Terma-13- Expérience En Camp Saharien (2)

Et pendant plusieurs jours, Toumi et Omar goutèrent les joies et les jouissances des sodomies, des caresses parfois gentilles, souvent violentes de désir, des baisers d’amour et des folles embrassades. Souvent c’étaient des mots et des phrases qui faisaient frémir encore plus Omar.

Chaque fois que Toumi lui murmurait l’un de ses désirs, Omar se sentait frémir et tendait son cul en écartant avec les mains ses fesses dodues pour laisser sa Terma jouir au maximum. Il se rappelait encore, des années plus tard, certaines de ces phrases cochonnes que Toumi lui murmurait pour l’exciter encore plus et le dominer totalement.

« Viens ! donnes moi ta douce Terma ! » (aroua7 ! hatli Teremtek erroutba !). Alors, Omar se courbait au maximum et tendait avec impatience sa Terma affolée.

« Mon zob se gonfle de désir pour ta Terma ! » (zébi rah ta’n’nane 3’la teremtek ! ) et Omar fantasmait sur ce long zob d’homme dur qui allait pilonner sa Terma.

« Approches !putain ! zébi veut te niquer ! » ( garbi ya qahba ! zébi hab e’nikek !) . Ces mots cochons amplifiaient l’excitation et le désir d’Omar et il se soumettait avec délices au zob de Toumi. Il fantasmait sur le mot « nikek » et jouissait encore plus en ressentant les vas et viens du zob dans ses entrailles. Lorsque Toumi répétait ce mot, le jeune Omar, tendu de plaisir, quémandait encore plus de jouissances.

« Je vais te défoncer ta Terma ! » ( nag’3arlek teremtek !) . Oui ! c’est souvent ce que désirait Omar ! Le zob de Toumi lui semblait insuffisant à remplir son sphincter et éteindre le feu qui brulait sa Terma ! Parfois, c’est lui même qui suppliait Toumi de le défoncer encore plus car son plaisir se décuplait avec ces fantasmes.

« T’arroser avec la semence de mes couilles ! » (en’tayar fiha ! nass’guiha b’za’nat qlaouya !)
Ce sperme chaud et visqueux dont Omar a appris à aimer le gout et surtout la quantité dans sa Terma et dans sa bouche, venant d’un zob qui lui faisait tant de plaisirs et de ces couilles gonflées qu’il aimait soupeser et caresser avec espoir de jouir à fond de leur nectar.



Certes Omar a entendu, les années suivantes bien d’autres mots et des phrases encore plus excitantes, mais il n’a jamais oublié la puissance érotique de ces premières provocations murmurées par Toumi dans leur petite chambre. Ils avaient une valeur érotique et initiatique pour Omar.

Malheureusement, durant la dernière semaine, Omar sentait moins de plaisir dans les pénétrations du sexe de Toumi à travers son anus élargi et même ses vas et viens internes étaient moins rugueux et moins vigoureux, donc avec moins de plaisirs pour le jeune homme. Toumi, homme assez âgé a été épuisé par la Terma exigeante d’Omar et se fatiguait rapidement. Pour s’excuser, il expliqua le problème à Omar.

Il lui montra son sexe, certes long mais pas très épais ni trop gros. Sa hampe était presque totalement lisse à cause des longues années de pratiques avec les femmes et les hommes, et qui ont finis par détendre, en partie, le nerf du gland. Ainsi la ceinture du gland était juste légèrement plus épaisse que la hampe. Et d’ailleurs, c’est ce qui avait facilité le dépucelage du cul d’Omar et les premiers pilonnages.

Evidemment, Omar n’avait pas d’expérience sur les bites des hommes et sur les épaisseurs des glands. Le gland de sa propre bite était certes plus large que sa hampe, mais il n’avait jamais fait assez attention à ce détail. Il n’avait jamais vu auparavant la queue d’un autre homme mûr, mais seulement, et très furtivement, quelques bites de ses camarades, dans les toilettes, et qui étaient comme la sienne, encore juvéniles.

Lorsque Toumi avait découvert, brusquement, son sexe de sa gandourah, lors du dépucelage, l’action suivante fut trop rapide, juste avant sa première sodomie, et n’a pas permis à Omar de remarquer ces détails. Plus tard, durant les autres soirs, Omar était beaucoup plus occupé par ses nouveaux plaisirs de sodomies, de sperme et de lècheries et sussions du zob de Toumi.

