Elle

Cela fait maintenant deux semaines qu'Elle est partie à ce stage de formation organisé à cinq cents bornes d'ici par sa société. C'est la première fois en cinq ans de vie commune que nous sommes séparés aussi longtemps l'un de l'autre. Elle a une tendance à être beaucoup plus perverse que moi dans notre relation, mais même nos échanges téléphoniques ou textos cochons échangés pendant cette quinzaine n'ont pas réussi à gommer le fait qu'Elle ne soit pas là. Heureusement, Elle rentre ce soir et je dois passer la prendre à son entreprise dès son arrivée à 20h. Nos textos du jour ont tous tourné autour du même thème "trop hâte d'être à ce soir..." jusqu'à son dernier en forme de défi, où là je le retrouve vraiment: "J'en peux plus d'attendre! J'espère que pour venir me chercher, tu mettras cette salopette de travail dans laquelle je te trouve si sexy et rien d'autre avec... ou mieux si tu l'oses" Mais bien sûr! Si je le pouvais c'est à poil direct que j'irais la chercher, mais bien qu'il fasse déjà nuit, j'ai peur qu'une tenue aussi légère ne risque d'attirer tout de même l'attention en m'arrêtant à un feu rouge ou autre chose du même style. J'opte donc pour ce trench coat trois quart qu'Elle m'avait offert il y a quelque temps sans aucun autre vêtement en dessous mais au moins je suis sûr d'être couvert de la tête aux pieds pour l'extérieur.
Je n'ai pas à attendre très longtemps sur le parking de sa société, l'arrivée du bus qui ramène les trente collègues. Je la vois descendre, récupérer sa valise puis saluer deux ou trois personnes avant de se diriger vers moi. L'ouverture automatique du coffre me permet de ne pas à avoir à descendre et après avoir déposé son baguage, Elle me rejoint à l'intérieur. Pas un mot à son arrivée mais on se roule une pelle de concours à mettre dans le Guinness des records. S'en suit une moue un peu déçue de sa part, voyant la tenue que j'ai choisi pour l'accueillir. Je la connais bien maintenant et je sais que sous son maxi manteau de cuir préféré, je ne trouverai rien si ce n'est une paire de bas et des bottes montantes.

