La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°971)

Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°970) -

Je me mis dans la position exigée et fermais les yeux avec confiance. Le Maître me posa un bandeau noir sur les yeux, et me caressa doucement les cheveux et la joue, puis Il m’embrassa, avant de saisir ma laisse et de m’entraîner au travers du palais dont je n’avais quasiment rien vu… Quand le Maître sembla s’arrêter pour de bon, j’eus l’impression d’être entourée de très nombreuses personnes au bruit que j’entendais. Je sentais l'odeur de l'encens qui brûlait à différents endroits de la pièce. Après avoir échangé quelques mots avec un homme, qui lui indiqua une direction, on se remit en route. Après m’avoir prévenue qu’il y avait une marche à passer, Il s’arrêta et me poussa légèrement en avant. J’entendis comme un claquement. Enfin, Il m’enleva le bandeau et je me rendis compte que ce que je venais d’entendre était une barrière. Dans un petit espace carré, toutes à quatre pattes, nous étions une dizaine de chiennes, toutes nues, parfaitement épilée, avec pour la plupart les tétons annelés et ou les lèvres intimes. Nous étions serrées les unes contre les autres, et toutes avions les cheveux longs dont certaines disposés en queue de cheval. Au regard interrogatif qu’elles me jetèrent, j’eus la sensation qu’elles devaient avoir l’habitude de ce genre de soirée. Et visiblement elles étaient toutes d’origine hindoue. On pouvait donc facilement me distinguer, peau blanche au milieu de toutes ces peaux dorées. En comptant le Maître, il y avait cinq Dominants, tous nobles ou apparentés à voir leur tenue. Un domestique vint nous chercher une par une et nous attacha par groupe de deux dans différents endroits de la pièce. Un homme assis sur un haut trône tout en or massif et ciselé de milles petites sculptures me regardait avec presque du dédain. Il était habillé avec élégance dans la tenue traditionnelle hindoue et installé au centre de la pièce et je compris vite qu’il s’agissait du Maharadjah Man Singh.

Une frappe dans les mains suffit de sa part pour obtenir un parfait silence car en effet les commentaires fusaient concernant ma présence en ces lieux. Sa Majesté prit la parole :

- Mes amis, aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir un Invité de marque à venir partager une de nos soirées, ou plusieurs s’il le désire. En effet, je vous demande d’applaudir et d’accueillir le si célèbre Monsieur le Marquis d’Evans de France. Comme chacun sait, cet illustre Maître de renommée mondiale nous fait l’honneur de sa présence. Chacun de vous a lu ses œuvres, chacun de vous sait la grande expérience de ce grand Maître. Bref, considérons comme un privilège de l’avoir à nos côtés… Mais notre ami n’est pas venu les mains vides ! Il nous a apporté une de ses esclaves MDE si réputées pour leur éducation. Et ainsi vous pourrez user et r d’elle et vous dire, pour toujours, que vous aurez eu la chance d’avoir au moins une fois dans votre vie, dominé une esclave MDE du si célèbre Monsieur le Marquis d’Evans… Alors que les festivités commencent ! Vous allez donc pouvoir user et r de toutes ces femelles comme vous l’entendez ! Mais avec organisation. Comme vous pouvez le voir nous sommes cinq, et elles sont réparties en cinq groupes. Chaque endroit est différemment équipé. Nous tournerons avec les groupes tels qu’ils sont, puis les chiennes changeront de coin. De telle manière qu’elles passeront toutes par tous les « ateliers », et que nous, nous pourrons les faire cinq fois, avec chacune d’entre elles…

Une salve d’applaudissements s’éleva en honneur du Maître et Celui-ci salua poliment ses hôtes marquant ainsi sa reconnaissance… Dans la première zone, il y avait une croix de St André et des anneaux au sol. Dans la seconde, il y avait une sexe-machine et un fauteuil. Dans la troisième, une table gynécologique. Dans la quatrième, une sorte de boîte où on ne pouvait se tenir dedans qu’en position de levrette. Et enfin dans la cinquième juste un tapis posé au sol. J’étais dans la première zone, et le Maître fut désigné pour commencer par la seconde, ce qui fit que ce fut le dernier Dominant à venir user de ma compagne de chaîne et de moi-même.
Et posés sur des tables éparpillées dans la pièce, se trouvaient des accessoires tels que pinces, fouets, badines, plugs, œufs, élastiques, baguettes, etc... Le premier homme qui vint vers nous choisit de me placer sur la croix et la deuxième soumise eut les chevilles et les poignets attachés au sol. Elle était placée de telle manière que, si elle relevait la tête, celle-ci se retrouvait placée entre mes cuisses. L'homme l'attrapa par ses longs cheveux noirs et attira justement sa tête vers ma chatte. Il lui fallut tirer fortement la langue pour qu'elle puisse atteindre son but. L'homme l'y aida en lui donnant des coups de fouet sur son cul.

