Nous Quatre

Chapitre 1
Amis de longue date

Anne et Jean-Pierre sont nos amis depuis 15 ans. Au réveillon, l’alcool ne faisant pas bon ménage avec la conduite, nous leur avons proposé de dormir chez nous. Tandis que Jean-Pierre et ma femme bavardaient au salon, Anne en profitait pour prendre une douche avant de se coucher pendant que je préparais la chambre d’amis voisine. A un moment Anne m’appelle :
—Excuse moi Jean, je n’ai pas de serviette
Je lui en rapporte une mais, je ne sais pas pourquoi (menteur), au lieu de la déposer sur le lavabo voisin je vais à la cabine de douche dont j’ouvre la porte. J’avais une idée des courbes d’Anne, la connaissant depuis longtemps, mais je pensais que la tenue de ses seins était due au soutien-gorge… et bien non ! Ils se dressent fièrement malgré ses 40 ans. Mais l’autre étonnement c’est quand mon regard glissant entre ses cuisses découvre un minou parfaitement glabre.
Je m’attendais à me faire incendier mais, est-ce dû à l’alcool, Anne me souris et me dit :
—Ça y est ? tu as vu ce que tu voulais ? Il te reste à m’essuyer maintenant.
Croyez-le ou non je n’ai pas hésité ! Après lui avoir essuyé le dos, mes mains l’on contournée pour lui sécher la poitrine, mais bien vite la serviette m’a échappée et mes mains se sont emparées de ses superbes seins, si tendres, si fermes, dont les tétons agaçaient ma paume. Mais il ne fallait pas, par discrétion, nous attarder trop longtemps alors mes mains sont descendues prendre ses fesses… superbes fesses cambrées et bien fendues, alors que mes yeux se rivaient sur sa chatte dont les grandes lèvres à présent entrouvertes laissaient entrevoir les plus petites, brunes, fines et frémissantes. Ma bouche se posa dessus mais Anne me repoussa :
—Non Jean ils vont se demander ce qui se passe, mais une autre fois promis !
Du coup l’air détaché je retourne au salon et je vois…. Ma femme qui embrasse Jean Pierre à pleine bouche tout en plongeant la main dans son pantalon.

