Tribulations Érotiques

Je continue à raconter mes aventures.
Mes trois ans d’éducation avec ce type qui m’a initiée auront été fructueux car je suis devenue une vraie dévergondée. A 24 ans j’avais terminé mes études (mes charmes avaient joué dans ma réussite il est vrai, je raconterai !), je commençais à entrer dans le monde sérieux du travail. Sérieux ? C’est bien mal dire car mes collègues n’étaient pas très sages, loin de là.
Durant mes deux dernières années d’études je vivais seule à Paris, libre et gourmande de tous les jeux dont j’ai profités. Voilà comment j’ai procédé pour réussir mon dernier examen et obtenir mon diplôme. J’écris au prof qui doit m’examiner. Il me donne rendez-vous dans son bureau. Ma tenue lui fait tout de suite comprendre que je ne suis pas venue pour parler académiquement… Tout de suite il se plaque sur moi, je me laisse faire, ma main ne tarde pas à aller là où elle aime fouiller. Elle est toute dure. Je la sors de son enclos et vais la sucer. Il me baise ensuite me rassurant quant à mon examen (il sera au jury).
J’obtiens donc mon diplôme quelques semaines plus tard. Je me sens obligée d’aller le remercier. Il n’est pas seul dans son bureau, un de ses assistants est avec lui. Il doit, lui aussi être remercié. A tour de rôle je les suce et à tour de rôle ils me foutent. J’ai bien mérité ! Mais c’était très bon : l’agréable à l’utile joint.
Je ne vais pas raconter toutes mes aventures durant ces deux folles années d’études. Presque tous les week-end je sortais avec des copains ou copines, petites bouffes, bars, boîtes, flirts et plus bien souvent. Rien que de bien banal en fait.
Il m’arrivait, lorsque j’avais besoin de me trouver des fonds pour arrondir mes fins de mois et satisfaire mes besoins de frusques, de sorties de contacter des types. Ca se passait en général très bien. Je faisais attention et j’avais des « clients » que je revoyais régulièrement, je sélectionnais les plus gentils et les plus généreux, tant qu’à faire !
Un beau jour de juin une copine désire que je la contacte, elle a quelque chose pour moi qui devrait me plaire.

Elle connaissait un couple très libertin et aisé qui organisait deux ou trois fois par ans des « parties ». Elle leur avait parlé de moi et étais sûre que cela me plairait. Ok, a priori.
Soirée à thème. Cette fois tout le monde devra porter (avec ou sans rien dessous) un short en jean (large, normal, mini, micro, crade etc.). Il y aura environ une vingtaine de personnes, âges mêlés. Trois interdits : violence, jeux scatos et pédophilie… Toute le reste devra être accepté (sodomie, exhibition, fellation, cunnilingus, baises multiples, jeux mouillés etc.) Cela me tente, m’excite. Je me trouve un vieux jean que je découpe avec soin, large, étroit entre les cuisses.... Je devrais avoir un succès garanti. J’ai hâte de cette soirée.
Je m’y rends donc. Il y a déjà pas mal de monde. Je fais connaissance rapide avec mes hôtes qui me remercient pour ma bouteille et m’invitent à me changer. Ce que je fais sans tarder. J’ai gardé mon petit string blanc sous mon short bien évasé et que j’ai encore raccourci avant de venir. Je regarde, avise certains qui e plaisent, suis matée par d’autres qui m’ont remarquée. Je prends un verre. Il fait chaud, il y a du monde (plus de vingt-cinq personnes en fait participeront à la fête. On boit, on grignote, on attend en fait que les hostilités se déclarent. Moi, je mouille comme une folle. Un type, assez vieux et pas très séduisant, pour le moins, profite de ce que je suis seule pour m’aborder. Selon les règles je ne peux refuser. Il agrémente ses compliments par quelques attouchements. Ses couilles dépassent de son mini short. Il a de la chance, j’aime les grosses couilles qui pendouillent ! Je les lui tripote, le branle. Je me sens agréablement vulgaire, cela me plait, je n’en peux plus de mouiller. Une main vient me fouiller par derrière, entre les fesses, un puis deux doigts farfouillent mon petit trou, j’aime ça. Il faut que je me laisse aller d’autant plus que je ne suis pas là pour autre chose. Je branle un peu le type, l’embrasse et lui lance un « à plus tard !».
J’ai mieux à faire. Je retrouve ma copine qui me dit bien s’amuser, avoir déjà « eu » trois bites ! Un record pour elle. Enfin je rencontre mes hôtes. La cinquantaine, fêtards et vicelards tous les deux. Je passe à la casserole avec eux : il me baise, elle m’oblige à lécher sa chatte bien crémeuse. Ils me disent que je suis une des plus salopes de toutes les filles qui sont là ce soir. Mais qu’il faut que je maintienne le niveau. Je bois un verre pour me donner de l’allant. Une seule queue jusqu’à maintenant, c’est un peu court. Je vais me rattr. Je me mets derrière un type qui est en train d’embrasser et de toucher une nana. Je passe ma main entre ses cuisses, lui fourre un doigt bien placé. Il se trémousse. Il abandonne la fille et se retourne. Un beau black. On ne tarde pas à aviser un petit coin où il me baise comme jamais je n’avais été foutue.. Quelle queue ! Je suis toute mouillée et excitée et j’ai envie de choses bien plus dégueulasses. Ma copine e dit qu’il y a un couple qui souhaiterait jouer avec moi à des jeux « mouillés » si j’aimais ça. Jamais réellement pratiqué ce genre de trucs même si certains types m’avaient proposé ça. J’accepte donc par curiosité et envie. Encore un verre, c’est toujours utile. Je retrouve donc ce couple. La quarantaine. Ils ont déjà bien pissé dans leurs shorts, ils sont trempés. On se touche, se tripote. Nous nos rendons dans les toilettes. Sans me faire prier je pisse sans retirer mes oripeaux déjà bien trempés de mouille et de foutre. Ils font de même devant moi. Je sui détrempée de pisse, de foutre, de cyprine. Comment retourner dans la grande salle dans cet état ? J’ose enfin. Ma copine me rassure, mes hôtes m’incitent. « Ce n’est rien qu’un petit incident, une petite fuite… » Je termine la soirée avec un type qui me dis que je suis sa petite pisseuse.
Il me raccompagne chez moi.
Je vais le revoir.

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