Comment Regarder Une Vidéo Porno En Couple

Ce jour là, Violette avait rendez-vous chez son dentiste et Hugo en avait profité pour visionner youporn tranquillement chez lui. L'embêtant, c'est que le dentiste avait eu une urgence et reporté le rendez-vous de Violette alors qu'elle était dans la salle d'attente, si bien qu'elle était rentrée plus tôt que prévu. Hugo, absorbé par la contemplation des ébats d'un couple, le pantalon déboutonné, n'avait pas entendu Violette rentrer. Et quand celle-ci surgit dans le bureau, ce fut pour constater ce qu'Hugo avait essayé de cacher pendant plusieurs mois.
- Mais... qu'est-ce que tu fais ? Qu'est ce que c'est que ce truc que tu regardes ?
Hugo tenta maladroitement de changer de site mais le mal était fait. Ce fut le clash.
- Comment peux-tu supporter ces images dégueulasses ?
- Ben, euh, ce n'est pas dégueulasse, c'est du sexe, c'est tout.
- Du porno, oui ! Et tu te masturbes en plus ! Je ne te satisfais plus, c'est ça ?
- Mais non, ça n'a rien à voir ! Au contraire, ça m'excite pour mieux te satisfaire. D'ailleurs, es-tu insatisfaite ?
- Ce n'est pas la question.
- Au contraire, c'est le coeur du sujet. Je ne te trompe pas, je m'instruis.
- Ah elle est bonne celle-là ! Tu t'instruis ! Tu es un vrai cochon, oui !
- Eh ben oui et alors ? Tu n'es pas un peu cochonne toi aussi parfois ?
Cette fois, Violette ne réagit pas. Elle pouvait difficilement le nier : elle était portée sur la chose. A 40 ans, cette brune plantureuse jouissait pleinement de son corps dans l'amour et, il fallait l'admettre, son mari n'était pas maladroit pour le faire vibrer. Elle comprenait mieux maintenant certaines initiatives qu'il avait prises récemment et qui ne lui avait pas déplu, bien au contraire. Hugo sentit qu'il prenait l'avantage et poursuivit :
- Au lieu de t'offusquer, tu devrais regarder. Avec moi.
- Je ne suis pas une voyeuse.
- Ce n'est pas du voyeurisme puisque les couples savent pertinemment qu'ils sont filmés.

Et il y a de tout : des beaux, des moches, des jeunes, des vieux, des vrais couples, des pros etc. On choisit qui on veut et on regarde, c'est tout.
Violette s'était assise dans le canapé derrière l'ordinateur. Sa position de principe commençait à fléchir mais il fallait encore insister un peu.
- C'est un truc de mecs, le porno, pas pour les femmes.
- Je te l'accorde. N'empêche que certaines femmes en situation y prennent sacrément plaisir, c'est visible. Tu devrais au moins regarder pour te faire une idée.
Après quelques minutes de silence, Violette lâcha :
- Bon, d'accord, mais au moins, choisis quelque chose d'érotique.
- Ok, j'ai quelque chose d'intéressant, au moins pour moi. Détends-toi.

Violette se cala dans le canapé, jambes repliées, sa robe relevée sur ses cuisses nues. Hugo cala une vidéo et s'assit à côté d'elle après l'avoir lancée. L'image montra d'abord une espèce de monospace arrivant dans une clairière. A son bord, une femme d'une trentaine d'années, ni belle ni moche, vêtue d'une robe légère, et un homme de son âge, mulâtre, athlétique et en marcel de couleur. Le couple sortit et ouvrit le coffre en hayon. Il s'embrassa avec passion, s'explorant mutuellement de leurs mains. Puis la femme s'accroupit, déboutonna le jean de l'homme et un sexe plantureux surgit, aussitôt englouti par la bouche de la femme.
- Il est membré, le mec, commenta Hugo.
Violette ne releva pas. Son mari sentit pourtant que sa respiration s'était légèrement accélérée. Sur la vidéo, l'homme installa la femme dans le hayon et retroussa sa robe. Elle ne portait pas de slip. Il se pencha en avant et fourra son museau entre ses cuisses pour une longue séance de cunni. Le visage de la femme révélait un plaisir intense. Tout son corps frémissait sous l'action de la langue, parfois à la limite de la convulsion. Alternativement, elle rejetait la tête en arrière en ouvrant la bouche (le son était très faible mais on imaginait ses soupirs) puis la basculait en avant pour observer le travail lingual de son amant.
Puis celui-ci se releva et se mit nu, révélant une spectaculaire érection :
- Dis donc, elle va déguster la nana, souffla Hugo.
Violette ne commentait toujours pas. Elle semblait néanmoins fascinée par la vidéo et avait déplié ses jambes pour la regarder bien en face. La femme se faisait déshabiller par le mulâtre et révélait un corps à la fois mince et pulpeux avec une impressionnante paire de seins naturels, volumineux et légèrement tombants, deux beaux fruits juteux à souhait.
- Putain ces nibards ! s'exclama Hugo.
- Tu les préfères aux miens ? riposta Violette, sortant de son mutisme.
- Et toi, tu ne préfères pas la bite du mec à la mienne ?
Cette fois, Violette sourit :
- Il faut reconnaitre que c'est un beau couple, bien assorti. Tu crois qu'ils sont ensemble ?
- Sais pas. En tout cas, ce ne sont pas des pros. La fille n'a pas les seins siliconés et elle est trop naturelle. Pour moi, ils sont amants et ont trouvé quelqu'un pour satisfaire un fantasme en les filmant.

