Education D'Une Bourgesoise Bcbg Suite 3

Éducation d'une bourgeoise BCBG suite 3 : première punition avant épilation totale… suite 3

Cela fait maintenant plus d'un quart d'heure que j'attends, assis sur un banc dans le parc, la venue de S… à quoi est dû ce retard… ? pourtant je suis certain que S… doit venir car son dernier SMS ne laisse aucun doute.

Ce SMS fait suite au courrier que je lui ai adressé il y a une semaine maintenant. Cette enveloppe, adressée en recommandé avec AR chez elle (pour préserver au mieux la discrétion de notre relation vis à vis de son entourage) contenait, non seulement un courrier, mais également les sous-vêtements que je lui avait confisqué lors de notre dernière rencontre. Quant au courrier, il était très explicite… il précisait à S… les contours de notre prochain rendez-vous. A savoir une exigence très précise :
Lors de cette nouvelle rencontre, le pubis, le sexe de S… sera totalement rasé, épilé et se retrouvera lisse… Cette opération se fera sous le contrôle total de Monsieur dans un endroit discret choisi par lui.
Le courrier précisait à S..., dans le cadre des accords de discrétion à respecter, que cette « transformation » ne fera uniquement si S… trouve le moyen de prévenir son mari de ce changement « anatomique... »
Visiblement c'était chose faite car le SMS évoqué précédemment, écrit par S… me disait le plaisir et surtout l'impatience de S… de me retrouver au point de rendez-vous prévu.

Cinq minutes d'attentes supplémentaires et je vois arriver, au bout de l'allée, S… Elle est belle , vêtue, à ma demande, d'un tailleur noir : veste cintrée, petit chemisier blanc, jupe droite fendue sur le côté et de superbes escarpins avec talons de 12 centimètres de haut. Alors qu'elle s'approche de moi je constate avec satisfaction que S… porte également le collier et son anneau, mais beaucoup plus surprenant, elle tient dans sa main la culotte et le soutien gorge de couleur rouge que je lui ai demandé de porter.


Arrivée à ma hauteur S… se penche et me dépose un baiser tendre et brûlant. Au même moment elle me tend sa main et me donne les sous-vêtements qu'elle tient.
S… justifie ainsi son léger retard, me précise qu'elle a pris l'initiative, à l'entrée du parc, d'ôter ses sous-vêtements sans trop se cacher. Elle me dit qu'elle se sent, à la fois fière mais aussi impudique en déambulant ainsi dans le parc, nue sous son tailleur et les sous-vêtements bien en évidence dans sa main. Elle me dit que plusieurs personnes, hommes et femmes, se sont retournés sur son passage et que, paradoxalement, elle se sentait tout autant honteuse qu'excitée…


Après lui avoir pardonné son retard, et pour cause, et après l'avoir félicité pour cette prise d’initiative, je sors de ma poche la laisse que j'accroche immédiatement à son collier.
Immédiatement je sens S… troublée, son regard se baisse et ses joues rougissent alors que je lui explique que nous allons rejoindre ma voiture… il faut retraverser le parc dans le sens inverse.
S… est maintenant tenue en laisse, nue sous ses vêtements… selon sa propre initiative, elle se colle à moi pour donner l'impression que nous sommes un couple d'amoureux et dissimuler un peu cette laisse tellement humiliante pour cette bourgeoise BCBG qu'elle est. Nous croisons à nouveaux certains regards mais nous restons le plus discrets possible.
Lorsque nous arrivons à la voiture je sens que S… se détend. Je l'invite à s'installer sur le siège passager tout en lui précisant qu'elle doit relever sa jupe sur ses hanches de façon à poser ses fesses nues sur le siège. S… ne proteste pas et s 'exécute en essayant de se cacher le plus possible. A mon tour, je m'installe au volant et sans attendre je glisse ma main entre les cuisses de S… qui les écarte sans résistance ce qui me permets d'atteindre, tout d'abord son pubis et cette petite toison encore en place… puis son sexe, et de constater, sans grande surprise, que celui est déjà bien trempé.
Je lui rappelle les propos de l'agent de sécurité du parking et je lui confirme qu'il avait bien raison de traiter S… de salope. Pour augmenter encore un peu plus le trouble de S… je lui dit que je suis assez fâché car je constate qu'elle a du mal à se contrôler, qu'elle est déjà trempée et que son excitation est déjà bien réelle, tout ceci sans mon autorisation. Je laisse sous entendre qu'elle sera punie…

Il fait beau en ce début de journée du mois de juillet et la température dépasse déjà les 20 degrés. Après un trajet de quelques vingt kilomètres, ceci pour nous permettre de nous retrouver dans la campagne et qu'il reste cinq minutes avant d'arrivée à destination, j'annonce à S… qu'elle sera « punie » pour deux raisons : l'une : avoir été en retard, ceci malgré sa prise d'initiative appréciée par monsieur, la seconde : d'être déjà trempée sans autorisation…
J'arrête la voiture devant une grille, derrière celle-ci, une allée assez longue en gravier qui mène à un étang au bord duquel se trouve un petit chalet et un espace pique-nique composé d'une grande table et de bancs. Je demande à S… de sortir de la voiture, de prendre la clef du cadenas, d'ouvrir la grille… S… s'exécute. Alors qu'elle revient vers la voiture j'ouvre la vitre de ma portière et je lui ordonne d'aller se placer derrière la voiture, d'ouvrir le coffre et d'ôter tous ses vêtements, de les placer dedans et de le refermer immédiatement. S… me regarde, me précise que ce n'est pas possible car nous sommes au bord de la route et qu'à tous moments peuvent passer des voitures. Je hausse le ton, et rappelle à S… que c'est un ordre que si elle refuse nous rentrons et que tout s'arrête. A nouveau S… me supplie, je la sens troublée, quelques petites larmes coulent le long de ses joues . Elle fixe mon regard pendant de longues secondes mais je ne dis rien…