Toumi l’informa que, généralement, les hommes murs, et même parfois beaucoup d’autres plus jeunes, avaient des grands assez gros, épais, beaucoup plus larges que la hampe de la queue.
Le gland a toujours été une vision impressionnante de puissance et de grosseur et souvent, il effrayait ceux ou celles qu’on allait dépuceler. Et Toumi, toujours prévenant, promit à son jeune ami qu’avant la fin de son séjour, il lui fera une surprise, un cadeau qui complètera son initiation sexuelle.

Effectivement, deux jours et deux nuits avant la fin du stage, Toumi a tenu sa promesse. Le soir, comme d’habitude, Omar s’est mis totalement nu et s’est agenouillé sur le lit pour recevoir, en prémices de ses plaisirs, sa ration de sodomie quotidienne. Il fermait les yeux pour gouter et fantasmer. Lorsqu’il sentit la queue tenter de forcer son anus, il comprit qu’il y avait quelque chose de différent. La poussée du zob était beaucoup plus puissante que d’habitude et lui faisait même un peu mal en essayant d’ouvrir son anus.

Il tourna la tête pour voir et, surprise, ce n’était pas son ami Toumi qui se tenait derrière lui, mais un autre homme, un grand gaillard très basané et tout nu qui lui souriait de toutes ses dents et qui essayait de forcer son anus par une bite monstrueuse, nettement plus grosse que celle de Toumi.

Omar se cabra et se retourna complètement pour échapper à cet homme. Ainsi, il vit son agresseur sexuel. Un homme assez grand et bien baraqué, très brun de peau, tout nu et ayant une queue longue et grosse, bien loin des mesures de Toumi. Ce dernier retint Omar pour lui expliquer et le calmer.

Il lui présenta l’homme comme étant un ami, nommé Said, un saharien bien pourvu en sexe et que c’était le cadeau qu’il voulait faire à Omar et à sa Terma pour compléter leur initiation sexuelle. Il lui assura que ce cadeau allait lui ouvrir de nouveaux horizons sexuels, de nouveaux plaisirs et de jouissances encore plus affolantes.

Said était un homme discret, certes costaud mais hélas muet et travaillait à la cuisine du camp. Muet et un peu niais, mais possédait un gros paquet entre les cuisses pour satisfaire tous les désirs nouveaux de Omar.
Said le muet, se tenait, debout, tenant à la main son long et gros sexe déjà bandé et gonflé. Omar jeta un coup d’œil sur ce monstre de chair et dit à Toumi que ce gros zob ne pourra jamais rentrer dans sa Terma et qu’il allait lui faire mal et lui déchirer l’anus.

Toumi, comme toujours, diplomate et plein de ressources, le rassura et lui souffla doucement à l’oreille comme une confidence intime, qu’il n’avait pas à avoir peur car il possédait la solution et Omar doit lui faire encore confiance comme lors de son dépucelage. Omar se détendit légèrement car il connaissait son ami et accepta cette nouvelle expérience.


Alors, Toumi demanda à son jeune ami de ne pas regarder, pour le moment, le gros zob de Said, de se tourner vers le lit, de s’y agenouiller et mettre sa poitrine sur le martelât, et enfin de tendre son derrière qu’il allait préparer pour l’expérience.

Omar avait confiance dans les idées et jugements de son ami, mais avant d’obéir, il était poussé par sa curiosité juvénile, qui brave souvent inconsciemment les dangers, et il était déjà attiré par cette grosse bite qui lui faisait pourtant peur. Une bite au gland énorme et à la longue hampe pleine de nervures gonflées de désir.

Il toucha le monstre avec ses mains et l’empoigna, difficilement, tellement, il était épais. Il le soupesa et constata sa lourdeur et sa chaleur, sa puissance et en même temps, sa douceur.

Ces attouchements commençaient à exciter les sens d’Omar et il désirait déjà ce monstre dans ses entrailles malgré sa frayeur. La vue de ce gros zob était déjà un désir, une douleur peut-être mais un défi et sa Terma commençait à mouiller pour lui. Il avait seulement peur d’avoir mal, mais il savait que son ami Toumi allait trouver une solution.

Enfin il se positionna sur le lit comme demandé par Toumi, tendit son cul en écartant largement ses cuisses pour offrir ses fesses et son anus et attendait avec un peu d’appréhension la saillie de sa Terma.
Toumi ayant bien saisi les inquiétudes d’Omar, est allé chercher son fameux tube de vaseline, et commença à enduire le cul et l’anus de Omar.

