J'Aime Les Travestis

j'ai lu beaucoup d'histoires mais peu font vraiment honneur aux travestis.
Je les adore. J'aime leur côté féminin tout en aillant cette volonté de plaire incroyable.
Cette envie d'être désiré, de donner du plaisir.
Ils se donnent à 100%, sans retenue, ne demandant que de l'attention en retour.
C'est toujours un merveilleux moment et une chance d'en rencontrer un.
Le problème est d'être à la hauteur de la demande. Cela demande de se dépasser.
Il faut être viril et doux, dominant sans trop et surtout avoir une endurance hors du commun.
Pourquoi ? car quand une petite coquine tombe dans vos filets, on se demande qui va manger l'autre au final.
Elles ont une envie immense et il faut être en forme.
Une de mes rencontres préférées fut il y a 2 ans via un site de rencontre. Je ne veux pas de rencontre sérieuse mais juste des bons moments.
Je fus surpris par un chat, un jeune homme, qui me dit correspondre à ce que je recherchais.
Nous discutâmes de nos profils et il se décrivit comme fin, 1m62, 24 ans, cheveux cours. Il n'était pas vulgaire, ne demandait pas de choses bizarre.
En réalité nous ne discutions pas de sexe. Il était célibataire et travaillait depuis 2 ans.
Les filles ne lui plaisaient pas mais il les enviait. Il avait toujours été un peu à part car il avait peur de l'attitude des autres.
Là, j'ai commencé à être complètement sous emprise.
Je sentais qu'il fallait aller doucement sinon le beau papillon allait s'envoler.
Je le questionnais sur tout et rien et appris donc qu'il aimait se travestir. Il n'aimait pas son sexe.
Je lui avais dit que je pouvais l'aider à bien se sentir et même à apprécier son corps et son sexe.
J'avais de l'expérience et je sentais que je tenais là soit un fiasco, soit une bombe.
Je lui ai demandé de m'écrire tout d'abord une petite histoire coquine pour le lendemain.
Pendant plusieurs jours nous avons fleurté gentiment.

Personnellement je n'en pouvais plus.
Il m'a demandé mes goûts et j'ai senti que je ne lui était pas indifférent.
J'ai demandé une photo, quelque chose bien sûr de non reconnaissable mais d'érotique.
Ce que je vis m'a retourné. Je pouvais voir un zoom sur sa cambrure et le départ de ses fesses, légèrement de côté.
Une peau magnifique et qui semblait si douce.
J'en voulais encore, je le complimentais. Il prit confiance et m'envoya une photo de lui avec les cheveux de sa perruque lui tombant sur le visage.
Magnifique.
Il, enfin elle, ne portait rien de provoquant, juste une robe cintrée noire à petites fleurs blanches.
Quelle silhouette.
J'ai craqué, demandant à le voir. Il hésita plusieurs jours et je crus même l'avoir perdu.
Il me confia avoir peur, jamais il n'avait fait cela.
Je le rassurais et lui laissais le choix du lieu. On pouvait se voir juste pour fleurter.
Il céda, personnellement je savais que s'il ne fuyait pas, j'allais passer un bon moment.
Il ne voulu pas que l'on se voit par webcam.
Il ne savait pas comment ni où se voir, je lui proposais un hôtel du type américain où il pourrait me rejoindre.
Je lui donnerais le numéro et l'attendrais devant la porte. Il pourrait me voir et je ne l'obligeais à rien.
J'avoue que le samedi fut long et que l'attente devant la chambre fut crispant. J'avais le trac bon sang.
Puis il se montra finalement et vint me rejoindre. Il n'osa pas me regarder, cela avait du lui couter de venir.
Il était habillé comme sur la photo avec une jolie perruque noire et une petite poitrine. Plus belle encore que prévu.
Il était complètement bloqué et n'arrivait même pas à parler, comme asphyxié. Il serrait un petit sac à main noir.
J'ai pris alors les devant en le guidant par la taille pour le faire entrer.
Presque sans parole, une fois la porte fermée, je lui ai dit combien "elle" était belle.
Puis je l'ai embrassé.
Il m'a serré désespérément, son baisé complètement passionné.
Il se lâchait. Je devais continuer pour ne pas casser la magie, l'énergie.
je l'entrainais vers une chaise où je m'asseyais, et le mis sur moi. Nos bouches soudées.
Il me caressait le visage, le dos tandis que mes mains remontaient le long de ses jambes douces.
Je franchis la robe en zone rouge, je le sentis tressaillir et se crisper.
Je continuais en jouant sur ses cuisses, frôlant sa culotte (je sentis des dentelles).
Il frissonnait parfois mais restait tendu, je le vis même qu'il tremblait.
Tout en lui parlant, le complimentant, je l'ai retourné, son dos maintenant appuyé sur mon torse.
En quelques secondes, sans lui laisser le temps de réagir, je lui fis descendre sa culotte. Je lui laissais la robe pour le rassurer.
Lui renversant la tête et je l'embrassa de plus belle pour détourner son attention.
Mes mains envahirent son entrecuisse maintenant plus atteignable. Je sentais son cul appuyé sur mon sexe déjà dur.
Il se raidit à nouveau mais je joua mon atout. Une de mes mains caressa doucement ses bourses, l'autre enserrant sa queue.
Il se cambra et souffla bruyamment, j'avais gagné, il était à moi. J'allais l'éduquer.
Commençant à se déchainer, je profitais qu'il se dressa pour passer une main sous ses fesses.
Il était prisonnier, une main dessus, une dessous, je travaillais mes caresses sous ses bourses.
Il en bava même en m'embrassant, le bouche grande ouverte. J'ai alors calmé le jeu et je sentais son corps chercher mes mains.
Je passais à l'étape suivante, Je défis les boutons de mon jean et ses mains m'aidèrent.
Pantalon et caleçon tombèrent et lorsque ses mains tâtèrent mon sexe se fut à mon tour de gémir.
Je repris mes caresses et il retomba immédiatement sur moi, se plaquant. Je sentais sa peau contre mes cuisses maintenant.
Mon sexe dégoulinait, le sien aussi. J'en oubliais toute protection, plus de cerveau.

