Chantal... Mon Premier Cunni...

CHANTAL…


Ce jour là, je traînais entre les rayons "automobile" d'une grande surface, à la recherche d'une ampoule à changer sur ma caisse, c'était pas gagné, y en avait des tonnes, et ment, je ne trouvais pas la mienne, je commençais à être soulé de lire des codes minuscules avec la tête penchée sur le côté, je transpirais et l'énervement me gagnait, j'allais quand même pas racheter la énième boîte de dépannage, j'en avais déjà trois entamées dans le coffre, j'allais pour laisser tomber quand j'ai entendu qu'une femme m'interpellait par mon prénom, " - Jean…?! - C'est bien toi…?! ", Je me retournais vers la voix, c'était une mousmé, approchant la quarantaine, manteau de fourrure synthétique et foulard imitation grande marque avec le nom dessus, maquillée façon "pot de peinture", des bagouzes sur tous les doigts, chaussures à hauts talons et bas résilles, pendant un moment, je me suis demandé si elle ne se gourait pas, je ne fréquente pas ce genre de pétasse, mais quand elle m'a dit son prénom, je l'ai reconnu, "
- Chantal…!? Chantal d'au dessus de chez vous…!? Tu te souviens pas de moi…?! Là, tout m'est revenu…

Mes parents avaient été locataire dans une grande maison séparée en deux apparts, nous, ré de chaussé et premier, sa famille, deuxième étage et mansardes, des gens sympas, elle avait deux frères et deux ans de moins que moi, mais comme les filles sont souvent en avance sur les garçons et qu'elle jouait la fausse timide, on avaient chahutés ensemble dès le début, et même plus quand les parents n'étaient pas là, et mes frangines non plus, car elle se méfiait des nanas, au début, c'était juste, "cour moi après que je t'att", puis sont venus les effleurements manuels et les patins, j'avais la gaule à chaque fois mais elle ne touchait pas directement la bosse du pantalon, elle se collait à moi pour se frotter "mine de rien" et moi je lui pelotais les seins, du moins son début de poitrine, mais seulement à travers le tissus, comme pour ses fesses d'ailleurs, elle avait des pudeurs…

Au bout d'un an de jeux de cache-cache et de ploti-plota qui n'allaient pas plus loin, j'ai commencé à en avoir marre d'aller me masturber tout seul après, pour évacuer mon désir brimé par ses refus, j'ai pris de la distance, ma sœur cadette avait des copines mignonnes, que ça commençait à démanger aussi,
la Chantal a vue le manège et un jour, elle m'a prit par la main pour m'emmener dans la cave à charbon, en me disant qu'elle avait un cadeau pour moi, je me suis laissé guider, commençant à bander ferme, elle a fermée à clef une fois à l'intérieure, et en me roulant une pelle, elle a posée sa main sur ma braguette gonflée, mon cœur s'est mis à battre, comme elle était en jupe, j'ai passé une main dessous, elle s'est laissée faire en me prévenant qu'elle voulait rester vierge, mais qu'elle voulait bien toucher "mon truc", ça laissait de la marge quand même, je lui ai caressé les fesses sans toucher l'anus, je n'osais pas, puis j'ai cherché à toucher l'endroit sacré, sa vulve odorante au doux buisson naissant…

Sa culotte était déjà mouillée quand j'ai passé les doigts dessus, Chantal fermait les yeux, plus par gêne que par plaisir je pense, je n'étais qu'un petit puceau débutant en caresses masturbatoires, elle aussi d'ailleurs, elle me massait le paquet mais n'ouvrait pas ma braguette, c'est moi qui l'ai fais pour en sortir ma verge bandée qu'elle n'osait pas regarder ni toucher, j'ai dû lui prendre la main pour la guider, puis j'ai continué à lui fouiller la culotte, elle sentait le pipi, je ne sais pas si c'est ce parfum intime accompagné de mes premières émotions qui va orienter une partie de ma sexualité plus tard, mais cela m'excitait au lieu de me repousser, quand j'ai baissé sa culotte, j'ai vu que l'entre-jambe était jaune, une petite sale des fesses quoi, mais j'avais trop envie de tout pour m'arrêter à ça, elle me branlait malhabilement, je lui ai montré comment bien faire, je lui ai dis de mouiller mon gland avec sa bouche, au début, elle se penchait, crachotait dessus puis se relevait pour m'embrasser en me masturbant, elle commençait à écarter les jambes pour se laisser toucher, sa chatte mouillait abondement et mes doigts glissaient sur ses lèvres en faisant un bruit de clapot…

Elle s'est baissée encore pour me mouiller le gland et là, je n'ai pu m'empêcher de la maintenir accroupie en lui demandant de me prendre entre ses lèvres, elle m'a dit,
" - Ho non… Pas ça… Je sais pas faire…Et c'est sale de faire ça…"

Elle était gonflée quand même, elle qui sentait le pipi, je lui ai dis d'essayer pour me faire plaisir et que je le lui ferai aussi, elle a cédée timidement, juste le bout au début, hésitante, j'ai donné un coup de hanche pour la lui mettre dans la bouche, elle a eut un hoquet et m'a recrachée en disant, " - Doucement… Tu m'étouffes…", mais elle s'est mise à me suçoter, comme elle n'osait pas me décalotter, c'est moi qui l'ai fais de la main et je me suis donné du plaisir dans la chaleur de son palais buccale, c'était merveilleux de sensations inconnues, ma toute première fellation, j'ai fermé les yeux pour la savourer mieux, puis je les ai rouvert, sentant une caresses différente, Chantal me léchait la verge avec sa langue, comme sur un sucre d'orge, pour son âge, elle savait faire "des choses", l'émotion de la première fois m'a faite venir très vite, et tel l'éjaculateur précoce, j'ai tout lâché dans sa bouche sans la prévenir, elle s'est reculée à la première giclée sur sa langue et a reçue le reste sur le visage en me traitant de dégueulasse, je m'en foutais, c'était trop bon…

Comme chose promise, chose due, et pour me faire pardonner, je me suis agenouillé entre ses jambes pour lui lécher la fente, j'ai détaillé la chose un moment, je n'en avais jamais vus une d'aussi prés, et qu'est-ce qu'elle sentait le pipi, mais je l'ai fais, appuyée contre le mur, Chantal écartait les cuisses, plus ma langue la fouillait, plus elle s'ouvrait, j'ai même passé mes doigts entre ses fesses pour lui toucher l'anus, elle a dit, " - Ho non… Pas ça…", mais comme elle n'enlevait pas ma main, j'ai continué en essayant de lui enfoncer un doigt, seule une phalange est entrée mais elle à gémie, puis émie quelques petits sanglots avant de me pisser dessus en bougeant le bas ventre, ensuite elle m'a repoussée en disant d'arrêter, je me suis relevé, nous osions à peine nous regarder, comme honteux de ce que nous venions de faire, après être reculottés et reboutonnés, elle m'a encore embrassée en me demandant quand on se revoyaient, j'ai dis quand tu veux, ma chambre était au ré de chaussé, entre le garage et la cave à charbon, facile pour les retrouvailles…

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