Défonce Moi !

Samedi dernier j’ai emmené ma copine du moment dans les quartier chauds de Paris pour bien nous exciter avant de revenir dans ma chambre sous les toits et nous y offrir une belle partie de galipettes pendant le weekend.

Nous nous étions fixés comme lieu de rendez-vous le carrefour à l’angle des rues de Saint-Denis et de la Grande Truanderie car en prévision de se son anniversaire (et aussi pour me faire plaisir), je voulais lui offrir une tenue coquine et un beau jouet.
Agés de 24 ans l’un et l’autre, nous sommes quelque peu libertins et lorsque nous baisons, nous nous racontons tout un tas de fantasmes, tous plus chauds les uns que les autres, nous imaginant dans toutes sortes de scénarios plus ou moins osés.

Mélissa ne savait rien de mes intentions mais lorsqu’elle m’a rejoint avec près d’une demi-heure de retard (comme d’habitude), je me suis aperçu qu’elle est déjà bien chaude : jupette en jean à ras la touffe, cuissardes, teeshirt largement échancré au travers duquel pointaient les tétons de son opulente poitrine, maquillage des yeux et de la bouche très appuyé et ses longs cheveux noir noués en queue de cheval. Elle ressemble à une des filles qui racolent à proximité ! Bref une véritable allure de pute !
Elle ne s’est même pas excusée de son retard tant c’est habituel chez elle. Nous sommes entrés dans un des sex-shops qui sont nombreux dans cette rue. Je connais bien les lieux car j’y viens de temps à autre mater une des filles qui s’exhibent dans les cabines et je sais que nous trouverons ce que je cherche pour Mélissa.

Une vendeuse assez court vêtue elle aussi, nous a présenté une série de tenues que Mélissa est partie essayer dans une des cabines situées à proximité du rayon des vêtements. Bien évidemment je l’ai accompagnée pour l’aider à choisir. Son choix s’est porté sur un ensemble string et soutif fait uniquement de lanières étroites qui mettent en relief ses formes un peu généreuses.

Mais ce n’est pas trop ce que j’avais souhaité. Avec la complicité de la vendeuse (que j’ai baisée une fois avant de rencontrer Mélissa), j’ai fait essayer à ma copine un serre-taille qui, s’évasant juste au dessus des hanches, montait jusqu’à la poitrine qu’elle présentait plus qu’elle ne la soutenait… dans des demis bonnets.
Le laçage dorsal permettait de serrer plus ou moins la taille pour la rendre plus étroite alors que par effet inverse, les hanches et la poitrine paraissaient plus volumineuses. C’était un peu un carcan de mais j’aimais et Mélissa aussi. Je lui ai dit que c’était son cadeau d’anniversaire, qu’elle pouvait le garder sur elle pour le moment. Elle pouvait y ajouter un beau gode vibrant pour se donner du plaisir quand elle ne pourrait pas me rejoindre…
Lorsqu’elle est sortie de la cabine après avoir remis sa jupette, l’effet était formidable et bon nombre de mecs se sont retournés pour l’admirer. Certains manifestèrent aussi par des sifflements. C’était vrai que dans cette tenue, elle était canon mais elle avait un look de salope…

Je lui ai ordonné de déambuler dans le magasin pour bien se montrer à tous les mecs (et quelques filles) qui étaient là. Quand elle s’est arrêtée devant le rayon des DVD, elle s’est baissée pour en prendre un sur une étagère basse et regarder le synopsis. Au lieu de plier les genoux, elle a baissé son buste… Quelle n’est pas ma stupeur quand j’ai découvert que Mélissa n’avait pas remis son string ! Elle avait le cul nu ! Décidément ce soir, elle avait décidé de la jouer « SALOPE » et çà me plaisait au point que ma bite s’est dressée instantanément dans mon boxer à m’en faire mal tant j’ai eu soudain envie de la sauter comme une chienne dans un coin du magasin.