Lorsqu’Omar sentit la fraicheur de la vaseline sur son sillon et son anus, il remercia Toumi de son aide. Toumi ayant gouté les douceurs de la Terma d’Omar voulait ainsi la remercier en lui offrant un zob à la mesure de sa faim sexuelle.

Enfin, Said, le cuistot muet, enduit aussi son gros zob de vaseline et le pointa de nouveau sur l’anus d’Omar. Puis, avec précautions, suite aux conseils de Toumi, il poussa lentement son zob, qui, petit à petit, écartait et élargissait l’anus, heureusement assez élastique d’Omar.

Grace à ce lubrifiant, et avec quelques volontés et efforts communs, l’anus d’Omar s’ouvrait au plaisir et laissait pénétrer le gros gland de Said. Certes Omar émit quelques gémissements étouffés, mais comme il fantasmait sur le gros zob, ces images dans sa tête ont réussi à faire oublier ses douleurs.

Toujours sur les conseils de Toumi, Said s’immobilisa dès que le gland de son zob passa à travers l’anus d’Omar. Quelques instants de repos, ensemble, ont permis à la chair d’Omar d’accepter ce nouveau corps étranger dans ses entrailles et il se détendit totalement. Said et Toumi ont immédiatement constaté cette détente et la danse du sexe se déclencha.

Said poussa son zob doucement dans le sphincter d’Omar qui ressentit tout de suite et très agréablement la différence avec les pénétrations du sexe de Toumi. Ce nouveau zob lui tendait et élargissait ses entrailles, les remplissait à fond et glissait petit à petit jusqu’au fond de son cul.

Cette pénétration lente le fit souffler fortement de plaisir et lorsque les lourdes couilles de Said heurtèrent ses cuisses, Omar ne put s’empêcher d’un ah rauque de satisfaction et de crier sa joie, les débuts des jouissances de sa Terma. Omar était étonné de sa propre réaction immédiate à la présence de ce gros zob dans ses entrailles.



Il était heureux de son acceptation facile et immédiate. Il constata que sa Terma lui envoyait des signes de plaisir, de contentement et de jouissance. Ils avaient tous les deux adoptés, sans trop de difficultés et presque immédiatement ce gros zob.

En effet, Omar était totalement plein de cette grosse bite lourde de chair et de désirs et les poils du pubis de Said lui chatouillaient les fesses et augmentaient son plaisir et ses fantasmes. Il imaginait ce monstre dans son intérieur, il sentait sa hampe se frotter sur ses entrailles et son gland qui forait sa chair avec jouissance commune, en prémisses du déversement final de son nectar.

Alors commença, entre les deux amants, la danse de l’amour, de la sodomie et de la jouissance commune. Said le muet, dès que son zob a ressenti la chaleur des entrailles d’Omar s’est affolé de désir, alors, il s’engagea dans une frénésie de vas et viens endiablés.

Il tenait fortement les hanches du jeune Omar et le sodomisait avec violence, avec puissance comme un vrai mâle sur la croupe de sa femelle. Omar goutait cette puissance, cette violence. Il comprenait que c’était maintenant son vrai dépucelage et la réalité de son initiation.

Sa vraie passion pour la sodomie, elle commence avec ce gros zob actionné par les puissants coups de reins de Said qui pilonnait avec plaisir sa chère Terma noyée de désir. Il pouvait avouer que c’est maintenant seulement qu’il se sentait vraiment sodomisé, dominé, niqué et totalement à la merci de ce mâle en rut. Il tentait d’ouvrir encore plus si possible son anus et faisait des pressions internes de son sphincter sur le sexe de Said.

Cette chevauchée superbe du plaisir a duré presqu’une demi heure sans que les deux amants ne sentent la fatigue et que le zob ne déjante. Enfin, Said, au top de son excitation, se crispa et dans un hurlement de plaisir, il éjacula enfin plusieurs jets de sperme dans les fondements d’Omar. A chaque décharge, Said hoquetait de plaisir et s’enfonçait encore plus dans le cul d’Omar qui, entrainé dans ce torrent de plaisir criait sa jouissance et celle de sa Terma.