Sur la vidéo, les choses évoluaient nettement. L'homme avait couché la femme dans le hayon qui l'attendait, cuisses largement écartées, pieds posés sur les montants du coffre. Sa chatte béait de désir. L'homme prenait son temps. La caméra se mit en gros plan sur les fesses et les couilles et quand la pénétration se produisit, lente mais rectiligne, Violette poussa un profond soupir et Hugo nota un léger mouvement de son bassin. Il hasarda une main sur sa cuisse sans rencontrer de résistance et rencontra le slip. Mouillé. Une investigation supplémentaire le renseigna : sa chatte était trempée. Violette décolla les fesses du canapé pour qu'il la débarrasse de son slip. Une fois celui-ci expulsé, il put à loisir glisser un doigt fureteur dans une fente qui, à l'évidence, ne demandait que ça.
- On dirait que cette vidéo te fait de l'effet, murmura-t-il.
- Ben tiens ! Je ne suis pas de bois. Et toi non plus d'ailleurs, à ce que je constate.

Elle avait posé un doigt sur le haut de son pantalon avec précision, en tombant pile sur le gland qui tendait la toile. Hugo s'en débarrassa à son tour, laissant son pénis se dresser en toute liberté, facilitant le mouvement branlant de la main de Violette. Tous deux se masturbaient mutuellement en regardant les ébats du couple.

Celui-ci forniquait maintenant avec ardeur. Chahuté sur ses bases, le monospace vibrait aux coups de boutoir du mulâtre. La caméra s'attardait sur le fessier en mouvement de l'homme et sur son pénis qui fouillait inlassablement le vagin de la femme, dont le visage chamboulé marquait l'intensité de son plaisir :
- Tu crois qu'elle simule ? demanda Hugo.
- Non. Elle prend un pied d'enfer. Et ce n'est pas possible autrement avec un baiseur pareil.
- Tu aimerais être à sa place ?
- Franchement ? Oui. Et toi, tu n'aimerais pas baiser la femme ?
- Franchement ? Oui. De voir ses gros nichons remuer comme ça, ça me rend dingue.
- Moi, c'est de voir remuer son cul et ses couilles. Je ne vois jamais les tiennes quand on baise. C'est fascinant. Et terriblement excitant.
- Je sens ça en effet. Tu es chaude comme la braise.
- Et toi dur comme du bois. Tu vas bien me baiser.
- Aussi bien que le mec ?
- J'espère. Regarde comme il remue bien son cul.
- Tu me suces ?
- Avec plaisir.
Et Violette se pencha vers son mari pour lui administrer une fellation vorace tout en gardant un oeil sur l'écran de l'ordinateur. Le couple s'était provisoirement désuni. La femme se positionnait à quatre pattes au ras du pare-choc et l'homme la prenait en levrette, les mains rivées sur ses hanches. Chacun de ses coups de bite faisait trembler les seins lourds de sa partenaire, qui se retournait pour le regarder opérer et semblait lui adresser quelques mots, sans doute très crus. Alors, Violette interrompit sa succion et se mit entièrement nue.
- J'en peux plus, j'ai trop envie de baiser.

