La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°982)

Olivier au Château – (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode précédent N°981) -

Walter se saisit d’Olivier…

- Aller, soit heureux de te faire saillir, la salope, dans un instant tu vas sentir ton corps s’ouvrir lentement mais inexorablement, une fois le gode bien en place dans ton cul de femelle en chaleur, de petite pute, nous te laisserons en suspension, tu devras quand l’ordre t’en seras donné compter lentement, oui j’ai bien dit lentement, jusqu’à 100, ce n’est qu’à 100 que nous te libérerons.

Olivier fut amené dans un coin de la pièce, Monsieur le Marquis avait regagné son fauteuil, Véronique avait pris place à ses pieds en position de levrette, exhibant ainsi son fessier arrondi et une chatte parfaitement épilée, prête à être besognée à tout instant. Les autres membres savaient par expérience que l’on était maintenant dans l’instant le plus important de la soirée, rare étaient les soumis qui empalé de la sorte arrivaient à compter d’une seule traite jusqu’à 100. Le gode faisait bien 20 centimètres de long pour un diamètre de 6 centimètres. A la vision de celui-ci Olivier allait se rendre compte que son intromission lente mais constante n’allait pas être une partie de plaisir. La clé pour faire cesser son supplice était simple mais long car il devait compter simplement jusqu’à 100 mais interdit de se presser à compter car le Majordome lui avait fixé et imposé un tempo lent dans le comptage. Olivier fut attaché par les poignets, bras levés à des chaines fixées à ses deux extrémités à une espèce de petite poutre d’un mètre cinquante de long et suspendue dans le vide et fixée par à un palan qui montait ou descendait par une simple télécommande. Une espèce de chevalet lui écartait les jambes le tenant aussi le bassin. Le bût était de le mettre en suspension et de l’installer au-dessus du volumineux gode, il devait sentir l’intromission lente et inévitable de ce phallus factice.

Le Châtelain pris la parole :

- Le chien, tu peux toujours si tu le souhaites renoncer à cela, mais sache que le Maître que je suis sais que tu éprouveras une grande satisfaction à m’obéir en tout instant. Le pal était à l’époque un instrument de de mes ancêtres, je l’ai remplacé par un instrument de plaisir, montre-toi digne de cela
- Oui, Maître, votre plaisir est ma seule satisfaction

A ces mots Olivier fut mis en suspension, un des Invités s’approcha et positionna le gode sous le fondement d’Olivier, chaque Invité à tour de rôle constatait que le gode était bien placé et venait voir de près afin d’apprécier les imposantes dimensions de ce gode vertical. Une fois cela fait, Monsieur le Marquis d’un signe à Walter fit démarrer la séance. Le Majordome actionna la télécommande et fit descendre Olivier de quelques centimètres, le gode était effectivement bien placé, la tête préalablement lubrifiée de celui-ci commença à s’introduire dans l’anus d’Olivier, son cul allait être bien dilaté par ce gode de 20 centimètres de longueur au gros diamètre, Walter lentement continuait à faire descendre Olivier qui grimaça de douleur, mais l’assemblée remarqua aussi que sa cage de chasteté était pris de tremblement, ce chien essayait de bander malgré ce qu’on lui affligeait. Le Châtelain se leva alors et s’approcha d’Olivier :

- Mais espèce de chien, tu prends du plaisir, tu veux bander, enfin tu essaies, salope ! En bien, cela me sied ! Je vais t’aider à supporter tout cela… Walter retire la cage de ce chien, je veux qu’il nous montre son excitation.

Le Majordome prit alors la clé de la cage est d’un tour de main enleva celle-ci, et sans attendre, le sexe d’Olivier se mit soudainement à se dresser fièrement et à bander comme rarement le soumis avait bandé ! Son érection était à son paroxysme. Alors montrant à tous comment il aimait être traité de la sorte. Sa nouille mouillait abondamment d’un filet continuel de mouille s’échappait, la progression du gode dans son anus appuyait sur sa prostate, Olivier commençait à haleter comme un chien, faisant des efforts pour contenir les mouvements de son corps.
Walter de nouveau le fit encore descendre cette fois ci le gode était rentré à moitié. Olivier compris qu’entravé de la sorte, il ne pourrait pas s’échapper, sa verge tressautait d’excitation gonflée comme jamais. Le gode lubrifié de gel gagna de nouveau quelques centimètres, puis d’un coup s’engouffra presque entièrement. Olivier venait de s’empaler sur le gode, ayant un phallus factice de 20 centimètres de long et 6 de diamètre profondément enfoncé dans ses entrailles. Il voulait se sentir pris pour montrer au Noble Seigneur que seule sa satisfaction comptait. Monsieur le Marquis remarqua cela :

