regarde comme tu pointes des seins ! Hum, comme tu bouges bien sur mes doigts ! Tu es très excitante tu sais…
- Vas-y, c’est le moment, branle mon clitoris à fond !

Elle s’exécuta. Le sommet. J’atteignis le sommet de cette montagne nommée plaisir. Je poussai sur mon périnée en sentant l’explosion poindre dans mon bas-ventre. Un cri m’échappa. Puis deux. Je jouis en cascade ! Sophie regarda le premier jet avec surprise et contentement, puis elle vint coller sa bouche sur ma chatte pour ne pas rater les suivants. Je l’inondai de mon jus salé et la vis déglutir, puis se lécher les lèvres.

- Miam, quel bon gout tu as ! L’odeur de ta chatte est très excitante, mais alors ce qu’il en sort… un régal !
Je lui fis signe de venir vers moi. Elle m’enjamba et vint s’assoir sur moi. Nous nous embrassâmes à pleine bouche, chacune malaxant les seins de l’autre, caressant nos cheveux longs, dans une communion érotique si sensuelle que mon corps fut parcouru de frissons. Nous nous allongeâmes, et continuâmes de longues minutes, enlacées, emboitées, à nous rouler des pelles dignes des plus beaux french kiss de cinéma.


J’eus tout à coup un flash. Le voisin ! Je l’avais complètement oublié ! J’expliquais alors à Sophie l’histoire du pervers d’en face, en continuant bien entendu de caresser son intimité ; j’entrecoupai mon récit en lui mordillant les tétons, créant une sorte de suspens pendant la narration de mon histoire. Ses mouvements de bassin et ses petits gémissements me laissèrent penser qu’elle appréciait mes talents de conteuse. Mais elle se redressa tout à coup :

- Mais alors il nous a vu tout à l’heure ? Et tu ne m’as rien dis ?
Fichtre ! J’aurais mieux fait de me taire ! Je venais de froisser ma journaliste favorite.
- Quelle vicieuse tu es ! Moi qui n’assume pas mes étranges penchants, je crois que notre rencontre va me faire du bien. Et je vais oublier un peu tous mes principes de petite bourgeoise bien éduquée… Alors, ce voisin ? Il faut s’en occuper ! On va lui faire un petit show toutes les deux ?
- Je veux qu’il soit témoin de la première fois où je te dévorerai le minou. C’est-à-dire dans… trois minutes.

Je la tirai hors du lit et nous voltigeâmes jusqu’à la terrasse. Je jetai un rapide coup d’œil en face et m’aperçus que le Voyeur Invisible n’était pas là.

- Il ne reste plus qu’à le faire venir. Allonge-toi sur le transat et laisse-moi faire…

Je me mis debout sur le transat et entamai un show des plus érotiques au-dessus de ma nymphette, qui bloqua son regard au niveau de mes hanches.

- J’adore comme tu te déhanches. Tu es tellement sensuelle, je mouille en te regardant. Approches un peu que je regarde ta petite chatte se trémousser elle aussi.

Je me retournai pour lui offrir un gros plan sur mon sexe et mes fesses. Je me penchai un peu en avant, et remarquai alors le retour de deux gros yeux derrière la vitre de l’appartement d’en face. Cela m’encouragea à en faire un peu plus encore, et je me mis à me caresser les seins pendant que Sophie, ne tenant plus, avait attrapé m à pleines mains.
Je dis alors à Sophie que l’homme était revenu, qu’elle pouvait jeter un regard discret vers la fenêtre juste en face, celle avec des rideaux jaunes.

- Mais il ne se cache pas du tout ! Il sait qu’on le voit non ?
- Je ne pense pas. Je ne lui ai jamais fait aucun signe. Fais comme si de rien n’était, on va voir si il se permet quelque chose. Oublie-le, c’est l’heure de mon quatre heures. Offre-moi ta jolie petite chatte ; je veux qu’il te voit jouir sous mes coups de langues. Viens, pose ton petit cul sur le bord du transat, et laisse toi aller. Comme ça…

Je saisis ses deux chevilles et lui écartai brusquement les cuisses. J’observai d’abord son sexe déjà tout humide, comme j’avais toujours eu l’habitude de le faire avant de me mettre à l’œuvre. Cette découverte, à chaque fois, m’émouvais. J’avais grandi dans la même région que Gustave Courbet, et je m’étais toujours demandé si son Origine du monde n’était pas une des sources de cet attrait presque magnétique que provoquait chez moi la vision d’un sexe féminin. J’avais découvert le tableau à l’école élémentaire, et l’avais alors longuement observé, complètement subjuguée par le charme naturel de la chose. Depuis, … je n’ai pas besoin de vous faire un dessin. Allez donc admirez ce magnifique tableau !
Ses lèvres gonflées m’inspirèrent davantage encore. J’y administrai quelques baisers langoureux, qui firent frémir ma douce. Puis ses lèvres me happèrent, je me mis à les laper, délicatement, de bas en haut. Elle s’ouvrait devant mes yeux émerveillés, m’invitant à entrer en profondeur dans le sujet. Je blottis ma langue a l’intérieur de son petit sexe béant, et goutai alors à son jus délicieusement salé. Je la léchais longtemps, en prenant soin d’aspirer son petit clitoris a intervalles réguliers. Son suc m’inondait la bouche, et la belle, le corps tendu, gémissait de plus en plus fort. Elle attrapa soudain ma tête et l’appuya avec force contre son sexe. J’eus la sensation de pénétrer son vagin humide avec l’intégralité de mon visage.
Mes sens olfactifs étaient dans tous leurs états : j’inspirais a grande bouffée l’odeur de sa chatte, m’en imprégnant, la dévorant… elle jouit dans un long cri étouffé, en plantant ses ongles dans mon cuir chevelu. La douleur me fit aller encore plus loin, et j’agitais son petit bouton à une allure folle, ce qui provoqua un nouveau jet puissant. J’ouvris grand la bouche pour en accueillir le plus possible. Je gardais son liquide dans ma bouche fermée et vint m’allonger sur elle pour lui administrer un énorme patin afin de partager avec elle le fruit de sa jouissance. Je crachais dans sa bouche une partie de son âpre nectar. Elle fit la grimace, ma bascula sur le dos, maintint ma bouche grande ouverte et fit couler en filet ce qu’il lui restait en bouche. Je déglutis en lui souriant.