Puis elle s'empala lentement en soupirant, face à l'écran. Hugo avait vue sur son plantureux fessier qu'elle se fit à faire danser sur sa queue en gémissant. Sur l'écran, qu'il apercevait en se penchant de côté, l'homme s'était mis debout et possédait la femme en appui sur la voiture en lui relevant une jambe. Une position acrobatique qu'il semblait maintenir sans difficulté. Violette n'en perdait pas une miette. Finalement, l'homme finit par jouir en arrosant de sperme le visage de sa maitresse et l'image disparut. Au comble de l'excitation, Violette s'allongea sur le canapé, emprisonna Hugo entre ses cuisses et l'admonesta :
- Allez, vas-y, mets la moi profond, encore, encore...
Hugo la pilonna jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme et lâcha tout...

*********
L'initiative de Hugo atteignit son effet : la vie sexuelle du couple prit une nouvelle tournure. Violette avait révisé ses préjugés et considérait désormais le porno comme un stimulant érotique, à condition toutefois de bien choisir les vidéos. Avant de passer à l'action, le couple s'asseyait dans son canapé face à l'ordinateur, le plus souvent nu, et commentait les ébats d'autres couples sensés leur ressembler, autant que faire se pouvait. Priorité était donnée aux amateurs d'entre deux âges, non tatoués et non piercés, pas trop moches mais pas trop beaux non plus, pas ment français, pas ment blancs. Mais surtout nus, entièrement nus. Pas de bottes, d'escarpins et de chaussettes, ou de soutif conservé. Violette avouait une certaine prédilection pour les noirs athlétiques et bien membrés copulant avec une blanche, considérant très érotique ce mélange de peaux. Hugo aimait particulièrement les femelles plantureuses sans pour autant être obèses. Mais d'abord, c'était l'enthousiasme des filmés qui primait. Rien n'était pire à leurs yeux que le sexe triste, convenu et obligatoire. Hugo passait de longues heures à chercher les vidéos réunissant tous les critères d'acception, avec un déchet considérable. Et quand ils avaient trouvé de quoi les satisfaire, ils n'hésitaient pas à la regarder plusieurs fois. C'est ainsi qu'ils avaient baisé souvent en compagnie d'un couple d'une trentaine d'années, français et bavard, ayant voulu tenter l'expérience du porno en toute candeur devant une caméra tenue par un tiers. Tout en baisant, ils les observaient et le moment où l'homme prenait son épouse sur une table déclenchait à la fois une frénésie qui débouchait en général sur l'orgasme commun.
- C'est comme si on baisait à quatre, constata Violette.
- Oui mais virtuellement. Cela te dirait de faire ça en réel ?
- Pas tout de suite. Laissons les choses évoluer.

L'idée avait cheminé dans le crâne de Hugo, si bien qu'il s'attacha à trouver dans les vidéos un quatuor correspondant à leur goût. Il finit par le trouver en la personne de deux couples américains d'une cinquantaine d'années à la fois ordinaires et cochons. D'un côté, un brun sec et sa femme, une blonde au corps parfait, incroyablement bavarde dans le sexe. De l'autre, une brune potelée et son mari ventru et poilu. Tous entièrement nus et sans tatouages. Visiblement amis, ils se retrouvaient dans le même lit XXL sans le moindre tabou devant une caméra fixe appartenant au couple du brun et de la blonde, hôte des ébats. Il y avait dans cette partie de baise quelque chose ressemblant à un jeu de société, comme s'ils jouaient au monopoly. Ils y prenaient visiblement beaucoup de plaisir, riaient souvent, tenaient des propos inintelligibles aux oreilles de Hugo et Violette, ce qu'ils regrettaient.
Dans la première vidéo postée, la brune potelée s'allongeait en travers du lit, laissant sa tête pendre sur le côté et le brun venait se positionner debout au-dessus d'elle pour se faire lécher les couilles et le sexe. Pendant ce temps, le mari de la brune, à genoux sur le lit, la léchait puis la pénétrait sur un rythme lent, presque pépère. Après avoir pris quelques photos, la blonde venait à son tour sur le lit remplacer la brune et son mari la prenait en levrette au bord du lit pendant qu'elle suçait l'homme ventru, pris en photo par son épouse. Puis les deux femmes s'allongeaient côte à côte sur le lit et se faisaient pénétrer par leur mari jusqu'à un nouvel échange dans les positions les plus variées. A l'évidence, le plaisir des deux femmes était allé crescendo et se mettaient à vocaliser d'une voix rauque sans pour autant que les deux hommes se départissent de leur rythme de baise pépère. A ce stade, Hugo et Violette copulaient avec ardeur sur le sofa tout en jetant un oeil sur l'écran et en commentant la situation vécue :
- Ils baisent, hein, les Américains. Et toi, tu baises ? disait Hugo.
- Oui, oui, je baise ! répondait Violette.
- Tu as vu la brune, comme elle est cochonne ? Elle suce et se fait mettre en même temps. Tu aimerais ça ?
- Oui, oui !
- Tu aimerais qu'on soit avec eux ?
- Oui oui !
- Et tu aimerais te faire mettre devant moi ?
- Oui, oui, j'aimerais ça.
- Tu veux qu'on cherche un couple ?
- Oui oh oui, s'il te plait, continue, ne t'arrête pas, je vais jouir...
Et Hugo la pilonnait jusqu'à ce qu'elle prenne son pied et lui avec.