Une, deux minutes s'écoulent, je mets le moteur en marche et indique à S… que nous rentrons.
A ce moment là, S… se recule légèrement et me demande d'attendre.
Elle retire en même temps la veste de son tailleur tout en se dirigeant vers l'arrière de la voiture. Sans un mot, elle ouvre le coffre… je ne vois plus S… Encore quelques secondes et le coffre se ferme. Je regarde dans mes rétroviseurs et j'aperçois S… totalement nue, seuls le collier et la laisse « habillent » son corps.
Alors qu'elle arrive à la hauteur de la portière et qu'elle s'apprête à l'ouvrir pour s’asseoir, j'appuie sur le bouton qui condamne l'ouverture des portes… je lui dis que je l'attends en bas de l'allée et sans attendre je démarre.
Une bonne centaine de mètres sont nécessaire pour arriver sur le petit parking. Rapidement je descends de la voiture, sors de celle-ci une glacière et un sac et je m'installe sur le banc devant le chalet. Banc entouré de deux superbes chênes… j'observe, avec une certaine délectation S… qui commence à descendre dans l'allée. Elle est, une fois de plus, superbe, sa silhouette est rehaussée par le port des escarpins à talons hauts… elle est impudique et excitante avec son collier et sa laisse qui pend entre ses seins… la marche sur le gravier n'est pas simple je prends beaucoup de plaisir à constater que S… se dandine comme elle peut pour assurer son équilibre. Si au début de la descente elle essaie de cacher, soit un sein, soit son sexe, après quelques mètres elle n'y pense plus tellement accaparée par l'idée de ne pas tomber. S… met bien 5 minutes avant d'arriver à ma hauteur et de se jeter dans mes bras.

Je la serre contre moi… juste ce qu'il faut car immédiatement je lui demande de monter sur le banc. S… est très surprise car elle attend de ma part du réconfort et même des félicitations… il n'en est rien et pour seule réponse je lui indique qu'elle est punie… Soumise et décontenancée, S… grimpe sur le banc alors que je sors du sac posé à côté quatre bracelets en cuir, molletonnés à l'intérieur.
Sans un mot, je place les quatre bracelets aux poignets et aux chevilles de S… qui ne bouge pas.

Je sors de ma poche un bandeau que je place délicatement sur les yeux de S… qui est perdue… et même légèrement tremblante. Délicatement, sans faire de bruit, je sors quatre cordelettes. Les deux premières passent dans les anneaux des bracelets situés aux poignets. Je tire fermement sur les bras et j'attache les cordelettes aux branches supérieures de l'arbre. Voilà S… debout sur le banc, les bras largement écartés et bien tendus…. S… ne dit plus rien, je la sens vaincue.
Elle n'est pas au bout de ses surprises. En effet, d'un geste brusque je pousse le banc, S… perd l 'équilibre et la voilà suspendue, les pieds à vingt centimètres du sol…. Elle gigote et grimace car la tension sur ses bras est aussi forte qu'imprévue, elle gémit et me supplie de la descendre… pour seules réponse elle reçoit une paire de claques sur ses fesses. Deux minutes plus tard, c'est au tour des chevilles de subir le même sort : les cordelettes passées dans les anneaux des bracelets sont maintenant attachées au tronc des deux arbres…
S… est maintenant écartelée, ses bras et ses jambes sont hyper tendus, ses seins, eux aussi, sont étirés, tendus… S… est superbe, totalement nue, offerte, écartelée dans l'impossibilité de bouger et encore moins de se soustraire au regard et aux agissements de monsieur.
C'est le moment que je choisis pour annoncer à S… que sa punition va être complétée… La respiration de S.. est saccadée, son corps est tremblant, elle ne voit rien et se demande ce qui va se passer. Je prends le temps de caresser le corps de S… au début mes mains puis ma bouche parcourent ce corps offert. Je ne manque pas de caresser les seins de S… puis ma bouche prend le relais et ma langue vient titiller des tétons déjà bien durs… mais ces derniers vont encore augmenter de volume et pointent d'une façon indécente, comme encore jamais… c'est le moment que je choisis pour placer une pince à linge sur chaque tétons… S… surprise, grimace et gémit… puis mes mains glissent maintenant sur son ventre, son pubis, sur l'intérieur des cuisses avant de remonter sur les lèvres de son sexe… et la, je constate, une nouvelle fois, que le sexe de S… est littéralement trempé. Toutes ses caresses augmentent encore l'excitation de S… A leur tour les lèvres du sexe de S… sont ornées d'une pince à linge sur chacune d'entre elles.
Sans attendre je décide d’ôter le bandeau qui recouvre les yeux de S… Cette dernière ne peut que constater la beauté de son corps, écartelé, nu, offert orné de pinces à linge que la font autant souffrir que frémir d'excitation.
Je m'installe sur le banc, un verre de champagne à la main, observe ma bourgeoise BCBG, soumise, exhibée et punie. J'annonce que sa punition durera quinze minutes… Autant de minutes qui paraissent une éternité pour S… et une nouvelle étape dans le parcours d'éducation à la soumission de S… à suivre

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