Je profitais du liquide visqueux pour en enduire mes doigts, ma main. Lentement j'œuvrais vers un but.
Je voulais le prendre. Peu à peu ma main, mes doigts ont envahit sa raie, douce. Il avait un petit cul et j'avais l'impression que mes mains étaient géantes. J'effleurais son petit trou, je jouais avec.
De l'autre main je maintenais son plaisir mais pas trop. Il était au bord de la jouissance, je le sentais.
Je lui embrassais le coup et lui laissait aller sa tête en arrière sur mon épaule, ses bras en arrière, caressant mes cheveux. Il haletait.
Puis comme par hasard un de mes doigts vint buter sur son anus bien lubrifié par nos spermes.
Il ne réagit pas, en transe, cambré légèrement. Puis je lui enfonça mon majeur. Ce fut si facile.
Un mouvement brusque et j'ai eu peur qu'il s'échappe mais il plaqua ses fesses sur moi s'enfonçant encore plus mon doigt.
Il se penchant en avant puis revint sur moi. J'en profita pour mettre un deuxième doigt et je le sentis chavirer.
Il avait accepté la suite, il se cambrait, ondulait sur ma main collée entre ma cuisse et ses fesses avec mes deux doigts en lui.
J'avais le sexe qui me faisait mal tant je n'en pouvais plus.
Sans un mot je sortis mes doigts et plaça mon sexe dans sa raie, il se souleva et je pus coller mon gland sur son trou. Bien contre son cul.
Il se pencha à nouveau, se cambra un peu et j'eu une vue magnifique. Mon gland entra d'un coup puis il se laissa quasi retomber sur moi.
J'étais en lui. Mes mains agrippèrent ses couilles et l'autre son ventre. Il gémit et ne bougea plus.
Puis je lui dis des tas de compliments salaces, et il craqua, faisant des vas et viens de lui même sur moi comme un fou.
Il sortit mes mains qu'il plaça sous ses fesses pour que je les écarte bien puis il s'occupa de lui.
Je sentais son trou chaud autour de mon sexe et je jubilais. J'avais plein d'images sales où je le prenais dans toutes les positions.

Je lui bouffais le cul. Puis je le sentis accélérer et se pilonner contre moi puis se raidir.
Mortel, les contractions de son anneau eurent raison de moi et j'explosais en lui.
Nous n'avions pas dit grand chose mais on avait trouvé là quelque chose de bon.
Il avait joui dans sa main qu'il frotta sous sa robe contre mes cuisses. Il ondulait encore doucement. Ma queue en lui.
Je l'embrassa tout en le malaxant et caressant son ventre.
Au bout de quelques minutes il se leva en je quittais son trou. Devant moi, toujours habillé il eu l'air complètement perdu.
Je me leva et le pris dans mes bras, je le cajolais. Puis je le posais sur le lit, évitant qu'il s'enfuit.
Mais il fit quelque chose d'unique, il se mit sur le côté et remonta sa robe. Ses petites fesses m'apparurent encore.
Il écarta légèrement les jambes, peut être se cambra-t-il un peu. J'eus le feu au corps.
Cette peau si douce, ce cul si magnifique, pour moi. Il me l'offrait encore. J'allais le lécher, le bouffer en enfin le prendre encore et encore.
J'avais envie de le souiller, de le voir me sucer, de voir mon sperme sur sa langue.
Et je savais que j'aurais tout cela. Allais-je avoir la force de tenir car son envie était immense.

J'adore les travestis, vraiment.

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