Sur le moment la fureur me gagne, puis je me dis que du coup ils leur deviendrait impossible de critiquer mon attirance pour Anne.
Je retourne discrètement prévenir Anne du retournement de situation puis nous faisons notre entrée dans les bras l’un de l’autre. Jean-Pierre sursauta, mais comment protester alors que ma femme avait sortie sa grosse bite et la caressait tendrement ? Me retournant vers Anne, je rapprochais mon visage du sien et ma langue entreprit de se glisser dans sa bouche pour une visite détaillée. Visite guidée d’ailleurs car aspirant aussitôt ma langue, elle entreprit de me la sucer et boire ma salive. Tout en restant enlacés nous nous rapprochâmes du couple sur le divan. J’y assis Anne à côté de son mari et m’agenouillais à côté de Lise, ma femme, ma tête se frayant un passage entre les cuisses d’Anne. La main de Lise se referma d’une pression sur la mienne, c’était donc un feu vert commun. Les minutes suivantes ne furent que râles et soupirs quand Lise embouchait la bite de Jean-Pierre en lui caressant les couilles gonflées ou quand ma bouche se mit en devoir d’aspirer les petites lèvres d’Anne en les mâchouillant tendrement. Et son con à mon amie… quelle merveille ! Deux grandes lèvres charnues et souples qui laissent dépasser deux petites lèvres brunes, fines, tendres et humides. Du bout de la langue je les déploient pour apercevoir un trou qui semble m’appeler et au-dessus un clitoris exceptionnel, gros comme une noisette, brillant et tendu vers le désir. Ma bouche s’en empare et tout en le suçotant je glisse un doigt dans son puits d’amour qui ruisselle déjà.
Bien sûr ce ne fut qu’un début, mais la suite…. C’est pour un autre chapitre.
Chapitre 2
Plus ample connaissance
Nos jeux de bouches ouvrant l’envie d’aller plus loin nous nous sommes dirigés tous ensemble vers la chambre.
Anne et Lise maintenant complètement nues s’allongent une à côté de l’autre et se couvent du regard en commentant d’un air gêné les courbes de chacune.
Anne et ses seins dressés, son ventre plat, ses longues jambes et son sexe épilé et Lise, ma femme, avec ses seins lourds mais si beaux, ses fesses pommelées et le fin duvet au-dessus de son minou.
Mais bientôt les bras se tendent avec hésitation, les mains frôlent, les corps se rapprochent. Et stupeur, c’est ma femme qui se penche sur Anne et lui pose un baiser sur les lèvres ! Je n’en reviens pas. Anne n’a aucun mouvement de recul, au contraire ! Elle entrouvre ses lèvres et mordille celles de Lise et sa langue se glisse entre ses lèvres. Petit à petit les gestes deviennent audacieux. Anne saisi les seins de ma femme, les soupèse, puis porte les pointes à sa bouche. Lise apprécie visiblement et sa main se glisse entre les cuisses d’Anne qui se desserrent doucement. Jean Pierre et moi nous nous regardons et constatons chacun que l’autre bande résolument. Sur le lit nos femmes s’embrassent maintenant sans retenue sur tout le corps. Quel plaisir pour les yeux !
Maintenant elles se placent tête bêches, regardant avec intérêt leurs minous, ma femme sur le dos et Anne au-dessus. Je vois la chatte entrebâillée de Lise avec ses lèvres gorgées de sève et son clito qui pointe fièrement et la langue d’Anne qui doucement parcourt sa jolie blessure intime, récoltant dans sa bouche le miel de ma femme que je vois briller doucement entre ses jambes. De l’autre côté le paysage est aussi ravissant. Anne ses jolies fesses en l’air et écartées et la langue de ma femme qui la parcourt… même là ! oui inconcevable ! Lise lèche d’abondance l’anus d’Anne qui sous la caresse pousse sur ses muqueuses pour s’ouvrir davantage. Et son anneau plissé se déplie révélant la chair rouge.
Je n’en peux plus je me place derrière et bousculant la langue de ma femme avec ma bite je pose mon gland sur l’anus offert. Mes mains se referment sur les hanches d’Anne, la tire à moi, et doucement mon sexe glisse entre ses fesses. Quel délice de sentir son anneau se refermer sur moi pendant sa progression ! Anne gémie durant le doux glissement et bientôt mon sexe est totalement entré, mes couilles collées à ses superbes fesses.
Commence alors un doux va et vient, bite étroitement serrée et couilles léchées par Lise en même temps.
Entre temps Jean-Pierre intrigué c’est rapproché pour mieux voir. Bientôt sa main flatte les fesses de sa femme, à un moment alors que je recule pour la prendre en puissance, sa main se referme un court instant sur ma tige. Etonné mais non choqué je tourne la tête pour… l’encourager ? Et à quelques centimètres de mon visage se dresse sa bite fièrement tendue ! Que pensez-vous qu’il va se passer ? Vous le saurez dans un autre chapitre !
Chapitre 3
D’abord du bout des lèvres je pose un chaste bisou sur la queue de Jean-Pierre. Loin de me fuir sa queue se redresse encore plus alors je m’enhardie et passe ma langue sur la longue de sa tige. Jean-Pierre est maintenant à genoux à mes côtés pendant que je sodomise sa femme. Il me tend désormais sa bite sans équivoque. Et pourquoi pas… madame que ressentez-vous à nous sucer ? Sans hésiter je saisi la bite de JP à pleine main ; quel plaisir déjà de toucher une autre bite que la mienne ! de la main à la bouche il n’y a qu’un pas, et tout en limant Anne j’engloutie la bite de son homme. Hum quel délice ce gland dans ma bouche ! Je suce avec délice son sexe et ma femme vient m’aider à le lécher, le sucer…. J’adore voir sa queue trempée de ma salive disparaitre à présent dans la bouche de Lise. Qui lui malaxe les couilles en même temps.
Mais en même temps Anne commence à se déchainer sur ma bite tout en hurlant des mots inconcevables, elle pour qui « merde » est un énorme gros mot me demande à présent de lui défoncer le trou du cul en me traitant de pédé suceur de bites et Lise de sale pute. Je me suis alors accroché à ses hanches et l’ai défoncée avec vigueur en la faisant hurler, et tandis que JP déchargeait dans la bouche de Lise je balançais toute ma sauce dans les boyaux d’Anne.
Après un moment de répit où tous en nage et enchevêtrés nous nous faisions des bisous humides, nous reprîmes nos… activités.
Anne vient s’accroupir sur mon visage en ouvrant sa chatte en grand ; mes yeux se repaissent de son coquillage, mes doigts écartent ses lèvres si fines, si douces, et ma langue récolte chaque goutte de rosée. Quel plaisir de boire sa liqueur ! Pendant ce temps Lise s’est assise sur moi et s’est embrochée sur ma bite, montant et descendant en cadence sans faire sortir la bite de JP de sa bouche. Lise est déchainée et bientôt je la sens se rependre sur ma bite, sur mes couilles. Pas possible d’avoir autant de cyprine ! Effectivement, la cyprine épuisée, Lise se lâche complètement et sa vessie n’en peut plus, elle pisse sur moi, ma bite toujours enfoncée en elle. Je me crispe aux fesses d’Anne, la soulève légèrement et ma langue se glisse vers son petit trou du cul. Hummm quel plaisir ce goût épicé ! Pendant ce temps je sens Lise se décoller de moi et quelques instant plus tard sa bouche se referme sur ma bite trempée de sa pisse. Elle me suce d’une façon…. Différente quand j’entend Anne hurler « vas-y sale pédé vide ses couilles ! » Et je m’aperçois que Lise est en fait face à Anne en train de lui broyer les seins ! Donc celui qui me suce est.. JP ! Excité comme tout ma bouche se referme sur la chatte d’Anne et aspire ses muqueuses. Alors celle-ci s’agite tellement que je dois la saisir à bras le corps pour la maintenir en place. En hurlant elle se met à couler, un jus salé coule dans ma bouche, me pique les yeux, inonde mon visage et hurlant à mon tour je décharge à mon tour dans la bouche de JP que Lise a saisis par les cheveux pour l’obliger à me boire jusqu’à la dernière goutte de foutre.

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