Le « Testeur » De Madame Claude Et Ses Mille Et Une Chattes. 1
Le « testeur » de Madame CLAUDE et ses mille et une chattes. 1
Je mappelle Claude XXX, je dirige une société de mode spécialisée dans les sous-vêtements féminins.
Quoi de bien extraordinaire me direz-vous ? Et bien oui et non !
Jai beaucoup de collaboratrices qui organisent des réunions type Tupperware pour mes clientes, (futures ou habituées). Je tourne en France et même en Europe pour les soutenir et je dois dire que je suis toujours bien reçu partout où je vais. Ce qui commence à sortir de lordinaire dun patron, cest que je ne couche jamais seul dans un hôtel ou ailleurs lors de ces tournées promotionnelles. Chaque soir dans un nouveau lit, chaque soir avec une ou des femmes différentes. Je ne pourrais pas dire avec combien de femmes jai couché, il y a bien longtemps que je ne compte plus
Mais comment, me direz-vous, suis-je arrivé à un tel résultat ? Pour cela, il faudrait que je remonte au jour de ma naissance
Je suis le fils dune prostituée morte en couche, jai été élevé dès mon premier jour par une pléthore de femmes toutes plus belles les unes que les autres. Dans ce temps là, les filles qui se faisaient mettre en cloque pouvaient élever leur marmaille dans une villa que toutes dans la profession connaissaient. Etant orphelin de fait dès ma naissance car ne pouvant savoir qui était mon géniteur, jai dès mes premier jours tété et tripoté toutes sortes de mamelles accueillantes. De beaux seins bien lourds ou dautres plus fermes, de toutes les carnations, de la blancheur dalbâtre au plus noir. Jai goûté à de petits tétons à peine visibles ou à dautres érigés fièrement dans des aréoles de tous les diamètres.
Dès mes premières années, je gambadais dans des couloirs fréquentés par des filles à peine vêtues. Elles se battaient presque pour me faire prendre un bain que je prenais dailleurs rarement seul car elles adoraient toutes my accompagner pour frotter ma peau sous toutes ses coutures.
Un jour, elles se sont rendu compte du changement hormonal qui transformait mon corps. Je laisse à votre entière responsabilité et à vos fantasmes les plus pervers ce qui a bien pu en résulter. Mais disons que jai été beaucoup plus précoce que les jeunes hommes de cette époque.
Lune de ces femmes sappelait Fernande G
, plus connue quelques années plus tard sous le nom de Madame CLAUDE. Dans lune de ses « maisons » quelle ouvrit dans les années soixante, je faisais office de videur pour virer manu militari les hommes qui ne respectaient pas les « collaboratrices » car chez Madame CLAUDE, il ny avait rien de vulgaire et pour pas mal de filles maltraitées par la vie ou même pour des filles de bourgeois, elles étaient très bien traitées, sorti du contexte, bien mieux que certaines secrétaires ou autres filles dusine ou de maison.
Je vous ai dit que je me prénommais Claude, mais dans ces maisons, javais un autre patronyme, Comme ma mère était dorigine espagnole, mon deuxième prénom était Fabio et mon surnom Saint VIT. Vous voyez lallusion ?
Il faut dire que ma mère et la nature, (mon paternel ?), mavaient bien gâté. Une belle gueule, un corps dathlète, et sans être prétentieux, un sexe de belle taille sans être démesuré. Mon éducation sexuelle précoce et peut-être une particularité physique un peu particulière a fait que Madame Claude sest vite rendu compte du bénéfice quelle pouvait en retirer.
Chaque année, les filles avaient droit à une ou deux semaines de repos dans une grande propriété où elles se retrouvaient entre elles et où jétais le seul homme présent. Jy passais mes deux mois de grandes vacances quand jétais jeune et cette tradition a perdurée.
Je pouvais les baiser à la chaîne et je ne men privais pas lors de leurs semaines de détente. Elles étaient incapables de me résister quand je lançais mon attaque prudente et compréhensive : les jeunes dà peine dix-huit ans débutant dans le métier, les élégantes spirituelles de vingt-cinq à trente ans, même les plus expérimentées un peu plus âgées capitulaient. Elles étaient impuissantes, mues par de nombreuses impulsions de leur corps et me cédaient sans trop de difficultés.
En ce temps là, Madame Claude avait plusieurs « établissements », ayant jusquà 200 « collaboratrices » et quelques « collaborateurs ». Dans la dizaine dannées où exista son commerce, plus de 500 filles passèrent par ses maisons de plaisir. On ne rentrait pas comme ça chez elle, il fallait faire ses preuves, passer un entretien dembauche puis une « épreuve pratique ».
Comme premier client, elles passaient toutes par moi, ne sachant pas que leur client nen était pas un. Je devais estimer leurs capacités, leur manière de me faire bander, de me faire une fellation, dapprendre lart de mettre un préservatif sans craindre le gourdin qui allait falloir supporter en souriant au client. Persuadées de memmener en quelques minutes au plaisir, elles déchantaient vite et je pouvais tester leur motivation et la persévérance quil fallait avoir pour me faire jouir ; cravate de notaire, cavalcade damazone sur mon engin ou toute autre position quelles connaissaient pour amener un homme au plaisir.
Des centaines de filles réussirent lexamen et connurent donc, avec un souvenir inoubliable de crainte ou de reconnaissance, ses deux heures sans fin avec un seul homme si vigoureux et endurant, impossible à amener à la jouissance. Heureusement que leurs futurs clients nétaient pas comme moi sinon le métier aurait vite périclité.
Aujourdhui, certaines dames de la bourgeoisie qui avait trouvé chaussures à leurs pieds dans cet établissement réputé sétaient établies, insoupçonnées et insoupçonnables de cette vie de débauche quelles avaient connue. Elles formaient maintenant un maillage dont je me servais pour mon commerce, étant ces collaboratrices bénévoles qui organisaient chez elles ou chez des connaissances mes démonstrations de lingerie fines qui marchaient « le feu de Dieu ».
Il y avait quand même une particularité lors de ces démonstrations divisées en trois parties distinctes. La première bien sûr était la présentation de la lingerie féminine. La deuxième pour les femmes qui le voulaient, une présentation de maillots de bain pour hommes mettant en valeur leur service trois pièces. La troisième, encore plus chaude, sponsorisée par une marque célèbre de préservatifs, les nouveaux modèles parfumés et au goût divers. Ce nétait pas automatique mais quand le « Patron » était là, systématique, et ma réputation était telle que ça se bousculait tellement au portillon quil fallait faire des fois deux présentations.
En temps quexpert à lil critique, Je recommandais telle ou telle tenue, remontant un sein par là, conseillant plutôt suivant les poitrines ou les fesses des clientes le modèle adéquat et elles appréciaient quand mes mains venaient rehausser mes propos. Comme ces femmes par le bouche-à-oreille savaient à quoi sen tenir, il ny avait peu de défection quand on en arrivait à la collection masculine.
-Ce modèle est fait avec un tissu fortement élastique qui comprime les bas du slip vers lentrejambe permettant de cacher et de rendre plus discrètes les disgracieuses petites bites qui pointent.
A suivre
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