Une fois apaisés, ils revenaient sur la scène vécue et sur les propos échangés dans l'extase.
- Tu veux vraiment qu'on organise un quatuor ? demandait Hugo.
- Euh, je ne sais pas, ça dépend avec qui.
Ils évoquaient alors les candidats possibles dans leurs relations. Certains déclenchaient leurs rires :
- Tu vois les Martin à poil avec nous sur un lit ? J'aurais du mal à bander devant Michèle.
- Et moi à mouiller devant Richard.
- Et les Blanchard ? Qu'en penses-tu ? Ils font du naturisme comme nous, ils sont peut-être libertins dans l'âme. J'avoue qu'il ne me déplairait pas de baiser Coralie, je l'ai vue à poil, c'est un beau châssis, le genre athlétique que j'aime bien même si ce n'est pas un canon.
- Quel macho ! Evidemment, moi, avec mes bourrelets, je n'ai pas le genre athlétique...
- Mais tu es mieux que ça, chérie : pulpeuse, juteuse, à croquer et à savourer sans modération...
- Merci mais tu sais, Cédric ne me déplairait pas non plus. Coralie m'a dit qu'il baise bien et qu'il a une belle bite.
- On pourrait peut-être tâter le terrain. J'ai une petite idée.

Hugo proposa à Violette de se filmer en faisant l'amour, en plan fixe, et de montrer comme par inadvertance les images au couple Blanchard lors d'une invitation à dîner. D'abord réticente à dévoiler son intimité, Violette finit par se laisser convaincre après avoir vu une nouvelle vidéo du couple américain, cette fois avec un barbu et son épouse blonde particulièrement cochons et excitants. Dans le feu de l'action, en chevauchant Hugo face à l'écran et sous les demandes répétées de son mari, elle finit par accepter son idée tout en connaissant un violent orgasme.
Les Blanchard acceptèrent sans barguigner l'invitation à dîner. Mine de rien, Hugo lança la conversation sur le libertinage en prenant appui sur l'ouverture dans la région d'un camping réservé aux couples libertins. Le débat s'engagea sur la possibilité d'y passer quelques jours de vacances. Coralie et Cédric y voyaient "une expérience intéressante", Hugo était d'accord "à condition d'avoir un certain confort" et Violette ne disait rien. Elle ne pouvait s'empêcher de penser à ce que leurs invités allaient découvrir sur l'écran de télévision.
Après le dîner, Hugo prétexta de montrer un DVD de leurs vacances en Corse. Il engagea le disque dans le lecteur et, ô surprise, les premières images révélèrent le couple hôte sur le lit dans le plus simple appareil en pleins préliminaires, l'un et l'autre se masturbant mutuellement.
- Merde ! Je me suis trompé de disque. Excusez-moi, je vais le retirer.
- Mais ma parole, vous vous filmez en train de baiser ! s'exclama Coralie, visiblement amusée.
Hugo joua la confusion, laissant le DVD tourner au moment où il entamait avec Violette un 69.
- Oui, euh, ça nous arrive parfois, on se fait de petits films coquins...
Cédric, fasciné, regardait la croupe majestueuse de Violette sur le nez de Hugo dans la vidéo.
- Vous savez quoi ? Nous aussi, mais nous on fait venir quelqu'un, c'est encore plus excitant et surtout mieux filmé, gloussa Coralie.
- Ah bon ? Et il ne fait que... filmer ? interrogea Violette, un peu soulagée par l'attitude très bienveillante du couple invité.
- Pas toujours. Mais dites-donc, vous êtes chauds, là, sur la vidéo, constata Coralie.
De fait, Violette s'était placée face à la caméra, à quatre pattes, et se faisait posséder en levrette par Hugo, qui cognait dur, arrachant des cris de plaisir à son épouse.
- Bon, je vais arrêter maintenant, vous en avez assez vu, lâcha Hugo.
- Non non, laisse, on veut vous voir baiser, hein chéri ? lança Coralie.
- Oui oui, confirma ce dernier, si ça ne vous gêne pas bien sûr.
- Bon, si vous voulez, répondit hypocritement Hugo.