- Je n’ai jamais rencontré de cochonne de ton acabit. C’est si bon de se laisser complètement aller ! Oh ! Regarde discrètement la fenêtre à gauche de celle de ton mateur. Les rideaux bougent ! Je crois qu’on a affaire à un nouveau spectateur !
- Génial ! Si on leur offrait un joli 69 ? Je prends ta place, attends…

Je m’allongeais sur le transat en écartant bien mes cuisses, afin de leur offrir une vue imprenable sur mon sexe en attente…Je sommai Sophie de venir s’installer au-dessus de ma bouche, face à eux. Elle fit tourner lentement son bassin juste là, au-dessus de mes yeux, ce qui me rendit folle. J’attrapais ses fesses à pleines mains pour ramener sa chatte contre ma bouche. Sans perdre de temps, je me mis à fouiller son intimité à grands coups de langue, pendant qu’elle se caressait les seins. Puis, ses mains quittèrent son corps pour me caresser, les seins d’abord, le ventre ensuite. Elle se pencha un peu plus et commença à tripoter mon clitoris déjà bien bandé ; elle y fit tourner son index, m’arrachant de petits cris de plaisirs.

- Tu mouilles tellement quand j’active ton clito ! Tu m’excites ! J’ai trop envie de te manger la minette ! Voilà, c’est cela, écarte bien ma puce, offre toi, à moi, à tout le quartier !

S’en suivis un 69 bestial. Nos lèvres aspiraient tout sur leur passage, nos langues léchaient avidement tout ce qu’elles rencontraient. Nos doigts se mêlèrent à nos bouches pour accen nos plaisirs respectifs ; nous nous doigtions sans ménagement. Le terrain devint si glissant que je pus ajouter mon pouce à mes quatre doigts. J’appuyai alors doucement, et fis entrer, en moins de cinq allers et venues, mon poing entier dans la chatte ouverte de Sophie. Son visage était rougi par les cris, elle haletait comme une petite chienne sous mes coups de poings. Je bloquai tout à coup ma main au fond de sa chatte, et ouvris, un à un, mes doigts. Je caressais ses parois, titillant tous les points qui s’y trouvaient. Elle se cambra alors au-dessus de moi, ce qui facilita l’accès à son clitoris. Je le tétais en continuant mon jeu de main. Je remarquai alors que Sophie avait cessé de s’occuper de moi. De ma main libre, je pris sa tête et la plaquai sur mon sexe.

- Tu m’oublies, ma petite chienne ? Tu sais que tu n’as pas le droit de m’oublier aussi vite ? Lèche-moi, ou je fais subir la même chose à ton joli petit orifice arrière… Excite tout le voisinage avec tes cris, montre leur à quel point tu peux être salope ! Qui sait, peut-être viendront ils sonner à la porte pour venir m’aider à te baiser !

Nous continuâmes dans cette position jusqu’à ce que je jouisse encore. La demoiselle trouva rapidement mon point faible, et s’amusa à branler mon clitoris à toute vitesse pour faire jaillir mon nectar.
Epuisées, trempées, nos corps glissèrent alors pour s’imbriquer l’un dans l’autre : les ciseaux. Ma position saphique préférée. Nos chattes dégoulinantes se frottaient l’une à l’autre, nous procurant un plaisir intense. Nos lèvres étaient entrouvertes, laissant échapper des soupirs de bien-être. Nous voyions distinctement nos deux petits vicieux, qui nous mataient en se branlant allègrement dans l’encadrement de leurs fenêtres respectives. Apres de longues minutes de frottis frottas, de gémissements, de mots tendres ou crus, selon l’intensité de l’instant, Sophie vint s’allonger sur moi. Nos corps mouillés s’enlacèrent, nos bouches se trouvèrent et nous finassâmes ce moment d’extase par un long câlin plein de sensualité.
Les voisins en profitèrent pour s’astiquer plus vite encore, et nous les regardâmes jouir l’un et l’autre quasiment simultanément. Ils ne pouvaient plus avoir de doute possible : ils savaient que nous les voyions.
Quelques caresses et baisers plus tard, je m’extirpai des bras de Sophie et me dirigeai vers la cuisine. J’avais soif, ma petite journaliste m’avait vidé. Elle me rejoint, je lui servis un verre d’eau qu’elle me jeta à la figure en s’esclaffant. Sans un mot, elle s’approcha de moi et se mit à lécher mon visage. Je riais en lui pelotant les seins, et l’invitais à venir avec moi dans la salle de bains pour une petite douche.

C’est à ce moment-là qu’on sonna à la porte.

Le deuxieme chapitre se termine la. Je vous propose un petit jeu ; vous m'envoyez un mail ou vous postez un commentaire pour me dire qui sonne à la porte. La proposition la plus chouette me servira pour la suite de l'histoire. Celui ou celle qui verra sa reponse selectionnée sera, si cela l'intéresse, recompensé(e) par l'envoi d'une jolie photo de moi...toute nue. Bisous!

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!