Nous avons lu ensemble le résumé du film, je me suis collé dans son dos et je regardais par-dessus son épaule, me frottant contre elle pour lui faire sentir combien je bandais… et cela a encore augmenté quand j’ai découvert que je pouvais voir ses tétons sortis dans le soutif.
Mélissa a répondu en tortillant des fesses contre mon érection. Je lui ai dit à l’oreille :
• Salope ! Tu me fais bander avec ton cul nu ! Viens à l’étage, je vais te sauter comme une chienne en chaleur que tu es !
Aussitôt, comme si cela était naturel ou habituel de baiser dans un magasin, fut-il un sex-shop, elle m’a rétorqué :
• Oh oui Kévin ! Je coule tellement j’en ai envie !
Après avoir demandé la clé à une des vendeuses, j’ai pris Mélissa par le coude et je l’ai guidée vers les escaliers qui conduisent aux « love room », ces quelques petites chambres où des couples en chaleur comme nous peuvent venir s’ébattre pour une dizaine d’euro de péage. Je savais que certaines sont pourvues de miroirs sans tain pour que des voyeurs se régalent à loisir.
En moins d’une minute, nous étions à genoux sur le lit. Mélissa, à ma demande ne s’est pas déshabillée alors que j’étais complètement nu ! Elle a plongé sur ma bite bandée comme un arc et l’a engloutie jusqu’au fond de sa gorge pour l’enduire de salive et me sucer comme elle sait si bien le faire. Mais j’ai freiné ses ardeurs car je ne voulais pas inonder sa bouche ! C’est son cul que je voulais !

Comme je faisais face à la porte, je l’ai vue s’entrouvrir et un black apparaître dans l’entrebâillement. Il avait du nous observer au travers d’une des glaces car d’un geste, il m’a fait comprendre qu’il appréciait notre baise. Je lui ai fait signe de s’approcher en silence. Il a ouvert son pantalon et sorti un vit déjà bandé comme je n’en ai vu que chez les hardeurs de films X. Un diamètre qui approchait celui d’une petite canette de boisson et au moins 25cm de longueur.

Doucement et silencieusement, il s’est approché et a relevé la jupette de Mélissa. Passée la surprise, elle a accepté de se laisser caresser les fesses et la fente. Elle a redoublé d’ardeur dans sa fellation au point que je me suis arraché de sa bouche pour ne pas gicler…
Le black a pris ma place et Mélissa (qui ne passe pas pour avoir une petite bouche) avait bien du mal à le faire entrer.
Elle s’est contentée de sucer le gland et de lécher la hampe qui était de plus en plus dure quand soudain ma copine s’est écriée en lui tendant un préservatif :
• Défonce-moi salaud, tu ne vas pas te contenter de jouer les voyeurs !
Je n’avais rien contre, ce ne serait pas la première fois que cette garce se ferait sauter devant moi ! Le black est revenu derrière elle qui était toujours à genoux. Il l’a fait mettre en levrette pendant qu’il se couvrait. Il a repassé une main dans la fente et d’un seul mouvement il a embroché Mélissa sur son pieu, faisant claquer son pubis contre les fesses de ma copine. Cette dernière a semblé brusquement manquer d’air et en ouvrant grand la bouche elle a dit :
• Waouh quelle bite ! Vas-y défonce moi, je suis ta pute blanche !
Et là, le black avec qui nous n’avons pas échangé plus de dix mots, a entrepris de baiser Mélissa à longs traits rapides, sortant de la chatte à chaque fois pour mieux y rentrer ensuite en puissance. Les seins de ma copine étaient sortis du soutif sous les coups de boutoir que son baiseur lui mettait à chaque fois qu’il arrivait contre ses fesses. Ce claquement était excitant au possible !
Mélissa est partie une première fois, beuglant sa jouissance haut et fort et le black, sans sortir de la chatte accueillante, a retourné Mélissa sur le dos, lui a remonté les jambes en appui sur ses épaules et repris la copulation sans laisser à ma copine le temps de dire « OUF ! ». D’un geste elle m’a fait comprendre qu’elle voulait encore me sucer. Je ne me suis pas fait prier et je m’engageai une fois encore dans cette bouche vorace qui a vu passer plus d’une bite.

Quand Mélissa a joui pour la seconde fois, le black s’est lâché au fond du préservatif dans un râle de plaisir alors que moi, je me vidais dans la bouche de ma copine qui a avalé tout ce que je lui ai servi. Dès qu’elle a eu dégluti tout le sperme, elle s’est écriée :
• Oulla ! Qu’est-ce qu’il ma mis !
C’est vrai que quand il est sorti et a retiré le préservatif, nous n’avons pu que constater l’ampleur de son éjaculat : au moins la valeur d’un apéritif servi dans un bistrot ! Au moment de s’éclipser, il m’a dit en me faisant un clin d’œil :
• Merci les potes ! C’était génial ! Quelle baiseuse ta meuf !

Nous nous sommes essuyés avec les serviettes en papier à notre disposition puis nous nous sommes séparés.
Je suis passé à la caisse pour régler nos achats et, au lieu du ciné prévu, nous sommes rentrés dans mon 6ème étage sous les toits où nous avons baisé encore une fois : A mon tour de gicler dans la chatte de Mélissa et là, pas de capote, direct au fond ! Le weekend promettait d’être chaud !

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