Et c'est ainsi que les deux couples assistèrent aux ébats érotiques d'un des deux comme s'ils regardaient une vidéo ordinaire. Silencieusement mais intérieurement très chahutés. Les balancements des seins lourds de Violette sous les coups de boutoir de Hugo, le visage concentré de celui-ci et les onomatopées de son épouse n'étaient pas de nature à laisser insensible une assistance dans la fleur de l'âge portée sur le sexe. Puis les deux amoureux se placèrent face à la caméra dans une position différente. Hugo présentait à l'objectif son cul et ses couilles en besognant Violette dont les pieds encadraient la tête de son mari. Ainsi pliée en portefeuille, elle beuglait son plaisir tandis qu'il imprimait à ses reins une savante rotation. Coralie ne put s'empêcher de mettre sa main sous sa robe pour se caresser le bouton sous sa culotte trempée. Cédric se retint de sortir son sexe pour le soulager de la pression. La tension était palpable sur le canapé.
Puis le couple amoureux modifia une nouvelle fois sa position. Cette fois, Hugo était allongé et Violette le chevauchait face à la caméra, les seins en bataille, le visage contracté par le plaisir. Elle poussa le vice jusqu'à se retourner et présenter son cul plantureux dansant une véritable samba sur la bite. Coralie ne put retenir un petit gémissement et il s'en fallut de peu alors qu'elle arrache le pantalon de Cédric pour s'empaler sur lui, persuadée qu'elle était qu'il bandait comme un Turc. Elle avait raison. Mais chacun resta sur son quant à soi (relatif) jusqu'au bouquet final où, toujours face à l'objectif mais cette fois non de cul mais de visage, Hugo assaisonna de coups de bite Violette écartelée sous lui, les jambes en V qu'elle maintenait en se tenant les mollets. Un orgasme bruyant mis fin à la "représentation" et Hugo, la queue enfin en berne, se leva pour éteindre la go pro. Il fit de même dans son salon avec son lecteur DVD et la tension se relâcha sur le canapé. Coralie fut la première à rompre le silence :
- Jolie partie de baise, il faut le reconnaitre. Au moins, ce n'est pas du sexe conjugal. On voit vraiment que vous baisez même si c'est assez classique.
- Comment ça, classique ? interrogea Hugo.
- Ce n'est pas une critique mais enfin, tout le monde fait un peu comme vous, sauf la vidéo bien sûr.
- Ah, quand même. Mais qu'est-ce que tu aurais voulu ? Du kamasutra ?
- Ce n'est pas ce que je voulais dire. Mais j'ai vu des couples plus inventifs. Nous par exemple.
- Ah bon ? Et vous faites quoi ?
- Des tas de petits jeux, dans des lieux les plus divers. Et pas ment à deux.
- Tu peux nous en dire plus ? interrogea Violette, dont le regard s'était allumé.
Cédric relaya Coralie:
- On participe à des soirées privées entre couples libertins. Cela permet des tas de combinaisons particulièrement jouissives pour les femmes qui sont au centre du jeu. Mais cela ne nous empêche pas de prendre notre pied en duo.
- Qu'est-ce que ça veut dire, "particulièrement jouissives pour les femmes" ? demanda Violette à Coralie.
- Eh bien, quand tu te fais prendre par un mec et que tu en suces un autre en même temps, par exemple. Ou bien quand tu te fais une double.
- Une double ?
- Oui, une double pénétration, anale vaginale par exemple. Une bite dans ta chatte, une autre dans ton cul...
- Ouille, ça doit faire mal !
- Penses-tu ! Au contraire, c'est très jouissif si on aime la sodomie, ce qui est mon cas. Et toi ?
- Elle aime ça, intervint Hugo promptement.
- Alors, on fait quoi ? demanda soudain Cédric. On continue de s'exciter par le verbe ou on passe à l'action ? Moi, je suis prêt et même archi prêt, dit-il en désignant la bosse sur son pantalon.
- Moi aussi, confirma Hugo.
- Et toi Violette ? demanda Coralie.
Tous se retournèrent vers l'hôtesse, qui détenait la clé. Après quelques secondes d'hésitation feinte, elle lâcha :
- D'accord. On se met tout nu et on va dans la chambre.