On ne m'avait pas interdit de jouir, mais on ne m'en avait pas donné non plus l'autorisation, et avec le Maître tout proche, je préférais ne pas prendre le risque de laisser éclater un orgasme, mais le fait que parfois la langue ne faisait que m'effleurer m'excitait d'autant plus, et ce ne fut pas évident de me retenir. L'homme qui se nommait Kee Maang, exigea que la chienne continue son léchage, puis s'éloigna un peu et se fut mon corps qu'il se mit à fouetter, régulièrement et fortement, les coups étaient cinglants et rougissaient rapidement ma peau, y laissant de longues estafilades. La soumise qui avait sa tête entre mes cuisses en reçut également, surtout lorsqu'il visait mes cuisses. Elle ne devait pas manquer de liquide pour s'hydrater, car malgré la douleur, j'étais très excitée et je savais que ma chatte était plus que mouillée ! Quand plus une partie de mon corps accessible fut bien rougi, il lâcha enfin son fouet. Et alors que je pouvais enfin souffler un peu, il s'agenouilla derrière la chienne au sol, et l'enfila d'un coup, la faisant crier autant de surprise que de plaisir, car elle aussi était apparemment trempée. Il la bourra, la besogna, la faisant crier sans relâche sous ses coups de boutoirs puissants, profonds et cadencés. On aurait dit qu'il n'avait pas pénétrer de femelles depuis un moment, tant ses mouvements étaient empressés, violents même.
Et très vite, dans des ahanements bestiaux, il déchargea au fond de sa chatte. Il se releva, nous détacha et nos places s'inversèrent, et ce fut moi qui dut lécher la chienne qui se trouvait à son tour sur la croix. J'étais plus grande qu'elle et il me fut plus facile de garder mon visage collé entre ses cuisses.

Quand elle jouit, rapidement sous mes coups de langue, je me rendis compte que c'était une femme fontaine, et je fus largement abreuvée. Kee Maang s’exclama en hindoue juste avant de me baiser et sans comprendre un seul mot, je devinais au ton de ses propos enthousiastes qu’il venait de dire un truc dans ce genre :

- Une esclave MDE, hummm ! Le meilleur pour la fin !

Alors après avoir pénétré la chatte de la femelle, il but je ne sais quel breuvage aphrodisiaque et rapidement il rebandait déjà de nouveau et décida de me prendre par le cul, sans préambule. Il m'enfila d'un coup sec. Ce ne fut pas trop douloureux, grâce à l'entraînement imposé par le Maître à avoir en quasiment permanence un plug large et épais enfoncé dans mes entrailles. On aurait dit qu'il n'était pas habitué au silence. J'aurai pu croire qu'il voulait s'enfoncer si profondément qu'il aurait pu ressortir par ma bouche s'il l'avait pu ! Il me pilonnait avec force, ses couilles battaient contre ma chatte. Il me laboura le cul plus longtemps qu'il ne s'était occupé de la chatte de ma compagne de " jeu". On aurait vraiment pu penser qu'il cherchait de toutes ses forces à me faire crier. D'ailleurs, cette fois dans un anglais approximatif, il me sembla à un moment qu'il avait murmuré

- J'arriverai à te faire plier chienne MDE, tu ne resteras pas si fière longtemps.

Visiblement l'éducation des femelles en Inde différait de beaucoup de celle des chiennes françaises ! Je ne jouissais toujours pas non plus, n'en ayant pas reçu l'autorisation. Il finit après un très long moment par se vider au fond de mon cul, mais il se releva rageusement.
Il empoigna son fouet et m'en administra sans discontinuer. Je serrai les dents de douleurs, même si ma chatte, elle, se répandait d'excitation et de plaisir. La correction commençait à devenir longue malgré mon endurance. Ce fut le Maître qui finit par lui saisir le poignet, lorsque des petits filets de sang commencèrent à apparaître. Ils s'expliquèrent à voix basse, puis Monsieur le Marquis s'approcha de moi et releva ma tête qui était restée baissée tout le temps, pour me regarder droit dans les yeux. Son regard avait le pouvoir de m'hypnotiser, de m'apaiser, et ma douleur se calma instantanément.

- Ici, ma chienne, c'est une preuve de virilité que de faire crier et jouir indéfiniment une femelle. Je suis très fier de toi! Tu as fait honneur à mon éducation, mais pour tout le temps que nous passerons ici, quand nous ne serons pas seuls, tu peux, et même tu dois, jouir et crier sans retenue mais sans te forcer toutefois ! Mais tu viens d'avoir un aperçu de ce qui t'attendait si tel n'était pas le cas, et, si je n'étais pas intervenu, il aurait continué jusqu'à ce que tu cries, voir que tu le supplies d'arrêter. Tu vas être soignée, et si tu te sens assez bien, tu reviendras ici. Je te laisse le libre choix, je te laisse évaluer si tu peux continuer cette soirée ou non.

Un domestique vint me chercher et j'eus le droit de m'éloigner sur mes deux pieds. On m'allongea sur une table de kinésithérapie dans une pièce voisine et on m'enduisit d'un baume qui commença par me chauffer sérieusement avant de faire disparaître la douleur. On m'ordonna de rester allongée un quart d'heure. Pendant ce temps, la soirée débridée continuait. Et lorsqu'on me demanda si oui ou non je voulais retourner dans la première salle, et après avoir répondu par l'affirmative, je vis que les hommes avaient tourné. Le Maître tourna la tête quand je passais le pas de la porte, en quadrupédie, et Son regard capta le mien, me faisant passer son approbation et sa fierté à me voir réintégrer la soirée. Quand les Dominants changèrent à nouveau de couple de chiennes, la soumise avec qui je passais la soirée m'apprit qu'elle s'appelait Kutiya. On passait en gros deux heure et demie par "atelier". La soirée avait commencé à 18h30 et finit un peu plus tard que 7h…

(A suivre…)

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