La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°965)

Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°964) -

Je ressentais puissamment mon appartenance à Monsieur le Marquis d’Evans et un bien-être indescriptible me saisissait, me faisant Lui rendre grâce silencieusement pour la chance et l’honneur qu’Il m’avait fait de me prendre sous Son joug… Le soir arriva rapidement, ramenant Wangdak et Sangmo dans la position de la compagne, avec une magnifique robe chinoise en satin rouge. Dès qu’ils passèrent le pas de la porte, elle en défit la fermeture éclair et la laissa tomber au sol, avant de se mettre à genoux, droite, les mains dans le dos, tête baissée, près de la porte, attendant. Wangdak commença par saluer le Maître et demander des nouvelles de sa journée. Il lui répondit que cela s’était bien passé dans l’ensemble, mais que plus tard, Il aurait à lui parler, quand ils seraient plus tranquilles et seuls. Wangdak acquiesça d’un mouvement de tête. Puis il se dirigea vers la commode se trouvant dans l’entrée et en ouvrit le premier tiroir, d’où il sortit la laisse de Sangmo. Il la fit tomber par terre près de la soumise et claqua des doigts. La chienne se prosterna alors, ramassa sa laisse dans sa gueule, et se mit en position de chien faisant le beau, les mains placées de chaque côté à hauteur de son visage. Le Dominant saisit sa laisse, l’attacha à l’anneau de son collier et lui caressa le sommet de la tête. Alors Sangmo se laissa retomber sur ses quatre pattes, et vint se placer à ses côtés…

- Cher Marquis, je vais ramener ma chienne dans sa niche, la journée a été longue et fatigante. Que diriez-Vous d’une petite liqueur en attendant le dîner, vous pourriez me raconter ce qu’il s’est passé aujourd’hui ? Vous pouvez amener Votre chienne dans les quartiers de mes toutous si Vous le voulez.
- J’accepte avec plaisir, mais c’est la journée récompense pour ma soumise, alors je vais la ramener dans ma chambre, je vous rejoins ensuite.



Et les deux hommes partirent chacun de leur côté avec leur bestiole qui les suivaient. Le Maître m’attacha comme à Son habitude au pied du lit, et après une caresse sur la tête, un baiser langoureux et une claque sur le cul, Il rejoignit Wangdak au salon. Alors qu’ils s’installaient, on sonna à la porte, et le majordome prévint que plusieurs personnes étaient là avec du matériel bdsm, des soumis et soumises et il voulait savoir ce qu’il devait faire. Pour le Dominant tibétain, il y avait juste un soumis jardinier de son état. Tout le reste était pour Monsieur le Marquis. Il y avait quatre soumises, deux mâles et deux femelles, dont la soumise asiatique qu’Il avait testée toute une journée. Et divers instruments, plus antiques et variés les uns que les autres et tous de bonne facture.

- J’aimerai faire partir tout ceci en avion, mais vu l’heure, je ne pourrai rien faire ce soir. Me laisseriez-vous monopoliser une de vos pièces pour stocker mes achats, et vous demander de bien vouloir veiller à nourrir correctement mes nouveaux chiens et chiennes en attendant qu’ils ne s’envolent vers la France ?
- Bien sûr, cher ami. Pour les soumis, j’ai les anciennes écuries où vous pourrez les enchaîner pour la nuit, rassurez-vous, c’est isolé, ils n’auront pas froid ! Et pour le matériel, il y a le hangar où je stocke les miens quand je veux renouveler mes donjons.

Et ils partirent tous les deux pour tout installer et ranger. Le Maître enchaîna les quatre soumis, sans leur adresser le moindre mot. Il les avait prévenus la veille qu’ils partiraient pour la France dès que ce serait possible et qu’en attendant, Il n’aurait pas le temps de s’occuper d’eux, donc ils ne furent pas étonnés… Les deux Dominants purent enfin s’installer tranquillement.

- Alors cher ami, de quoi vouliez-vous m’entretenir ?
- Eh bien, j’ai eu un souci avec votre cuisinière ce matin. Elle a été insolente, presque insultante envers moi, et irrespectueuse vis- à-vis de vous en manquant de respect à un de vos invités.
Je lui ai donné cent coups de fouet en fin de matinée. Et je lui ai dit qu’elle serait certainement sanctionnée par vous également.
- Humm … ce n’est pas la première fois que j’ai des problèmes avec elle, quand je la prête à un autre Dominant. Je ne sais pas trop comment y remédier, je l’avoue… Voudriez-Vous bien me donner des conseils ? Vous avez l’habitude de dresser toute sorte de soumis, y compris les plus rebelles. Je Vous connais bien, et Votre réputation est internationale !

Monsieur Le Marquis laissa planait un silence, réfléchissant. Il releva la tête et fixa Wangdak.