- Chien te voilà pris bien à fond, et à l’évidence tu aimes ça, à voir ton excitation, Hein ! Je t’autorise deux choses, tout d’abord tu peux commencer à compter, sache que Walter feras sortir le gode dès qu’il entendra le chiffre 100, la deuxième, je t’autorise aussi à une jouissance que je te réserve tout à l’heure mais vu l’état de ton sexe à mon avis tu ne résisteras pas longtemps à une éjaculation …

A ces mots prononcés par le Noble, Olivier effectivement ne put s’empêcher d’éjaculer sans que personne ne touche à sa nouille dressée, les soubresauts de sa hampe vibraient au fur et à mesure que son foutre s’échappait par le méat urinaire, l’abondant sperme du soumis s’écoulait le long de sa verge par ce gland violacé. Le Noble remarqua que le conditionnement du soumis avait été rapide, il éjaculait pratiquement sur ordre comme le vrai chien soumis qu’il était devenu. Mais le Maître ne devait pas laisser passer cette affront, le soumis ne devait pas prendre l’initiative, d’un signe de la tête à Walter, il provoqua un mouvement de descente d’Olivier sur le gode, ce qui eut pour conséquence, cette fois d’une complète, profonde et totale pénétration.

- Tu peux commencer à compter, le chien en chaleur !

Son souffle était souvent coupé par cette profonde intromission qui lui provoquait des spasmes réguliers remontant sur toute son échine et c’est avec difficulté qu’il commença à compter lentement, comme imposé.
Il veillait à ne pas aller trop vite craignant le courroux du Maître. Et donc il lui fallut plus de dix minutes pour arriver à 100, s’arrêtant souvent, reprenant à chaque fois une bouffée d’air, respirant à fond, ressentant ses entrailles encombrées, son cul bien rempli et encombré. Son corps tremblait d’épuisement mais une fois arrivé enfin à 100, Walter mit fin au supplice jouissif pour le soumis. Olivier aurait, comme tous les autres chiens soumis du Château, un anus bien dilaté après une telle séance. On détacha alors Olivier. Une Domina se présenta alors au Châtelain :

- Ce chien, Noble Seigneur vous a désobéi, il a joui avant que vous lui donniez la permission, cela doit faire l’objet d’une punition, son anus étant maintenant bien dilaté j’aimerais qu’il vienne s’occuper de moi, j’ai la chatte en feu, si vous le permettez bien entendu, cher Marquis …

Le Seigneur accepta avec plaisir, alors il ordonna à Véronique d’aller soulager la Domina. La soumise s’appliqua alors à donner le maximum de plaisir à la femme. Olivier regarda la scène curieusement, son sexe réagissant, il fut pris d’une nouvelle érection, ce male soumis était vraiment en chaleur. Walter savait calmer ce genre de lopette en rut, il fallait les faire masturber par une autre chienne soumise jusqu’à l’épuisement mais ce n’était pas au programme de la soirée. Peut-être qu’un accouplement avec la soumise serait aussi la solution mais seul le Marquis d’Evans pouvait l’ordonner, cela arrivait de temps en temps quand le Châtelain faisait rencontrer les membres de Son Cheptel, une saillie avec une soumise ou un soumis à enculer tel pouvait être la récompense pour une lopette. Le Noble décida donc pour calmer Olivier de le faire remettre en cage. L’ordre lui fit donner de s’équiper le plus rapidement possible, son sexe gonflé de désir par le spectacle qu’offrait Véronique et la Domina, l’empêchait d’agir prestement et c’est sous les rires moqueurs qu’il n’arrivait pas à débander. On eut de nouveau recours à la glace pilée pour le calmer et quand sa nouille ayant repris place, confinée dans la cage, Monsieur le Marquis dit alors

- Vu la difficulté que tu as eu pour remettre ta nouille de lopette en chaleur en cage, tu vas maintenant la garder.
Viens me démontrer ton obéissance, viens me lécher les pieds, la salope !

Olivier s’approcha alors du Noble Seigneur à quatre pattes, s’appliqua à lécher les luxueuses chaussures impeccablement vernies, c’était nouveau pour lui de se trouver dans cette position plutôt humiliante mais obéir aux ordres du Maître était maintenant devenu une évidence… Ainsi il ressentait pleinement sa soumission et était profondément heureux de son état servile …

(A suivre …)

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