Le Vendeur De Porte À Porte

Vendredi, j’avais pris congé parce qu’on devait me livrer un colis volumineux. Vers 10h30, on frappe à la porte, je vais ouvrir pensant que c’était le livreur et je découvre un vendeur de porte à porte représentant un fournisseur d’énergie. J’ai pour habitude d’être plutôt sceptique face à ces démarcheurs trouvant qu’ils nt de la naïveté des gens pour faire passer leur produit comme le meilleur.

Celui-ci avait une technique bien rôdée car en quelques secondes, sans m’en rendre compte, il était parvenu à rentrer pour pouvoir examiner mes dernières factures de régularisation. Sans doute que son charme l’y avait grandement aidé. Il devait avoir entre 25 et 30 ans, blond, une mèche ondulante retombant sur son visage, des yeux bleu océan et un sourire charmeur.

On commence à discuter bien décidé à ne pas me faire attr par son beau discours. Au fil des échanges, je dois bien reconnaître que cet homme arrive à parler de tout et de rien, à s’intéresser à moi et à ce que je fais tout en continuant à garder le fil conducteur de la conversation sur ce qui l’intéresse.

Ayant moi-même une expérience commerciale établie et efficiente, je reconnais certaines techniques et les déjoue assez facilement. Je lui donne des contre-arguments qu’il accepte sans sourciller mais ne se laisse pas démonter pour autant. Le contact devient extrêmement sympathique au point qu’on finit par se tutoyer.

Comme il ne me laisse pas indifférent, je n’hésite pas à sortir des phrases telles que « Tu dois avoir une fameuse paire de couilles pour avoir autant d’aplomb » ou encore « Je sais bien que d’habitude des gens comme toi, ça ne cherche qu’à enculer le client ». A cela il me répond « Non, non moi je n’encule pas ». Tout en prononçant cette phrase je le sentais troublé mais ne distinguait pas clairement la raison.

Il finit par recentrer la discussion par un tour de passe-passe en induisant que je marquais mon accord sur sa proposition.

Je le regarde et lui lance « ça y est dans ton esprit, j’ai accepté, tu ne veux pas une petite pipe aussi ? ». Il rigole, et me dit « Bon allez si je t’accorde une réduction de 20% plus une prime de bienvenue, tu signes ? ». Voyant qu’il ne se laisse pas démonter, je marque mon accord sur sa proposition sachant bien que j’aurai 14 jours pour me rétracter.

Je signe la proposition sur sa tablette. Il me promet que j’ai fait le bon choix et que je ne le regretterai pas et me donne son numéro de téléphone portable personnel pour toute réclamation. Je lui signale que je n’hésiterai pas en effet à revenir vers lui si je constate qu’il me l’a mise à l’envers. Il sourit et me dit de ne pas m’inquiéter. Il prend congé car il doit rejoindre son collègue et me serre la main et me remercie avec un grand sourire.

Toute la journée, je me suis demandé si ça aurait pu aller plus loin si j’avais osé lui mettre la main au paquet par exemple mais ai fini par me convaincre que ça ne resterait qu’un fantasme.

Le lendemain, j’ai quand même pris soin d’analyser sa proposition et de simuler une comparaison de tarifs entre les fournisseurs pour savoir si son charme avait pris le dessus sur la raison. Je constate qu’à quelques euros près, la majorité des fournisseurs sont dans une fourchette de prix assez réduite et sa proposition me semble donc finalement très honnête.

Je lui envoie alors un message sur son téléphone en lui disant que j’avais pris le temps de vérifier ses dires et que je le remerciais pour son honnêteté, que finalement je ne m’étais bel et bien pas fait enculer.

Une heure plus tard, je reçois sa réponse qui me dit « Merci, ça fait plaisir. Quelque chose me dit que pourtant tu n’aurais pourtant pas été contre te faire enculer sur le coup ». Je comprends qu’il avait donc bien saisi mes allusions et envoie « Ahah, qui sait ? Je me demande si tu ne devrais pas repasser pour vérifier le numéro de compteur car je pense qu’il y a eu une erreur ».
Tout aussi vite, il me renvoie « J’arrive d’ici une heure… ».