Au début, les deux couples se montrèrent un peu empruntés. Coralie débloqua la situation en prenant résolument Hugo par la taille et en l'entrainant vers un 69. Cédric et Violette les regardèrent entrer en action, Coralie suçant la bite de Hugo avec appétit alors que le visage de son partenaire disparaissait sous sa croupe.
- On fait pareil ? demanda Cédric.
- Oui mais toi sur moi, répliqua Violette.
Et c'est ainsi que les deux couples s'allongèrent en parallèle pour satisfaire à leur désir de succion réciproque. Mais cela ne dura pas. La pulpeuse Violette inspirait tellement Cédric qu'il la mit sur le dos, lui ouvrit les jambes et la pénétra sans coup férir en ondulant des reins. Violette fit "oh ! et lui enserra le dos de ses cuisses dodues. Cédric comprit d'emblée qu'il n'avait pas affaire à une ingrate et décida de prendre son temps pour savourer le moment. Entendant les pâmoisons de son épouse, Hugo s'était interrompu dans sa succion et s'était dégagé de l'entre-cuisses de Coralie pour observer le couple voisin, et singulièrement Violette. Pour la première fois, il prenait conscience qu'elle était baisée par un autre que lui, et bien baisée à l'entendre. Il regardait un peu interdit le sexe de Cédric entrer et sortir à cadence rapide d'une vulve dont il avait jusqu'à présent l'exclusivité. Quand ils changèrent de position, Violette chevauchant Cédric à l'envers, et se laissant tomber sèchement sur le pénis de son partenaire en manifestant bruyamment son plaisir, Hugo eut l'impression de regarder un film porno, sauf que c'était sa femme qui en était la protagoniste avec un copain à lui. Et ce qui le frappait particulièrement, c'est que Violette était radieuse. Elle vivait pleinement cette situation inédite, se déchainant sur cette nouvelle queue qui la fouillait si bien, sans se préoccuper de son mari. Coralie prit conscience de la situation et intima l'ordre à Hugo de la pénétrer à son tour. Il s'exécuta tout en continuant de regarder sa femme baiser, jusqu'au moment où Coralie se mit également à le chevaucher. Les deux femmes se faisaient face maintenant et Coralie lâcha prise, ses cris rejoignant ceux de Violette.
- Il te baise bien, hein, mon homme, souffla Coralie.
- Oh oui. Et toi aussi j'espère...
- Ah oui, il est dur, je le sens bien en moi, mmm c'est bon.
Les deux hommes comprirent qu'ils ne devaient pas être en reste :
- Bon dieu qu'elle est chaude ta femme, lança Cédric à Hugo.
- Fais la jouir, mon salaud, elle le mérite.
Violette, la face rouge et réjouie, s'était positionnée en levrette mais Cédric avait une autre idée : l'honorer en double pénétration, comme dans les pornos.
- Je me mets dessous, elle vient sur moi et tu la prends par le cul, dit-il à Hugo.
Un temps réticente, Violette finit par accepter la proposition "à condition que Coralie y ait droit aussi, donc retenez-vous".
Ce fut fait, non sans difficulté car il était difficile de résister longtemps à l'enthousiasme de Violette. Mais Coralie eut droit aussi à sa "double", en se faisant sodomiser par son mari. C'est d'ailleurs lui qui jouit le premier, bientôt rejoint par Hugo, subjugué par le balancement des seins de Coralie. Et les deux couples l'affalèrent sur le lit, complètement rincés.
Ce fut le début d'une longue série de rendez-vous coquins, parfois pimentés par l'arrivée d'un autre couple. Violette et Hugo avaient définitivement revu leurs petites habitudes érotiques, à tel point qu'ils avaient du mal à "faire l'amour à l'ancienne". Jusqu'au jour où Hugo s'enticha un peu trop d'une Martiniquaise au cul de braise, venue participer à leurs ébats avec son compagnon. Violette sentit le danger et décida d'en rester là avec les partouzeries dont elle avait d'ailleurs épuisé la saveur. Bon gré mal gré, Hugo s'y résigna. Il faut dire qu'il avait parfois du mal à "assurer" car sa vitalité, à quarante ans passés, n'était plus la même qu'à vingt ou trente ans. Il regretta le cul de la Martiniquaise, mais souhaita d'abord privilégier son couple. Ce dont on ne saurait lui faire reproche... Mais Hugo et Violette conservèrent leurs petites habitudes de vidéastes avant l'amour. Leur petit péché mignon encore aujourd'hui.

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