Ce n’était pas une éjaculation, mais une véritable inondation de sperme qui remplissait non seulement les entrailles d’Omar mais qui coulait entre ses fesses et ses cuisses. Ainsi, même les extérieurs du corps d’Omar partageaient les jouissances de la Terma. Lorsque Said se retira, Omar, dont la Terma était entièrement gorgée de sperme, se retourna pour admirer ce monstre qui vient de l’initier aux vrais plaisirs de la grosse sodomie.

Du sperme, dans une image diablement érotique, suintait encore doucement du gros zob. Alors, Omar empoigna encore une fois le délicieux pilon de chair pour le lécher, le sucer et l’aspirer à fond pour avaler le maximum de ce nectar chaud et visqueux dont le gout commençait à lui plaire et lui donner des frissons de désir.

Chose encore nouvelle dans l’esprit d’Omar, un sentiment de femelle dominée par son mâle commençait à s’installer dans sa tête et cela lui donnait encore une sorte de jouissance sans honte, au contraire. Dominé par son désir de sodomie, par les frémissements de sa Terma rassasiée, Omar se sentait complètement heureux et prêt à recommencer. Sa terma devenait son centre de plaisir sexuel et sa recherche de gros zobs serait maintenant son souci majeur.

Tout ceci grâce à cette sodomie réussie. Un régal pour Omar qui remercia encore Toumi de l’avoir initié à aimer le gout étourdissant du sperme chaud. Enfin, et avec délectation, il nettoya à fond, avec ses lèves et sa bouche avides, le gros zob luisant de Said.


Ensuite, et à contre cœur, il libéra cette énorme queue qui pendait maintenant, comme un long tuyau entre les cuisses de Said mais qui, quoique rassasiée, avait de temps à autre quelques frémissements de désir qui tentaient de la regonfler.

Par ailleurs, le sperme qui coulait et collait sur les cuisses d’Omar l’excitaient encore et déjà il avait envie d’une autre sodomie avec ce monstre que sa Terma avait conquis et le désirait encore et encore. Etourdi de désirs, il se colla aussitôt à Said et lui empoigna le zob qui, comme par magie, et immédiatement se redressa à la verticale et devint aussi dur qu’un barreau de fer. Omar ressentait déjà la lourdeur formidable de la grosse bête qui lui heurtait le bas ventre de désir.

Alors, de nouveau, il tourna le dos à Said pour lui offrir sa chère et douce Terma. Et ce qui fut désiré fut aussitôt accompli durant toute la soirée et la nuit, presque jusqu’à l’aube car Said était, heureusement, doté d’une forte capacité dans son zob qui récupérait rapidement sa vigueur après chaque sodomie.

Omar eu, durant cette nuit de noces, quatre sodomies de Said, plus ou moins espacées et toutes avec des déversements de sperme. Puis une cinquième avec Toumi à l’aube, lorsque Said était parti vers ses cuisines. Cette dernière, ce fut un cadeau d’Omar à son ami Toumi, qui éjacula aussi dans les entrailles rassasiées du jeune homme. La nuit suivante fut encore plus chaude sexuellement que la précédente.

Ainsi, durant ces deux dernières nuits de son séjour au camp, Omar eu la joie de jouir du cadeau offert par son initiateur Toumi, pas jaloux du tout. Omar eu donc le bonheur et le plaisir de faire jouir et rassasier sa Terma juvénile d’un gros zob plus réel que ses fantasmes et de s’abreuver au nectar de ces grosses et lourdes couilles dont la vue seule le faisait, parfois, vibrer de désir.

En définitive, Omar a bien réussit son stage technique et il a eu, plus tard une bonne note de son Institut. Mais, le plus important pour son avenir sexuel, c’est qu’il a bien réussi son dépucelage et son initiation en sodomie.

Ce sont ces premières expériences qui lui ont fait aimer et désirer, par la suite, ce vrai plaisir charnel, ces frémissements agréables de tout le corps, cette pénétration enivrante qui vous ouvrait l’anus comme une bouche affamée de désir. Ensuite, ce total remplissage de la terma par un gros calibre de chair dure et douce à la fois et enfin une explosion de nectar qui vous étourdit et vous envoi au septième ciel.

Oui, Omar a bien compris que, pour gouter, vraiment, à sa mesure et entièrement, ce bonheur de la vie, il faut et il suffit de la rencontre d’un gros zob affamé à l’offensive et d’une Terma assoiffée et soumise à tous les outrages.

C’est ainsi que mon ami Omar a débuté, durant ses quatre semaines de séjour, ses premières aventures de sodomies qui vont influer positivement sur le reste de sa vie.

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