Je sors maintenant de la ville et je m'engage sur cette quatre voies qui va encore nous prendre trente minutes de notre précieux temps. Elle me demande soudain:
- Tu veux que je dégrafe un bouton de mon manteau?
Ce à quoi je réponds:
- Si tu en dégrafes un, j'en dégrafe un aussi.
Intriguée par ma réponse, Elle décide de déboutonner complètement son manteau et comme je m'y attendais un peu, aucun autre vêtement à part cette paire de bas. Je me dis alors qu'Elle a dû bien s'amuser dans le bus de retour en pensant à la tête de ses collègues si Elle décidait d'enlever son manteau. Enfin je retrouve ce corps qui m'a tellement manqué, ces courbes harmonieuses, ces seins lourds et si bien dessinés, cette chatte parfaitement lisse qui donne envie d'être dévorée immédiatement. Mon mandrin devient immédiatement incontrôlable et alors qu'elle me dit:
- Ok, à toi de jouer maintenant!
Je n'ai même pas besoin de répondre en enlevant les boutons de mon trench qui bientôt libère une bite déjà bien raide. Sa moue de déception a maintenant totalement disparu laissant place à ce sourire pervers que je connais si bien:
- Laisse moi donc sucer cette bonne bite tout de suite. J'en avais tellement marre de sucer mes jouets depuis deux semaines!
A cette heure, peu de monde sur la quatre voies, régulateur de vitesse enclanché, je la laisse donc faire son office. D'une main elle me branle tout en jouant avec sa langue autour de mon gland ou bien léchant le frein avant de me reprendre complètement en bouche et d'imprimer un mouvement de va et vient divin. Avec son autre main, elle caresse doucement mes bourse gonflées de cette semence qui ne tardera pas à être expulsée si les choses continuent à ce rythme. Ca, elle le sait très bien, alors elle ralentit la cadence et tout en continuant à branler et sucer doucement cette fois, son autre main descend plus bas jusqu'à rencontrer ma rondelle avec laquelle elle joue un moment avant de commencer à me coller un doigt puis deux.
Contente de ma réaction d'approbation:
- Tu aimes ça, hein mon salaud? Mais attend la suite, je t'ai ramené un petit cadeau que tu risques fort d'apprécier énormément!
Elle est incroyable. Elle sait parfaitement comment m'amener à la limite de l'explosion sans me laisser venir pour autant. J'en fait exactement de même avec elle et c'est pour cela que nous nous entendons si bien. Nous aimons avoir le total contrôle des sensations de l'autre de façon à pouvoir l'amener au plus loin dans son plaisir. L'amener à l'orgasme et la regarder jouir est tout aussi jouissif pour moi que mon propre orgasme. Alors qu'elle continue son ouvrage et que mon conduit est maintenant si détendu qu'il pourrait accueillir sans problème un troisième doigt:
- Arrête-toi dans un coin tranquille de la prochaine aire de stationnement, j'ai envie de t'offrir mon cadeau maintenant.
Je m'exécute et cette aire, pourtant réputée dans la région, est totalement déserte. Je n'ai donc aucun mal à stopper dans un coin reculé:
- Maintenant, passe à l'arrière, ferme la portière et mets-toi à quatre pattes sur la banquette, tu vas adorer je pense.
Dès que je suis installé, la portière face à moi s'ouvre et elle apparaît, toujours vêtue de son seul manteau mais de plus harnachée d'un magnifique gode ceinture. L'engin fait bien 15 ou 20cm de long et 4cm de diamètre à vue d'oeil:
- Suce bien ce joli cadeau maintenant!
Je souhaitais depuis longtemps que nous fassions l'acquisition de ce type de jouet et ce qui était jusqu'alors un phantasme était sur le point de se réaliser. Le simple jeu de m'exhiber devant Elle en me défonçant le cul avec un de ses jouets ne me suffisait plus, même si les quantités importantes de cyprine qu'Elle déversait en me regardant faire semblait parfaitement la satisfaire. Je voulais pouvoir de temps en temps devenir sa salope et qu'Elle y participe vraiment. Cela fait maintenant un bon moment que j'ai cette grosse bite en plastique dans la bouche et je continue à la sucer goulûment tout en continuant à branler ma queue toujours tendue à l'extrême:
- Ca suffit comme ça pour l'instant.
Ce soir, ton cul sera à moi et rien qu'à moi. Je vais le prendre maintenant!
Elle retire le précieux engin de ma bouche et la portière se referme. La portière derrière moi s'ouvre bientôt et je sens deux mains qui retirent d'abord mon manteau puis me prennent par les hanches:
- Recule toi un peu pour arriver jusqu'au bord de la banquette. Demande-t-elle.
Aussitôt fait, je suis maintenant complètement nu, totalement à sa merci, les fesses écartées et offertes à son bon vouloir. Je ne désire plus qu'une seule chose, qu'elle m'encule sauvagement et sans retenue. Mais je sens alors ses mains qui me caressent doucement le dos en partant des reins pour remonter jusqu'à la nuque. J'ai la sensation de devenir fou. Une des mains continue son parcours jusqu'à ma bouche où Elle y introduit trois doigts pour que je les humecte correctement. Ces doigts redescendent ensuite jusqu'à ma rondelle encore bien détendue à cause du traitement reçu il y a peu et Elle n'a aucun mal à les introduire dans mon conduit pour finir de le détendre pour de bon:
- Prépare-toi à accueillir le jouet que ta très chère compagne a acheté pour toi.
Le moment tant attendu est enfin arrivé. La sodomie, je connais déjà un peu en quelque sorte pour m'être introduit ses jouets à plusieurs reprises, mais là quelle différence que de se sentir pénétré sans être obligé de le faire soi-même, sentir que l'autre a le contrôle de l'intensité du va et vient, de la force des coups de boutoir que je ressens de plus en plus précisément. D'ordinaire, c'est Elle qui le demande mais ce soir, c'est moi qui le fait sentant l'explosion arriver incessamment:
- Plus vite! Plus fort! Claque-moi le cul en même temps...
Alors, Elle augmente encore la cadence tout en faisant rougir mes fesses jusqu'au moment où c'est sans les mains que j'atteins le plaisir suprême et que je lâche de longs jets de foutre chauds. Elle reste en moi encore quelques instants, le temps que je revienne à moi puis Elle se retire et avec un air amusé:
- Ben mon cochon! J'ai l'intérieur des cuisses complètement trempé! signe que cet épisode ne l'a certainement pas laissé indifférente.

D'ailleurs, elle passera le reste du trajet retour à se branler frénétiquement, elle adore le faire quand je conduis et qu'il m'est impossible de la toucher, ça me rend dingue à chaque fois. Elle s'offrira finalement elle aussi cet orgasme foudroyant et si mérité avant que nous ne regagnions notre chez nous pour y trouver un peu de repos.


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