L' Évolution D'Une Relation

Que des imprévus…
Ou l’évolution d’une relation.
Marie et son mari sont des amis de longue date et nous passons beaucoup de vacances ensembles ; par contre, étant commercial, lui est souvent en déplacement, amenant Marie souvent seule ; un après-midi de repos, j’ai eu la peine de la voir en pleurs ; des ennuis de santé, mais très vite des confidences sur leur couple ; en effet à priori, leurs rapports devenaient de plus en plus rares lui étant peu porté sur le sexe. Sans l’avoir envisagé, elle est devenue une amante. Ma femme, tenue au courant, l’a rapidement convertie aux relations lesbiennes et six mois se sont déroulés en parfaite harmonie.
Le premier événement est arrivé par le beau-frère de Marie ; Claude est un beau garçon mais trop sûr de lui, ce qui n’est pas sans lui poser des problèmes. Il avait plusieurs fois tenté de courtiser Nicole (ma femme), mais celle -ci lui a toujours apporté une fin de non recevoir .Il faut dire que nous fessons souvent du bateau, avec lui et son frère et que les mini maillots de Nicole sont très provocateurs, ainsi d’ailleurs que certains gestes entre les deux femmes.
C’est au retour d’un match de foot à Nantes (140 km de chez nous) qu’il m’a dit qu’il nous avait vu, Marie et moi nous embrasser et nous isoler, et qu’il savait donc que nous étions amants. Je le laissais parler voulant voir la suite des événements ; bien entendu, sans doute un chantage, mais lequel. Il m’a alors proposé un marché, il se taisait, mais en contrepartie, il voulait que je lui favorise une relation avec Nicole dont il avait très envie ; ce que je savais. Après avoir joué l’offusqué obligé de céder, je lui ai promis d’y réfléchir. Tout en sachant que Nicole allait faire de la résistance.il me fallait trouver une solution aussi bien pour son silence mais aussi le piéger à son tour.
C’est finalement de façon très inattendue que la solution est arrivée ; nous avions prévu un repas, son couple, nous et marie ; alors que celui-ci était en cours, bien arrosé, il a du s’absenté suite à un incident dans son entreprise ; sa femme, énervée par son départ, a vite comblé son absence par une consommation un peu élevée ; très excitée, elle s’est aperçue que Nicole et Marie avaient commencé à se caresser, sans doute pas assez discrètement.

Elle s’est alors rapprochée des deux femmes et a commencé un jeu à trois ; assis tranquillement dans un fauteuil, je pouvais voir les trois filles se caresser ; en peu de temps, louise s’est retrouvée la jupe relevée, la chatte occupée par la bouche de Nicole, alors que marie lui caressait les seins, mis à jour de leur carcan, tout en lui l’embrassant goulument ; la bosse dans mon pantalon était évidente et marie est vite venue me soulageait ; le pantalon ouvert, ma queue a jailli et sa bouche s’est enroulée sur la tige bandée ; étant au courant du marché, elle m’a alors dirigé vers louise « vas-y prend la, il ne pourra plus rien dire »
L’occasion était trop belle ;d’autant plus que Louise est une belle femme, avec une forte poitrine et que de lui voir la chatte ainsi ouverte, l’envie est très grande ; sans hésiter, la mettant en levrette, ma queue s’est infiltrée entre ses petites lèvres, et sans ménagement, je lui ai investi la vulve, sans aucune difficulté, tellement dilatée par ses jeux avec les deux femmes. Pour moi le bonheur de la saillir, car mes coups de butoir lui défonçaient la chatte, mais aussi d’entendre sa jouissance. Ne voulant pas jouir trop vite, je me retirais et l’allongeant sur le dos, lui remontant les jambes sur mes épaules, je plantais à nouveau mon chibre dans la grotte pleine de cyprine ; la possession a été profonde, concrétisée par un « oh !!!!» de sa part ; c’est alors que Marie, se positionnant au-dessus de sa bouche, s’est fait lécher le minou, collée à son visage, ne se relevant que pour qu’elle puisse respirer ; ainsi sollicitée, elle n’a pas tardé à crier, sa jouissance déferlant. C’est à ce moment que je me suis aperçu que Claude nous regardait, abasourdi par le spectacle ; c’est Nicole qui lui avait ouvert la porte et tout à notre jeu, nous ne l’avions pas entendu ;louise, encore sous l’emprise de sa jouissance en voulait encore, réclament plus de pénétrations ; pour moi, tant par l’excitation de ma possession, que par le fait de voir Claude assister au plaisir de sa femme sous notre emprise, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps et à grands jets et traduisant mon éjaculation assez bruyamment, je lui ai rempli le vagin.

Le tableau devait être assez bandant. Louise, la jupe remontée sur le ventre les cuisses écartées dégoulinantes de sperme, les seins à l’air, le visage barbouillé du plaisir de marie, elle aussi fortement dévêtue ; et moi, la queue encore bandée, venant de saillir sa femme.
Le risque était grand ; me redressant, je me dirigeais vers lui, la queue encore à demi bandée, assez provocateur, il est vrai ;« tu voulais nous faire chanter, et ce soir involontairement le piège s’est refermé sur toi. Tu as deux solutions à savoir continuer ton scenario, et dans ce cas j’ai de quoi te contrer, ou reconnaitre ton erreur et je m’engage tenir ma promesse, quand je ne sais pas, tu sais pourquoi, mais cela se fera » un peu perdu, il nous regardait, son regard allant de sa femme encore dépoitraillée, à Nicole, elle aussi en très petite tenue. Puis lui proposant un verre de vin, laissant ainsi les femmes reprendre leurs tenues courantes, je l’entrainais vers la cuisine. « Rassure-toi, tu auras l’occasion d’avoir Nicole »
Nous sommes restés tous les trois et cette nuit encore Marie nous a appartenu. Mais un autre imprévu allait surgir bientôt

A suivre

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