Je n’en revenais pas de la tournure des choses, j’avais apparemment bien fait d’insister un peu. Je me suis immédiatement dirigé vers la douche et me suis fait tout propre. Une heure plus tard, le voilà à la porte. Cette fois ses cheveux étaient lisses, plein de gel et coiffés à la perfection. Son parfum sentait très bon et lui rajoutait encore un peu de charme. J’ouvre, il sourit et je le fais entrer. Je ferme la porte, et me retrouve derrière lui.

Ni une ni eux, je prends ma main et la glisse devant lui en me dirigeant directement vers son entrejambe. Je le sens surpris mais certainement pas contraire à la caresse que je lui prodigue. Je malaxe son paquet à travers son jean et sent son membre gonfler. Je déboutonne son pantalon et le fait descendre jusqu’à ses chevilles. Son boxer est un peu satiné, beige et lui moule hyper bien le paquet.

Je me place à genoux devant lui et amène ma bouche sur son boxer pour exciter son membre à travers le tissu restant. L’effet est rapide, le voilà complètement au garde à vous, le gland qui dépasse du caleçon taille basse. Sa queue semble d’une taille convenable, pas trop fine et je me sens très excité. J’agrippe mes mains sur l’élastique et baisse son boxer d’un coup sec. Je me relève l’agrippe par les épaules et le pousse dans le canapé.

Je me rapproche de son engin et lui lèche le gland délicatement. Il semble très excité et un peu de liquide sort déjà de son membre. Je lui malaxe ses couilles pendant que je gobe son sexe dur comme de la pierre. On me dit généralement très doué dans l’art de la fellation et cette fois ne semble pas échapper à ce constat puisqu’il sort enfin une parole en disant « Oh putain que c’est bon » !

Cette phrase me surexcite et je le pompe de plus en plus fort à entendre ses petits gémissements de plaisir. Il m’arrête tout à coup pour me demander de ne pas aller trop vite car il sent déjà la sauce monter.
Je ralentis donc et là il me demande « Alors, tu veux que je t’encule ? ». Je lui réponds qu’il n’y a pas de soucis s’il en a envie. Il me confie que c’est une première pour lui mais qu’il est tenté.

Je lui propose alors de rejoindre ma chambre pour être plus à l’aise. Là, je retire mon pantalon et mon boxer et lui demande quelle position il veut. Il me propose de me mettre à quatre pattes. Pour lui faciliter le travail je prends le lubrifiant et le tartine sur ma rondelle en me doigtant un peu le derrière pour détendre l’entrée, de l’autre main, j’ai son sexe en main et je le branle doucement pour le garder bien dur. Il me demande si j’ai une capote car il a oublié d’en prendre une. J’en sors une de ma table de nuit et la lui passe. Je continue à me doigter pendant qu’il l’enfile et me place en position.

Il se mets derrière moi à genoux, son sexe devant mon cul. Il est quelque peu hésitant et pousse un peu sans vraiment trouver l’entrée. Je glisse ma main pour le mettre bien en position et la voilà en train de commencer sa pénétration. On aurait dit qu’il avait peur de me faire mal. Je l’encourage à se lâcher et le voilà d’un coup bref rentré complètement en moi, ce qui m’arrache un petit bruit de douleur malgré tout. Il s’excuse et commence des petits aller-retours timides. Il sort alors « Putain c’est quand même bien serré un cul de mec, ça fait du bien ». Je ris et l’encourage à en profiter.

Petit à petit, le voilà plus à l’aise et il me baise le cul avec énergie. Je gémis de plaisir. Tel que je me doutais, il ne lui a pas fallu longtemps pour arriver à l’orgasme. Dans un grand coup de rein, je le sens éjaculer dans un râle de plaisir et le voilà, essoufflé, au fond de mon cul immobile en train de remplir la capote.

Immédiatement après, je le ressens gêné de ce qui vient de se passer et le rassure en disant que ça n’est qu’une partie de plaisir, le principal c’est qu’il ait pris du bon temps. Il me répond « Ah oui putain ça c’est clair ».
Il sort de mon cul, retire la capote et me demande s’il peut aller à la salle de bains.

Il en sort ensuite et rejoint le salon pour se rhabiller. J’en profite une dernière fois pour caresser sa queue. Il me regarde et me dit qu’il reviendra sans doute une prochaine fois pour vérifier le numéro du compteur. Je souris et lui dit que c’est quand il veut… J’aspire déjà à la suite du coup !

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