- Que diriez-Vous si je Vous proposais de la prendre en mon Château pour la dresser ?
- Eh bien, je ne sais trop quoi dire… Il est certain qu’elle en reviendrait, je n’en doute pas, métamorphosée, connaissant votre grande expérience et savoir-faire… Mais Vous savez que je n’ai pas de personnel en trop, et je ne veux pas que Sangmo se retrouve derrière les fourneaux en permanence, je préfère la garder en polyvalence…
- Je Vous propose un échange…
- Vous m’échangeriez Votre chienne MDE ?
- Non, tout de même pas cher ami. Ma chienne n’est absolument pas cuisinière de plus est ! En revanche, une des femelles que j’ai acheté au marché est très prometteuse niveau soumission, et est polyvalente également.
- Hum, oui pourquoi pas… Cela ne ferait pas de mal à Zao d’être remise à sa place… Vous êtes sûr que cela ne Vous dérangera pas ?
- Non puisque je vous le propose ! Si je peux faire partir tous mes achats demain par avion, vous êtes d’accord pour qu’elle parte en même temps ?
- Oui s’il le faut ! Je suis d’accord car plus tôt elle se retrouvera sous Vos ordres, plus vite elle se remettra à sa place.
- Oui enfin, au début, elle sera surtout entre les mains de mon Majordome Walter et de ma cuisinière Marie. Et je peux vous dire qu’ils ne feront pas dans la dentelle !
- Dans notre monde de la Domination/soumission, la célébrité de vos deux acolytes Walter et Marie a aussi traversé les frontières, en même temps que vous ! Ce sera donc très bien ainsi !.
.. Je ne le lui dirai qu’au moment de partir. De toute manière, chez Vous, elle n’aura besoin d’aucune affaire, aucun vêtement. Je vais m’arranger pour que ces papiers soient en règle pour partir.

Ceci étant conclu, ils finirent de déguster leur verre en silence, chacun prit dans ses pensées, jusqu’au diner. Zao semblait sereine en faisant son service. Elle avait un aplomb impressionnant. Et de son côté, Wangdak agissait comme s’il n’avait rien à lui reprocher. Elle pensa que finalement Monsieur le Marquis n’avait rien dit à propos de sa mauvaise conduite matinale. Mais elle n’en éprouva pas la moindre reconnaissance, et sous ses airs de soumission, laissait apparaitre un sentiment hautain envers Lui, comme si elle avait réussi à défier le Noble… Pendant le dîner, Monsieur le Marquis informa Wangdak, qu’avec toutes les formalités qu’Il aurait à remplir le lendemain pour que tout puisse partir dès que possible pour la France, Il n’aurait pas besoin de moi et donc s’il le voulait, il pourrait se servir de la petite chienne que j’étais, comme il le voulait, dès Son départ.

- Je vais être assez occupée demain après-midi. M’autorisez-Vous à la prêter à une connaissance avec qui j’aimerai entamer une relation d’affaires ?
- Mais bien sûr ! Profitez-en ! La seule chose que je demande c’est qu’elle ne subisse rien qui ne la marque trop longtemps.
- Je Vous promets qu’il ne lui sera rien fait de trop méchant ! Et je Vous remercie du prêt que Vous voulez bien m’en faire.

Le dîner se termina et Monsieur le Marquis retourna dans Sa chambre. Il m'informa que le lendemain je retournais sous les ordres de son ami Dominant tibétain et que la journée serait un peu spéciale, mais que de toutes manières, je n’avais pas mon mot à dire et je n’avais qu’à obéir, ce qui pour moi était une évidence.

- En attendant, viens-là ma chienne, à genoux et ouvre la bouche !

Je m’exécutais avec bonheur, sentant mes nombreuses heures de récompenses à rester à Ses pieds tiraient à leur fin.
Arrivée devant Lui, Il me saisit et me maintint la tête de Ses deux mains, et m’enfourna dans la bouche Sa queue bien gonflée. Ce n’était pas moi qui Lui faisait une fellation, c’était Lui qui me baisait la bouche. Je ne servais qu’à Son plaisir, je n’étais que le réceptacle humide, chaud et accueillant pour Sa noble verge qui ne tarda pas éjaculer et ma cavité buccale reçut Son nectar chaud et épais au fond de ma gorge. Je n’avais servi que d’objet, mais c’était mon rôle et je l’assumais pleinement, et avec un immense bonheur de servir de vide-couilles à tout moment. Une fois que le Maître eut soulagé Son érection, Il me caressa la tête tout en douceur :

-Nettoie Ma verge, maintenant et ne perd pas une seule goutte de ma semence …

C’est avec un bonheur immense que je passais ma langue sur et tout autour du gland violacé de la noble queue et sur toute la longueur de la hampe. Je m’appliquais du mieux possible afin de rendre le sublime sexe du Maître aussi propre que possible. J’avalais tous les résidus de sperme mélangé à ma salive buccale. Une fois le travail effectué et alors que pendant tout ce temps-là, Monsieur le Marquis ne cessa pas de me caresser le cuir chevelu dans un silence remarqué mais avec une tendresse fortement appréciée, il rompit ce silence :

- Ta récompense prend fin, mais je veux t’accorder une dernière chose. Je suis très fier de toi. Je n’ai que du bien à dire de toi en tant que secrétaire personnelle, et autant à la merveilleuse petite chienne que tu es devenue sous Mon joug. Cette nuit, tu ne dormiras pas attachée par terre. Cette nuit, tu as le droit de dormir au pied du lit, mais dessus, sur la couverture.

À ces mots, de la position à genoux où je me trouvais, je me laissais tomber au sol et me prosternais. Il tendit son pied vers mes mains. Avec émotion, et un profond respect, je tendis mes doigts vers Ses orteils et les posaient dessus. Et quand il s’exclama fortement :

- Vas-y chienne, tu y es autorisée !

Je m’aplatissais alors complètement au sol, je rampais, jusqu’à pouvoir effleurer de mes lèvres, Son pied. Ensuite, Il le retira rapidement et s’allongea sur le lit après avoir tapoté l’endroit où Il m’autorisait à dormir. J’y grimpais donc, renifla et fit un tour sur moi-même et me coucha en chien de fusil, comme l’aurait fait l’animal…

(A suivre …)

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